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La relation intime de Brigitte avec sa fille

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Brigitte et ma fille Julie.

Je me prénomme Brigitte, j’ai 37 ans, une grande fille encore très jeune, un mari et deux amants. Rien que de très banal, me direz-vous ! Pourtant, il n’y a pas si longtemps, vous auriez eu honte de moi. Imaginez-vous qu’à presque 36 ans, je n’avais couché qu’avec mon mari. Alors que toute femme normale arrive au mariage en ayant essayé quelques mecs, moi j’étais vierge. Le pire, c’est qu’à l’époque, j’en étais fière. Quelle idiote j’étais ! Heureusement, cette période est bien révolue. Et tout ceci, je le dois à ma fille, avec laquelle j’ai toujours entretenu une parfaite complicité. Grâce à elle, je suis devenue femme et j’ai découvert la vraie sexualité.

Tout a commencé quand ma fille, en revenant d’une « boum » à son collège, m’a demandé la pilule. Elle voulait « concrétiser » (son propre mot) sans devoir calculer à tout moment les périodes possibles sans tomber enceinte. Je tombais des nues. Je lui ai dit qu’une fille ne devait jamais faire « la chose » sans être vraiment amoureuse, elle m’a ri au nez. Je me suis mise en colère, je l’ai traitée d’imbécile et de dévergondée. Pendant quelques jours, nous ne nous sommes plus adressé la parole, puis elle a tenté de m’expliquer qu’à son âge, il était tout à fait normal d’avoir des relations sexuelles. Je lui proposais d’exiger que son partenaire mette un préservatif, mais elle m’a dit qu’elle était sûre de lui, et que de toute façon, elle voulait absolument sentir l’éjaculation.

J’étais horrifiée d’entendre de tels propos de la part d’une fille si jeune. Pendant plusieurs nuits, je n’ai pas pu dormir. Je n’ai rien dit à son père de peur d’envenimer les choses. Finalement, j’ai accepté qu’elle prenne la pilule. Progressivement, nos confidences sont devenues totales et réciproques. Julie m’a raconté comment ça s’était passé la première fois et comme elle était heureuse d’avoir perdu sa virginité. Quand je lui ai demandé si ses sentiments pour ce garçon étaient sérieux, elle a rigolé. Ce n’est pas parce qu’elle avait couché avec lui qu’elle en était amoureuse.

J’essayais de ne pas paraître choquée, mais elle s’en aperçut :

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« Je suis certaine que tu étais vierge quand tu as épousé papa ».

« Oui », avouais-je presque honteux devant elle.

« Et depuis que vous êtes mariés, tu as eu combien d’amants ? »

Je ne m’attendais pas à une telle question.

« Aucun », répondis-je, « j’aime ton père. »

« Il n’est pas question de ça », expliqua-t-elle, « ça n’a rien à voir. »

« Comment, ça n’a rien à voir ? Et la fidélité, qu’est-ce que tu en fais ? »

« Mais tout le monde s’en fout de ta fidélité ! »

« Tu dis ça, mais ton copain ne serait certainement pas content si tu couchais avec un autre ! »

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« Mais d’où tu sors, maman ? J’ai déjà couché avec deux de ses copains et il le sait. Ça n’empêche pas qu’il m’aime quand même. »

J’étais abasourdie. Je ne savais quoi dire. Julie m’embrassa et me chuchota :

« Tu sais, maman, je ne te dis pas de prendre un amant, mais une petite aventure ne te ferait pas de mal. Tu en as bien besoin. »

« Mais tu es complètement folle », criais-je presque.

« Allons donc, tu sais bien que j’ai raison. Allez, emmène-moi faire les boutiques. Je vais te choisir une petite robe. Tu seras irrésistible ».

J’étais tiraillée entre le désir d’accepter et celui de refuser. Finalement j’y allais.

Dans la boutique, Julie attrapa plusieurs robes et me poussa dans une cabine d’essayage. Toutes se révélaient extrêmement sexy. Contre mon gré, elle porta son choix sur la robe la plus courte et la plus moulante. Le lendemain, Julie me proposa de l’accompagner dans un parc de loisirs.

Bien évidemment, elle m’ordonna de porter ma nouvelle robe. Au moment de monter en voiture, elle me disputa :

« Mais tu n’y penses pas, voyons, regarde comme tu es fagotée ! »

Je rétorquais que c’est elle-même qui m’avait choisi cette robe.

« Je ne parle pas de la robe, elle est super, mais de ce que tu as mis dessous. Fais-moi le plaisir d’enlever ces sous-vêtements ridicules. On voit toutes les marques. C’est grotesque. »

Alors que je protestais que ça ne se faisait pas, elle ajouta :

« Tu crois vraiment que toutes les filles portent une culotte sous leurs mini quand elles vont au lycée ? »

J’étais prête à lui rétorquer qu’une femme de mon âge ne pouvait se permettre les extravagances des étudiantes, mais je me tus. En réalité, cette suggestion me tentait terriblement. Et, non sans un certain contentement, je retirais slip et soutien-gorge. Les premiers instants furent un calvaire. J’avais l’impression d’être nue. Puis je dois dire que ça me plaisait de sentir le moindre souffle d’air s’insinuer entre mes cuisses. Ma fille portait sa minijupe noire moulante et un tee-shirt blanc.

Elle aussi ne portait rien dessous. Nous échangions nos impressions comme deux gamines. Elle me fit remarquer le regard des hommes à mon passage, et m’apprit comment me baisser juste ce qu’il faut pour dévoiler mes cuisses sans laisser voir mes fesses. Julie m’enseigna aussi la façon de

S’asseoir et se lever pour ouvrir les cuisses un bref instant et satisfaire ainsi le penchant exhibitionniste que toute femme a en elle. J’étais franchement étonnée que ma fille de quinze ans soit aussi émancipée.

« Vise un peu celui-là, tu ne le trouves pas mignon ? », lança Julie.

Elle avisait un homme d’apparemment la quarantaine. J’avouais qu’il n’était pas déplaisant à regarder.

« Allez, vas-y, croise les jambes très haut en le regardant »,

Continua-t-elle. Je me surpris à faire ce que ma fille me conseillait.

Ensuite, tout s’est très vite passé. L’homme s’approcha de nous pour nous inviter à prendre un verre. C’est Julie qui a tout de suite accepté, j’étais trop timide pour le faire. Par la suite, il nous invita chez lui.

Julie m’a littéralement poussée dans ses bras. Moins d’une demi-heure plus tard, nous étions chez lui. Cet inconnu m’a fait l’amour alors que Julie feuilletait quelques magazines dans la pièce à côté. Quand nous sommes ressorties de la chambre, j’avais honte devant ma fille, mais celle-ci ne tarda pas à me rendre plus à l’aise.

« Alors, c’était bien ? », demanda-t-elle dans la voiture, « raconte ! ». Et je me suis étonnée à lui raconter comment cet inconnu m’avait prise. J’étais maintenant fière de ce que j’avais fait. Moi qui n’étais qu’une petite épouse stupide, je me sentais devenir femme. J’avais trompé mon mari, mais paradoxalement, je n’en éprouvais aucune honte. Julie aussi me déculpabilisait en me répétant qu’il est normal qu’une femme change de partenaire sexuel. Il est incontestable qu’elle avait déjà maintes fois expérimenté la chose. Cet homme à qui je m’étais donnée est devenu mon amant. J’allais de temps en temps le retrouver dans son appartement. Un jour où nous passions devant chez lui, ma fille et moi, j’ai demandé à Julie comment elle trouvait mon amant. Sa réponse fut très claire : elle le trouvait à son goût. Je ne sais comment cette idée germa dans mon esprit, toujours est-il que nous sommes montées toutes les deux à l’appartement de mon amant. Et devant la porte, je déclarais à Julie :

« Tu sais, j’aimerais beaucoup que tu fasses l’amour avec lui, si bien sûr tu es d’accord ». Elle se montra enchantée de ma proposition, mais en ajoutant une condition qui me stupéfia. Elle désirait que je la regarde baiser avec mon amant. J’ai tout de suite accepté, parce que j’en avais Envie. Ainsi, j’ai observé la bite de mon amant s’enfoncer dans le sexe de ma fille. Elle a beaucoup joui, et j’ai vu avec grand plaisir mon amant éjaculer à l’intérieur de sa chatte. Julie m’a dit que ma présence avait décuplé son plaisir.

Julie et moi sortions de plus en plus souvent ensemble. Elle m’a présenté tous les garçons avec qui elle avait couché, en ajoutant toujours certains commentaires sur la manière dont ils faisaient l’amour. Et, de la même façon que je lui avais offert mon amant, Julie m’a demandé de faire L’amour avec son copain. C’est ainsi que je me suis retrouvée entièrement nue, un garçon d’à peine 17 ans allongé entre mes cuisses. J’ai joui sous les assauts de cet adolescent attendant avec impatience que son sperme vienne éteindre le feu de mon bas-ventre. Il a giclé plusieurs fois à L’intérieur de mon vagin. Julie avait raison : son éjaculation était particulièrement copieuse.

Quelques semaines plus tard, je prenais un deuxième amant. J’en avertis aussitôt Julie qui s’empressa de me féliciter et, par la même occasion, me demanda si j’accepterais de le lui prêter. J’y consentais avec plaisir.

N’étant pas fidèle à mon mari, il n’y avait donc aucune raison pour que je le sois à mes amants. J’ai donc eu pas mal d’aventures avec les encouragements de ma fille Julie.

Puis, au cours de l’une de nos escapades chez mon premier amant (il faut dire que de temps en temps, ma fille aimait que je l’observe baiser avec mon amant.), Julie me fit la remarque suivante :

« Tu es formidable, maman, tu as plein d’amants, tu me les prêtes, tu fais même l’amour avec mes copains, je suis très fière de toi. Mais tu vois, j’ai peur que tu te détaches de papa. Ce n’est pas parce que tu baises avec d’autres que tu ne dois plus coucher avec papa. »

« Tu sais, Julie, j’ai bien l’impression qu’il n’en a pas très envie. »

« Eh bien, donne-lui envie », s’exclama-t-elle.

« Et comment ? », fis-je irriter.

« Tout simplement en lui disant qu’il est cocu ! » L’aplomb avec lequel Julie m’asséna cette réponse me laissa stupéfaite. Visiblement, elle ne plaisantait pas. Comme je ne comprenais vraiment rien, elle m’expliqua.

Quand son copain se montrait moins empressé à lui faire l’amour, Julie allait coucher avec un autre et s’arrangeait pour que son copain l’apprenne. Dès qu’il se savait trompé, ses ardeurs sexuelles redoublaient.

Et comme ma fille n’était pas une championne de la fidélité, tout était donc pour le mieux. Ma fille me conseilla alors de tout dire à son père, mais je m’y refusais, ayant trop peur des conséquences. Julie se résolut donc à lui faire connaître mes infidélités. Le résultat fut inespéré. Dès que Julie lui apprit que j’avais baisé avec un autre, il m’a fait l’amour comme un fauve. Mais dès que ses ardeurs diminuaient de nouveau, j’en avertissais ma fille qui s’empressait de lui communiquer une autre de mes infidélités. Et ainsi de suite. Mon mari ne me parlait jamais de mes infidélités. Une nuit, par contre, il m’avoua qu’il avait toujours souhaité que je fasse l’amour avec d’autres hommes, mais qu’il n’avait jamais osé me le demander. Depuis lors, je n’ai plus hésité à le tromper, puisque c’était lui qui le désirait. Maintenant, je lui en parle ouvertement. Il aime que je lui raconte en détail, comment mes partenaires me font l’amour. Un jour, ou plutôt une nuit, mon mari m’a dit qu’il avait très envie de me pénétrer après qu’un autre se soit soulagé en moi. J’étais si ébahie de son désir que j’en a parlé à Julie.

« Qu’est-ce qui t’étonne ? », fit-elle, « ça me paraît tout à fait normal.

C’est même très excitant. »

« Tu crois que… », commençais-je sans même oser terminer ma phrase.

« Mais bien sûr », continua-t-elle, « fais-le ! Et d’ailleurs, ose me dire que tu n’en as jamais eu envie ».

Mon silence gêné était très évocateur.

« Alors, tu vois que j’ai raison. Et pourquoi tu n’irais pas chez tes deux amants juste avant ? Moi, je n’ai pas encore essayé, tu me raconteras ? » J’ai écouté les conseils de Julie, et je ne l’ai pas regretté. J’ai eu orgasme sur orgasme. J’ai tout raconté à ma fille qui s’est empressée d’essayer. Elle aussi a beaucoup aimé.

Alors que je m’étais enfermée dans la vie insignifiante d’épouse complètement coincée sur le plan sexuel, ma fille m’a fait devenir femme en me faisant découvrir les charmes de l’infidélité. Certains penseront que je suis devenue une véritable petite salope, alors qu’ils jugent peut-être plus estimable leur voisine de palier qui, sous des dehors respectables, mène sûrement une vie aussi dissolue que la mienne. Je veux dire qu’une femme au bras de son mari apparaît toujours comme une épouse honorable.

Mais quand on gratte un petit peu ce vernis superficiel, on s’aperçoit très souvent que l’épouse respectable trompe allègrement son mari. Quand je compare ma vie d’épouse coincée à celle actuelle, j’estime mon rôle d’épouse infidèle plus enviable et plus respectable que mon rôle d’épouse falote. D’ailleurs, les hommes apprécient plus une femme épanouie qu’une femme effacée. De même, les jeunes filles rêvent toutes de ressembler à ces femmes dont tout le monde connaît la vie particulièrement dissolue.

Arrêtons donc d’encenser la fidélité, tout en rêvant d’infidélité.

Alors que mon mari me reste fidèle, il adore que je ne le sois pas. Depuis que je le trompe régulièrement, nous nous entendons beaucoup mieux. Notre amour en sort grandi et renforcé. Il y a peu, mon mari m’a confié qu’il était parfaitement au courant de la vie sexuelle de notre fille. Sans pour autant pousser Julie au libertinage, il ne désapprouve pas sa conduite sexuelle, alors que moi, j’aurais plutôt tendance à encourager ses débordements érotiques. Je pense même qu’il est souhaitable que notre fille ait des relations sexuelles avec des hommes beaucoup plus âgés qu’elle, puisque ceux-ci, ayant plus d’expérience, sont plus à même de lui faire découvrir des plaisirs plus variés et intenses. Je ne veux pas que Julie suive la même route que moi. Plus elle aura d’expériences sexuelles avant son mariage, plus grandes seront ses chances de bonheur, car une fois mariées, elle saura initier son mari à tous les plaisirs de la baise.

Voici maintenant plus d’un an que je suis infidèle à mon mari. J’adore ma nouvelle vie, mais mon mari regrette encore que je lui sois restée si longtemps fidèle. Il m’engage à rattraper le temps perdu en m’incitant à prendre de nombreux amants. Ma fille, qui vient d’avoir ses seize ans, ne perd pas une occasion de me le rappeler. Elle tient même à me présenter le père de son dernier copain. D’après Julie, puisqu’elle couche avec le fils, il est donc dans l’ordre de choses que je fasse de même avec le père.

Brigitte

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