Elle s’appelle Julie, elle a 48 ans, mariée, un homme souvent en déplacement. Elle est maman de deux grands enfants qui ont quitté le nid familial. Il y a maintenant deux ans que son dernier a pris son envol la laissant seule à la maison. La situation professionnelle de son mari fait qu’elle n’a jamais eu besoin de travaillé, elle en vit très bien. Dans cette situation, sa vie sociale s’étiole
Julie mesure 1.68 m pour 68 kilos, vous l’aurez compris, elle est relativement en chair. Elle a les seins qui rentrent dans du 90 B qui ballotte à chacun de ses pas et qui fait tourner les têtes… Elle a de jolies fesses rondes et rebondies. Elle a toujours aimé être regardé par les hommes, qui qualifient Julie de bourgeoise, toujours bien habillée et maquillée, elle aime se montrer.
Julie n’a jamais trompé son mari, qui malgré ses absences, est un amant formidable. Adolescente elle était dans un internat pour jeunes filles, elle adorait pervertir ses camarades de chambrée. Nombreuses sont les nuits où elle a abusé de l’une d’entre elles…
Maintenant elle s’est calmé, déjà parce que son statut de maman avait mis sa libido au repos, et aussi le manque d’occasion aussi.
Tout a commencé un mois plutôt avec l’arrivée de nouveaux voisins. Elle observe discrètement de la fenêtre de sa cuisine les déménageurs qui apportent les meubles dans le pavillon juste en face du sien. Le quartier résidentiel ou elle habite avec son mari est très calme, très bourgeois. Que des gens bien dans ce lotissement.

La nouvelle famille qui s’installe en face de chez Julie est d’origine africaine. Le chef de famille est très impressionnant à regarder. Très grand, plus d’1,90m facile, le crane rasé, très musclé. Sa femme est très belle, leur fils est également très grand comme son père.
Julie observe le chef de famille qui donnant un coup de main aux déménageurs prend un carton, il a enlevé sa chemise, il est torse nu, il soulève le carton a priori sans effort. Julie avoue être impressionné par sa musculature.
L’été était bien installé. Julie passe ses journées seule à la maison. Heureusement il y a la piscine, elle en profite au maximum. Julie aime se prélasser au soleil pour se faire bronzer. Tout son corps, sans aucune exception, a une jolie couleur dorée, aucune marque disgracieuse ne vient couper l’harmonie de son bronzage.
La piscine est bien exposée plein sud, le soleil la chauffe presque toute la journée. Elle est située derrière la maison à l’abri des regards. Une haie la protège des voisins situés à l’ouest, a la famille de noirs, qui vient d’aménager récemment.Son mari veut remplacer la haie et il a enlevé le grillage rouillé qui se trouvait derrière. Il est absent pendant deux semaines pour son travail.
Au sud une haie d’arbuste assez haute la sépare de la maison voisine, un ménage très gentil, déjà assez âgé. Ils doivent avoir environ soixante-cinq ans si ce n’est plus, le vieux monsieur l’épie souvent.
Il fait très beau et très chaud cet après- midi. Julie se dirige à sa place habituelle au bord de l’eau. Elle porte, un tout petit calicot rose pâle très transparent. Julie n’a pas mis le haut de son maillot de bain. Elle étale sa serviette à même le gazon et s’assoit dessus. Elle pose son bouquin érotique, enlève le petit calicot, le pose à côté d’elle.
Julie délace les lanières qui retiennent la culotte de son maillot de chaque côté de ses hanches et l’enlève. Julie est nue, comme toutes les après midi pour prendre son bain de soleil tranquillement. Les oiseaux, la bercent de leur chant, le ciel est d’un bleu limpide.
Julie est sur le ventre, la lecture de son bouquin érotique l’excite.
Elle n’en peut plus, c’est trop excitant. C’est mal, mais elle a besoin de se faire du bien. Ses mains descendent vers le bas de son ventre, elle commence à se caresser sans quitter son livre des yeux.

– Alors, la lecture te plaît ?
Julie sursaute en entendant la voix grave derrière elle. Julie se relève d’un bon. Elle n’a pas le temps de se retourner, des mains passent autour de sa taille et la serrent.
– Qu’est-ce que vous faites ?
L’homme qui la domine est le fils du voisin noir, d’une vingtaine d’années aux cheveux taillées très court. Ses yeux noirs brillent d’une lueur animale. Il est grand, largement plus d’un mètre quatre-vingt. Il l’immobilise de ses bras puissants.
– Chut, pas si fort ou sinon les autres vont t’entendre. Ce serait dommage. Tu te fais du bien toute seule en lisant ton livre ?
– Non.
Julie ne peut pas lui avouer qu’une femme avec une éducation comme la sienne puisse s’adonner à une telle activité.
– Ah ! Alors c’est par hasard si tu te caresses depuis cinq minutes ?
Julie se sent rougir. Elle a honte d’elle. Julie cherche une réponse à lui opposer quand elle sent que l’une de ses mains sur son ventre glisse vers sa raie des fesses.
– Arrêtez ou je crie.
– Attend au moins que je te mette la queue dans ta chatte.
Julie est parcourue d’un frisson.
– Vous n’allez pas me violer ?
– Bien sûr que non. Qui parle de viol puisque c’est toi qui vas me demander de t’enfiler.
Il se serre contre elle. Julie sent son sexe dressé contre ses fesses. Elle a l’impression qu’il a un sexe énorme. Julie devrait se débattre, tenter de se libérer, mais elle reste passive. Elle est troublée. Mais qu’est ce qui lui arrive ?
On peut être une femme fidèle et avoir des fantasmes très intenses. Julie a toujours rêvé d’être prise par un inconnu vigoureux.
Ce trouble profite à son inconnu pour faire avancer de nouveau sa main. Ses doigts descendent et rentrent en contact avec ses poils pubiens taillés en ticket de métro avant qu’elle n’ait le temps de réagir. Il les frotte avec force et continue sa descente écartant ses lèvres vaginales.
– J’en étais sûr. Tu es trempée. Ta chatte n’attend que ma bite.
– Non.
– Mais si. Regarde.
Il sort sa main de sa grotte et la présente devant son visage. Ses doigts sont brillants de mouilles. Ils les posent sur ses lèvres qu’elle garde fermées. Ça le fait rire et il remet sa main entre ses cuisses sans qu’elle ne s’y oppose.
De son autre main, il se saisit de son poignet gauche qu’il ramène dans son dos. Julie rencontre son torse musclé. Il guide sa main vers son caleçon et plonge dedans. Julie a un frisson en sentant le bout de ses doigts toucher son sexe dressé. Il lui libère sa main qui reste là à savourer ce sexe d’une taille qui lui est inconnue. Sa main remonte vers le haut pour empoigner avec force sa poitrine.
– T’as vraiment de bons gros nichons. Ça doit être très agréable de se branler avec.
Il malaxe ses seins avec forces, pince ses tétons. Julie a de plus en plus chaud. Elle est si excitée qu’elle ne se rend même pas compte qu’elle a commencé à le branler.
– Tu la veux. Hein ? Tu la veux ma salope ? Tu veux que je t’enfile avec ma grosse bite.
– Oui, soupire Julie
– Non, mieux que ça salope.
– Prends-moi.
Sa main sur sa poitrine se referme durement dessus.
– Applique-toi. Sois honnête. Exprime-toi comme la salope que tu es.
– Enfile-moi ! Prends-moi comme la salope que je suis.
Sa main abandonne sa chatte pour la faire descendre le long de ses cuisses. Il guide ensuite son sexe dur comme du béton à l’entrée de son puits d’amour pendant que l’autre main quitte ses seins pour venir se poser sur sa bouche. Sans la moindre tendresse, il perfore sa chatte d’un coup de reins d’une violence inouïe. Sa main sur sa bouche est là pour étouffer son cri et empêcher qu’on les surprenne.
Jamais Julie n’a eu un sexe d’une telle taille en elle. Julie a l’impression que son vagin va éclater. Elle n’a pas le temps de s’habituer à l’intrusion de ce sexe monstrueux, qu’il le retire complètement pour mieux lui le remettre. De nouveau, il étouffe un de ses cris.
Pendant plus d’une minute, il recommence le même mouvement pour le même effet. Julie la chatte en feu.
Il l’a pousse tout en la pénétrant vers l’arbre qui fais de l’ombre à la terrasse ?
– Pose tes mains sur l’arbre et serre les dents, que je puisse te prendre comme tu le mérites, salope.
Docilement, elle lui obéit. Julie prend appui sur l’arbre devant elle.
– Cambre-toi. Montre-moi comme tu veux ma bite, sale chienne.
Julie se cambre autant qu’elle le peut prenant une pose aussi indécente que possible.
Il pose ses deux mains sur ses hanches qu’il empoigne avec force et d’un coup puissant la transperce de nouveau. Julie étouffe à grand-peine un cri. Cette fois, plus question pour lui de s’amuser, il la prend dans une série de va-et-vient rapides et puissants.
Son amant la tire brusquement par les cheveux et bascule sa tête en arrière vers lui.
– Maintenant tu vas pouvoir te lâcher. Fais-moi entendre ta voix de salope.
Il se met à la pilonner comme un fou furieux. Julie essaie au début de se retenir par peur d’être entendue, mais il va trop fort et lui fait trop de bien. Sa grotte dégouline autour de sa bite qui la ramone en profondeur.
– Tu la sens ma bite, salope. C’est autre chose qu’avec ton cocu, je parie.
Son mari est bien membré, en tout cas ça n’a rien de comparable avec ce sexe qui redessine l’intérieur de son vagin à grands coups de reins, jamais il ne l’a prise avec une telle intensité durant toutes ses années de mariage. Julie qui s’est habitué à leurs petits missionnaires, là elle perd pied devant ses assauts si puissants, si virils. Julie sent un orgasme monté, plus puissant que jamais. Elle s’abandonne au plaisir et explose dans un long cri de jouissance.
– OUIIIIIIIIII !!!
Julie bascule en avant, ses jambes la portent à peine. Son orgasme ne calme pas les ardeurs de son amant qui continue de la bourrer avec la même force.
Encore en pleine jouissance, elle remarque la présente du père de son amant qu’au moment où celui-ci se tient juste devant elle.
– Alors Moussa, tu t’amuses bien à ce que je vois. Elle est comment ?
– Elle est bien baisable, mais elle ne vaut pas la petite Nadia, papa.
– Une sacrée salope celle-là. Il m’a fallu une semaine pour pouvoir la tringler, mais ça valait le coup.
– Dommage qu’elle reparte ce soir, on aurait bien pu s’amuser avec maintenant que tu l’as décoincée.
– Je crois que tu nous as trouvé de quoi nous occuper.
– Clair ! Admire un peu ces seins comme ils se balancent quand je la bourre.
Pour bien montrer l’effet produit, Moussa lui donne de puissants coups de reins sur toute la longueur de son sexe qui la secoue et lui fait bouger ses seins dans tous les sens.
– Pas mal.
Le papa, empoigne l’un de ses seins et le masse énergiquement.
– Ils sont bien gros et lourds. Comment elle s’en sort avec la bouche, elle suce bien ?
– J’en sais rien, je n’ai pas eu le temps de vérifier. Elle était tellement excitée par la lecture de son bouquin, que je l’ai fourrée direct comme une bonne salope.
– Et bien, on va vérifier ça tout de suite.
Le papa lui saisit les cheveux et la force à se pencher jusqu’à se retrouver devant son short qui disparaît pour laisser apparaître son gros boudin noir.
– Ouvre ta bouche, salope.
Julie est gênée et il appuie sur les épaules pour la faire se pencher. Son énorme queue est près de sa bouche.
– Mets la dans ta bouche.
Julie s’exécute. Fascinée par ce sexe devant elle, Julie ouvre la bouche sans réfléchir. Elle a la bouche grande ouverte pour pouvoir l’absorber et il donne un coup de rein pour mieux l’enfoncer dans sa gorge.
– Mieux que ça !
Julie étire ses mâchoires au maximum permettant au voisin de faire entrer son sexe dans sa bouche. Il ne bande pas encore, elle a pourtant l’impression d’être déjà totalement remplie.
Elle a du mal à le sucer tellement elle est imposante.
– Suce-moi. Savoure ma bonne queue d’ébène au parfum épicé.
Ces paroles l’enivrent et sa langue s’agite avec gourmandise sur cette bite qui promet des moments délicieux.
– Alors, c’est une bonne suceuse ?
– Pas terrible, mais on va remédier à ça. Ton mari est absent pour combien de temps en sale pute de bourge ?
– Deux semaines, avoue Julie entre deux gémissements.
– Largement assez pour faire de toi la reine des vieilles putes. Et tu es toute seule ?
– Seule, dis-je dans un long feulement.
Moussa la prend avec plus de force en riant. Il est excité à l’idée de pouvoir la tirer tranquillement pendant aussi longtemps.
– Parfait, déclare le voisin. Première leçon. Les putes comme toi, quand elles ont une queue dans la bouche, elle l’avale en entier, peu importe leur taille.
Sa main dans ses cheveux accentue sa prise pendant qu’il enfonce un peu plus son sexe dans sa bouche jusqu’à atteindre sa gorge dont il essaie de forcer le passage. Jamais un sexe n’est allé aussi loin. Julie l’impression quelle va étouffer. Elle tente de le retenir, de le repousser, mais Moussa se saisit de ses deux poignets qu’il verrouille dans son dos.
Issa, le voisin incline sa tête sur le côté pour une meilleure pénétration. Après de nouveaux efforts, il parvient à ses fins et son gland force le passage de sa gorge, Julie se retrouve finalement les lèvres écrasées contre ses poils pubiens. Julie pleure, elle a l’impression qu’il va lui déboîter la mâchoire et en même temps elle est sur un nuage. Elle a tout son sexe en elle.
– D’ici à ce que ton cocu revienne, tu m’avaleras sans difficulté comme une bonne pute.
Et il recommence à lui déboîter la mâchoire.
– Deuxième leçon, dit Moussa. Tous tes trous nous sont offerts.
Sans arrêter de la besogner, il pose un pouce sur son anus. Il exerce plusieurs pressions dessus avant de finalement parvenir à en forcer le passage. Julie pousse un cri que la bite d’Issa étouffe complètement.
– Cette salope n’a pas l’air d’avoir l’habitude de se faire enfiler par là.
– J’adore éclater les culs serrés, dit Issa en riant sans s’arrêter de malmener sa gorge.
L’anus de Julie n’a plus connu la visite d’un sexe bien avant mon mariage il y a plus de vingt-huit ans.
– On échange ? J’ai la bite bien dure.
Moussa lui donne un dernier violent coup de reins avant de laisser la place à son père qui s’enfonce en elle sans aucune douceur et commence immédiatement à la ramoner. Malgré ce qu’elle a déjà pris, elle sent nettement la différence de taille entre leurs sexes. La sensation de sa grotte d’amour qui se dilate encore un peu plus est délicieuse.
Devant elle, Moussa lui empoigne durement les cheveux pour lui présenter sa queue brillante.
– Viens goûter à ta mouille de chienne.
– Attendez ? Je suis d’accord pour que vous vous amusiez avec ma bouche et ma moule autant que vous voulez, mais laissez mon anus tranquille.
Moussa la gifle durement tout en souriant.
– Tu rêves, salope. Ton cul de chienne, on va te le prendre et tu vas nous dire merci.
Moussa ne lui laisse pas le temps de protester davantage, il enfourne sa bite dans sa bouche et la besogne de toute sa longueur comme il le faisait dans son vagin un instant auparavant. La différence de taille ne rend pas l’expérience plus supportable pour autant. Julie a la gorge en feu. Et pourtant elle aime ça, elle prend son pied comme jamais.
Julie se sent soudain vide quand les deux hommes la libèrent de leur sexe au même moment. Elle reste un moment courbé. Julie est sur un petit nuage. Elle attend qu’ils s’échangent de trous, mais ils ont d’autres projets. Issa lui claque violemment les fesses.
– À quatre pattes, Salope. Mets-toi dans ta position naturelle de chienne.
Julie leur obéit sans hésiter un instant, se moquant de la façon dont ils se comportent avec elle et lui parlent, car elle doit en fait se l’avouer, elle adore ça. Elle, la femme mariée et auparavant si sage prend un plaisir monstrueux à être humiliée et utilisée ainsi par ces deux voisins.
Moussa vient se placer derrière elle et s’agenouille. Il présente sa bite à l’entrée de son cul. Ça y est, son cul va de nouveau accueillir une bite, elle ne cherche même plus à s’y opposer. Julie peur de ce qu’il va lui faire tout autant qu’elle le désire.
Son gland appuie sur son anus, mais malgré la pression qu’il exerce il n’y parvient pas à y rentrer. Elle l’entend râler. Il envoie un mollard épais en plein sur son œillet qu’il fait entrer en enfonçant brusquement son pouce. Le passage graissé, il retente sa chance pour peu d’effet. Énervé de ne pas y arriver, il lui empoigne férocement les hanches et appuie de toutes ses forces. Son gland force brusquement l’entrée et lui arrache un cri aigu.
– AEIII ! Doucement !
– Ta gueule, pétasse, ou je laisse à papas le plaisir de t’élargir le cul. Crois-moi, il vaut mieux pas que ce soit lui qui s’en occupe.
Julie a peur qu’il la déchire, mais maintenant que le gland est entré, le reste suit avec beaucoup plus de facilité qu’elle n’aurait cru. Julie le sent quand même sacrément passer. Pas un instant il ne lui laisse pas le temps de s’habituer, il force son passage toujours plus loin dans son anus surchauffé.
Arrivé au bout, il lève ses mains qu’il abat de toutes ses forces sur ses fesses.
– Jusqu’à la garde ! Tu la sens ma grosse bite dans ton cul de chienne. T’aimes ça, grosse salope.
– Mon Dieu, tu vas me déchirer. Sors, sors !
Moussa se retire de moi dans une lente délivrance. Mais elle n’est pas entre les mains d’un homme, mais d’un mâle voulant la dresser et la faire sienne. Julie n’a plus que son gland en elle quand il se lance soudain de nouveau à l’assaut de son cul et l’embroche de toute la longueur de son sexe.
– AARRF ! AAAH !
Fier de lui et du cri qu’il lui a arraché, il se retire de nouveau pour mieux la reprendre. Julie n’arrête pas de crier, elle a le cul en feu. Elle souffre le martyre et pourtant elle sent monter en elle une pointe de plaisir. Il la déchire, et elle commence à aimer ça.
Il continue son travail de démolition de son anus qui lui oppose de moins en moins de résistance.
– Le passage est fait !
Il se retire de son anus. Il pose ses mains sur ses fesses qu’il garde écartées pour admirer le spectacle. Son anus est rouge, il n’arrête pas de s’ouvrir et de se refermer.
Issa présente sa matraque à l’entrée du cul de Julie. Dès que son gland est dans ses reins, Elle sent la différence de calibre, elle pousse un long feulement à mesure qu’il s’insinue dans son ventre. Il arrive vite à la profondeur de Moussa avant d’investir des zones encore vierges.
– Une vraie chienne, elle m’a avalé en entier direct.
Il se lance dans les mêmes assauts que son fils pour le même effet. Julie a mal. Mais et elle aime ça.
Quand il laisse sa place à son fils, celui-ci rentre en elle sans problème. Son cul est définitivement grand ouvert. Il se lance aussitôt dans des coups de reins puissants qui la font couiner.
– T’aimes te faire ouvrir le cul, salope.
Julie pousse un long soupir qui ne le satisfait pas et il lui claque durement les fesses.
– Dis-le !
Toute honte bue.
– J’adore me faire éclater le cul. Je suis votre chienne.
– Et on va bien te dresser.
Plus rien ne retient ses deux amants qui se relaient dans son cul avec une énergie et une force qui lui donne un plaisir terrible.
– Troisième leçon. Peu importe d’où sort une bite, tu la suces.
Malgré l’odeur que dégage le sexe dressé de Moussa devant elle, Julie ouvre machinalement la bouche où il s’engouffre. Elle a des haut-le-cœur. Julie salive abondamment pour atténuer le goût pendant qu’il lui baise la bouche. Pendant ce temps, son père ravage son cul avec force. Une fois son sexe bien propre, Moussa retourne investir son cul tandis qu’Issa lui offre sa poutre noire parfumée à sucer.
Ils répètent l’opération de nombreuses fois. Julie ne sait pas si elle finit par s’habituer au goût ou si à force son cul est un peu plus propre, mais elle est de moins en moins écœurée par le goût de leur sexe.
– On va la finir comme elle le mérite.
Moussa s’allonge devant Julie. Issa passe ses bras musclés autour de ses cuisses et sans quitter son cul il la porte au-dessus de son fils. Il la descend vers sa bite dressée impatiente d’investir de nouveau son puits d’amour. Le gland de Moussa ouvre doucement ses lèvres vaginales. La sensation est décuplée. Julie n’arrête pas de gémir à mesure que sa bite disparaît dans son puits. Sa bite est à moitié investie quand Moussa prend le relais de son père. Il la porte à sa place avant de l’attirer brusquement vers lui faisant disparaître toute sa bite.
– Ah !
Julie est ainsi bien pleine. Issa se remet en action, rapidement rejoint par son fils. Ils la prennent dans de longs mouvements amples, sa chatte et son cul sont stimulés à l’extrême. Julie en a la tête qui tourne. Jamais elle n’aurait imaginé prendre un tel plaisir. Rapidement les deux mâles s’accordent pour prendre leur voisine d’un même rythme. Julie n’arrête pas de gémir.
– Écoute-la couiner, cette chienne. Sa première double et elle prend son pied.
– C’est une bonne grosse salope. On va bien la dresser.
– Oui ! Je suis à vous ! Prenez-moi ! Encore ! Encore !
Ses deux amants éclatent de rire. Ils s’amusent de sa réaction. Il continue de l’insulter et ça la fait encore plus décoller. Ils la bourrent comme la dernière des salopes, ils lui claquent le cul et les seins, et elle n’arrête pas de jouir.
– Putain, je vais bientôt jouir.
– Moi aussi.
Julie reprend ses esprits et réalise soudain qu’aucun d’eux n’a mis de capote.
– Pas en moi. Laissez-moi vous boire.
Ses deux voisins ne l’entendent pas ainsi. Ils affermissent leurs prises sur Julie et augmentent l’intensité de leurs assauts. Julie bien tente de les convaincre de ne pas jouir dans ses puits d’amour, mais ses mots se perdent au milieu de ses gémissements.
– Quatrième leçon. Une chienne, ça se fait remplir tous ces trous de spermes, gémit Issa.
Dans un dernier coup de reins phénoménal, ils l’embrochent aussi loin qu’ils peuvent et hurlent.
– Salope !
Mais lorsqu’il lui renverse la tête vers lui, il enfourne sa grosse langue dans sa bouche, en lui prodiguant un baiser fabuleux, quand elle sent les énormes soubresauts de la bite qui vide sa semence au fond de ses entrailles, Julie explose, elle crie sa jouissance.
– OOUUU ! Oui ! Oui ! OUIIII !
Julie sent leurs bites exploser au même moment. Leur sperme l’inonde provoquant chez elle un orgasme dévastateur. Ils n’arrêtent pas de jouir. Julie avait oublié la sensation que cela fait de se faire remplir d’autant de sperme depuis le temps que son mari n’est plus capable que d’envoyer que quelques giclées. Là, ces bites qui continuent d’être dures même après avoir joui.
Julie s’écroule sur le torse du fils, qui en profite pour lui donner un autre baiser.
Issa est le premier à se retirer. Julie se sent vide sans sa grosse poutre entre ses fesses.
Son anus béant se contracte évacuant progressivement le sperme. Il y en a tellement. Julie peine a imaginée à quel point il a inondé ses intestins de foutre. Tout ce jus s’écoule sur les couilles de Moussa qui finit par se désolidariser de sa voisine. Il la maintient au-dessus de lui le temps que son vagin laisse ressortir son sperme.
Issa l’attrape par les cheveux et la force à reculer puis il ramène sa tête juste au-dessus de la bite de son fils englué sous le sperme.
– Tu voulais boire notre jus, salope ? Fais-toi plaisir. Nettoie.
– Leçon numéro cinq. Une chienne nettoie les queues de ses maîtres entre chaque saillie.
Julie se penche sur le sexe de Moussa et tire la langue pour récupérer la crème blanche qui l’en recouvre. Le goût est fort, surtout celui du sperme sur ses couilles parfumées par son cul, mais elle s’en moque. Julie adore le goût de ces hommes, des mâles.
Une fois la queue et les couilles de Moussa complètement nettoyés et brillants de salive, d’elle-même, elle se tourne vers son père qui l’accueille avec un large sourire, heureux de sa réaction. Julie fait disparaître de son sexe d’ébène toutes traces de leurs ébats, de la saillie.
Puis, pour se rafraîchir tout le monde entre dans la piscine, en espérant n’avoir pas ameuté tout le voisinage avec leurs ébats….
Julie questionne ses amants.
– Par ou vous êtes entrés ?
– Il y a un trou dans la haie, j’ai voulu voir où ça menait, et c’est là que je t’ai vu nue.
– J’ai vu mon fils disparaître dans la haie, alors j’ai suivi et me voilà !
– T’es une bonne chienne, on va bien s’occuper de toi.
– Tu crois qu’on doit s’en occuper nous-même ou on la présente à p…….. ?
– C’est sùr qu’il s’ennuie depuis qu’il a fini l’éducation de ta dernière copine ? Mais tu crois qu’elle supportera son examen de passage ? Il en a estropié plus d’une.
– Ouais, c’est pas un tendre, mais c’est toujours un sacré spectacle et j’ai trop envie de le voir la dresser pour en faire une bonne voisine vide couille.
L’excitation retombant, Julie commence à s’inquiéter de ce P……. et de ce qu’il pourrait bien lui faire.
-Vous savez les garçons, vous êtes tout ce dont j’ai besoin. Je peux être rien qu’à vous pendant les jours d’absences de mon mari.
– Leçon numéro six, les chiennes obéissent à leur maître sans poser de question.
Issa l’observe de longues secondes avant de se mettre à sourire.
– T’as raison papa ! On l’emmènera la faire éduquer par P…… ?
Chap 2
Le lendemain Julie bronze nue dans le jardin, peut-être assoupie, ses écouteurs à l’oreille. Le jardin n’est séparé de celui du voisin que par une haie d’arbustes qui est loin d’être opaque. Si elle bronze intégral, c’est qu’elle est sûre d’être seule. Elle a entendu les nouveaux voisins s’absenter.
La haie d’arbustes qui la sépare du voisin frémit un peu. C’est un fils, un garçon d’environ dix-neuf ans, qui traverse la haie et s’approche de Julie. Elle a les yeux fermés et la musique qu’elle écoute l’empêche sans doute d’entendre les pas du garçon.
Il arrive tout près d’elle, se penche et l’embrasse brusquement en enserrant ses seins dans ses mains. Julie sursaute, se débat un moment puis arrive à repoussé le jeune homme d’une bourrade. Il recule d’un pas.
– Qui êtes-vous ? Vous êtes fou ! Pour qui me prenez-vous ?
– Je suis le frère de Moussa. Je voulais vous embrasser, vous êtes belle. Et je veux faire l’amour avec vous.
La surprise de Julie est complète… Oui, c’est plus de la surprise que de la colère que l’on voit sur son visage.
– Mais …………. On n’embrasse pas quelqu’un comme ça, encore moins on…
Elle s’interrompt un moment, elle se calme rassurée par la passivité du garçon qui reste maintenant à distance…
– L’amour ce n’est pas cela, il faut se connaître, il faut avoir le même âge. Je sais bien qu’à ton âge ce n’est pas facile mais…
– Je veux faire l’amour avec vous… Sinon je dis à votre mari que vous baisez avec mon frère et mon père.
Julie est soufflée de la menace de ce petit con. Mais d’un coup, Julie a peur.
– Non, non. Non. Il ne faut pas lui dire. Comment le sais-tu ?
– Ce n’est pas compliqué à comprendre… Hier je suis rentré dans la haie après lui, vous gueuliez comme une pute… Je vous ai même vus, tous les trois. Je vais le dire à votre mari.
– Non, non, il ne faut pas le dire…
– Alors je veux baiser avec vous…
Julie est affolée, cherche à gagner du temps. Elle se redresse, cache comme elle peut ses seins et son pubis. Le garçon avance vers elle, pose de nouveau ses mains sur les seins de Julie. Elle reste prostrée, incertaine. Il lui caresse la poitrine, plutôt brutalement, se penche de nouveau pour l’embrasser, elle se laisse faire, rigide, perdue, sans participer. Le garçon poursuit les mêmes gestes rudes sur le ventre et puis il change d’avis, se redresse et ouvre son short, il est debout devant elle qui est toujours assise sur son matelas. Il sort une queue raide et puissante.
– Suce-moi.
Julie est perdue, déchirée. Il profite de son égarement, attrape la nuque de la femme et attire sa tête vers sa bite. Un temps la bouche reste fermée et bute contre le gland, il lui tire les cheveux.
– Suce, sinon je dis tout à ton mari.
Elle finit par ouvrir les lèvres et avale, progressivement, le manche.
– Suce, la pute.
Julie semble prendre son parti et commence un aller et retour sur le sexe. Ses lèvres sont largement ouvertes et sa bouche déformée. Le garçon a une verge hors norme. Comme son père. Elle le travaille de plus en plus vigoureusement. Son expression change, il y a encore de la surprise mais aussi une résolution, elle veut en finir le plus vite possible et faire jouir son maître-chanteur pour s’en débarrasser. Une main tient la queue, l’autre caresse ses couilles.
À cet instant le rapport, forcé, qui commence avec l’autre fils de son voisin n’a aucune importance. Quoique…
Il continue d’encourager Julie à sa façon.
– Tu es une belle salope, tu suces comme une pute. Tu vas voir comme je vais te baiser…
Elle interrompt sa succion.
– Ne me parle pas comme ça, s’il te plaît…
– C’est comme ça qu’il te parle mon frère et mon père, hein ! Je les ai bien entendu. Ils t’ont dit que tu es leur pute, que tu feras tout ce qu’ils veulent, que tu es une salope. Qu’ils vont te faire éduquer par Pierro.
– Ne sois pas comme eux, je vais faire ce que tu veux mais ne gâches pas tout.
– Je veux te baiser maintenant.
Julie le regarde, hésite, puis se laisse glisser en arrière. Elle écarte les cuisses, pose sa main pour ouvrir son sexe et tourne sa tête sur le côté. Elle est offerte, elle a renoncé. Son expression est triste.
Le petit salaud, lui, bien sûr, ne voit pas cela. Il s’allonge sur elle, il tient sa bite et cherche l’entrée. Il la trouve et pénètre d’un coup de reins, sans douceur. Julie sursaute et grimace. Elle a mal. Elle ferme les yeux. Lui il a déjà oublié la prière de tout à l’heure et il reprend ses insultes.
– C’est bon hein ! Salope. Putain. Ça te plaît les grosses bites ! Je vais te défoncer la chatte.
– S’il te plaît, va plus doucement, tu me fais mal…
– Salope. Et après je t’enculerai. Tu en as envie, hein ? Tu aimes ça, te faire trouer le cul. Je t’ai entendue. Tu jouissais quand ils t’enculaient.
Pour Julie c’est de la fascination pour cette queue magnifique qui pilonne son vagin. Qui entre, qui sort. Il est très mince et musclé. C’est un petit salaud est un éphèbe magnifique.
Julie entre progressivement dans l’excitation du garçon. Elle n’a plus mal, au contraire, le plaisir monte. Elle caresse le dos de son amant, ses fesses, puis embrasse son visage. Il a beau être débutant, il comprend qu’elle prend du plaisir, son rythme à lui s’accélère. Elle, elle suit, commence à délirer :
– Oui, oui, oui… !
Elle griffe son dos, halète, râle et jouit. Lui continue un moment puis s’effondre sur elle avec un dernier :
– Salope, tu es une salope.
Ils restent là, épuisés. Sa main à elle caresse ses cheveux à lui.
– Hé ! Bien Momo ?? Tu baises notre voisine sans ma permission.
C’est Issa qui vient de pénétrer par la haie.
-Puisque ton mari ne rentre que dans deux semaines, là je t’en mène avec moi voir un ami.
Julie se lève maintenant que Momo est parti repasser la haie, d’où il croise Moussa qui rejoint son père.
Julie se dirige vers sa maison avec le bas de son maillot de bain à la main. Mais Issa lui ordonne de le mettre pour ne pas tacher le siège de la voiture. Elle doit le suivre tout de suite comme ça, le Momo fermera sa maison.
Julie essaie de le convaincre de la laisser s’habiller, mais il refuse de l’écouter. Il ne lui accorde pas le droit de mettre le haut de son maillot pour cacher sa poitrine.
À force d’insister, Moussa récupère des mains de Julie son haut et il le réduit en morceaux sous ses yeux.
– Comme ça c’est réglé. J’ai pris ton sac a main chez toi.
Julie les suit donc, sa belle poitrine à l’air se balançant à chacun de ses pas. Elle a honte d’elle-même, elle a peur de ce que les voisins pourraient penser et s’imaginer sur sa tenue en compagnie de ses deux nouveaux voisins. Ils ne tarderont pas à comprendre ce qu’elle a fait.
Arriver sur devant le garage des voisins, Moussa ouvre la portière de sa voiture. Julie ne cherche pas à discuter, juste à se cacher. Elle va pour se jeter sur la banquette arrière, mais Issa lui barre le passage.
– Ce n’est pas une tenue pour circuler.
Sa réflexion a le don de l’énerver. Julie revoit les vestiges de son haut qui vont finir par s’éparpiller dans la pelouse et la piscine.
– C’est de votre faute.
– Sur un autre ton, salope. Et tu n’as pas l’air de comprendre. Une chienne comme toi ça circule en voiture complètement à poil.
– Vous plaisantez ?
– J’en ai l’air. Tu as déjà oublié la sixième leçon, la plus importante de toute ? Une chienne doit une obéissance absolue à son maître. Tu ferais bien de t’en rappeler où tu risques d’avoir des problèmes avec Pierro.
La façon de parler de ces hommes lui donne des frissons. Déjà qu’ils n’ont pas été tendres, Julie se demande vraiment ce que ce Pierro va bien pouvoir lui faire ? Je décide d’essayer de les convaincre de nouveau de s’occuper personnellement de moi.
– Pourquoi allez le voir ? Vous vous êtes montrés des amants exceptionnels. Je suis convaincu que vous saurez parfaitement vous occuper de moi et faire de moi votre petite chienne docile.
– Bon on va mettre les choses au clair une bonne fois pour toutes. Soit tu fais ce qu’on te dit et tu montes dans la voiture, soit tu reste ici et tu retournes à ta petite vie insipide. Tu choisis quoi ?
Revoilà Julie a un tournant décisif. Tout à l’heure, elle était emportée par un orgasmes avec son jeune fils et hier elle a eu des orgasmes extraordinaires qu’ils lui ont procurés et ils auraient pu lui demander n’importe quoi. Désormais, Julie a l’esprit clair.
Retourner à une vie calme et sereine où elle pourrait garder secret ces moments ou bien les suivre et s’enfoncer un peu plus loin dans la luxure, se laisser emporter par tous ces fantasmes qui ont envahi sa triste sexualité ? Le choix devrait être simple et évident, mais Julie entend une petite voix intérieure qui la pousse à aller plus loin, à voir jusqu’où ce chemin qu’ils lui proposent d’aller peu l’emporter ? Quels plaisirs va-t-elle pouvoir y découvrir ?
– Je viens.
– Parfait. Bon choix, salope. Tu le regretteras pas, crois-moi.
Julie regarde autour d’elle, encore emplie de honte de ce qu’il lui reste à faire.
– À poil et vite.
Sa culotte de bain se retrouve à ses chevilles. Même après tout ce qu’elle a fait et ce qu’elle s’apprête à faire, elle sent le rouge lui monter aux joues en apercevant la femme d’Issa et Momo, la regarder entre les rideaux d’une fenêtre de leur maison. Julie n’a pas le temps de la ramasser le slip son maillot de bain, Issa la pousse à l’intérieur de la voiture et claque la portière.
Les deux comparses montent devant et Moussa fait crisser les pneus de la voiture, abandonnant sur le parking le maillot bain souillé.
Julie ne sait plus où se mettre et comment se tenir. Alors qu’ils ont pris possession de son corps et qu’elle a adoré ça, elle frémit à chaque fois qu’elle croise leur regard dans le rétroviseur central pendant qu’ils la matent.
– Je crois qu’on a bien fait de la confier à Pierro. Il y a pas plus doué que lui pour transformer un bourge fidèle en pute intégrale. Tu vas voir, il va réveiller la chienne qui sommeille en toi comme personne. Même une fois que tu seras reparti tu pourras plus redevenir la même, tu resteras la bonne vide couille qu’il aura faite de toi et tu passeras ton temps à chercher des mâles à dégorger.
Une perspective qui affole Julie tout autant qu’elle réveille un puissant sentiment de désir et d’excitation. Ses ardeurs sont vite douchées quand ils arrivent en ville. Trop de personnes peuvent la voir nue. Julie cherche à se couvrir de ses bras comme elle peut, elle replie ses jambes sur son torse. Cela déplaît à Issa qui lui ordonne d’arrêter. Julie ne lui obéis pas assez vite.
– Dépêches-toi ou Moussa se gare en plein centre-ville et on t’abandonne là.
– Si vous faites ça, je vous fais accuser de viol et ce n’est pas les preuves sur mon corps qui manqueront.
– Et si tu fais ça, on leur montrera la vidéo où on voit clairement que tu es consentante.
Julie devient blême. Comment peuvent-ils avoir une preuve de ce qu’elle les a laissé lui faire ?
– Quelle vidéo ?
– Celle que Momo a faite avec son portable. Quand il est arrivé de la FAC, il a vu son père disparaître dans la haie. Discrètement il a suivi, il a immortalisé, son frère et son père pendant qu’ils tringlaient leur voisine.
– Alors on fait comment ? demande Issa. Tu reviens sur ta parole et on te dépose et tu t’humilies publiquement et tu peux dire adieu à ta belle vie, ou tu te tiens comme il faut et tu assumes le fait que tu es une salope qui part à la rencontre de son nouveau maître ?
N’ayant pas vraiment d’autre choix, Julie adopte la position demandée.
Chap 3
La traversée de la ville se fait sans encombre ou presque. Quelques rares personnes se sont retournées à leur passage, mais elle n’a pas eu la certitude qu’ils ont réalisé qu’elle ne porte absolument aucun vêtement, pas même une culotte. Beaucoup ont dû croire qu’elle a simplement les seins à l’air. Pour ça, elle a beaucoup été aidé par la chance qui a bien voulu que tous les feux de signalisation qu’ils ont croisés, ont tous été verts.
Ils finissent par sortir de la ville, ouf ! Julie peut de nouveau se détendre. Pour la première fois, elle peut se faire la réflexion que ce n’est pas désagréable d’être entièrement nue dans une voiture.
À force de s’éloigner de la ville, elle commence à se demander où se trouve ce fameux Pierro.
Ils se trouvent en pleine campagne quand Moussa emprunte une route qui voit visiblement peu de passage. Ils arrivent finalement dans ce qui a dû être un camp militaire et qui est aujourd’hui complètement désaffecté.
– Ne me dites pas que votre ami vit ici ?
– Si. C’est là qu’habite ton futur dresseur. Un bon paquet de nos salopes sont passées par là.
Issa la fait descendre de la voiture pendant que Moussa récupère son sac dans le coffre. Ils l’encadrent tous les deux et la guident au milieu des bâtiments désaffectés. Ils arrivent devant ce qui a dû être un baraquement. Leur ami Pierro est là, il est assis sur une chaise en plastique. Ce n’est vraiment pas l’homme que Julie s’était imaginé. Ses nouveaux voisins sont grands et musclés, Pierro lui semble d’une taille normale. Tout son corps est recouvert de poils et il a du ventre. Pas énorme d’accord, mais assez imposant. Il a de longs cheveux noirs gras qui lui tombent sur ses épaules. Même à cette heure de la journée, alors que le soleil n’est pas encore très fort, son corps entier est brillant de sueur.
– Issa, Moussa, qu’est-ce que vous foutez ici ? C’est qui cette vieille qui vous accompagne ?
– Une future essoreuse de couilles.
Pierro la fixe en grimaçant.
– Ouais, faut voir. Je préfère tringler des petits oiseaux tout juste tombés du nid normalement, des fruits tout juste mûrs, pas des flétris comme elle.
– Elle n’est pas toute jeune, mais ces trous n’ont pas beaucoup de kilomètres au compteur. Son mari à pas l’air d’avoir compris qu’il avait épousé une grosse salope.
Julie se retient de parler et de leur dire sa façon de pensée. Elle sait qu’elle n’est plus une jeunette comme il dise, mais elle n’est pas non plus une grand-mère. Pas encore……….
Pierro se gratte la tête.
– Si tu me dis ça, c’est que vous l’avez testée avant de me l’amener.
– Oui, on lui a fait la totale, gorge profonde, sa chatte et son cul y ont eu droit et on l’a même fini en double en se vidant dans ses trous.
– Pas de capote. Un bon point. Et vous la chassiez depuis combien de temps avant de réussir à la tirer ?
C’est notre nouvelle voisine et pour faire connaissance ? On l’a tiré direct.
– Pas mal. Et il se trouve où le cocu de cette chienne ?
– Il est absent pour la quinzaine là. Cette pute est à nous pour deux semaines.
– Je compte mettre moins de temps que ça pour la dresser.
Ils rient tous les trois. Julie commence à regretter d’avoir cédé à ses pulsions.
– C’est bon, je la garde. Allez ! Barrez-vous.
– On ne peut pas assister à son éducation ? demande Issa.
– Non. Je veux être seule. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de femme, je veux l’éduquer tranquillement. Mais vous en faites pas, vous aurez largement l’occasion de me voir la saillir.
Moussa abandonne le sac de Julie par terre, il vient lui rouler une pelle avant de partir tout comme Issa. Julie reste plantée là sans savoir quoi faire sous le regard de Pierro qui la fixe avec la même intensité.
– Pute, viens ici.
– J’ai un nom, vous savez. Je…
– Ta gueule. J’en ai rien à foutre de comment tu t’appelles. Aujourd’hui tu t’appelles pute, demain ce sera vide couille et ainsi de suite. Toi, tu t’adresses à moi en m’appelant monsieur ou maître et tu me vouvoies. Si j’entends un autre mot sortir de ta bouche, tu seras puni.
Alors qu’elle est énervée par la façon dont il parle d’elle avec ses voisins, son ton autoritaire lui provoque un frisson délicieux qui remonte le long de son dos.
– Pute, tes deux voisins ont-ils commencé ton éducation ?
– Oui.
– Tu veux déjà être puni ?
– Non, Monsieur.
Il va falloir qu’elle fasse attention, Julie sent qu’elle va avoir du mal à lui donner du « monsieur » ou du « maître ».
– Ils t’ont appris quoi ?
Il lui faut quelques secondes pour se souvenir des leçons de ses deux amants et les réciter.
– Bien, ils t’ont appris les bases, on perdra moins de temps. Mais avant de passer aux choses sérieuses, on va arranger ta tenue.
Après les réflexions que lui a faite Issa, Julie ne voit pas ce qui le dérange dans sa tenue ou plutôt son absence.
Pierro se lève et rentre dans le bâtiment derrière lui. Il en sort une minute plus tard complètement nue. Julie découvre un sexe de taille visiblement tout à fait normal. Elle est déçue, déjà que physiquement ce n’est pas ça. Elle regrette déjà ses voisins et leurs attributs, elle aurait vraiment préféré que ce soit eux qui s’occupent d’elle. Julie espère au moins qu’il compense avec ses testicules qui lui semblent d’une taille anormalement importante.
Comme mon attention n’est pas accaparée par son sexe, elle remarque vite ce qu’il tient dans sa main. Un collier en cuir.
– Voilà le seul vêtement que tu porteras quand tu es seule avec moi, la pute.
Il passe le collier autour de son cou et le ferme avec un petit cadenas. Julie sent son gros vendre contre le sien, ce n’est pas très agréable tout comme la forte odeur de sueur qu’il dégage.
Elle est surprise quand il tire sur le collier avec force pour la mettre à genoux devant lui.
-Tu as une minute pour me faire complètement bander et me sucer en gorge profonde. Si tu dépasses le délai, je t’encule à sec.
Julie manque d’enthousiasme à l’idée de le sucer. Au moins elle se dit qu’elle ne risque pas d’avoir de problème à le prendre en gorge profonde comme les deux autres et qu’elle ne va pas avoir l’impression que sa mâchoire va se disloquer. Elle prend son sexe en bouche et fait glisser sa langue autour de son gland qui dégage un très fort parfum dont elle préfère ne pas imaginer la provenance.
Julie salive abondamment pour en atténuer le goût puis elle le prend complètement en bouche, motivée par la punition qu’il lui réserve si elle échoue. Julie la suce aussi bien qu’elle le peut, tentant de répéter les fellations qu’elle a faites avec le voisins. Son sexe grossit dans sa bouche et caresse légèrement l’entrée de sa gorge.
La minute est vite passée et il la tire en arrière libérant son sexe qui a pris une taille honnête et pend légèrement.
– J’ai réussi ?
– Tu appelles cette demi-molle bander ? Tu me prends pour ton cocu ?
Une main toujours sur son collier, il pose l’autre sur son sexe et commence à se branler. À chaque mouvement de poignet, Julie voit sa queue grandir et surtout grossir. Sa longueur n’a rien d’exceptionnel, mais il est bien plus large qu’elle ne se l’imaginait. Quand il arrête de se masturber, sa queue remonte fièrement pour faire pression contre son ventre.
– Là, je bande. C’est avec cet obus-là que je vais m’occuper de ton cul à sec.
Il la tire vers l’intérieur. Julie avance comme elle le peut trébuchant à chaque pas. Elle se retrouve la poitrine écrasée sur l’assise d’un canapé vieux et sale. La seconde d’après, elle sent la queue de Pierro se présenter devant la petite porte de ses reins.
– Comme je le dis à toutes les putes dont je me suis occupées, la meilleure des façons de dresser une chienne c’est de commencer son éducation en prenant son cul à sec.
Julie veut lui dire que même si ses voisins sont passés par là il n’y a pas longtemps, elle n’a vraiment pas l’habitude, mais elle n’en a pas le temps. Une de ses mains s’enfonce dans ses cheveux et plaque son visage dans un coussin. Sans attendre, il pose son gland contre son anus et pousse.
La petite porte de ses reins n’oppose bien moins de résistance qu’elle ne l’aurait cru. Son gland force le passage et écartèle ses parois anales pour venir s’enfoncer en entier dans ses reins, lui arrachant tout le long de son introduction un long cri qui ne cesse de gagner en intensité que le coussin ne peut complètement étouffer.
– Ils n’avaient pas menti. Ils sont peut-être déjà passés par là, mais tu me serres la queue comme une pucelle. Je vais me faire un de ces plaisirs à transformer ton trou balle en vrai cratère avec mon obus.
Il sort complètement son sexe, prend de l’élan avant de replonger en elle complètement lui arrachant un cri de douleur et des larmes. L’anus de Julie est en feu et il ne lui laisse aucun répit. Il va vraiment le transformer en un cratère béant. Ça brûle, ça tire, Julie a mal, mais pas un seul instant elle n’a envie de lui demander d’arrêter. La luxure l’emporte sur la raison. Julie a décidé de s’abandonner entre les bras de cet inconnu ? Elle le laisse l’emporter dans cet abîme de plaisir obscène.
Une fois le passage définitivement fait, Pierro se lance dans un pilonnage à pleine vitesse, sur un mouvement d’une très faible amplitude pour bien taper au fond de son ventre. Il accentue sa domination en elle en posant un pied sur sa tête. Julie est écrasée par son poids, il la domine complètement. Elle a l’impression que ça fait des heures qu’il est dans son rectum tellement elle est en surchauffe et n’arrête pas de gémir.
Il accélère un peu plus la vitesse de ses coups de reins avant de se figer en grognant au fond de ses reins. Julie sent chacune de ses éjaculations venir frapper avec force l’intérieur de ses intestins. Il l’inonde, ça ne s’arrête pas. Julie est emportée par un orgasme si puissant que tout son corps tremble.
Une fois ses entrailles noyées de sperme, Julie pense qu’il va se retirer, mais il reprend ses mouvements comment avant. Il n’a pas débandé et il continue de remodeler son anus à la forme de sa bite. Cette nouvelle séance de sodomie dure encore plus longtemps que la précédente, elle est bien plus intense, dilatée comme elle est. Julie n’a pas arrêté de pousser des cris mêlés de plaisir et de douleur.
La délivrance arrive enfin quand il beugle en se vidant toujours aussi abondamment.
Toujours planté dans les reins de Julie, il se penche et sort de sous la banquette une mallette en plastique qu’il pose à côté d’elle avant de l’ouvrir. Elle est remplie de plugs anaux de toutes les tailles. Il prend celui qui lui semble le plus imposant et il l’enfonce entre les fesses de Julie sans le moindre problème juste après avoir extrait sa bite.
Il se relève, Julie glisse entre ses jambes. Elle reprend son souffle tout en essayant de s’habituer à la présence de ce plug dans son anus. La sensation est très bizarre. Julie est surprise par une claque de Pierro à l’arrière de ma tête.
– Qu’est-ce que tu attends ? Je dois recommencer pour te rappeler les règles ?
Julie se rappelle des règles édictées par ses voisins et son devoir de nettoyer son sexe. Julie prend donc sa bite en bouche ou du moins elle essaie. L’odeur n’est pas des plus agréables, mais ce n’est pas le plus difficile. La largeur de son mandrin maintenant qu’il est en pleine érection est un sérieux obstacle. L’avoir en bouche fait mieux comprendre à Julie pourquoi elle a eu le sentiment qu’il lui distendait ainsi l’anus pendant qu’il la sodomisait. Julie reste tout aussi fascinée par sa capacité à garder une si belle érection après avoir déjà joui deux fois.
Pierro savoure sa fellation, assis sur le canapé.
– Il est temps de transformer ta bouche de bourge en bouche de pute.
Il pose ses mains sur sa tête avant de se lancer dans un pilonnage en règle. Il s’enfonce si loin et avec tant de force qu’elle se met à tousser et à cracher des quantités toujours plus impressionnantes de salive. Ses grosses couilles se retrouvent recouvertes d’une épaisse couche de bave. Chacun de ses coups de reins provoque un bruit de clapotis aussi obscène qu’excitant.
Le ramonage de sa bouche et de sa gorge dure une éternité. Quand il la libère enfin, Julie s’effondre sur le sol le souffle court, le visage écarlate, toussant et crachant le trop-plein de salive qui l’étouffe.
Pierro ne compte pas lui laisser un instant de répit. Avec son pied il la repousse et la renverse sur le dos. Il descend de la banquette et écarte en grand ses cuisses. Il fait quelques va-et-vient, son gland frottant contre ses lèvres vaginales avant de la transpercer de toute sa longueur d’un coup puissant qui fait hurler la Julie. Il distend son puits d’amour. Une sensation d’autant plus forte grâce au plug qui remplit son rectum.
– Tu la sens bien ma grosse bite, salope. Rien de mieux pour transformer une bourge mariée en pute videuse de couille.
– Vous êtes trop gros, vous allez me déchirer.
Pierro abat ses mains sur ses seins pour la punir pour son écart de langage. Il les fouette les faisant se balancer dans tous les sens.
– Vous êtes gros, monsieur.
– Et tu vas aimer ça. Elle aime toute ça.
Entre la largeur de son sexe et la taille du plug entre ses fesses, Julie a l’impression de se retrouver sur sa pelouse pendant sa première double. Malgré l’intensité de ses assauts, elle prend un pied phénoménal. Pierro la besogne sans ménagement, son ventre dégoulinant de sueur l’écrase. Il se sert de sa poitrine comme des rênes pour mieux la chevaucher. Il lui fait aussi mal qu’il lui fait du bien. Julie est constamment partagée entre plaisir et douleur.
Julie part dans un long feulement au moment où elle le sent se raidir pour se vider tout au fond de son puits d’amour en beuglant comme un goret.
Où cet homme va-t-il chercher tout ce sperme ? Ces grosses couilles sont vraiment une usine à foutre.
Julie se sent vide quand son sexe libère son vagin distendu. Pierro la rappelle vite à l’ordre par une claque. Julie se redresse péniblement et lui nettoie son sexe souillé de sperme et de sa mouille avec gourmandise. Julie a découvert cette sensation avec ses voisins et elle en est déjà accro. Elle devient vraiment immorale.
Satisfait de Julie, Pierro se libère et va s’asseoir sur le canapé face à elle. Son corps est brillant de sueur. Julie trouvait ça répugnant à son arrivée et désormais cela l’excite.
Ils restent ainsi à prendre leur souffle pendant plusieurs minutes, puis il claque sur ses grosses cuisses et se lève.
– Bon. Le débourrage est fait, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, mais pas ici, on va continuer ton dressage ailleurs. Elle est où ta niche.
– Vous voulez aller chez moi ?
– Rien de mieux pour éduquer une chienne que de le faire dans son lit surtout si en plus on fait un cocu en la tringlant.
Julie est aussi inquiète à l’idée de l’emmener chez elle que ses voisins découvrent son comportement immoral, mais elle est encore bien plus excitée par l’idée de tout ce qu’il compte lui faire dans son lit conjugal, dans ce lit où elle n’a jamais ressenti autant de puissant plaisir que lui ont procuré ses nouveaux voisins, et Pierro.
Julie décide d’accepter de l’emmener chez elle.
Julie cherche à retirer son collier, mais elle ne parvient pas à trouver comment ouvrir le cadenas.
– Maître, je n’arrive pas à ouvrir le cadenas de mon collier.
– C’est normal, la pute. Tu vas le garder jusqu’au jour de ta libération. Je te l’enlèverais pas avant.
Julie a le tournis à l’idée de ce que cela implique, en réalisant ce en quoi elle est en train de se transformer. Julie est complètement folle de se comporter comme ça, de céder si vite. Mais elle prend un tel plaisir. Tous ces hommes l’ont prise sans la moindre tendresse, avec force, presque de la violence. Elle devrait arrêter tout ça, mais elle s’y plonge toujours loin.
Pierro accepte qu’elle porte le poncho de toile qui traîne dans l’entrée pour aller chez elle. Julie se sent bizarre en étant habillé ainsi avec ce collier autour de son cou et surtout ce plug qui envahit son rectum. Sa tenue n’est pourtant pas encore complète. Alors qu’elle l’attend dehors, Pierro la rejoint. Il a remis son short et porte un t-shirt marqué de nombreuses auréoles de transpiration. Il s’approche de Julie une laisse à la main qu’il attache au collier.
– Je veux pas avoir de problème en te sortant. Une chienne, ça se tient en laisse.
Vu comment il se comporte avec elle, elle s’attendait presque à voyager dans le coffre, mais il la fait monter à côté de lui. La voilà qui traverse de nouveau la ville elle est encore plus troublé que la dernière fois. Avec ce collier et la laisse, Julie a l’impression d’être encore plus indécente que lorsqu’elle était complètement nue offerte à la vue de tous.
Sam Botte
La suite demain
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