Julie, qui est à plat ventre sur la table du salon, sa maman Brigitte, lui écarte les fesses le plus qu’elle peut. Le gland de son papa s’approche de son anus, frotte doucement l’anneau ridé. Le coquin est souriant, il veut prendre sa fille à sec pour qu’elle hurle, les cris l’excitent. Julie sait à quoi s’en tenir, elle serre les dents. Philippe le papa pousse, le gland appuie fortement sur la rondelle brune, l’anneau résiste un court instant puis, cède. Julie se cabre, son rectum avale le manche veineux gorgé de sang de son papa, qui pousse comme un forcené. La douleur est atroce, Julie a la bouche grande ouverte, ses yeux sont exorbités, aucun son ne sort de sa gorge nouée.
Brigitte, la maman, a les yeux qui étincellent, elle passe plusieurs fois sa langue sur ses lèvres et regarde son mari et l’encourage :
— Prends-la à fond mon chéri, éclate-lui le cul, elle est comme moi elle aime se faire enculer, vas-y oh je mouille comme une grosse salope !
Philippe donne un violent coup de reins, sa queue s’enfonce jusqu’aux couilles dans les entrailles de sa fille, qui grince des dents en soufflant comme un animal. Brigitte est presque hystérique, elle cri sans retenue :
— Oh putain oui, défonce-la regarde mon chéri comme son trou enveloppe bien ta queue, ne la ménage pas mon Dieu je vais jouir c’est trop pour moi !
Philippe sourit et commence un enculage démentiel, Julie geint fortement. La queue qui la fore et qui lui dilate le canal anal, la fait couiner de plaisir. Brigitte, elle…
Regarde le duo en pleine action, sa main est dans sa culotte la salope voyeuse, se masturbe sauvagement en grimaçant. La queue vigoureuse de Philippe voyage sans faiblir dans le cul de Julie qui gémit de plus en plus fort. Soudain, un cri terrible se fait entendre. C’est sa maman qui vient de jouir atrocement fort, elle se tortille en faisant une moue qui déforme son visage. Subitement elle enlève sa jupe et arrache en rageant sa culotte trempée de son jus. Elle s’assied sur le canapé, saisit son clito avec rage et le branle comme une sauvage. Philippe continue de démonter sa fille à grands coups de boutoir. Julie agite sa croupe, la coquine est au bord de la jouissance.
Philippe ressort entièrement sa queue du réceptacle de chair puis la replonge violemment dedans. Julie pousse un cri et se cabre et dit :
— Oh papa oui recommence, c’est trop bon oui encore oh !
Encouragé par sa fille, le soudard réitère plusieurs fois le mouvement dévastateur. Les râles de Julie prouvent que la petite cochonne prend un pied d’enfer. Sur le canapé, Brigitte est presque en transe, son clito est devenu affreux, il ressemble à une grosse noix qu’elle ne cesse de solliciter. Elle enfonce avec rage quatre doigts de sa main libre dans sa chatte et se ramone comme une dingue. Elle y ajoute le cinquième et accélère le ramonage, petit à petit sa main disparaît dans sa chatte, son clito a encore pris du volume, l’enragée, c’est empalé jusqu’au poignet, elle grogne comme une bête tombée dans un piège.
De voir sa femme ainsi excitée, Philippe défonce avec rage le cul de sa fille qui grogne de plaisir. Sa queue entre et ressort de plus en plus vite du tabernacle de chair que sa queue distend fortement. Julie se cabre, pousse un hurlement et jouit du cul comme il n’est pas permis. Philippe continue de forcer l’anus distendu en grognant comme un fauve. Il se bloque, pousse un rugissement et remplit de son sperme visqueux l’intestin de sa fille, qui s’agite pour vider la queue de son papa de son jus
brûlant. Brigitte et au bord du coma, ses yeux sont révulsés, elle a un filet de bave qui s’échappe de ses lèvres charnues. Elle se cambre fortement, en poussant un cri presque inhumain. La salope insatiable gicle comme un geyser, son corps est secoué de spasmes violents, elle a plusieurs orgasmes coup sur coup. Son visage est déformé par un rictus affreux. Elle retire sa main de son conduit vaginal, le puits d’amour est béant, un filet continu de cyprine s’y échappe. Elle a les yeux embrumés, elle regarde en implorant son mari, elle lui dit entre deux souffles. – Philippe à moi maintenant, je veux ta queue moi aussi dans mon cul ! Elle se met à quatre pattes sur le sol. Philippe pose sa queue gluante sur la rosette palpitante de sa femme, il donne un coup de reins violent, il s’enfonce jusqu’aux couilles, dans la gaine chauffée à blanc de la demandeuse. Quelques coups violents suffisent à faire jouir la vorace, qui agite sa croupe comme une forcenée. Philippe ne retient pas ses coups, ses couilles frappent à chaque enfoncement les fesses rebondies de sa femme qui grogne de bonheur. Il pousse un grognement et envoie sa semence dans le cul de Brigitte qui se cabre en recevant ce doux liquide en elle. Philippe la démonte encore un bon moment, la coquine réjouie du cul une seconde fois. Philippe enfin se retire, sa queue et gluante il l’offre aux douces lèvres de sa fille qui s’évertue de nettoyer avec sa langue le mat de chair de son papa adoré.
Brigitte
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