Le vétérinaire réussi enfin à libérer Sultan du cadeau que lui avait laissé Karine sans abîmer le précieux bout de tissu qu’il ne put se retenir de sentir pour s’assurer qu’une femme l’avait bien porté au moment où le chien s’y coinça. Distinguant clairement une odeur d’excitation féminine, il était à présent certain de ses suspicions et il décida de contacter immédiatement la propriétaire du dogue allemand pour tenter une approche dans le but d’assister à ce spectacle.
— Dring Dring Dring !
— C’est ton téléphone ça ?
— Oui, mais qui ça peut bien être à cette heure-ci ?
Karine et Stacy venaient de pénétrer dans le salon lorsque la sonnerie du téléphone retentit. Avant même de pouvoir prendre une douche pour évacuer la semence animal qui la remplissait, elle décida de prendre l’appel.
— Karine, tu peux utiliser ma salle de bain si tu veux.
— Merci Stacy.
— Allô ?
— Allô Stacy ? C’est Sylvain votre vétérinaire.
— Ho ! Bonjour Sylvain ! Mais que me vaut cet appel ?
— Et bien, j’ai trouvé votre chien devant chez moi et n’ayant pas de place pour héberger un animal de cette taille pour la nuit, je pense qu’il sera mieux chez vous. Ça vous embête si je passe vous le déposer ?
— Heu… Non, pas du tout, vous serez là dans combien de temps ?
— Dans vingt minute.
— Très bien alors à tout de suite.
A peine avait-elle raccroché son téléphone que Stacy se précipita dans la salle de bain pour avertir Karine mais la porte était verrouillée et la pièce était parfaitement insonorisée.
— Allez, je suis sûre que t’en a envie !
— NON ! Pas comme ça devant toi !
— Mais c’est bon, il a déjà planté sa bite dans ta chatte, tu peux bien essayer un petit coup par derrière ?
— Non, il m’a fait l’amour, j’ai pas envie qu’il me sodomise !
— Mais tu vas voir que tu vas adorer !
— Johanna, arrêtes d’insister j’ai pas envie, pas comme ça et pas maintenant.
— Tu sais que c’est la première bite de chien à visiter la chatte ET le cul de Karine ? T’as pas envie de faire mieux qu’elle avec son chien ?
— Dis comme ça…
— Viens on va chez toi, je t’aiderai !
— Bon, d’accord, mais c’est bien parce que je suis amoureuse de lui.
Johanna était ravie, elle avait déjà vu Karine se faire prendre par derrière pour la première fois et en gardait un excellent souvenir, mais elle allait cette fois-ci profiter du spectacle d’une jeune vierge qui offrait ses orifices de plein gré l’un après l’autre à un animal. La jeune fille s’était bien gardé de dire à Alexandra qu’elle-même avait déjà réalisé la prouesse d’accueillir le membre du labrador en elle pour ses premières expériences animales.
— Mais je sais pas comment on fait pour sucer une bite !
— Ne te fais pas de soucis, je te montrerai.
— Les deux blondes arrivèrent rapidement devant chez Alexandra et à peine avait-elle franchi le seuil que Johanna quitta sa robe pour se retrouver entièrement nue.
— Pourquoi tu te mets à poil ?
— Parce que je veux d’abord que tu vois à quoi ressemble une fille qui se fait enculer !
— NON ! Je vais pas sucer Filou si il sort de ton cul ! Et puis je sais très bien à quoi ça ressemble, j’ai vu Stacy le faire plein de fois déjà.
— QUOI ?! Elle prend par derrière en plus ?!
— Ben oui ! C’est une ancienne actrice porno !
Johanna ne savait rien du passé de la rouquine, elles n’avaient pas eu le temps de discuter toute les deux et c’est Alexandra qui lui apprit pourquoi sa mère lui avait présenté cette femme.
— Une jour j’ai surpris ma mère en pleine action avec mon chien, je ne lui ai plus parlé pendant près d’une semaine et mon père a commencé à se douter de quelque chose. Après elle m’a traîné de force chez Stacy et j’ai vu pour la première fois une femme se faire baiser par un chien… Plusieurs en fait.
— Et ta mère te laisses mater une femme se faire sauter par des chiens ?
— Oui, elle voulait que je comprenne que ça n’était pas rare et loin d’être dégoûtant quand c’est bien fait.
— Ta mère est vraiment bizarre…
— Peut-être, mais elle ne voulait que me présenter un acte sous son meilleur jour pour ne pas me laisser livrée à moi-même.
— Moi ma mère ne sait rien et heureusement !
Johanna était très étonné de ce qu’elle venait d’apprendre, peut-être qu’elle devrait avoir une discussion avec Olivia pour comprendre sa logique. Mais il n’était pas l’heure des questions, la métisse désirait plus que tout assister à un accouplement entre une jeune fille et un animal, même si ce dernier était son amant régulier.
— Bonjour Stacy !
— Bonjour Sylvain ! Merci de m’avoir amené Sultan, passez une bonne soirée.
— Vous ne me proposez pas un café ?
— Disons que j’ai du monde à la maison.
— Écoutez, ça me gène de vous le dire comme ça mais votre chien avait un de vos string coincé autour du sexe quand je l’ai trouvé, vous avez une idée de comment cela pu arriver ?
— Heu… Venez à l’intérieur, je peux vous faire un café si ça vous dit toujours.
Stacy tenait son chien par le collier et elle se dit qu’en invitant le vétérinaire à rentrer, elle allait gagner suffisamment de temps pour trouver une explication plausible. Une fois à l’intérieur, elle fit patienter son inviter pour remettre Sultan dans l’enclos. Sylvain scruta chaque recoin du salon pour y trouver une preuve des rapport qu’entretenait la belle rousse avec son animal de compagnie. Karine était toujours sous la douche et ne se doutait absolument pas de la présence de l’homme.
Tenez, c’est le tissu que j’ai réussi à décoincer de votre chien.
Stacy était devenu blême en voyant le sous-vêtement de Karine, elle revit la jeune maman en train de s’extirper du membre animal en y laissant son string, puis elle se rappela que Johanna et elle avait étés prise l’une après l’autre par le chien et que le tissu devait encore porter des traces de cette orgie. Elle remercia son interlocuteur et déposa l’objet sur une commode devant la salle de bain pour faire comprendre à Karine qu’elles n’étaient plus seules. Sylvain s’était assit sur un canapé et suivait d’un regard accusateur son hôte.
— Je vais vous préparer du café et j’arrive.
— Oui, merci bien, vous me raconterez ensuite comment votre string a fini chez moi.
Stacy était en colère, elle n’avait pas pu se laver ni se changer et si le vétérinaire voyait qu’elle ne portait pas de sous-vêtements, il ferait tout de suite le rapprochement et les traces de sperme qu’elle avait entre les cuisses ne l’aideraient pas. Elle profita de son absence pour enfiler rapidement un pantalon blanc et quitter sa jupe. Malheureusement c’est à ce moment précis que Karine sortie de la salle de bain.
— MON STRING ! Je suis vraiment désolée de l’avoir laissé sur ton chien en me retirant mais c’était vraiment un coup du…. Bonjour.
— Bonjour, Karine, je ne savait pas que vous étiez là.
La jeune maman avait remis sa robe de soirée et était écarlate de gène face à ce bel homme à qui elle venait sans le vouloir avouer sa plus grande perversion sexuelle. Sylvain connaissait aussi Karine, mais il n’avait jamais prêté attention à cette jeune femme, mais elle était à présent devant lui en robe de soirée et d’une beauté incroyable. L’image du bassin de la jeune femme accouplé à l’animal lui revint en tête et une érection incontrôlable s’empara de lui.
— Ce n’est pas du tout ce que vous croyez !
— Et bien moi je suis sûr du contraire ! Il se passe des choses étranges ici et je compte bien connaître la vérité !
Stacy était revenue avec les cafés, elle tenta une explication rocambolesque à laquelle le vétérinaire ne crut pas une seule seconde.
— Mais non ! Karine s’est retiré pour prendre une douche et à laissé ses sous-vêtements ici même. Pour lui faire une plaisanterie je l’ai moi-même fixé sur mon chien pour qu’elle ai l’air bête en essayant de le récupérer.
— Vous me prenez vraiment pour un idiot ! Ce bout de tissu sent encore la relation sexuelle !
Avant que les deux femmes ne purent prendre la parole, un claquement de porte fut suivi d’un hurlement en provenance de l’entrée.
— STACY ! Ton chien viens de me sauter ! T’aurais pu faire attention merde ! Après ce que Rex m’a mit dans les fesses j’ai pas pu me défendre !
Olivia était incapable de se rendre jusque dans le salon, elle ne vit donc pas qu’un homme était présent dans la pièce et ne comprit que lorsque Sylvain reprit la parole.
— Et ça ? C’est mon imagination peut-être ?
— Bon, je n’ai plus le choix et je vais donc vous raconter tout depuis le début.
— Non, va aider Olivia, je vais lui expliquer. Suivez-moi dans la chambre.
Karine était sous le charme de cet homme et elle se dit qu’elle pourrait peut-être détourner son attention, elle avait connu de très nombreux partenaires canins et désirait maintenant goûter à nouveau au sexe d’un homme. Une fois seuls dans la chambre, la jeune maman fit s’installer le vétérinaire sur le lit, puis elle quitta sa robe pour remettre le string fendu qu’elle tenait dans la main. Tout en exécutant sa manœuvre de façon volontairement très lente, elle se mit à raconter son histoire à son interlocuteur en ne lui parlant que de ses expériences vaginales avec Filou et Sultan.
— Donc, vous vous êtes faites violée par votre chien et y avez pris du plaisir, vous avez ensuite rencontré Stacy qui vous a proposer d’essayer avec son chien pour vous dégoûter grâce à son anatomie trop imposante.
— C’est ça, mais dites-moi, on dirait que mon histoire vous as excité !
— Je dois vous avouer qu’en trouvant ce string sur le sexe d’un animal, mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai eu une irrésistible envie d’assister à ce spectacle.
— Laissez-moi vous aider à vous détendre un peu.
La jeune maman fit s’allonger l’homme, puis elle déboutonna son jean. Elle se dit que comme tous les hommes, Sylvain apprécierait une fellation payant ainsi de son corps le silence de son amant. Mais le vétérinaire voulait goûter à cette magnifique femme et l’invita à présenter ses cuisses près de sa bouche pour pouvoir passer lui aussi sa langue sur le sexe de sa partenaire. Karine en était ravie et c’est avec un plaisir immense qu’elle sentit la langue experte de cette homme entre ses cuisses la faisant gémir bruyamment.
Filou était allongé sur le dos, présentant ainsi son attribut masculin à Alexandra qui se tenait à quatre pattes devant lui, la bouche à quelque centimètres de son sexe. Johanna avait réussi à convaincre sa nouvelle amie de s’accoupler devant elle.
— Ben allez ! Pose ta bouche sur sa bite !
— Mais si j’aime pas ?
Agacée par l’hésitation de la jeune fille, la métisse lui inséra deux doigts entre les cuisses qu’elle présenta tout de suite après sous son nez.
— T’as qu’à goûter avant !
— Mais c’est dégueulasse ! Ça sort de ma chatte ça !
— Et alors ? Tu t’es jamais léchée après t’être doigtée ?
— Si, mais il n’y avait pas de sperme de chien avec !
— Allez, goûte sinon tu vas jamais le sucer et Karine restera sa maîtresse attitrée.
Convaincu par cet argument, Alexandra pris immédiatement les doigts de Johanna en bouche. La jeune fille désirait plus que tout être la femelle exclusive du labrador et elle disait que si elle lui offrait la totalité de son corps, il refuserait de prendre une autre femme.
— Alors ? C’est bon ou pas ?
— Putain ! C’est trop bon en fait ! Il est vraiment génial ce chien !
— Alors vas-y, suces-le !
Alexandra posa délicatement ses lèvres sur le sexe de l’animal, puis elle entama la fellation de manière très lente afin de profiter au maximum de cette nouvelle expérience. Pour ne pas rester inactive, la métisse plaça sa main entre les cuisses de la jeune fille et la masturba de manière frénétique.
— T’aime ça la bite de chien hein !
— Hmmmm !
La bouche occupée par le membre de l’animal, Alexandra ne se contentait que de gémir pour communiquer avec l’autre femelle et ainsi manifester son plaisir. Mais Johanna n’était pas satisfaite par ce qu’elle voyait, elle voulait du sexe hard et comptait bien en avoir.
— Allez ! Pompe-le plus vite merde ! Il va jamais gicler dans ta bouche sinon ! Quand elle le suce, Karine fait sortir son jus en cinq minute et avale tout !
— Hmmmm !
Obéissant à celle qu’elle considérait comme expérimentée, Alexandra accéléra sa cadence et quelques seconde après elle sentit son palais éclaboussé par le liquide qu’elle attendait. Pour ne pas en perdre une seule goutte, la jeune fille du prendre de nombreuses gorgés de ce nectar canin et quand elle fut sûre que son amant s’était totalement déchargé, elle se retira.
— Alors ? Ta première pipe c’était bien ?
— J’aurais aimé y aller doucement quand même, et c’est incroyable tout ce qu’il est capable de gicler !
— Et encore ! Karine se l’est tapé ce matin, ensuite elle l’a branlé plusieurs fois pour garder son jus de coté et en plus de ça il t’as sauté tout à l’heure ! Imagine demain si tu te fais sauter avant Karine tout ce qu’il va te mettre !
Une fois de plus, la métisse jouait sur la compétition pour pousser Alexandra au vice, elle allait maintenant profiter de l’inauguration anale de la jeune fille mais Filou serait aux commande et elle se demanda comment forcer le chien à être violent.
— Bon, t’es prête à te faire casser le cul ?
— Dis comme ça, ça me mets pas trop en confiance…
— Alors est-ce que tu es prête à offrir ta virginité anale à ton nouveau copain ?
— OUI ! Je veux qu’il soit le premier à me prendre comme ça il pourra plus jamais aller voir ailleurs !
— Tu crois vraiment que si tu te fais défoncer tous les trous il va te rester fidèle ?
— J’en suis même sûre !
— On verra, ne bouge pas, je m’occupe de tout.
Johanna pris Filou par le collier puis elle l’installa sur le dos d’Alexandra. Lorsqu’il fut en place, le chien pris immédiatement position dans le sexe de sa partenaire qui poussa un long gémissement de plaisir. Mais la métisse en décida autrement et elle poussa le labrador en arrière afin qu’il ne soit plus dans les entrailles de sa femelle, puis elle lubrifia à l’aide de sa bouche le membre animal qu’elle plaça aussitôt sur le seul orifice encore vierge de la jeune soumise.
Vas-y doucement, je ne me suis jamais doigté les fesses.
T’inquiètes pas, je sais ce que je fais.
Johanna ne disait pas tout à fait la vérité car elle savait que la première sodomie allait être douloureuse en raison du fait que c’est elle qui allait contrôler la cadence. Elle tira fortement sur le membre animal qu’elle fit passait dans sa totalité entre les fesses de la jeune fille qui poussa un cri de douleur.
— Putain ça fait mal !
— Arrêtes un peu, on dirait ta mère ! Tu veux qu’il te prenne par derrière ou pas ?
— Je sais plus trop, j’ai envie de lui offrir ça aussi, mais ça fait vraiment mal…
— Tu sais qu’il a cassé le cul de Karine tous les jours depuis presque une semaine ! Si tu veux pas c’est pas grave, il sais où trouver des petites fesses plus accueillantes !
— Si ! Vas-y, fais-le glisser mais essaie de pas y aller trop fort OK ?
— D’accord.
Cette fois-ci, la métisse mentait clairement. Elle voulait voir la jeune fille se faire sodomiser violemment et savait pertinemment que la douleur serait au rendez-vous.
Stacy et Olivia étaient installées dans le salon, la rouquine avait enfin prit une douche et portait une tenue tout aussi courte et sans sous-vêtement qu’auparavant. La mère d’Alexandra s’était allongée sur le ventre le long du canapé.
— C’est quoi ce bruit ? Ça vient de la chambre non ?
— Oui, Karine s’est enfermé avec Sylvain
— LE VETERINAIRE ? C’est lui la voix que j’ai entendu ?
— Oui, je crois qu’elle est en train de le motiver à garder notre petit secret.
— En couchant avec ?! C’est vraiment une salope celle-là !
— Arrêtes un peu ! Elle au moins ne trompe pas son mari avec un chien ! Et ne me dis pas qu’il n’est pas mignon !
— C’est vrai, mais de là à le laisser me toucher pour pas qu’il répète ce que je fais avec Rex il y a de la marge.
— Tu as conscience que c’est aussi pour toi qu’elle fait ça ! Si tu n’étais pas entrée en criant que mon chien t’avait grimpé, on en serai peut-être pas là.
— D’ailleurs tu sais qu’il m’a fait trop mal le salaud ! Comment tu fais pour encaisser toi ?
— J’ai l’habitude, Et crois-moi ce n’est pas le plus gros à m’avoir monté ! Je ne te l’ai peut-être jamais dis, mais j’ai eu l’occasion de me faire prendre par un poney, ça n’avait rien à voir avec mes chiens parce que c’est moi qui devais tout faire, mais son gigantesque sexe valait largement le coup ! Mais dis-moi, il a passé son nœud en toi Sultan ?
— Non, j’ai réussi à me dégager avant qu’il se coince, mais regarde mes fesses !
Joignant le geste à la parole, Olivia baissa tant bien que mal son pantalon et sa culotte et Stacy put contempler l’orifice béant qu’avait laissé son chien entre les fesses de la mère de famille.
— Il t’a pris par derrière ?!
— Oui ! J’avais encore les fesses pleine du cadeau de Rex et ton chien s’est mit à frotter mon clitoris avec son sexe, après la sodomie sauvage que je venais de subir, ça m’a fait du bien mais avant que je m’en rende compte, il est entré passé par le mauvais trou et a commencé à ramoner.
— Quelque chose me dit que ça t’a bien plu…
— C’est vrai, de savoir que j’allais enfin connaître une nouvel amant m’excita, peut importe par où il allait passer.
— Tu vois ! Depuis le temps que je te propose de venir avec moi une nuit dans le parc, tu va enfin accepter !
— On verra ça plus tard, mais c’est quoi cette histoire de poney ?
— Ça c’est passé un peu après le chenil, malgré tous les chiens que j’avais essayé, j’avais encore envie de découvrir un truc nouveau alors je suis allée faire un tour du coté de la vieille ferme, tu sais à la sortie du village.
— Oui, celle où on voit toujours des chevaux dans un grand pré.
— Voilà, et je me suis dis qu’un cheval devait pourvoir me faire grimper aux rideaux comme une folle, mais j’ai été un peu optimiste sur mes capacités.
— Heu… Ton chien n’est pas loin d’avoir un sexe aussi gros que celui d’un cheval si on prend la taille du nœud.
— Peut-être, mais le nœud de Sultan se bloque et ne bouge pas, là c’est un peu comme si je ne me faisait prendre que par son nœud et qu’en plus il me traversait plusieurs fois
— Comme Rex le fait avec moi, c’est pas désagréable en fait.
— Attends, tu es en train de comparer la taille du sexe de Rex avec celui de Sultan ? Mais ça n’a rien à voir ! J’arrive très facilement à faire passer entièrement ton animal dans mes fesses alors que pour le mien j’ai besoin d’un minimum de préparation, d’ailleurs c’est pour ça qu’il a glissé entre tes cuisses avant de te prendre par derrière.
— Il est vraiment bien dressé !
— Et c’est pas le meilleur, quand tu te sera remise, je te ferais essayer ce que je lui ai appris dans la salle de bain. Bref, j’avais mit une jupe ultra courte, je crois même que c’était celle que j’avais tout à l’heure, et je me suis mise à masturber l’un des chevaux de l’enclos. Il fut en érection assez rapidement et je me suis placée juste en dessous pour le faire renter en moi. Son sexe était vraiment immense ! Il passait entre mes cuisses et arrivait jusqu’à mes seins avec un diamètre incroyable. J’ai glissé plusieurs fois dessus pour le motiver à éjaculer parce que je voulais y goûter avant de l’accueillir. J’avais les cuisses trempées grâce à mon excitation et j’en ai profité pour commencer la pénétration, mais je n’ai réussi qu’à faire passer le bout et à force de glisser dessus, il s’est mis à gicler une quantité incroyable de sperme ! J’en avais déjà sur le débardeur blanc que j’avais prévu pour l’occasion, mais ça me coulait sur les cuisses jusqu’aux mollets ! J’avais réussi à en faire entrer en moi, je voulais surtout me faire pénétrer.
— Un cheval ! Et bien dis donc ! Je n’aurais jamais pensé ça de toi !
— C’est vrai que je préfère largement les chiens parce qu’ils sont plus actifs et qu’on peut les dresser, mais je ne regrette pas du tout cette expérience.
— Et le poney alors ?
Karine était à présent en train de chevaucher Sylvain. L’homme caressait sans cesses les seins de la jeune maman tout en gardant une main sur ses fesses.
— Mets-moi un doigt par derrière !
— Avec plaisir !
Le vétérinaire décala le string fendu et plaça le bout de son doigt à l’entrée du petit trou de la jeune femme. Puis il força l’entré avec douceur et recommença la manœuvre à plusieurs reprises.
— Hmmmm comme c’est bon ! Tu sais que je me suis aussi faite sodomisée par Sultan ?
— Tu m’excites !
La jeune maman était en transe, cet homme était celui qu’elle attendait depuis longtemps, il était tendre mais aussi sauvage et surtout il prêtait une grande attention au plaisir de sa partenaire. Désireuse de redevenir chienne, Karine implora son amant de la sodomiser en levrette. N’étant pas spécialement adepte à cette pratique, Sylvain accepta uniquement pour la combler.
— Vas-y fort s’il te plaît ! Tu sera le premier homme à passer par là !
Excité par ces propos, le vétérinaire prit conscience que celle qui s’offrait à lui n’avait jamais été prise par derrière que par des animaux et cette pensé l’empêcha de se retenir plus longtemps. Cramponné aux hanches de la jeune femme, il se crispa et s’introduit le plus profond possible pour honorer cette magnifique créature en lui envoyant sa semence dans les entrailles. C’est au moment où Karine sentit son amant se décharger qu’elle poussa un long gémissement de plaisir résonnant comme un écho à celui du bel homme.
— Mon dieu ! Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas fait l’amour comme ça !
— Normal, si tu ne te laisses prendre que par des chiens, ils font rarement cas de leurs partenaires !
— Non, je veux dire que tu es vraiment formidable ! J’ai jamais ressenti ça aussi fort, même avec mes ex !
— Ton corps est splendide, tu mérites qu’on en prennes soin.
— Merci, tu n’es pas mal non plus bel étalon.
Installés face à face, les deux amants prirent le temps de faire plus ample connaissance, Sylvain était ravie de savoir que Karine avait un enfant, car lui-même ne pouvait pas en avoir. Ils échangèrent ainsi durant près d’une heure, se rendant rapidement compte qu’il étaient fait l’un pour l’autre.
— Donc, tu es devenue complètement accroc au sexe avec ton chien ?
— Pas seulement le miens en fait, mais n’importe lequel tant qu’il fait passer son nœud en moi.
— Tu sais, je peux t’aider à profiter pleinement de ton plaisir grâce à mon travail, mais il faudrait que l’on s’installent ensemble.
— Et tu accepterai mon fils comme ça, sans problèmes ?
— J’adore les enfant mais je suis malheureusement incapable d’en avoir, ça serait un plaisir de fonder une famille avec vous.
Karine n’y croyait pas, elle venait de découvrir cet homme qu’elle avait déjà rencontré de nombreuses fois, mais jamais elle n’aurait pensé construire quelque chose avec lui.
— Je suis sûre que tu dis ça parce qu’on vient de coucher ensemble !
— Non, j’aurais peut-être dis ça POUR qu’on couche ensemble, mais je sens vraiment un truc entre nous pas toi ?
La jeune femme était sous le charme du bel homme, elle avait effectivement eut un coup de foudre lors de leur discussion mais elle devait être prudente. Elle posa des questions de plus en plus personnelles à Sylvain pour voir si elle entamerait ou pas une relation avec lui.
— Et le fait de voir ta copine se faire monter par un chien ça te fais rien ?
— Si ! Ça m’excite au plus haut point, depuis que j’ai mis la mains sur ton string, je ne pense qu’à ça
— Et tu resterais fidèle même si je te trompe devant ton nez ?
— Tu vas laisser un chien se vider en toi, ce n’est pas vraiment un adultère ! Si tu prends du plaisir et que moi aussi, je ne vois pas où est le mal ! Surtout si tu me laisses profiter de ton corps après.
— Tu accepterais de passer après un chien ?!
— J’irai jusqu’à passer en même temps qu’un chien pour faire de toi une femme comblée !
A cette pensée, Karine sentit son sexe s’humidifier. Elle s’imaginait déjà en train de chevaucher Sultan sur une chaise pendant que Sylvain la prendrai par derrière.
— Tu m’as l’air toute excitée ! Je peux profiter un peu de ton goût ? Mon ex femme détestait que je passe ma langue entre ses cuisses alors que c’est ce que j’adore faire comme préliminaire.
Sans un mots, la jeune maman posa un doux baiser sur les lèvres du vétérinaire, puis elle caressa ses cheveux pour finalement accompagner de la main le visage du bel homme qui se dirigeait entre ses cuisses.
— Aïe ! Ça fait trop mal Johanna arrêtes !
— Attends, son nœud n’est pas encore passé !
— J’ai plus envie ! Tant pis si il retourne avec Karine, j’en peux plus !
— Allez, un dernier effort et c’est fini !
La métisse était en train de faire en sorte que la première sodomie d’Alexandra soit complète. Filou ne bougeait même plus le bassin et se laissait docilement faire par Johanna en gardant un regard plein de tristesse vers sa partenaire. Dans un ultime mouvement, la belle blonde réussi à faire rentrer le nœud du chien à travers les fesses de la jeune fille.
— Voilà ! Maintenant tu sais ce que ça fait d’être une femelle !
— Haaaaaaaaaaa ! Elle est énorme ! Ça fait mal ! Haaaaaaaaaaa
— Profites ! Tu es la deuxième fille à qui il inaugure tous les trous !
— QUOI ?! La deuxième ?!
— Ha ! J’ai oublié de te dire que ma première sodomie c’était aussi avec lui, en fait j’ai été la première fille qui s’est faite inaugurer tous les trous par ce chien.
— putain mais pourquoi tu me l’a pas dit ?!
— Parce que j’en ai marre que tout le monde profite de MON plan cul ! C’est MOI qui lui ai fait connaître les femmes et c’est avec MOI uniquement qu’il doit baiser ! Déjà Karine en profite assez comme ça et si j’avais laissé faire, il se serait aussi tapé Stacy et ta mère!
— Tu es complètement folle !
Le nœud de Filou était coincé dans les fesses d’Alexandra faisant ainsi s’échapper la semence qu’il avait déposé un peu plus tôt et qu’elle avait gardé précieusement dans son corps. Le mélange des deux amants était comme un puissant attractif pour les mâles et Johanna allait bientôt devoir payer le prix de sa méchanceté.
— Tu vois, Filou c’est comme mon mec, quand j’ai besoin de tirer un coup je n’ai qu’a écarter les cuisses pour qu’il comprenne et…
La belle blonde n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’elle fut projeté au sol sans en connaître la raison. Avant de pouvoir se retourner, elle sentit que quelque chose glissait entre ses cuisses.
— Putain mais il se passe quoi là ?
— Sultan !
— Sultan ? Mais d’où il sort ?
— J’en sais rien mais je l’ai déjà vu faire ça avec Stacy et je pense que toi aussi tu vas te faire prendre par derrière !
— Je crois pas, il a fait la même chose avec Karine la première fois qu’il se l’est tapé !
Filou compris instinctivement que sa partenaire ne prenait pas de réel plaisir, et il réussi à se libérer en prenant grand soin de ne pas trop faire souffrir sa femelle qui poussa tout de même un long gémissement de plaisir lorsque son mâle s’extirpa de ses fesses.
— Haaaaaaaaaaa ! Bon chien !
— Ça alors ! C’est la première fois que je le vois sortir aussi facilement !
— Oui et maintenant je vais m’assurer que toi aussi tu te fasses casser le cul, littéralement !
— Non ! Déconnes pas je suis vraiment pas capable de prendre toute sa bite ! J’ai déjà essayé par là !
Alexandra ne prêta pas attention aux objections de la métisse et elle se mit à son tour à guider l’énorme sexe du dogue allemand directement entre les fesses de la belle blonde.
— Aïe putain comme elle est grosse ! Fais-le bouger au moins !
Mais la blonde platine avait d’autres projet. S’assurant que le chien avait passé une bonne partie de son anatomie dans les entrailles de Johanna, elle se masturba afin de produire son odeur particulière et ainsi pousser le dogue allemand à faire passer son nœud en force.
— NON ! Arrêtes s’il te plaît fais pas ça ! Je m’excuses mais ne le laisses pas passer son nœud dans mon cul ! S’il te plaît !
— T’as voulu me voir en train de me faire prendre par derrière et bien maintenant c’est à mon tour !
Son sexe ne contenait plus une seul goutte de semence canine et elle n’eut pas besoin de produire beaucoup de cyprine avant que Sultan ne comprenne le message olfactif.
— Aïe ! Haaaaaaaaaaa ! PUTAIN ALEX RETIRES-LE ! Haaaaaaaaaaa !
— Non, tu as voulu profiter du spectacle mais finalement c’est toi qui l’a dans le cul !
Le dogue allemand ne poussait que dans un seul sens comme il le fit avec Karine, mais comme avec Stacy c’est en passant par derrière qu’il voulait entrer dans sa femelle. Dans cette position, Johanna ne pouvait qu’exprimer sa souffrance en sentant son orifice trop étroit s’écarter de plus en plus sous la pression colossale qu’exerçait le mâle.
— Pour le poney c’est un peu plus compliqué ! J’ai regardé dans le pré si il n’y avait pas de cheval plus petit que je pourrais accueillir, et j’ai vu ce pauvre petit animal allongé dans un coin. Il était sur le flanc et je me suis dis qu’il y avait là pour moi une opportunité en or de goûter à la sensation d’un très gros sexe totalement en moi. Je l’ai masturbé à son tour et j’ai vu que son membre était à peine plus petit que celui de l’étalon. Je me suis mise dos contre lui et je l’ai fais glisser entre mes fesses pour l’exciter un peu plus. Quand j’ai senti qu’il commençait à gicler dans mon dos, je me suis littéralement empalée sur lui ! J’avais une jambe au sol et je tenais l’autre en l’air pour ouvrir la voie le plus possible mais je peux te garantir que même comme ça, je sentais chaque millimètre de son sexe entrer en moi. C’était vraiment exceptionnel de me faire pénétrer autant, je me suis sentie femme comme jamais !
— Mais ça ne te faisait pas mal ?
— Un peu au début, mais attends de connaître la suite ! Donc j’avais cet énorme membre en moi et j’ai commencé à onduler du bassin pour qu’il me remplisse, j’étais dans un état second rien qu’en pensant à la quantité colossale de semence que j’allais bientôt accueillir ! Puis, sans crier gare, l’animal se redressa alors qu’il était encore en moi !
— Sérieusement ?! Mais comment t’as fait ?
— Et bien j’ai essayé d’accompagner ses mouvements, mais j’ai du finir à quatre pattes sous lui.
— Ça te change pas trop de tes partenaire habituels finalement.
— Sauf que dans ce cas c’était à moi de faire les mouvements ! Bref, j’ai continué à bouger pour qu’il finisse rapidement parce que je voulais sentir au plus vite son sperme me remplir. Au bout de quelques minutes, je fus enfin exaucée et il se mit à faire couler une incroyable quantité de liquide, mais surtout il envoya le bassin en avant faisant taper son sexe au plus profond de moi.
— Donc en gros, il t’a mis qu’un seul coup de rein.
— Et quel coup de rein ! Il est entré d’au moins dix centimètre d’un seul coup ! Je ne me savais même pas aussi profonde ! Contrairement à mes rapports canins, il est sorti immédiatement après avoir giclé et moi je suis restée au moins une demi-heure allongé au sol avant de pouvoir marcher à nouveau.
— Et bien ! C’est une sacrée expérience ! Tu n’en as pas gardé de séquelle au moins ?
— En un sens si, puisque c’est depuis cette époque que j’ai pris Sultan et que je le dresse à passer son nœud à travers moi.
— D’accord ! Donc si ton énorme chien est dressé à passer son nœud c’est juste parce que t’as pas de poney en fait.
— Tu y vas un peu fort ! J’ai dis que c’était le plus gros que j’avais accueillit, pas que je voulais retenter l’expérience.
— Bon alors faisons un marché, je viens avec toi une nuit dans le parc si tu acceptes de te faire prendre une nouvelle fois par un poney.
— Je ne vois pas vraiment ce que ça t’apporte, mais j’accepte ! Le plaisir de te voir en pleine action avec un chien vaut bien une petite escapade dans les prés !
Olivia était étrangement excitée par le récit de la belle rousse et se demanda si elle allait pouvoir respecter sa part de marché en se faisant monter à de nombreuses reprises par des chiens errants.
— Bon, si on allait voir où en sont les deux tourtereaux dans la chambre ?
— Je ne peux toujours pas bouger, mais passes-moi mon téléphone s’il te plaît, je commence à me faire du souci pour ma fille.
— Ne t’inquiètes pas, elle et Johanna doivent être en train de promener dans le parc à la recherche de Sultan.
— Ou alors cette merdeuse à forcé ma fille à se faire prendre par des chiens errants ! Oh Merde ! Sultan ! J’ai complètement oublié de te dire qu’il s’est encore enfuit !
— Quoi ?! Mais pourquoi tu l’as laissé partir ?!
— Parce qu’il essayait de finir ce qu’il avait commencé ! Quand je suis sortie de l’enclos, il a voulu me faire tomber au sol pour me prendre par derrière mais je suis restée debout contre le portail, il a quand même réussi à glisser contre mes fesses, mais j’avais eu le temps de remonter mon pantalon alors voyant qu’il ne réussirait pas à entrer, il s’est enfui !
- Bon, j’irai le chercher plus tard. Appelles ta fille pendant ce temps-là je vais faire un tour dans la chambre.
— Tu es vraiment doué avec ta langue !
— Merci, mais c’est parce que j’adore le goût de tes lèvres.
— Lesquelles ?
— Toutes.
Prouvant ses dires, Sylvain embrassa fougueusement Karine. La jeune femme était aux anges, jamais elle ne s’était sentie aussi bien avec un homme d’autant plus que celui-ci n’était pas du tout géné par les perversions de la jeune maman.
— Mais dis-moi, tu as vraiment laissé ces deux chiens profiter de ton magnifique corps ?
— Et bien…
— Ha ! Tu as exagéré ?!
— Non, je ne t’ai pas tout dis en fait.
— Comment ça ?
— Pour ne rien te cacher, depuis vendredi dernier j’ai laissé six chiens différents me pénétrer, quatre m’ont sodomisés et j’en ai fait jouir deux ou trois dans ma bouche.
— Quoi ?! Tout ça en si peu de temps ?! Mais dis-moi tu en as pris deux OU trois en bouche ?
— Je ne me souviens plus trop, j’avais l’esprit embrumé avec Max et je ne suis pas vraiment sûre de ce qu’il m’a fait.
— OK, alors essaie de me laisser profiter du spectacle la prochaine fois, je compterai à ta place.
— Tu pourras même y participer si tu veux.
Karine avait le cœur qui battait très fort lorsque que sylvain la serra contre elle. Tout était en train de s’arranger pour la jeune maman car elle pouvait maintenant justifier la prolongation de absence par un véritable homme et non un compagnon canin que ses parents auraient eu du mal à accepter comme gendre. Pendant que le vétérinaire prenait sa partenaire dans ses bras, la porte de la chambre s’ouvrit et il vit y apparaître Stacy. Karine ne portait que son string fendu mais elle n’était pas du tout pudique et encore devant cette femme qui l’avait vu en train de s’accoupler avec un chien.
— Je ne vous dérange pas j’espère ?
— Non, entre !
— Alors, tu as réussi à convaincre notre invité de garder ce qu’il se passe ici secret ?
— Je ne sais pas, demande-lui !
— Et bien Karine sait être très persuasive et faire don de son corps pour obtenir ce qu’elle désire. Vous aviez prévu quoi dans le cas contraire ?
— Mon pauvre garçon ! Je ne couche qu’avec des chiens depuis que j’ai quitté la pornographie, Olivia est mariée et Alexandra et Johanna pourraient être tes filles ! Il ne restait que Karine pour te convaincre ! Ne t’attends à rien d’autre !
— Hé ! Une minute ! Je suis réellement content que ce soit elle qui m’ait expliqué la situation et je ne suis pas du genre à courir d’autre filles !
— Voyez-vous ça ! Un homme fidèle… ma chérie, on dirait que tu as tiré le gros lot !
La jeune maman n’était pas du tout gênée d’être nue devant la rouquine, mais le simple fait qu’elle soit assimilé à un couple avec Sylvain la fit devenir écarlate..
— Bon, et bien je crois que vous avez encore plein de choses à vous dire ! Olivia est allongée sur le canapé dans le salon, elle ne peut plus se déplacer depuis que Rex l’a prise par derrière et les filles ne sont toujours pas revenues. Sultan s’est échappé encore une fois alors je pars à sa recherche. Faîtes comme chez vous et n’hésitez pas à vous mettre à l’aise. Rex et Max sont dans leurs box si vous en avez besoin.
Le regard plein de sous-entendus, Stacy tourna les talons et laissa la porte ouverte derrière elle comme pour inviter les deux amants à quitter la chambre.
— Elle voulait dire quoi par là ?
— Je crois qu’elle veux qu’on essaie de faire ça à plusieurs avec les mâles de l’enclos.
— QUOI ?! Mais attends, elle est pas jalouse ?!
— Bien au contraire ! C’est elle qui m’a demandé de garder Max pour que j’essaie avec lui. Olivia vit très mal le fait que son compagnon nous ait prise toutes les trois, mais pour Stacy, plus une femme s’accouple avec des chiens différents, plus elle est heureuse.
— Toutes les trois ? J’ai du mal à suivre en fait.
— Je vais tout t’expliquer en allant rejoindre les deux autre mâles.
— Tu es sûre de vouloir faire ça ?
— Et pourquoi pas ? Si tu ne te sens pas assez en forme, je peux y aller sans toi mais tu ne sais vraiment pas ce que tu manques !
Sylvain et Karine quittèrent la chambre main dans la main et la jeune maman eut le temps d’expliquer succinctement la situation des cinq femmes qui partageaient la même passion avant d’arriver dans l’enclos.
— Je t’en supplie Alex, empêche-le de forcer comme ça ! Haaaaaaaaaaa !
— Allez, encore un tout petit effort et il sera passé !
— Mais putain il me défonce même pas ! Je prends aucun plaisir là tu vois pas !
— Le but c’est pas de TE faire plaisir mais de LUI faire plaisir ! Courage ma grande, il faut encore qu’il t’ouvre un peu plus le cul et t’aura son nœud en toi.
— Haaaaaaaaaaa ! Arrête-le s’il te plaît ! Haaaaaaaaaaa !
— Oh ! Attends, j’ai mon téléphone qui sonne… C’est ma mère, tu peux souffrir moins fort s’il te plaît ?
— Allo ?
— Allo ma chérie ? Tout va bien ?
— Oui, je suis à la maison avec Johanna, Filou et Sultan.
— Ha ! Sultan est là lui aussi ?!
— Oui, Johanna à voulu que Filou me prennes par derrière et…
— QUOI ?! TU T’ES QUAND MÊME PAS LAISSEE SODOMISER JUSTE APRES AVOIR PERDU TA VIRGINITE ?! ET PAR UN CHIEN EN PLUS ?!
— Arrête de crier ça sert à rien et oui je l’ai laissé passer entre mes fesses, j’ai pris son nœud dans le cul et je l’ai même sucé pour avaler son sperme si tu veux tout savoir.
— MAIS TU ES COMPLETEMENT FOLLE MA FILLE ! TOUT CA A CAUSE DE CETTE TRAINEE DE…
— STOP ! Et d’une tu te calme ou je raccroche, et de deux cette petite garce et en train de prendre cher avec Sultan. Je me suis débrouillé pour qu’elle soit dans la même situation que Stacy cet après-midi. Écoute ça !
Tendant le téléphone en direction de la métisse, Alexandra se rendit compte que le chien avait cessé de pousser sans que son nœud soit entré dans sa partenaire. Pour y remédier, elle se caressa à nouveau et le dogue allemand se remit immédiatement à forcer l’entrée des fesses de la belle blonde, lui arrachant des nombreux cris de souffrance.
— Tu vois, elle a ce qu’elle mérite.
— Ma fille, je suis très fière de toi mais rappelle-toi que Filou est le chien de Karine et qu’on ne pourra pas le garder. Tu n’as pas à le laisser profiter de ton corps comme ça, si vraiment tu y tiens, Stacy et moi irons te choisir un animal avec lequel tu pourras profiter pleinement de ta sexualité.
— Je sais maman, mais c’est avec lui que j’ai envie de coucher et aucun autre. D’ailleurs je suis sûre qu’il ressent la même chose.
— Quand tu reviendras on en parlera avec Karine pour voir si on peux le garder de temps en temps. Tu comptes revenir chez Stacy ou tu passes la nuit à la maison ?
— J’aimerais profiter de cette soirée seul à seul avec Filou.
— Très bien, quand Sultan se sera bien vidé, renvoi-le avec sa chienne ici, j’aurais deux mots à lui dire.
— D’accord maman, je t’embrasse.
La blonde platine posa son téléphone et se plaça juste devant Johanna dont les cris était de moins en moins fort.
— On dirait que tu t’habitues à cette grosse bite dans ton cul !
— Haaaaaaaaaaa ! Il est toujours pas passé mais ça fait tellement longtemps qu’il force que je me suis habitué à la …. HAAAAAAAAAAA !
— Oh ! Et bien je crois que cette-fois ça y est ! Alors, tu tiens le coup ? Il est bien en place ?
— OUIIIII ! PUTAIN QUE CA FAIT MAL !
— Bon, on va attendre qu’il se vide les couilles entre tes fesses et après tu retournas chez Stacy, ma mère voudrait te dire deux mots.
— Haaaaaaaaaaa ! Tu crois que de me prendre cette gigantesque bite dans le cul ça va pas suffire ?
— Je ne sais pas, tu lui demanderas toi-même.
— PUTAIN ALEX ! J’ai vraiment mal au cul avec ce qu’il est en train de me mettre ! Je pourrais jamais aller jusque là-bas !
— Bon, alors laisses-moi t’aider un peu.
Alexandra attrapa le dogue allemand par le collier, puis elle le fit pivoter pour que les deux amant se retrouve fesses contre fesses.
— Aïe ! Mais qu’est-ce que tu fais ?!
— Je t’aide à aller chez Stacy !
— NON ! T’es folle ! Et si on me voit !
— Tiens, mets ça et essaie d’avoir l’air naturelle.
Johanna n’avait pas le choix et du se rhabiller en laissant le bas de sa robe reposer sur la base du nœud qu’elle avait coincée entre les fesses. Avant de pouvoir esquisser le moindre geste, Alexandra mit une claque sur le flanc de Sultan en lui glissant trois mots à l’oreille.
— A la maison !
— NON ! Je veux pas me faire tirer pas le cul jusque là-bas !
Le chien essaya de se déplacer alors que la femelle à laquelle il était accroché avait du mal à suivre, mais la douleur qu’elle subissait à cause de la force de l’animal la poussa très vite à marcher à reculons. Les fesses encore occupées par le nœud du dogue allemand rendant sa démarche encore plus douloureuse, Johanna ne réussi pas à retenir ses cris de douleur en s’éloignant de la maison.
— Alors, comment on s’y prends ?
— Viens avec moi sans le box de Max, si il connaît le truc de la chaise on va se régaler !
— Le truc de la chaise ? C’est à dire ?
— C’est comme ça que j’ai coincé mon string sur le nœud de Sultan, je fais s’asseoir le chien sur une chaise, ensuite je me place sur son sexe face à lui. Dans cette position c’est moi qui contrôle la pénétration et en plus j’ai les fesses facile d’accès pour toi !
— Quel programme !
Karine et Sylvain étaient à présent dans le box en compagnie du beauceron de Stacy et avant même d’enlever son string, la jeune maman tapota l’assise de la chaise et le chien s’y installa immédiatement.
— Géniale ! Juste le temps d’enlever ça.
— Non ! Ça m’exciterai vraiment que tu me montres comment tu l’as perdu la première fois !
— D’accord, mais tu vas devoir me remplir les fesses avant.
— Aucun problème, je suis déjà très excité à l’idée de ce qu’il m’attend.
Avant de chevaucher l’animal, la jeune femme prit le temps de poser sa bouche sur le sexe déjà prêt de son futur amant canin afin de le lubrifier un peu plus puis elle s’installa sur lui comme elle le fit avec Sultan quelques heures plus tôt.
— Hmmmm ! Comme c’est bon dans cette position ! Tu es prêt à passer entre mes fesses ?
— Plus que jamais !
Le vétérinaire avait déjà le pantalon sur les chevilles et sa main venait tout juste de descendre le tissu le séparant du petit trou de sa compagne, puis il présenta son sexe sur l’orifice inoccupé de la jeune maman et se mit à forcer délicatement le passage.
— OH MON DIEU ! J’ai déjà essayé une double avec deux chiens, mais avec un homme c’est encore mieux !
— Il faut avouer que tu as une paire de fesses vraiment attirantes !
— Et j’adore quand tu les visites ! Vas-y plus fort s’il te plaît ! Je veux sentir ton sexe entrer et sortir le plus vite possible !
— Pas facile avec la place qu’occupe ce chien !
La jeune femme avait laissé le nœud du chien passer dès qu’elle fût installé sur lui et afin de profiter pleinement de la pénétration anale qu’elle subissait en même temps, elle tendit ses jambes suffisamment pour ne garder que le sexe de Max dans son corps et ainsi faciliter les mouvements de Sylvain.
— C’est plus facile comme ça ?
— Oh oui !
— Alors vas-y ! Défonce-moi ! Défonce-moi ! encule-moi comme une pute !
— Ah t’en veux des insultes ?! T’es qu’un trou à chien et t’as besoin d’une bonne grosse bite de mec dans le cul pour te faire jouir salope !
— OH OUI ! Je suis une grosse salope et j’ai ta bite dans le cul qui me défonce pendant qu’un chien me gicle dans la chatte ! Je suis une pute, une grosse salope ! J’adore me faire enculer et baiser en même temps ! Je veux sucer une bite !
Karine ne contrôlait absolument plus son corps, elle n’avait pas du tout l’habitude de ce vocabulaire, mais avec Sylvain elle se sentait suffisamment à l’aise pour savoir que ce n’était que l’excitation du moment qui la faisait parler. Afin de pouvoir mettre un sexe dans sa bouche, la jeune maman se releva du beauceron en laissant sont string sur place. Elle avait réussi sa manœuvre tout en gardant son autre partenaire en place, puis elle se mit à quatre pattes et plaça sa bouche à l’endroit où elle avait laissé son sous-vêtement.
— Vas-y maintenant casse-moi le cul pendant que je suce cette bite !
— Oh mais tu aimes ça d’avaler une queue qui sort de ta chatte hein ?
La situation était trop excitante pour le vétérinaire qui ne put se retenir plus longtemps et envoya une fois de plus sa semence au plus profond des entrailles de Karine qui poussa un gémissement de plaisir. Mais Max n’en avait pas fini avec sa femelle et comme il le fit avec Johanna, il posa ses pattes sur la tête de sa partenaire et forçat pour qu’elle fasse entrer le membre animal jusque dans sa gorge. Quand il sentit que son nœud était en contacte directe avec les lèvres de la jeune maman, il se laissa aller remplissant la bouche de la jeune femme de son sperme canin.
— Excuse-moi, j’ai vraiment pas l’habitude de parler comme ça.
— Non, c’est moi qui m’excuse je suis allé trop vite et tu n’as pas pu profiter d’un remplissage simultané.
Karine sourit bêtement, elle se rendit compte que cet homme était vraiment quelqu’un d’exceptionnel et décida donc de tenter un ultime expérience sexuelle avec lui pour voir jusqu’où ils étaient compatibles.
— SULTAN ! Allez viens mon grand ! SULTAN !
Stacy était à présent dans le parc en train de chercher son chien sans savoir que celui-ci était en ce moment même coincé avec Johanna.
— Bon, visiblement il n’est pas là alors essayons au moins de ne pas être venue pour rien.
La rouquine fouilla dans son sac et en sortit deux préservatifs contenant la semence de Filou qu’elle avait pris dans les affaires de Karine.
— Voyons voir si ce truc marche vraiment.
Elle porta les deux contenants à sa bouche pour les ouvrir à l’aide de ses dents, et se retrouva avec les mains et les lèvres recouvertes de sperme animal.
— Tiens, je l’avait jamais goûté celui-là… Hmmmm mais il est vachement bon ! J’espère que ça attire vraiment les mâles.
Ne sachant pas vraiment comment cela fonctionnait, la belle rousse posa ses doigt ruisselants sur son sexe et commença à se masturber avec le liquide. Elle n’avait fermé les yeux que l’espace d’un instant et pourtant il y avait autour d’elle une bonne dizaine de chiens errants dont certains lui étaient complètement inconnus.
— Et bonjour vous ! Oh ! Mais il y a plein de nouveaux ! Qui c’est qui veut monter une vrai femme ?
La rouquine se mit à quatre pattes se cambra au maximum afin de faire apparaître son sexe mais surtout de montrer aux mâles présent qu’elle était prête à se faire saillir. Le premier chien à profiter de l’anatomie très attirante de la jeune femme était un doberman qu’elle avait déjà eut le joie rencontrer quelques semaines auparavant, elle n’eut pas besoin de se retourner pour reconnaître l’animal tant elle connaissait parfaitement sa façon de faire.
— Oh ! Ça c’est le doberman noir, je sais que toi tu finis vite et proprement !
Puis elle énuméra un par un ses amants et leurs qualités en ne faisant appel qu’à sa mémoire.
— Tiens, ça faisait longtemps que tu m’avais pas monté mon beau lévrier ! Avec toi je sais que ça va passer facilement.
Puis elle découvrit le premier de ses amants inconnu.
— Aïe ! Toi tu rentres directement par derrière ? Ça ne me dérange pas j’espère juste que tu n’es pas trop gros.
En se retournant, elle vit qu’il ne s’agissait que d’un labrador identique à Filou si ce n’était sa couleur beige.
— Ah Hmmmm ! Enfin tu me montes ! Oh ! Cette énorme sexe bien dur qui glisse en moi m’avait manqué mon brave retriever ! Et ton poil est toujours aussi agréable sur mon dos !
Elle se laissa ainsi prendre à douze reprise, dont trois fois par derrière et cinq fois par des mâles qu’elle n’avait jamais rencontré avant, puis elle senti une langue lui parcourir les cuisses complètement recouverte de sperme canin et ce n’est que quand elle la senti se poser sur son sexe qu’elle put mettre un nom sur l’animal à qui elle appartenait.
— SULTAN ?!
— STACY ?!
La rouquine se releva immédiatement et pu voir son chien et Johanna se tenant fesses contre fesses devant elle. Voyant cette situation, elle ne put se retenir un rire nerveux.
— Et bien alors ? Je croyais que tu allais me ramener mon chien pas le contraire !
— Très drôle. C’est une longue histoire mais je t’en supplie sort-le de mon cul parce que là j’en peux vraiment plus !
— Quoi ?! Il est en train de te sodomiser là ?!
— Oui, regarde !
La métisse souleva sa robe exposant ainsi ses fesses à la maîtresse de son amant qui constat que le l’orifice de la jeune fille n’était pas du tout fermé mais pas non plus assez ouvert pour laisser s’échapper le membre animal.
— Oulà ! C’est la première fois que je vois ça ! Mon chien est capable de rester plusieurs heures en érection, je sais pas si je peux t’aider !
— Putain Stacy s’il te plaît fait quelque chose ! Il me bloque le trou et je sens son jus en train de me remplir de plus en plus ! Si ça continu je vais exploser !
— Attends, je connais un vétérinaire qui va pouvoir t’aider.
— Mais bordel je suis pas une chienne ! J’ai juste besoin de plus sentir cette énorme bite dans mon cul !
— Je sais, mais c’est le nouveau mec de Karine, il va certainement t’aider mieux que moi !
— Quoi ?! Karine c’est trouvé un mec ?! Mais quand ? Comment ? Putain ça me soûle ça ! D’abord mon plan cul se trouve une nouvelle femelle et maintenant mon plan love se mets en couple !
— Tu veux dire que tu es amoureuse de Karine ?
— Je sais pas comment dire ça, elle est tendre avec moi et les moments qu’on a partagés était vraiment bien ! J’ai vraiment besoin d’évacuer cette bite de mes fesses, après je te raconte toute ma vie si tu veux.
— Très bien, je vais attacher Sultan ici pour pas qu’il te traîne à travers tout le village et je reviens aussi vite que possible avec le vétérinaire
— Attends ! Tu vas faire venir un mec pour qu’il me voit coincée avec un chien ?
- Oui, mais tout va bien ! Il est au courant pour nous et à l’heure qu’il est, il doit certainement être en train de faire une orgie avec Rex, Max et Karine.
Sam Botte
A suivre
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