Edit de Lucie : Une belle histoire taboue qui a une suite ! Demain soir 20h… et merci à TIboXFR 😉
Mes parents, ma sœur et moi vivions dans une immense maison de la banlieue bordelaise, avec une piscine impressionnante et ses installations super modernes. Je m’appelle Armand et ma sœur, Adeline qui a mon âge, 25 ans, car nous sommes jumeaux.
Nous avions une vie de famille sans histoire. Mon père était très souvent absent, car étant ingénieur en hydraulique, il allait souvent dans les pays du Maghreb pour superviser les travaux touchant à sa spécialité.
Ma mère était une magnifique femme de 43 ans, très brune, les yeux étirés comme ceux d’une Asiatique lui donnaient un charme époustouflant. Quand nous profitions de la piscine, je pouvais admirer sa svelte silhouette, et sa poitrine, arrogante, attirait les regards (surtout le mien !) Elle portait toujours des maillots deux pièces, à la limite de la décence.
Sa peau était hâlée naturellement. En résumé c’était une très belle femme, que beaucoup d’hommes auraient souhaité avoir dans leur lit !!
Quant à ma sœur, c’était le contraire, très blonde, comme mon père, les cheveux longs, une silhouette élancée, de très longues jambes. Sa minceur contrastait avec la taille de ses nichons, qui étaient plantureux et elle aussi arborait des tenues que je qualifierais d’indécentes, car elle avait souvent les seins à l’air.
Mes parents avaient un couple d’amis qui nous rendaient souvent visite. Jacques, le copain de mon père, venait souvent à la maison, sans sa femme. Je le soupçonnais de faire du gringue à ma mère. Pour un homme normal, je le comprenais fort bien, elle était si jolie !!
Un après-midi où j’avais pu me libérer de mes obligations, je rentrais à la maison à l’improviste.
Là, oh ! Surprise, je vis la voiture de Jacques, rangée devant le perron. Je descendis de la mienne sans claquer la porte et sur la pointe des pieds, je pénétrais dans la maison. Silence au rez-de-chaussée, car vide. Avec précaution, je montais l’escalier et arrivé en haut, j’entendis des gémissements, des paroles hachées et des soupirs. Je passais discrètement la tête dans l’espace de la porte entre baillée.
Que vis-je ? Ma mère à quatre pattes sur le tapis, entièrement nue, prenant appui sur ses bras, la croupe en l’air, la tête baissée, ses longs cheveux lui cachant le visage et l’ami Jacques en train de la posséder en levrette à grands coups de reins. La foudre tomba à mes pieds, voyant ma mère se faire baiser de cette manière.
Je savais Jacques vicieux, mais pas étonné qu’il soit arrivé à ses fins !! Je regardais avidement cette scène et je me mis à bander comme un cheval. Il l’avait saisie par les hanches, les doigts crispés et il lui donnait avec force ce que cette belle femme attendait de lui.
Je commençais à me masturber sans retenue. Sentant que le plaisir allait venir, je cessais mon action, pour ne pas éjaculer sur la porte. Je n’avais pas dû être très discret, car Jacques tourna la tête vers moi et me vit.
À mon grand étonnement, il me sourit, me fit un clin d’œil et donnant un ultime coup de reins, je devinais qu’il se vidait dans le ventre de ma mère, les yeux fermés. Un moment d’immobilité, puis il se pencha vers la tête de ma mère et j’entendis qu’il lui disait : « Ne bouge pas, reste comme ça, je reviens de suite pour remettre le couvert !! »
Cette dernière remua un peu et j’entendis un « Oui, fais vite » étouffé.
Jacques se retira et se tournant vers moi, la bite au vent, deux doigts dans le vagin de ma mère, me fit signe d’approcher, en mettant son index devant ses lèvres pour me recommander d’être discret.
Je m’approchais à pas de loup, les yeux fixés sur cette splendide croupe qui frémissait sous la pénétration des doigts de Jacques.
J’avais aussi la bite dehors, tendue à l’extrême et prête à faire toutes les folies du monde. Jacques se poussa de côté et me fit comprendre qu’il voulait que je prenne sa place. Je flottais sur un nuage. Il me tira par le bras et me fit mettre dans l’axe du postérieur de ma mère et me poussa les fesses. Je posais mes deux mains sur les hanches de ma mère, la bite en l’air, pointée sur ce vagin que je voyais pour la première fois. N’y tenant plus je plongeais !!!
J’étais complètement enfoncé et me mis à la pilonner avec brutalité. Elle releva la tête en poussant un doux feulement et lâchant « comme tu es fort, comme tu es beau !! » Elle fit aller et venir sa croupe fortement, à ma rencontre pour que je la pénètre encore plus. Puis l’inéluctable arriva : bloqué contre ses fesses, je lâchais tout mon sperme en elle. Elle se mit à gémir « tu es brûlant !! »
Je continuais à limer un peu et me retirais lentement. Quand elle se sentit libérée elle se releva, le dos toujours vers nous. Elle se retourna lentement en disant : « Qu’est-ce que tu m’as mis !!!! »
Elle se figea en me voyant à côté de Jacques, la bite toujours dehors, mais pendante. Elle ne put dire qu’« Oh ! Mon Dieu !! » Jacques se mit à rire et la prenant dans ses bras, l’embrassa sur les lèvres en lui caressant doucement les seins, puis la poussa violemment vers moi. Elle trébucha et je n’eus qu’à tendre les bras pour la recevoir contre ma poitrine. Je la serrais très fort et lui disant : « Je t’aime, Maman » et je lui déposais un baiser sur les lèvres.
Sans pitié, Jacques se mit à ricaner en disant : « Alors, ma chérie, on baise avec son fils, maintenant ? Je souhaite fort que l’on recommence d’autres fois, encore » ma mère blottie contre moi, pleurait doucement, de honte certainement… Comme elle était toujours nue, j’enlevais ma chemise et la lui posais sur les épaules. Je cachais ainsi ses beaux seins, mais elle avait toujours les fesses à l’air. D’un coup elle cria à l’adresse de Jacques : « Espèce de salaud, fous-moi le camp, je ne veux plus te revoir ici !!! »
Elle se réfugia de nouveau contre ma poitrine pendant qu’il se rhabillait pour partir.
Au bout d’un moment, elle me dit : « Il faut que j’aille me laver, je suis pleine de sperme. » « Je viens avec toi, ma chérie » dans la salle de bains, on passa sous la douche tous les deux ensembles. Je lui frottais amoureusement le dos et les fesses, pendant qu’elle se lavait le vagin en faisant sortir le sperme de Jacques et moi.
Sous les jets d’eau, je la pris contre moi, la serrant très fort, je pris ses lèvres en un baiser brûlant, qu’elle me rendit avec fougue. « Tu sais, mon Armand chéri, il y a longtemps que j’avais envie de faire l’amour avec toi, mais pas comme c’est arrivé aujourd’hui ! Je pensais à quelque chose de plus romantique !! »
« Ma chérie, tu aimerais que l’on recommence ? »
« Maintenant que le pas est franchi, je ne vois pas la raison de s’arrêter, non ? Je t’aime tellement, tu sais. Le seul problème qu’il y aura : c’est ta sœur, il ne faut pas qu’elle s’aperçoive de quoi que ce soit et puis, entre nous, je ne veux plus que tu m’appelles Maman, mais par mon prénom Yvette, hors de la présence des autres. »
Si ma chère Maman avait deviné combien j’aurais voulu baiser ma sœur, elle en aurait frémi d’indignation !!
Mais ceci est autre chose…
Voici comment j’ai baisé avec ma mère, Yvette, pour la première fois.
génial son histoire au gars c’est qu’il y en a un paquet de bonhomme qui voudraient visiter la nurserie qui nous a couvé pendant des mois et que dire des filles qui rèveraient de gouter le sperme de leur frère avant de le faire avec leur copain