J’avais toujours eu un faible pour les bites énormes, mais jamais je n’aurais imaginé que la plus grosse que j’aurais dans la bouche appartiendrait à mon propre père. Jacques, ce salopard de papa, avait toujours été un enfoiré avec une queue qui semblait ne jamais se fatiguer. Ce soir-là, j’étais affalée sur ses genoux, à chialer encore sur cette merde de rupture, quand je sentais sa bite durcir sous mes fesses.
Je me tortillais, j’agitais mon cul sur son érection, et je le regardais droit dans les yeux, lui, les yeux baissés, honteux comme un gamin pris la main dans le sac. “Qu’est-ce qui t’arrive, papa ?” je lui susurre à l’oreille, sentant sa queue appuyer contre ma raie, tentant de forcer l’entrée de mon petit cul.
Il déglutit, ses mains sur mes hanches, et commence à frotter son bassin contre moi, sa bite glissant entre mes fesses. “Juste un coup de fatigue, ça va passer,” il me dit, mais sa voix tremble, et je sais qu’il ment. Moi aussi, je me mets à bouger, sa queue caresse mon œillet, me faisant frémir de plaisir.
“Tu bandes, mon petit papa ? Je te fais tant d’effet que ça ?” Je le taquine, et il me répond par un coup de reins violent, comme s’il voulait me pénétrer à travers le tissu de ma culotte. “Tais-toi, petit monstre, tu mérites que je te punisse pour mettre ton papa dans cet état !” Il grogne, et je souris, excitée par cette autorité.
“Et quelle serait la punition méritée, mon petit papounet ?” Je demande, sentant ma chatte se mouiller à l’idée. Il me regarde intensément, la salive coulant presque de sa bouche. “Tu veux vraiment savoir, ma chérie ?”
“Oui, oui, papa, je veux savoir ce que je mérite !” Je pousse, sentant son excitation monter en flèche. Il souffle comme un dragon avant de répondre, “Oh toi, toi, tu mérites que je te plante ma bite dans le ventre !”
Je me serre contre lui, sentant ma mère, Julia, observer la scène avec des yeux brillants de désir. “Fais-le, Jacques, fais-le, je t’en prie, elle est si malheureuse notre princesse !” Elle dit, la voix tremblante d’excitation.
Je me mets à bouger plus vite, frottant ma chatte contre sa bite, et il grogne, “Arrête, ma chérie, je vais décharger dans mon pantalon !”
Julia, avec un sourire coquin, se rapproche et attrape la queue de son mari à travers le tissu de mon cul. “Ne jouis pas, mon chéri, laisse ce soin à notre petite princesse de faire gicler ton geyser !” Elle me dit, et je descends de ses genoux, hypnotisée par la bosse monstrueuse dans son pantalon. Je la saisis, la presse, la branle à travers le tissu, sentant sa bite prête à exploser.
“Sors-la, ma chérie, sors-la de son carcan, et fais-la encore grossir,” Julia m’encourage, et je libère cette queue monstrueuse. Je la prends en main, commençant un branlage énergique, mes yeux fixés sur ce gland épais, ce champignon large et tentant. Je le lèche, je le suce, mes lèvres pulpeuses s’enroulant autour, avalant le pré-cum qui goutte.
“Avale, ma chérie, avale, c’est si bon !” crie Julia alors que je gobe son sperme, le goût salé remplissant ma bouche. Je grimace mais avale, le liquide chaud coulant dans ma gorge.
Jacques, les yeux luisant de désir, me regarde, et Julia, voyant l’envie dans les yeux de son mari, me dit, “Regarde comme ton papa te désire, profite de son expérience, c’est un amant merveilleux. Laisse-toi aller, ma chérie, ne pense qu’à ton plaisir !”
Je suis maintenant nue, ma mère m’a aidée à me déshabiller, et mon père regarde mon corps, ses yeux jetant des éclairs de luxure. Julia s’agenouille à côté de moi, caressant mes seins, les rendant durs et sensibles. “Maman va bien te préparer, ma chérie,” elle murmure, et commence à jouer avec mes tétons, puis à descendre, sa langue atteignant ma chatte trempée.
Le va-et-vient de sa langue me fait gémir, et je vois Jacques se branler, sa bite dure comme du béton.
Finalement, il prend ma place, et je sens sa queue s’enfoncer en moi, chaque coup de rein me faisant hurler de plaisir. Julia, à côté de nous, se masturbe, sa chatte humide et brillante, nous regardant avec des yeux affamés.
C’est comme ça que j’ai découvert que les désirs les plus sombres, les plus tabous, peuvent être les plus libérateurs. Une soif inassouvie de plaisir, de domination, de soumission, qui ne s’éteint jamais vraiment, mais qui brûle, encore et encore, dans le secret des familles.
Lucie
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