Je suis une dame de 62 ans, Véronique mariée depuis 40 ans à Richard.
Je ne sais pas trop pourquoi je me retrouve à écrire mes histoires ici. Il y a peu de temps, je n’avais encore jamais trompé mon mari, je n’avais connu que lui. Je n’avais même jamais pensé à prendre un amant. Quelques hommes m’avaient certes draguée à certains moments mais tout cela me paraissait totalement enfantin et je n’accordais aucunes considérations aux avances reçues.
Il y a quelques années mon mari m’a présenté lors d’une réception de remise de médailles du travail à un de ses collègues Philippe qui accompagner de son épouse Brigitte. Par la suite nous sommes devenus des amis et avons fait connaissance de la famille. Nous avons aussi découvert leurs pratiques sexuelles, comme le naturisme, l’exhibitionnisme, et peu de temps après la pratique de l’inceste. Cette dernière m’a légèrement choquée, mais sans gâcher le lien d’amitié entre nos deux couples. Les rencontres entre nos deux couples se limitaient à des dîners, à des sorties pédestres, sans jamais aucune allusion sexuelle.
Ce qui va suivre a certainement un rapport avec la révélation que m’a fait Brigitte et Philippe.
J’ai une fille et deux petits enfants.
Ma fille est mariée depuis 15 ans, nous nous entendons très bien. Son mari est un grand gars de presque deux mètres, avec mon mari, nous le considérons comme un fils.
Nous sommes allés en vacances tous ensemble. Nous avons loué une villa à la campagne avec un grand jardin. Ce n’était pas la première fois, nous sommes souvent partis ensemble. Cela permet d’être en famille avec nos petits enfants aussi.
La première nuit, je fus prise de rêves érotiques. Cela ne m’arrive pas souvent.
L’endroit, dans les bois m’avait peut-être fait fantasmer. Un randonneur qui passerait sur le chemin, me demanderait un renseignement avant de me prendre sauvagement contre un arbre.
Au réveil, je me sentais troublée. Cette maison avait un impact sur moi que je ne comprenais pas. L’après-midi, j’étais sur la terrasse à lire un journal et je ne pouvais m’empêcher de regarder mon beau-fils qui bronzait torse nu sur un transat dans le jardin. Je distinguais la bosse que faisait sont entre jambe à travers son short. J’avais honte.
Je suis plutôt grosse, j’ai des gros seins qui pendent avec l’age, mes jambes et mon cul sont encore bien mais mon ventre est gros. J’allais mettre un maillot pour bronzer aussi et j’allais aussi sur un transat du jardin. En faisant semblant de rien, j’essayais de voir si j’allais décrocher un regard de mon beau-fils. J’avais déjà eu l’impression par le passé qu’il regardait mon décolleté furtivement.
Je constatais un petit regard gêné de temps à autre chez lui, j’écartais un peu les jambes et cette fois j’en étais sûr, son regard se posait entre mes cuisses et cela m’excitait a mort.
Je savais que ce n’était pas bien, mais je ne pouvais me résoudre à fermer les jambes. Ma fille vint vers nous, je reprenais une pose normale en me demandant comment je pouvais jouer à ce petit jeu.
Cette nuit-là, les petits enfants fatigués avaient été se coucher tôt, les grands vers vingt-trois heures, en même temps que mon mari m’avait rejoint au lit et ronflait comme un ours dix minutes plus tard. Je ne trouvais pas le sommeil. Vers minuit trente, j’allais aux toilettes sans faire de bruit pour ne pas réveiller les petits enfants, ni les grands d’ailleurs.
J’entendais grincer le lit dans la chambre de ma fille, délicatement. La porte de leur chambre était ouverte. Le noir m’empêchait de voir, mes yeux s’habituant en quelques secondes, je voyais une bosse en mouvement sous la couverture. Je compris que ma fille était occupée à sucer.
Je n’ai même pas pensé qu’on pouvait me voir jusqu’à ce que je tombe yeux dans les yeux avec mon beau-fils. Je ne sais pas s’il a été gêné de dire quelque chose et que ma fille se rende compte que sa mère la voyait sucer ou si cela l’excitait. J’aurais pu partir mais je restais la à regarder tremblante. En restant, je passais un cap, il allait comprendre que j’appréciais de voir le spectacle. Excitée de voir sans voir, ma fille sucer ? Quelle mère étais-je ?
Mon beau-fils, place la couverture bien sûr la tête de ma fille pour être sûr qu’elle ne puisse me voir, il avait un sourire aux lèvres. À sa manière de se tenir à un moment, je compris qu’il jouissait, je retournais me coucher et ma nuit fut longue. Comment j’allais gérer le petit dej.
Le lendemain était bizarre, je n’osais trop parler à table, je savais qu’il savait. J’avais maté et appréciée. J’étais plus en tort que lui, il pouvait dire qu’il n’avait osé gêner tout le monde tandis que moi je n’avais pas d’excuses.
Mon mari s’en alla avec ma fille et les petits enfants faire des courses, mon beau-fils restait la. Je ne savais plus ou me mettre. Il allait sûrement me parler de cette nuit. Je filais à la salle de bains prendre ma douche et laisser passer le temps. Il me dit à travers la porte qu’il allait courir un peu. J’étais soulagée mais ne pas aborder le sujet avait tout même quelque chose de pesant. Il fallait crever l’abcès. Je ne savais plus quoi faire, il fallait que je revienne sur terre et que j’arrête cela tout de suite, j’avais un peu joué avec le feu, je devais l’éteindre.
Il revint de son jogging, les autres allaient revenir très bientôt des courses.
J’étais en peignoir, lui tout transpirant en habit de sport.
Je me lançais…
» Désolé pour hier, je suis passée devant et j’ai plus osé bouger »
» Au point de pas détourner le regard ? » me répondit-il en riant.
Je ne savais plus ou me mettre.
Il s’approcha dans un moment surréaliste et me dit
» Envie de voir de plus près encore ? »
Il posa ses mains sur ma tête et me poussa à genoux, je me laissais faire et découvrais son engin en érection qu’il avait sorti de son short.
J’ouvris la bouche et je gobais sa queue avec une excitation que je n’avais jamais connue.
Je m’étouffais avec tellement je l’enfonçais loin dans ma gorge mais je m’en fichais, j’étais incontrôlable, je voulais sentir le goût de sa queue dans toute ma bouche.
Sans dire un mot, il me releva, enleva la ceinture du peignoir et posa ses deux mains sur mes gros seins dans leur soutif. Une de ses mains alla sur mon vagin qu’il caressait énergiquement. Nous étions dans un état second.
Il me retourna et me poussa contre la table, baissa un peu ma culotte, juste assez pour enfoncer sa queue en moi. Je mouillais énormément. Il se mit à me baiser fort, sauvagement, sans retenue. Je le suppliais d’y aller encore plus fort. Il se retira, écarta mes fesses et engouffra sa langue dans mon cul, je n’avais jamais connu ça. Il présenta sa queue et me l’enfonça d’un coup sec dans l’anus.
Je ne pus m’empêcher de crier. Il plaça ses deux mains sur ma bouche.
« T’aimes te faire enculer ? »
Je ne répondais rien à ça, sa queue était de toute façon dans mon cul déjà.
Il gémit comme un porc et déchargea son sperme au fond de mon cul.
À ce moment-là, les autres arrivaient, je filais à la salle de bains, il allait aider à porter les courses. Comment allait se passer la suite ?
La suite se passa qu’à chaque absence de mon mari, de ma fille, mon gendre et moi trouvions toujours un moment pour faire l’amour.
Bien entendu, mon mari l’a appris quelque temps après lors d’une soirée chez Brigitte et Philippe ou Richard et moi étions invité et qui après le dîner qui à déboucher sur une partouze.
Depuis ce jour, mon gendre et ma fille se joignent à nous lors de nos ébats,
Brigitte a été mon initiatrice, elle m’a convertie au naturisme, à m’habiller plus sexy, malgré la soixantaine passée je remets des minijupes. J’oublie aussi de mettre des sous-vêtements pour faire plaisir non seulement à Richard mais aussi à d’autres personnes que je croisent ou qui me suivent et qui doivent se demander ?
‘’ En porte t-elle ? Où pas ‘’
Brigitte m’a aussi initié aux plaisirs saphiques, et c’est moi même qui a initiée Catherine ma fille.
À présent, je ne me gêne plus si j’ai envie de mon gendre je le fais devant mon mari et ma fille. La seule chose que ma fille refuse à part la fellation c’est la pénétration par son père. Par contre elle fait l’amour avec Philippe, Damien, ainsi qu’avec Julie, Muriel, Manon et Marie Claude sans oublier Brigitte pour le saphisme.
A Bientôt pour d’autres aventures !
Véronique
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