Bonjour, je ne vais pas être très originale en me présentant, je m’appelle Martine, j’ai 52 ans et je suis mariée. J’habite en Auvergne et plus précisément en Haute-Loire près du Puy-en-Velay. Mon mari part travailler sur Saint-Étienne tous les jours et moi je travaille à mi-temps sur le Puy. Tous les après-midis je suis à la maison pour m’occuper des tâches ménagères et de notre nouvel invité.
Il y a six mois de cela, mon mari a acheté un âne. Ne me demandez pas ce qui s’est passé dans sa tête, il est tombé amoureux de cette bête et ils sont très complices tous les deux. Il gambade dans notre champ et il lui a construit une sorte de grange où il peut être à l’abri et au chaud l’hiver. Je vais souvent avec lui pour voir comment il s’en occupe. Cette grosse bête a beaucoup d’affection pour mon mari et moi. Et moi depuis peu, j’en ai également beaucoup ! Ça, c’est la faute de ce blog de pervers !
Au début, je venais pour lire des confessions intimes, on va dire classiques. Et puis j’ai vu que Lucie s’est mise à publier des histoires de zoophilie entre autres histoires tabous extrêmes. Ça m’a déçue, je dois l’avouer. Je râlais derrière mon écran chaque fois qu’une histoire était publiée sur du sexe avec les animaux. Puis un jour, j’ai lu une histoire qui était normale et au milieu il y avait un petit passage de zoophilie. Je m’en suis voulu énormément, car ça m’excitait ! Alors j’ai repris toute la catégorie zoophilie pour lire toutes les histoires les unes après les autres. Il y avait du sexe avec les chiens, et aussi du sexe avec les chevaux. Tout ça m’a donné envie de découvrir un peu plus l’âne de mon mari.
Je me suis beaucoup attardée sur son sexe et j’ai vu qu’il était content de me voir. Avec du feu dans le ventre, je profitais un après-midi où j’étais seule pour m’asseoir sur le tabouret dans la grange et prendre en main ce sexe énorme. J’ai essayé de la main gauche, mais je n’y arrivais pas. J’ai dû mettre les deux pour réussir à branler l’âne. C’était visqueux et c’était énorme. L’âne gémissait de plaisir pendant que je le branlais. J’étais surexcitée, j’avais envie de le sucer, alors je me suis approchée. Et je sais que beaucoup d’entre vous vont rigoler, parce que c’est le moment que l’âne a choisi pour éjaculer. Je me suis pris une véritable douche de sperme comme dit Lucie. J’en avais de partout ! Je n’ai même pas eu le plaisir de goûter à son sexe. Je suis rentrée à la maison pour me nettoyer et je me suis rapidement masturbée parce que j’étais très excitée par la situation.
Je me retrouvais quand même un peu frustrée. Alors j’ai attendu l’occasion suivante de me retrouver seule avec lui pour tenter l’expérience. Je l’ai masturbé de nouveau, mais pas trop pour qu’il soit fermement en érection, mais qu’il ne me jouisse pas en plein visage. Quand il était bien excité aussi, je suis mise à quatre pattes sous lui pour le sucer. J’avais les cheveux sous son ventre et la bouche ouverte pour essayer de gober cette énorme bite. Je l’ai sucé à m’en décrocher la mâchoire. C’était tellement bon ! J’avais encore ce feu dans le ventre que je n’arrivais pas à éteindre tout en me caressant. L’âne a commencé à frémir et j’ai compris qu’il allait éjaculer. Je l’ai laissé venir dans ma bouche, c’était comme si on vous vidait une brique de lait tiède entière dans la bouche. Je n’ai rien avalé, j’ai tout recraché sur mon corps. J’étais toujours en feu et insatisfaite.
Je suis retournée sur le blog pour lire des histoires d’hommes de femmes qui poussaient leur expérience plus loin avec les chevaux et les animaux. J’ai lu quelques histoires intéressantes, j’ai pris quelques conseils auprès de leurs auteurs. La troisième fois a été la bonne. J’ai branlé et sucé l’âne de mon mari avant de me mettre à quatre pattes sous lui, mais cette fois-ci avec ma croupe vers sa pine. Avec ma main j’ai dirigé ce sexe énorme vers ma chatte qui n’en pouvait plus de ce gros calibre. Il a fallu du temps pour qu’il rentre à peine un petit peu en moi. S’il avait rentré toute la longueur de sa queue dans ma chatte, ce serait ressorti par la bouche comme on peut voir dans certains Hentais. J’adore ça Lucie, tu devrais en mettre plus ! Donc je frottais ce sexe contre ma chatte et je sentais que l’âne poussait pour me pénétrer. Il a réussi un tout petit peu et je pense que l’excitation était forte pour lui comme pour moi. Je suis venue la première et je pense que mon orgasme a déclenché le sien. C’est comme si on m’avait passé le vagin au nettoyeur à haute pression. Une éjaculation ultra puissante ! J’ai coulé du sperme d’âne pendant plusieurs jours ! Enfin le feu dans mon ventre commençait à s’apaiser.
J’ai toujours été contre le sexe avec les animaux et la zoophilie. Mais à force de lire des histoires tabous de ce style sur le blog, j’ai voulu essayer et j’y ai pris beaucoup de plaisir. Par contre, je le fais toujours pour que mon animal prenne aussi du plaisir. Il n’y a aucune maltraitance bien au contraire, je dirais que ce n’est que de la bienveillance. Si vous devez essayer du sexe avec les animaux, faites-le pour leur faire du bien et non du mal.
Martine 52 ans Polignac
Jolie récit merci Martine espérons une suite bisous à toi profite bien de ton compagnon
Je suis de la Loire haute Loire , j’aimerais vraiment voir quelqu’un faire une expérience zoophile , hésite pas à m’écrire qu’on puissent prendre contact , biz martine
J’adore , encore stp ❤️
Très beau texte, bravo! J’ai vraiment apprécié.
Une toute petite remarque sur la conclusion, je vous rejoins sur le fait que ce n’est pas de la maltraitance mais depuis peu le législateur en a décidé autrement et ces actes sont maintenant condamnables par un tribunal. Le simple fait de toucher un animal avec une intention plus ou moins sexuelle suffit à être condamné. Attention donc à ne pas trop en dire en ligne, d’autres ont déjà été convoqués suite à des posts.
Mais ceci n’empêche pas de partager des fantasmes…
Ca reste une histoire comme tant d’autres. Evidemment que nous publierons pas d’histoires ou du mal serait fait à des animaux.
Dommage qu’elle n’ait pas avalé le sperme de l’âne : cela gâche un peu l’histoire. J’aimerais bien qu’il y ait une suite.