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L’art du dédoublement histoire taboue originale Partie 3

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L’instant d’après, son string et son soutien-gorge filèrent dans un coin de la chambre et elle reste habillée du porte-jarretelles, des bas ainsi que des colliers et chaînes. Sous oublier ses gants qu’elle porte toujours. Par contre, elle ne pouvait pas raisonnablement garder ses chaussures. Elle a droit à un festival de langues fouineuses sur sa chatte, dans sa chatte, sur ses auréoles et sa bouche. Les mains caressent sans répit son corps, les doigts palpent tous ses plis et recoins. Nadia s’abandonne complètement, soupirant d’aise. Des mains qui jouent à lui capturer les seins de ses colliers, à les torturer ainsi. Des corps chauds qui l’épousent, se plaquent sur elle.

Elle est à présent dans le lit, allongée sur le dos, jambes écartées, à se laisser faire un cunnilinctus. Je trouve qu’elle ne participe pas beaucoup. Du coup, je pose ma queue sur ses lèvres. Elle secoue la tête :

 

— J’ai pas envie de te sucer !

— Donne au moins un coup de langue ! (celui du haut)

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— Un seul, c’est tout ! Normalement, sa place, c’est plus bas !

— On peut y remédier ! (celui du bas).

 

Je quitte alors sa chatte que je lèche depuis un bout de temps et viens me vautrer sur elle. Ma verge trouve sans problème l’entrée et je commence mon va-et-vient en elle, pour la bonne cause. Comme je suis excité à mort, c’est avec beaucoup de bruits et grognements de satisfaction que je me libère en elle. Elle râle un peu de ma précipitation mais aussitôt que je me retire, l’autre prend ma place. Et à nouveau je la pistonne plus doucement, mêlant volontairement mes poils aux siens. Grâce à mes mouvements circulaires, je parviens à agacer son clitoris de mes poils drus. Elle commence à soupirer d’aise.

Comme je suis poisseux d’avoir joui en elle tandis que l’autre la pistonne, je décide de poser mon sexe flasque sur ses seins et j’y laisse une belle trace. Entre deux gémissements, elle proteste un peu : ce qu’il ne fallait pas faire ! J’en profite pour clore ses lèvres de ma tige visqueuse tandis que je lui pince les tétons. Vaincue, le clitoris en feu, les tétons tiraillés, elle ouvre la bouche et me suce afin me nettoyer. Sa langue enrobe d’abord mon gland et en chasse toutes les sécrétions, les siennes comme les miennes. Je lui ai un peu forcé la main, il est vrai que nous sommes deux sur elle et elle doit se sentir un peu humiliée. Toutes ces sensations la conduisent droit vers l’orgasme et elle m’expulse afin de crier. Moi qui la pistonne de mon côté, je n’attends que çà pour me lâcher en elle et l’inonder à mon tour. Elle n’a pas le temps de s’en remettre, que déjà sorti d’elle, je fais comme mon jumeau, je lui présente mon sexe mou à sucer. Les tétons toujours pris en tenailles, elle s’exécute, mais je ne suis pas sur que çà ne soit que par contrainte. Comme nous sommes partis sur la bonne pente, nous exigeons d’elle qu’elle nous accueille dans sa bouche à tout de rôle puis tous les deux ensembles.

 

Elle est maintenant complètement ouverte, la chatte à l’air, dégoulinante, deux sexes en bouche. Et çà ne fait que commencer. Je sens que je vais réussir à la tirer au moins quatre fois et comme nous sommes deux ! Des idées lubriques fusent dans nos esprits. Comme ce que pense l’un, l’autre le sait, nous nous retirons de sa bouche et ordonnons :

 

— Maintenant comme çà dégouline, empêche que çà sorte avec ta main ! Plaque-là sur ta chatte et profite-en pour te masturber !

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— Et si je refuse ?

— Je ne crois pas que tu sois en position !

 

L’un de nous lui mordille un sein et laisse une belle trace de dents sur la chair. Je pense qu’elle proteste pour la forme et d’ailleurs, la morsure est bénigne. Elle plonge sa main gantée dans sa chatte poisseuse pour endiguer le reflux et commence un lent mouvement à la recherche de son plaisir. Je pose une couille sur sa bouche et lui demande de la gober délicatement. Etre en elle ainsi est délicieux. Depuis le temps que j’attendais ce genre de plaisir que la première femme ne me refusait jamais !

Nous passons ensuite à une autre étape et lui demandons de se mettre le cul à l’air, en buse, après s’être retournée sur le ventre. Son cul ainsi présenté avec ses jambes gainées de noir et le porte-jarretelles est d’une totale impudeur, on dirait une pute de premier choix et çà nous excite au plus haut point. La chaîne qu’elle a autour de la taille lui donne un air encore plus ambigu. Nous exigeons d’elle qu’elle continue à se masturber de son gant englué et nous plongeons à tour de rôle dans cette belle chatte distendue tandis que l’autre continue ses frôlements et agaceries sur Nadia qui se soumet de plus belle. Nous nous essuyons sur ses belles fesses, sans qu’elle ne s’y oppose, trop occupée avec son clitoris noyé sous le sperme de son gant. Pour reprendre notre souffle afin de mettre en pratique notre prochaine idée, nous nous occupons des fesses, des seins et de la bouche d’une Nadia qui jouit à nouveau de ses doigts et qui est actuellement assez loin de la prude femme qu’elle était, il y a à peine deux heures.

Cà y est, nos machins sont à nouveau d’attaque, version trois. Nous lui donnons la marche à suivre :

 

— Quand on te le dira, tu te masturberas de ton autre main. (moi 1)

— Pendant que tu suceras ton autre main. (moi 2)

— Celle qui… (elle)

— Celle qui est actuellement collée à ta chatte ! (moi 2)

— Et tu laisses ton cul en buse ! (moi 1)

— Et, je ne veux pas que tu rentres par là ! Dit-elle, une pointe d’appréhension.

— T’inquiète, c’est autre chose qui est prévue ! (moi 1)

 

Elle change de main et approche son gant poisseux à ses lèvres. Elle hésite un peu puis se décide. Le goût mélangé de nos spermes et de ses liqueurs ne lui déplaît pas de trop. Nous sommes en action à l’orée de sa chatte béante. Notre propos est simple, y plonger tous les deux et lâcher notre foutre de concert dedans.

 

— Ah !

 

Elle sursaute quand nos deux glands forcent l’entrée de ses petites lèvres.

 

— Oooh !

 

Elle tressaille quand nos deux glands s’enfouissent plus loin.

 

— Uh !

 

Elle tremble quand nos deux tiges coulissent au plus profond.

 

— Ah, nan !

 

Elle vibre quand tout est entré et que nos couilles s’aplatissent sur elle.

 

— Uh oh !

 

Elle trépigne, halète quand nous la pistonnons de concert. Un énorme machin double la transperce, la vrille tout en lui donnant du plaisir teinté de douleur. Ses doigts s’activent comme des forcenés dans sa fente, sur son petit bouton rosé. Nous en profitons pour la traiter gentiment de grosse cochonne tout en activant le mouvement. Nous savons que nous la défonçons mais c’est si bon. Nous arrivons à synchroniser nos trois jouissances en dépit du bon sens mais nous partons tous ensembles vers le septième ciel avec plein d’étoiles partout.

 

Nous nous accordons un petit repos bien mérité avec Nadia entre nous.

 

Quelque temps après, Nadia est réveillée par des mains qui s’active sur elle. La soirée continue. Elle se retrouve allongée sur le ventre, jambes écartées, cul en évidence. L’un de nous vient s’asseoir devant son nez, présentant sa bite dressée. Elle comprend vite le message. L’autre se poste entre ses jambes, en plongé sur son beau postérieur et je commence à lui lécher la chatte. Cette chatte est splendide mais mon idée est ailleurs et ma langue remonte vers son petit trou. Je lui vrille de ma langue; l’engluant de ma salive. Inquiète pour la suite, Nadia laisse faire, elle en éprouve une sorte de bien-être. Je continue ma manœuvre et je sens du bout de la langue sa résistance chuter. Elle suce ma queue sur le même rythme qu’elle oscille à présent du bassin pour accompagner ma langue.

 

Je tente d’aller plus loin en lui écartant posément les fesses afin de dégager son anus. Sa réaction est immédiate : elle m’exclue de sa bouche et met de côté.

 

— Non, çà je ne veux pas !

— Je voulais simplement mieux dégager ton petit trou du cul pour mieux y glisser ma langue !

— Je ne veux que tu te fourres là avec ta queue !

— Je ne m’y suis jamais mis pour l’instant…

— Tu me jures que tu m’enculeras pas ?

 

Ce genre de mots dans sa bouche m’incite plutôt à le faire ! Nous répondons tous les deux :

 

— Promis

— Tous les deux ?

— Tous les deux !

 

A force de caresses, de baisers, elle se replace sur le ventre et nous livre son beau petit cul. L’un de nous s’occupe de la raie tandis que l’autre lui pelote les fesses. Quelques instants plus tard, nous sommes revenus au point critique : elle est détendue, elle ondule sous la caresse et doucement, nous arrivons à lui écarter les fesses pour jouir d’une vue imprenable sur son œillet. Pour parfaire plus encore notre coup, l’un de nous glisse sa bouche sur sa chatte et commence un jeu de langue de première qualité autour de son bouton. L’autre continue son exploration. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle se mette à gémir de la sorte, son petit trou est presque entrouvert et de temps en temps, un doigt vient marquer son territoire. L’alternance langue et doigt continue sans qu’elle proteste. J’aventure légèrement mon index dans son trou interdit tandis qu’elle commence à remuer furieusement des hanches. Encre un coup de langue et je la sens ultra détendue. Je pousse alors mon avantage et coulisse une phalange dans son cul. Elle pousse un petit râle. Je m’active plus encore sur son clitoris. J’améliore ma position dans son rectum et elle part dans un long gémissement de plaisir, je sens distinctement les anneaux de contraction du plaisir autour de mon doigt.

Volontairement, je laisse mon doigt pour profiter de ses spasmes. Et elle sait que je le laisse pour cette raison. Elle secoue son popotin pour m’en chasser.

 

— Tu es quand même un salaud ! Me lance-t-elle.

— Et pourquoi, je ne t’ai pas enculée…

— Tu n’es qu’un salaud parce que…

— Oui, mon amour ?

— T’es qu’un salaud parce que j’ai aimé çà ! Me dit-elle hargneuse.

— Tu vois…

 

Nous nous recouchons contre elle, pour la tenir au chaud et aussi pour en profiter allègrement, aussi bien nos corps que nos mains, sans parler de nos sexes qui ont la marotte d’aller instinctivement se loger aux endroits stratégique.

 

— Je présume que tu es fier de ton coup ! Me dit-elle à l’oreille.

— Ah oui et pourquoi ?

— Tu m’as donné envie !

— Envie de quoi, mon amour ? Que je lui murmure à l’oreille.

— Tu le sais très bien, mon salaud. J’ai envie que tu me refasses la même chose.

— Il suffit de le demander !

Le final la semaine prochaine

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