Histoires taboues Inceste

La relation incestueuse de Philippe avec sa mère Première partie

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J’ai 46 lorsque mon père est décédé suite à une longue maladie, laissant ma mère seule dans son appartement.

Il y a une semaine, ma mère m’a téléphoné en me demandant si je pouvais l’héberger pour une semaine, car elle n’avait pas le moral et avait des rendez-vous. J’ai informé Brigitte, mon épouse et bien entendus nous avons dit oui.

Ma mère est une femme de 65 ans, plutôt mince et assez bien conservée, toujours habillée classique et sans laisser aller.

À son arrivée, je l’ai installée dans l’appartement contigu qui était libre d’occupants, mais équipé en meubles et qui sert pour recevoir des amis ou de la parenté comme c’est le cas. Puis elle est partie vaquer à ses affaires. De retour vers 16 heures, nous avons pris un café avant que je ne parte voir des clients. Nous avons papoté pendant une dizaine de minutes avant qu’elle ne se mette à critiquer le travail de la femme de ménage en me montrant de la poussière sur les étagères de la bibliothèque. Sur ce je suis parti me changer.

Quand je suis revenu dans la pièce, elle était juchée sur un tabouret et commençait à épousseter les rayonnages. En me penchant pour prendre une dernière gorgée de café, j’ai eu une vue imprenable sous sa jupe qui découvrait ses jambes, encore fines, et le début de ses cuisses. Émoustillé, je me suis assis et je matais sans vergogne. Je voyais de plus en plus haut, jusqu’à apercevoir une culotte blanche sous le collant chair. Je suis resté à regarder pendant 5 minutes puis je suis parti à mon rendez-vous. C’était la première fois que je voyais ma mère sous un nouveau jour.

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De retour 3 heures plus tard, nous nous sommes installés pour prendre l’apéritif avant de dîner que Brigitte préparait, et la conversation allait bon train quand elle me dit ; « J’ai vu que tu avais des DVD pornos dans ton salon, tu n’as pas honte ? Non, répondis-je pourquoi ? “Pour rien, mais ce n’est plus de ton âge, Brigitte ne te suffit plus ? Mais maman, Brigitte le sait et nous les visionnons ensemble !

Brigitte servit le dîner puis repartit dans notre appartement s’occuper des enfants. Je m’étais mis d’accord avec Brigitte que je ne laisserais pas maman seule.

Nous sommes passés à table, la conversation en restant là. Pendant le dîner, je repensais à ses jambes, à ses cuisses et à la petite culotte entrevue, je la regardais d’un œil neuf, malgré son âge elle était encore attirante, sur son visage de fines rides d’expérience plus que de vieillesse, le peu de poitrine que laissait deviner son corsage semblait encore ferme et j’imaginais ses seins un peu tombants, mais sûrement sexy. Alors qu’elle se levait pour prendre quelque chose, je la suivais du regard et trouvais que son cul était lui aussi attirant. Et à ce moment, je me suis rendu compte que je la voulais, je voulais lui faire l’amour. Non en fait je voulais la baiser, la baiser et en faire ce que je voulais.

« Tu vas bien, tu as l’air bizarre ? » me dit-elle. Non, non, rien de spécial.

Après le dîner, nous avons regardé la TV dans le salon. Elle était sur le canapé et moi dans un fauteuil d’où je pouvais la voir dans la pénombre. En fait, je voulais voir ses jambes et plus haut si elle se découvrait par inadvertance. Mais rien. Quelques minutes plus tard, je remarquais que sa respiration avait changé, elle s’était endormie. Ma mère a toujours eu le sommeil lourd, je le savais. Alors, pourquoi ne pas en profiter un peu ? Je me suis approché du canapé et sans la réveiller, je m’y suis assis à côté d’elle. Par l’échancrure de son corsage, je ne voyais rien sauf un petit bout de son soutien-gorge blanc. En revanche, quand elle a bougé dans son sommeil, sa jupe est remontée de quelques centimètres et je voyais ses cuisses de plus en plus haut. Enhardi, j’ai pris le bas de cette jupe et très doucement, je l’ai remontée encore jusqu’à voir sa petite culotte blanche sous son collant. À ce moment alors que j’hésitais à mettre ma main sur ces cuisses dévoilées, elle a bougé et s’est réveillée. « Il vaut mieux que j’aille me coucher. » Elle m’embrassa et partit dans sa chambre sans ne se douter de rien. De mon côté j’ai rejoint Brigitte, qui s’apprêtait à aller se coucher, je lui ai confessé de mon désir de faire l’amour à ma mère. Brigitte me dit alors :

« Tu en es sûr que tu vas arriver à mettre ta mère dans ton lit ? »

« Tu te rappelles qu’elle était contre moi avant que nous nous soyons mariés et qu’elle n’a pas assisté au mariage, tout cela parce que je m’habillais en minijupe et que je sortais sans culotte ».

« Oui je sais chérie, mais c’était dans le temps, actuellement elle ne dit plus rien de ta façon de t’habiller »

Je suis toujours en rage contre elle, elle n’a rien voulu savoir, ni visite, ni me féliciter lors de la naissance de Damien ni pour Julie. Elle ne les connaît même pas !

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“Je suis curieuse de voir cela, je fais un pari que tu n’y arriveras pas ».

Pari tenu”

Brigitte et moi avons alors passé une grande partie de la nuit à faire l’amour.

Le lendemain matin, je la croisais au petit-déjeuner avant de partir au bureau et je lui dis que le soir nous irions dîner au restaurant.

En rentrant vers 19 heures, je la trouvais prête à sortir pour le dîner : soigneusement maquillée et coiffée, elle portait un corsage blanc, une jupe portefeuille noire descendant juste au-dessous du genou et au bout de ses jambes gainées de noir des escarpins à talon mi-hauts.

Nous sommes partis pour le restaurant, en montant dans la voiture pendant que je lui tenais la porte, elle a pris grand soin de ne pas laisser sa jupe s’entrouvrir. Le dîner fut plaisant, nous discutions tout en appréciant le repas et les vins, ses yeux devenaient de plus en plus brillants et je la voulais de plus en plus. À la fin du dîner quelques clients se sont mis à danser sur la petite piste du restaurant. Ma mère, qui adore danser, me demanda de l’inviter. Sans aucune hésitation je la pris dans mes bras et nous avons dansé quelques valses avant que ne viennent les slows. Je me suis rapproché d’elle et je l’ai serrée dans mes bras, aucune résistance, elle se laissait complètement aller. Je sentais ses seins contre ma poitrine et son haleine chaude dans mon cou. Alors que ma main était bien à plat sur son dos, elle se serra encore plus, son bassin était maintenant collé au mien et elle ne pouvait pas ignorer que je bandais. Nous sommes restés au moins un quart d’heure enlacé sans presque bouger, en nous frottant l’un à l’autre. Je la sentais contre moi complètement abandonnée, je laissais mes mains descendre en bas de ses reins quand elle me dit. « J’ai un peu bu, rentrons »

Nous sommes sortis du restaurant et en montant en voiture elle ne fit aucun geste pour empêcher sa jupe de s’ouvrir largement dévoilant sa jambe jusqu’en haut de la cuisse. Tout en conduisant, je me disais, c’est bon c’est ce soir. Arrivée à la maison, elle me demanda un verre d’eau. Puis debout dans le salon elle me dit merci pour cette excellente soirée “elle vint vers moi et me regardant droit dans les yeux elle me tendit ses lèvres, je me suis penché pour la prendre dans mes bras quand elle recula et me dit. « Bonne nuit à demain ».

Dépité, je suis allé me coucher avec Brigitte, qui souriait et me dit :

Qu’est-ce que je t’avais dit !

Le matin en arrivant dans son appart, j’ai trouvé un petit mot : je dois rentrer plus tôt que prévu, à bientôt. Elle était partie avant même que je ne me réveille.

Brigitte vint vers moi et voyant que j’ai perdu le pari, pour me consoler m’a fait une fellation que je n’étais pas près d’oublier, elle m’a sucé alors que je prenais mon petit-déjeuner et n’a pas hésité à avaler mon sperme, sans perdre une seule goutte.

Trois mois plus tard, elle m’a appelé pour me dire qu’elle doit revenir pour de nouveaux rendez-vous, mais qu’elle prévoie de rester au moins 15 jours et elle me demande si elle peut revenir chez nous. J’ai bien sûr dit oui tout de suite.

‘Brigitte chérie, maman revient pendant quinze jours, je te parie tout ce que tu veux que cette fois-ci soit la bonne.

Je ne suis pas aussi sûre que tu le prétends, tu verras mon chéri, je connais la belle-mère, ce sera comme la dernière fois. Mais je relève le pari

Les deux premiers jours de son séjour, ont été sans grand intérêt, dîner, TV et quelque papotage. Le troisième jour nous étions en train de prendre le petit-déjeuner avant que je ne parte travailler quand elle me dit J’aimerais bien retourner dîner dans le restaurant de l’autre fois, je t’invite ce soir…

Le soir quand je suis rentré, elle était prête, même corsage, même jupe, mêmes escarpins et même collant. Le dîner fut de nouveau fort agréable, mais à ma grande déconvenue, il n’y avait plus de piste de danse et je ne voyais pas comment j’allais pouvoir de nouveau la prendre dans mes bras. Vers 22 heures 30, nous sommes rentrés. Arrivée dans le salon ma mère me dit C’est dommage qu’il n’y ait pas eu de musique, j’avais envie de danser sans hésiter, j’ai mis un CD, des slows, et je l’ai prise par la taille pour la faire danser. C’est différent, ici, il y a trop de lumière, et je voudrais boire quelque chose’ A ces mots, je m’empresse de baisser la lumière et de servir deux cognacs. Je la reprends par la taille et nous nous remettons à danser de plus en plus proche l’un de l’autre, de nouveau son corps contre le mien, son haleine chaude sur mon cou. Cette fois je laisse mes mains courir sur son corps, des épaules au bas de ses reins, ses seins sont tout contre ma poitrine et je bande contre son ventre. Mes mains atteignent ses fesses et je commence à les caresser à travers sa jupe. Tout à coup elle relève sa tête qui était sur mon épaule, me regarde droit dans les yeux et je l’embrasse, d’abord doucement sur les lèvres, je sens sa bouche chaude s’ouvrir et sa langue entre doucement entre mes lèvres. Nous restons debout au milieu du salon à nous embrasser à pleine bouche pendant de délicieuse minute. Ma main trouve la fente de sa jupe et je remonte le long de ses cuisses gainées de nylon, fâcheusement elle porte un collant qui m’empêche de sentir sa peau. Elle se détache de moi et dit ‘rejoins-moi dans ma chambre dans 5 minutes’et elle disparaît.

Cinq — minutes plus tard, je rentre dans la chambre, tout est noir.” N’allume pas et viens dans le lit je me déshabille, j’entre dans le lit et là je la sens nue à côté de moi. Je l’embrasse tout en caressant ses seins, je ne les vois pas, mais il est encore doux et ferme, je descends vers son ventre, elle est immobile, elle gémit doucement, je sens ses poils pubiens sous ma main, je descends encore et je sens son sexe, trempé, j’y plonge mes doigts et je la caresse. Je sens sa main sur mon ventre, elle me prend la queue et la masse doucement, je bande comme un fou. Toujours dans le noir elle m’attire sur elle, me guide vers elle, elle est tellement mouillée que ma queue entre dans sa chatte d’un seul coup bien à fond et je commence à la baiser comme un sauvage à grands coups, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Elle commence à jouir, à gémir de plus en plus fort, j’explose et je l’inonde de mon sperme. Nous nous calmons, nous restons collés l’un à l’autre et elle me dit « Ça fait 15 ans que je n’avais pas fait l’amour » deux secondes après elle dort.

Le lendemain matin quand je me suis réveillé, elle n’était plus dans le lit. J’ai pris conscience que j’avais baisé ma mère et que je n’avais même pas vu son corps. Bizarrement frustré, je me suis levé et je me suis préparé pour partir travailler. J’allais sortir quand elle est arrivée dans la cuisine, habillée, prête elle aussi à partir et elle me dit simplement : « Bonjour, bonne journée et à ce soir. »

Avant de partir travailler, je suis passé voir Brigitte lui annoncer qu’elle a perdu le pari.

« Ma chérie tu vois que j’avais raison j’ai gagné, j’ai baisé maman pour la première fois. »

« D’accord tu as gagné, nous ferons les comptes plus tard, va travailler tu vas être en retard ».

Luxure :

Le soir, quand je suis rentré, je me posais plein de questions ; allait-on recommencer, allait-elle être fâchée ? Je l’ai trouvée dans le salon, habillée d’une simple robe marron qui lui descendait aux pieds et quasiment pas maquillée, ce qui est rare chez elle. Elle m’a proposé de prendre l’apéritif et m’a dit qu’il fallait que l’on parle.

« – Es-tu content de ce que nous avons fait la nuit dernière ?

— J’en avais envie depuis longtemps

— J’ai vu, mais maintenant ?

— Pour être très franc, je regrette un peu

— Tu as fait l’amour à une vieille femme, à ta mère, je comprends que tu regrettes, c’est sûrement mieux avec une jeune,

— Non ce n’est pas ce que je veux dire, hier on a fait l’amour comme des amants quasiment comme un couple marié, j’avais envie d’autre chose, d’une maîtresse, soumise, un peu exigeante, un peu… salope.

— Tu voudrais que ta mère se comporte comme une salope pour te faire plaisir, une pute à qui on peut tout faire et qui fait tout

— Oui »

Elle était songeuse un peu interloquée, assise bien droite dans sa robe de puritaine.

« — Qu’est-ce que tu voudrais me faire ?

— Te voir nue, te voir sexy, bien sûr te baiser, mais aussi que tu me suces, voir ton cul et t’enculer, et puis je ne sais pas, comme ça à froid c’est difficile.

— Je vois »

Et sans un mot elle est partie dans sa chambre et pour la première fois j’ai entendu la clé tourner dans la serrure.

Le lendemain matin, je ne l’ai pas croisée. J’ai passé la journée à me dire que j’avais fait une connerie en lui parlant si franchement et que j’aurais dû y aller plus progressivement. En rentrant je l’ai trouvée comme d’habitude, elle portait un de ses tailleurs classiques, un corsage gris et des chaussures noires à petits talons. Le dîner a été maussade, chacun ne parlant de choses et d’autres et n’osant se regarder en face.

Après, nous sommes passés au salon pour le café :

« Il y a quelque chose à la TV ?

— Non, rien d’intéressant

— Tu mets un DVD ?

— Si tu veux

— Tu veux mettre un de tes pornos ?

— Pardon ?

— À moins que tu ne préfères le spectacle vivant ? »

Là, je suis resté scotché, elle était devant moi souriante, une main sur la hanche avec un air un peu salace.

« Si tu veux, je me déshabille devant toi, je te montre mes seins, ma chatte, mon cul, je me branle avec le vibro que j’ai acheté cet après-midi, il est très gros et après je te vide les couilles ».

Entendre ça m’a laissé béat. Sans voix j’ai hoché la tête pour dire oui.

Alors ma mère se met debout en face de moi, elle déboutonne son corsage lentement comme une strip-teaseuse, je vois son soutien-gorge gris pale, transparent, ses tétons qui pointent sous le tissu. À peine son corsage enlevé elle remonte sa jupe et je vois qu’à la place d’un collant elle porte des bas attachés par de fines jarretelles grises. Je vois sa peau blanche au-dessus du bas. Elle laisse retomber sa jupe et se retourne, elle la dégrafe, la laisse tomber et je vois son cul, arrondi, un peu tombant, mais terriblement attirant dans une petite culotte grise transparente. Elle se retourne, elle est devant moi, en soutien-gorge, porte-jarretelles et culotte.

« Ça te plaît, une vieille de 65 ans ?

— Oui continue

— Ne bouge pas pour l’instant »

Toujours en me regardant, elle laisse tomber son soutien-gorge et je vois ses seins, lourds eux aussi un peu tombant, avec des aréoles plus foncées et des tétons érigés qui semblent bander comme deux petites bittes. Elle passe la main dans sa culotte, et elle se caresse la chatte avec un air content, elle se retourne, enlève sa culotte, se penche en avant et me montre son cul. Quel pied.

Simplement en bas et porte-jarretelles elle s’approche de moi

« Tu voulais voir ma chatte, la voilà »

Je suis à 10 centimètres de son sexe, une touffe de poils au-dessus et le reste fraîchement épilé, de grandes lèvres brillantes de mouille et un clitoris discret, mais en érection.

Je n’y tiens plus et j’enlève ma chemise et mon pantalon. Ma queue à peine sortie de mon slip, elle la prend et la branle. Je la regarde me branler et j’adore ça. Sa tête descend, elle va me sucer, elle me lèche la queue, le gland, met ses lèvres autour, recule me lèche les couilles revient et prend tout en bouche, je sens sa langue, je suis au fond de sa bouche. Elle me lâche, se recule, se lève et :

« Viens allons dans la chambre, ce soir tu ne feras rien, tu ne me touches pas, tu ne me baises pas, tu regardes et tu me laisses faire, je fais ce que je veux et tu ne demandes rien, demain tu demanderas et tu feras ce que tu voudras ».

Arrivée dans la chambre elle se met sur le lit écarte les jambes toujours gainées de nylon et commence à jouer avec sa chatte. J’ai une vue imprenable, ses doigts tournent sur son clitoris ; s’enfoncent dans son vagin. Manifestement elle y prend un grand plaisir. Quelle salope de 65 ans. Elle attrape son nouveau gode et progressivement se le met profond, elle se branle de plus en plus vite et jouit là devant moi. Je vois, je regarde, mais comme elle le souhaite je ne touche pas, c’est dur, mais c’est le jeu. Elle est là totalement impudique, sexe ouvert, chatte baveuse. Elle ne bouge plus, j’ai peur qu’elle s’arrête en si bon chemin, mais :

« Tu voulais voir mon cul, eh bien regarde, je me mets à plat ventre avec un oreiller sous l’estomac pour relever mes fesses, je les écarte, tu vois ma raie, tu vois ma rosette, approche regarde, je le titille avec mon doigt, je descends mon doigt dans ma chatte, je le mouille, je remonte toute ma raie, je me mets le doigt dans le cul, tu vois ça rentre ».

Quel spectacle, ma mère vautrée sur le lit avec un doigt dans le cul, la réalité est plus belle que le rêve.

Puis à sa demande je me suis allongé sur le dos, elle m’a repris dans la bouche en me disant qu’elle allait me vider les couilles. Après avoir léché sucé ma queue elle m’a sucé les bourses, puis en descendant progressivement elle a commencé à jouer avec mon cul. Elle a titillé mon anus avec son doigt, m’a léché toute la raie. Puis surprenant, mais pas désagréable, elle a commencé à l’enfoncer son doigt dans le cul. Quelle sensation. Son doigt retiré elle a commencé à le lécher de nouveau avec entrain, puis j’ai senti sa langue entrer à son tour, le visage collé à mes fesses elle me mettait sa langue dans le cul aussi loin qu’elle le pouvait. Quelle salope. Enfin, elle m’a repris dans sa bouche et m’a pompé avec ardeur, d’un coup j’ai joui à longs traits, moitié sur sa bouche moitié sur son visage, elle a avalé et j’ai commencé à récupérer avec la langue mon sperme sur le visage de ma mère pour l’embrasser et lui remettre dans la bouche.

Après, nous avons fumé une cigarette en nous regardant sans rien dire, j’ai encore regardé sa chatte et ses seins, puis je me suis endormi, la queue dans sa bouche.

À suivre

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