Carole s’éveille dans les bras de son fils, ses poils sont rêches des traces de sperme séchées sont encore visibles, son anus est douloureux, son fils en a usé et abusé une partie de la nuit. Elle se lève la première, elle prend une douche, ne prend même pas le temps de mettre des sous-vêtements, elle enfile une blouse que quelques boutons ferment sur le devant. Comme chaque matin, elle prépare le petit déjeuner.
Michel se lève enfin, il s’étire et descend l’escalier. Il embrasse sa maman et l’enlace, ses mains glissent sur la fine blouse, passent en dessous et longent les cuisses bien fermes, elle se placent sur la chatte, il y enfonce deux doigts, ramone un petit instant le puits d’amour avant de retirer les intrus. Il porte à son nez ses doigts enduits de sécrétions vaginales. Il dit en souriant :
-Maman, comme tu sens bon l’amour, tu me donnes envie !
Elle lui répond un peu agacée :
-Mais tu es un obsédé sexuel Michel, attend d’avoir pris ton petit déjeuner avant de penser à ça !
C’est en faisant la moue qu’il se place à table, sa maman lui verse le café, le coquin en profite pour lui passer la main sur les fesses. Carole pousse un gros soupir et dit :
-Mais tu es incorrigible mon chéri arrête, j’ai encore mal au cul après tout ce que tu lui as fait subir !
Michel éclate de rire et réplique :
-Attends que mes copains arrivent là ma petite cochonne de maman, tu vas déguster, d’ailleurs, je leur ai téléphoné, ils ne vont pas tarder !
-Quoi déjà, mon vieux, tu es très pressé toi, j’hésite maintenant de me donner à eux !
Michel sursaute et réagit :
-Maman, ce qui est dit est dit, on ne peut plus faire marche arrière, il est trop tard !
Carole marmonne en se rendant à la cuisine, soudain, on sonne à la porte d’entrée. C’est Olivier et Marc. Michel les emmène au salon et leur offre un café pendant que sa maman s’affaire à la cuisine. La coquine tarde à se montrer. Michel invite ses potes à la rejoindre à la cuisine et de commencer les festivités.
Olivier et marc saluent Carole, Olivier l’enlace, il la regarde et lui dit :
-Depuis le temps que j’ai envie de vous posséder, je n’arrive pas à croire que je vais enfin réaliser mon rêve !
Marc confirme aussi son envie de la baiser. Carole est très indécise, elle répond au deux jeunots :
-Vous êtes si jeunes, que je me demande si j’ai le droit de vous céder !
Marc sort sa queue et dit en riant :
-Et celle-là, elle n’est pas trop jeune, c’est avec elle que je défonce ma belle-mère de 67 ans et la cochonne en redemande, toi, je suis sûr que tu adores la bite, ma salope, tu as une bouche à pipe, branle-moi aller vas-y !
Il lui prend la main et la pose sur son membre encore mou, Carole respire mal, les paroles du jeune l’ont un peu, déboussolées, elle ne sait pourquoi, mais elle presse la verge et commence à la branler. Olivier sort aussi sa queue, Carole s’en empare et la branle aussi. Ses coups de poignets sont efficaces, rapidement les membres se dressent. Elle les lâche et les regarde en écarquillant les yeux, elle dit :
– Elles sont bien grosses et toi, Olivier, tu baises aussi sa belle-mère ?
Olivier répond avec une assurance certaine :
-Non moi jee défonce, ma mère et ma sœur, elles me rejoignent dans mon lit lorsque mon paternel travaille de nuit !
Carole se dit qu’elle n’a pas affaire à des puceaux, mais à des étalons. Son fils lui ouvre la blouse et ouvre les pans, son corps magnifique apparait. Les deux restent un moment sans voix, Michel bascule sa maman sur la table basse du salon et dit :
-Elle est à vous les potes, faites là bien jouir ma petite salope de maman !
Les deux invités retirent leurs vêtements, Marc tombe à genoux face aux jambes ouvertes de Carole, Olivier, lui saisit les seins et les masse en profondeur, les demi-sphères rapidement gonflent, les bouts se dressent au centre, des taches brunes grenelées.
La bouche vorace avale les mamelons et les suce férocement. Carole commence à geindre sous les aspirations violentes. Marc caresse la fine toison soyeuse, ses doigts agiles glissent sur la fente qui commence à suinter. Il met en contact les grandes lèvres contre le clitoris et le branle en le maintenant prisonnier entre les grandes lèvres. Cette pratique est nouvelle pour Carole, elle grogne fortement en agitant son bassin. Sa chatte se noie de cyprine, Olivier lui étire les mamelons en les mordillons, il lui presse fortement les seins, les bougres sensibles, sont gonflés et durs.
Le branlage, inhabituel de son clito, fait hurler de jouissance Carole, elle défaille, elle crie :
-C’est trop, je vais jouir !
Marc frotte sa verge contre la chatte dégoulinante et l’enfonce brutalement au plus profond. Carole se cabre en hurlant :
-Oh oui, défonce-moi, oui, oui !
Les coups de reins sont terribles, Carole divague, elle le supplie de la prendre encore plus fort. Michel ne reconnait plus sa maman, elle si douce, eh bien là, c’est une furie. Le pilonnage violent fait, qu’elle jouit, encore une fois. Les coups de boutoir incessants font délirer Carole, soudain Son fils sursaute, les paroles de sa maman le déstabilise :
-Je veux deux queues en moi, bourrez-moi comme une chienne, éclatez-moi !
Michel s’avance et dit :
-Maman, tu deviens insatiable salope, qu’est qui t’arrive, oui Olivier et Marc vont te prendre en double, pendant que tu me suceras la queue !
-Oui mon chéri, tout ce que tu voudras !
Donnez-moi de la queue, j’en ai assez manqué, il faut que je me rattrape !
Le ramonage est puissant, Carole s’accroche à son jeune amant en couinant de plaisir. Soudain, prise d’une hystérie monstrueuse, Carole se met à hurler :
-Olivier, viens-toi aussi, prends-le cul, éclate-moi la rondelle, bourrez-moi comme une pute mes salauds, faites-moi jouir !
Marc bascule Carole sur lui et la plaque contre son torse. Olivier approche son engin tendu et le place contre l’anus demandeur, il donne un coup de reins et l’enfonce jusqu’aux couilles dans le cul de Carole qui pousse un râle de bonheur. Les deux jeunots la défoncent comme une le souhaite. La chaudasse est au bord de l’explosion, elle s’agite sur les pals profondément plantés en elle. Ses gémissements font frémir son fils d’excitation. Il présente aux lèvres charnues de sa maman sa bite qui palpite de désir. Comme une vorace, sa maman se jette dessus. Elle suce et tète le gland comme une affamée, son enfant grimace en geignant comme une bête. Il se raidit et envoie tout ce qu’il a dans les couilles au fond de la gorge de sa maman qui ne rechigne pour tout avaler. Les deux la démontent comme des soudards. À chaque enfoncement de leur pilon, Carole pousse des râles de bonheur. La tension monte, elle s’agite de plus en plus, les queues qui lui forent les entrailles la font délirer. Elle s’agrippe fortement aux épaules de Marc, se cabre et jouit en hurlant. À tour de rôle les deux baiseurs se vident en elle.
Olivier ne peut s’empêcher de dire :
-Putain ce qu’elle est bonne ta pute de mère Michel, je me régale, nous allons changer de position et la démonter comme une grosse salope !
Carole en plein délire répond :
-Oui, oui comme une grosse salope, prenez tous mes trous mes chéris !
Toute la matinée, Carole a subi les assauts des trois jeunes, elle a joui à en perdre haleine de nombreuses fois.
C’est épuisée qu’elle demande grâce. Maintenant que Carole a redécouvert la bite, elle en devient accro, elle propose de revoir les deux jeunes le plus souvent possible.
Valériane
Waouh… superbe histoire en 3 parties… j’ai adoré… peut-être encore de nouvelles aventures de cette maman nympho ???