La nouvelle voisine chapitre 1
Julien gère une petite entreprise qui marche bien, sa femme Juliette bonne cuisinière, s’occupe du ménage et lui prépare de bon petits plats. Un samedi matin, une femme accompagnée par un jeune homme viennent emménager dans la maison voisine. Julien propose ses services, toute la matinée, il aide les deux à s’installer. Juliette leur à proposée de partager le repas.
Juste avant le repas les présentations se font, la jeune femme se prénomme Elsa, elle est prof à l’université. Elle vit avec son neveu Morgan 20 ans, qui fréquente également cet école. Cela arrange bien les parents du jeune homme qui habite très loin du lieu d’étude. Pendant le repas Elsa très social, sympathise avec Juliette, les deux ne cessent de papoter comme de vieilles amies, souvent elles éclatent de rire. Julien se sent à l’écart, mais heureusement il fait la conversation à Morgan, qui semble bien dans sa tête.
Les semaines, les mois passent, l’emploi du temps d’Elsa, lui permet de passer plus de temps à la maison qu’à l’université. Souvent les deux femmes se rendent visite, pour boire un café. les deux femmes s’entendent tellement bien, que c’est bras dessus dessous, serrées l’une contre l’autre comme deux amantes, qu’elles font leur shoping. Elles ne se quittent pratiquement plus. Cela rassure Julien qui découvre que sa femme très solitaire d’habitude, se sent vraiment bien en compagnie d’Elsa.
Juliette lui parle souvent d’Elsa, elle dit que c’est une femme très à l’écoute, très sociable, et qu’elles s’apprécient mutuellement. Julien est enchanté, d’apprendre que sa femme à une véritable amie, et qu’elle s’entend à merveille avec. Plusieurs fois, ils s’invitent à diner. Il est vrai qu’Elsa est très sympa, Julien tombe sous le charme de cette femme, en bien tout honneur bien sûr.
Un jour que Juliette et penchée sur son évier, Elsa s’approche d’elle, l’enlace en la serrant très fort. Juliette sursaute, elle se raidit. Son amie lui donne plusieurs baisers sur la nuque et le cou. Juliette frisonne, elle ne comprend pas ce qui se passe. Habilement elle se retourne, les deux femmes se font face. Elles sont si proche que leurs souffles chauds se mêlent. les yeux d’Elsa pétillent. Elle dit en bégayant :
-Je te demande pardon Juliette, je ne sais pas ce qui m’a pris, je dois devenir folle !
Leurs lèvres sont si proches qu’elles se frôlent. Juliette se sent molle, elle n’a plus de force, elle vacille, et parvient à s’accrocher à l’évier. Elsa confuse et très gênée, s’excuse plusieurs fois. Juliette ravale sa salive son cœur bat à se rompre. quelque chose vient de changer, elle se met à trembler. Ses jambes ne la supportent plus elle doit s’agripper à son amie pour ne pas chuter.
Elsa la serre dans ses bras, la regarde longuement avant d’appuyer ses lèvres sur les siennes. Juliette étrangement ne refuse pas le baiser, les langues se nouent, les salives se mêlent. Le baiser dure de longues minutes.
Une fois qu’il cesse, les deux femmes se regardent, Juliette se laisse tomber sur une chaise, elle délire :
-Mais qu’est-ce qui nous arrive Elsa, nous sommes possédées par le démon !
Elsa, sans répondre se penche sur elle et lui donne un gros baiser sonore sur les lèvres, lui dit timidement, je t’aime, avant de s’éclipser.
Juliette reste un long moment affalée sur la chaise, elle a beaucoup de mal à reprendre ses esprits. Elle va boire un grand verre d’eau, pour tenter de se remettre de ses émotions. Toute la journée, elle est pensive, elle vaque à ses obligations sans grand intérêts, sa tête est ailleurs.
Quelques temps plus tard, elle ose se rendre chez son amie, qui comme si de rien n’était, elle lui offre un verre. Puis, petit à petit, Elsa se dévoile. Elle dit :
-Juliette, je t’avoue que j’ai deux amours dans sa vie, toi et son neveu, je vous aime comme une malade, toi depuis que je t’ai vu et lui depuis plusieurs années, je t’avoue aussi, que nous faisons souvent l’amour ensemble !
Juliette reste sans voix, la déclaration de son amie la tétanise, elle n’en croit pas ses oreilles. Son cœur s’emballe, elle bègue :
-Mais, mais, quoi ? tu, u, couches avec ton neveu, Elsa, c’est impensable une chose pareille !
Elsa se lève et s’approche de Juliette, elle s’assied sur ses genoux et la prend par le cou, et l’embrasse fougueusement. Juliette ne sais plus que faire, elle cède au baiser brulant de son amie qui vient de lui avouer son amour. Elle tremble comme une feuille au vent d’automne. Sa voix est secouée de tremolos, elle ne sais plus que faire. Elle se rend-compte, qu’elle aussi ressent quelque chose d’inexplicable pour Elsa.
Prise de panique, Juliette salue son amie et rentre chez elle. Quelques heures plus tard, elle réalise qu’elle a manqué de courage, elle retourne chez son amie, elle entre en oubliant de frapper, et s’avance dans le corridor. Elle entend des bruits incongrus, qui proviennent du salon, la porte est ouverte, Juliette passe la tête, ce qu’elle voit, la stupéfie. Elsa et son neveu sont nus, elle suce la verge tendue du jeunot comme une vorace, le bougre agite son bassin en geignant de plaisir. Elsa recrache la verge et dit :
-Mon chéri garde ta semence pour le ventre de ta tante, il en à besoin !
Elle prend place sur le canapé, ouvre les cuisses largement, et prend dans le ventre la bite dressée du neveu. Il s’agrippe aux hanches larges de sa tante, et la défonce vigoureusement. Elsa gémit à chaque coup de reins. Rapidement elle explose, ses gémissements ressemblent à ceux d’un animal blessé. Morgan honore sa tante comme il se doit, et déverse sa semence dans son ventre en feu.
Juliette reste un instant figée devant le couple en furie, avant de rebrousser chemin, sans faire de bruit. Elle rentre chez elle toute retournée.
Elle prépare le diner sans trop de convictions, elle est sur une autre planète. le diner se passe en silence. Après avoir débarrassée la table, elle prend sa douche, elle enfile sur son corps nu une nuisette. Elle monte dans sa chambre, et se jette sur son lit. Elle reste sans bouger en fixant le plafond. Elle déglutie plusieurs fois bruyamment, puis lentement passe sa main sous sa nuisette.
Sa main se pose sur sa vulve qui étrangement suinte, sa toison est humide. Elle caresse doucement sa fente, en se remémorant ce qu’elle à vu chez son amie. Ses lèvres vaginales enflent rapidement ainsi que son clito.
Elle le saisit et l’agite sans brusquerie, en cherchant un orgasme. la jouissance est violente, Juliette se cabre, elle ne peut retenir, un long gémissement. Elle se presse fortement la vulve pour faire cesser le flot de cyprine qui s’échappe du conduit brulant. Sa respiration est rapide, son souffle saccadé. Sa nuisette est trempée de jus. Enfin, elle s’enfonce sous les draps, ferme les yeux, en cherchant un sommeil qu’elle ne trouve pas. Sa nuit est très agitée, plusieurs fois en prenant soin de ne pas réveiller son mari, elle se masturbe, en obtenant de violentes jouissances.
lendemain matin, elle se lève. Son mari à déjà préparé le petit déjeuner, il ne porte qu’un boxer. Elle descend les marches de l’escalier comme un zombi, ses traits sont tirés, ses yeux cernés. Elle descend marche après marche, avec la souplesse d’un félin, son bassin balance au rythme de ses pas. Le tissu transparent de la nuisette, ne cache rien de son anatomie. Julien souriant admire les formes parfaites de sa femme adorée. Il voit à chaque mouvement que fait sa femme, les grandes lèvres de sa vulve garnis d’une fine toison soyeuse, se frotter l’une contre l’autre.
Julien salive abondamment, en ne quittant pas des yeux la femme qu’il aime.
Une fois en bas de l’escalier, il l’enlace et l’embrasse passionnément. Elle lui rend son baiser. Il se frotte contre elle en la regardant dans les yeux, rapidement le bougre attrape une belle érection. Il dit en souriant :
-Ma chérie malgré toutes ses années, tu m’excites toujours autant, j’ai envie de toi, oh comme je t’aime, d’ailleurs comment ne pas t’aimer, tu es si belle est douce !
Juliette serre très Fort son mari, et l’embrasse fougueusement pendant un long moment. Julian se frotte contre le bas-ventre de sa femme, elle ne peut ignorer la tension de la verge. Elle agite doucement son bassin pour augmenter la pression dans la hampe puissante de son mari. Julien au top de l’érection, bascule sa femme sur le bord de la table, retrousse sa nuisette, et lui enfonce sa verge dans le ventre. Il la pilonne jusqu’à ce qu’elle hurle de jouissance. Il lui remplit le ventre de sa semence abondante, en serrant les dents.
Après sa douche Juliette prend son petit déjeuner. Mais elle n’est pas comme d’habitude, elle semble ailleurs. Julien part à son bureau, Juliette s’occupe du ménage et prépare le déjeuner. La matinée lui semble longue, elle soupire de nombreuses. Enfin julien réglé comme une horloge, entre pour prendre son repas. Juliette échange pas beaucoup de paroles avec lui. Julien se doute, qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Il lui demande :
-Ma chérie, tu as un problème, tu est toute drôle ?
En faisant une moue Juliette répond :
-Non juste un coup de fatigue, j’irai me reposer après le déjeuner !
Une fois que son mari est reparti, Juliette se jette sur le canapé, elle est très nerveuse, elle soupire bruyamment, en serrant les dents. Elle revoit son amie se faire prendre férocement par son neveu, Juliette est très nerveuse, ses sens s’enflamment. Enfin elle se lève et se rend chez son amie, qui la reçoit en souriant, et l’embrasse. Son neveu est présent, Elsa l’invite à prendre palace entre eux. Ils prennent un verre, mais il ne faut pas longtemps pour Qu’Elsa pose sa main sur la cuisse de son neveu, et la caresse. elle passe plusieurs fois ses doigts sur la verge, qui commence à déformer le pantalon.
Juliette assiste sans broncher aux attouchements de plus en plus osés de son amie, sur le membre de Morgan qui ne cesse de prendre du volume. Le coquin se tend comme un arc, en serrant les mâchoires. Habilement, Elsa extirpe du pantalon la verge dure comme du béton et l’agite énergiquement. Juliette sans dire un mot ne quitte pas des yeux le manche épais qu’agite avec vigueur son amie. A chaque descente de son poignet, Elsa prend soin de bien décalotter le gland, la boule de chair violacé, qui trône sur la hampe parait monstrueuse. Le bougre de Morgan est monté comme un poney.
La respiration de Juliette devient plus rapide. Elle est impressionnée par le manche épais qui semble bien plus gros que celui de son mari. Elle ravale sa salive de nombreuses fois, sans prononcer un mot. la main d’Elsa reprend le branlage, elle sourit en regardant Juliette qui émerveillée devant le spectacle, déglutie bruyamment. Elsa cesse de branler la verge, qui est au top de son volume. Elle la décalotte à fond, et donne plusieurs coups de langue sur le cèpe gascon, qui laisse échapper quelques perles de rosée. Juliette respire de plus en plus bruyamment, elle écarquille les yeux lorsque son amie, gobe le gland et le suce voracement.
Les succions sembles féroces, à chaque aspiration, Morgan se cabre en geignant. Juliette se met à trembler, elle s’agite sur le canapé, sa vulve rejette un flot important de cyprine, qui humidifie sa culotte de dentelle. Elsa se redresse ses yeux brillent de mille éclats. Elle regarde Juliette et lui dit :
-Suce-là ma chérie, tu en meurs d’envie, vas-y, vas-y, elle est bonne la queue de mon chéri !
Juliette ne quitte pas des yeux, le membre de Morgan dressé comme un mât de cocagne. Elsa insiste, timidement Juliette avance sa main. En tremblant elle saisit la verge, et automatiquement l’agite. Elsa, l’encourage :
-Oui, oui, ma chérie branle, branle, Morgan est à point, suce-le ma chérie, il adore ça le coquin !
Enfin Juliette s’enhardi, elle prend en bouche le gland épais, et le suce du mieux qu’elle le peut. Sa bouche enserre le gland et le retient prisonnier. Elle suce, et tète jusqu’à ce que Morgan se cabre et envoie dans la bouche de la suceuse, sa semence visqueuse. Elsa yeux écarquillés dit :
-Avale ma chérie, c’est si bon !
En grimaçant, Juliette avale en plusieurs fois la décharge gluante. Elsa se penche sur elle et dit :
-Oh comme je t’aime ma chérie !
Elle l’embrasse fougueusement, Juliette ne peut refuser le baiser, les langues s’agitent, se nouent. Les salives, s’échangent, le baiser dure de nombreuses minutes. Gaver de liquide salé, les bouches se séparent.
Elsa habilement ouvre le corsage, et fait sauter le soutient gorge de son amie qui frémit. Les seins jaillissent comme deux obus. Rapidement, Elsa pose sa bouche sur les mamelons et les tète comme un enfant qui s’allaite. les bouts deviennent larges et épais, Elsa s’acharne dessus, en faisant geindre Juliette.
Pendant ce temps, Morgan passe sa main sous la jupe de Juliette et lui triture la vulve fortement, la culotte est trempée, ses doigts s’insèrent entre les grandes lèvres en entrainant le tissu dans le sillon de chair. A travers du tissu, il saisit le clito qui est gonflé comme une grosse cerise. Juliette inconsciemment, ouvre les jambes le plus possible. Elle agite son bassin en geignant. Elsa lui dévore les mamelons sans les ménager. elle suce les tétons qui prennent encore de l’épaisseur. Juliette est au bord de la syncope, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un affreux rictus. Habilement Morgan lui travaille le clito, avec de plus en plus de férocité. Soudain en poussant un hurlement, Juliette explose, sa jouissance est démentielle. Son corps est secoué de tremblements incontrôlables.
Elsa au bord de l’euphorie sourit, elle dit :
-Oh ma chérie comme tu es belle lorsque tu jouis, tu es si belle qu’il faut que tu jouisses encore, je vais bien m’occuper de toi ma chérie !
Elsa passe ses mains sous a jupe de son amie et lui retire la culotte, elle la porte à son nez et la hume fortement, la suce puis, elle dit :
-Oh ma chérie comme tu sens bon l’amour, vas-y prends encore ton plaisir, comme ton jus est bon, je vais t’aimer comme une folle, avant que tu t’empale-toi sur la belle queue de Morgan !
A suivre
Linsee
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