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Le beau-fils défonce sa belle-mère en l’absence de son père chapitre 1

Le beau-fils défonce sa belle-mère en l'absence de son père chapitre 1
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Je suis un homme de trente six ans, cadre supérieur dans une entreprise d’import export.   Je gagne très bien ma vie, cependant je suis souvent absent plusieurs jours voir une où deux semaines. J’ai un fils de mon premier mariage. Sa mère est décédé dans un accident de voiture, Jérôme avait alors six ans. Ses grands parents maternels l’ont élevé à cause de mes absences prolongés. Je le voyais qu’à mes week-ends de libres. J’en ai eu la garde quand il a ses seize ans.

Quand J’ai connu Marie, elle avait vingt deux ans. Toute timide, elle ne voulait pas que je la touche, il m’a fallu deux mois pour qu’elle veuille bien faire l’amour avec moi.                   Ce n’est que bien plus tard que j’ai su pourquoi elle était si réticence à donner son corps pour faire l’amour.

Par la suite, elle s’est débridée, à la plage elle porte des bikinis triangle avec des lacets à petits nœuds sur les côtés du slip minimaliste.

Son minois prude et sa chevelure bouclée m’excitent au plus haut point ainsi que les autres mâles.

Un jour, en rentrant du travail, je trouve du sperme dans notre lit. Je me dit que la veille au soir, quand nous avons fait l’amour avec ma chérie, son vagin a dû débordé. Quelques jours plus tard, j’en trouve sur la rallonge de la table de la cuisine ? Bizarre.

Un mois plus tard, Je rentre de déplacement un jour plus tôt, en arrivant, je vois une fenêtre grande ouverte sur le derrière de la maison. En m’approchant, j’entends des gémissements, je regarde discrètement à l’intérieur ?                                                                                           Mon fils est debout, avec les chevilles de Marie sur ses épaules. Elle est couchée sur la table de la salle à manger, il la baise depuis une heure, alternant les périodes viriles et les périodes plus tendres. Il lui prend la chatte, la bouche et le cul. Je suis impressionné par sa résistance à la jouissance car il la prend copieusement. Elle couine comme une chienne, surtout quand il lui prend le cul sans ménagement.

Je suis fou de jalousie en voyant ma femme se faire enculer par la grosse bite de mon fils Jérôme. Lentendre lui dire :

– Tiens, prends ça, morue! Cest pas la nouille de mon vieux, hein? Je vais te remplir le ventre de mon jus, salope!

Je le vois serrer les dents tandis quil se vide en elle en grognant comme un porc. Elle laccompagne pour une dernière jouissance.

Cest un véritable calvaire pour moi, mais en même temps, ça me fait bander, mon regard ne peut se détacher de cette queue qui la pénètre. Ensuite, il sort sa queue du cul de ma femme, il fait le tour de la table, il approche sa bite des lèvres de Marie. Elle lui suce la queue, lui gobe les couilles, une vraie salope.

J’ai fait vite le tour de la maison, je rentre dans la salle à manger. Marie suce encore la bite de Jérôme. Cest là que jinterviens en la traitant de salope. Il se tourne, la queue encore grosse, il me dit :                                                                                                                             — Oh! Toi, le cocu, tu vas nous faire chier encore longtemps?                                                la bagarre est inévitable. Jessaye de lui balancer un coup de pied dans les couilles. Il esquive, il me cueille au menton et à larcade. Résultat : KO et larcade ouverte avec un œil au beurre noir.

Quand je me remets de mes émotions, je lui flanque une bonne paire de claques et je lui dit tu dégages et il est parti dans sa chambre.

Marie descend de la table, elle se rajuste, appelle Jérôme pour qu’il vienne dans le salon.

On sinstalle tous les trois au salon, Marie commence à parler.

Elle nous raconte comment elle a été dépucelée.

Lors du mariage d’une de ses cousines, le cousin frère de la mariée, flirte avec elle. Ils dansent ensemble, il n’hésite pas à l’a peloter, elle se prend au jeu sans arrière pensée.

Il l’a fait un peu boire, il l’attire dehors pour soit disant prendre le frais. Une fois dehors dans un coin sombre, il lui roule une pelle bien baveuse. Elle se laisse aller au baisé. Elle est en robe longue, il l’attire dans un bois à quelques mètres de la soirée de mariage. Là, il lui prend sa virginité à même le sol, dans les aiguilles de pin, sans aucune précaution. Il l’a pilonne comme un animal, sans entendre les protestations de douleur qu’elle lui murmure à l’oreille. Après l’avoir dépucelée, ravagée, il éjacule abondamment dans son ventre en l’insultant :

– Tiens, prends ça, salope, t’es bonne qu’a baiser salope !

Puis il l’a laisse par terre, à moitié dévêtue, la robe déchirée, la culotte ensanglantée et déchirée. Lui regagne la noce comme si de rien n’était. Après s’être remise en état comme elle le peut, elle passe par les toilettes avant de rejoindre sans culotte elle aussi la noce et terminer la soirée en faisant semblant d’être joyeuse.

Là, c’est elle qui raconte encore les épisodes inconnus de sa vie.                                                    Quelques semaines après notre mariage, pour renforcer le lien familiale, elle va souvent rendre visite à mon oncle boulanger.

L’après-midi, il la reçoit dans le fournil de sa boulangerie. Ma tante est absente le mardi après-midi de quinze à dix huit heures. Au début, en chahutant, il se contente de lui peloter les seins, ça l’émoustille n peu. Il faut dire qu’elle a une belle paire de seins lourds mais toujours bien droits, aux aréoles brunes très larges. Après deux ou trois mardis, à la suite d’un pelotage un peu appuyé que les autres fois, il veut l’a prend par surprise sur la machine à façonner.

Elle finit par accepter ce qu’auparavant elle aurais refusé. Ce faire sauter par un membre de sa famille. Ce n’est pas la première fois que, ce quelle aurait trouvé impossible deux mois avant, devient réalité. Il lui faut le temps qu’elle s’habitue à l’idée, que ça prenne corps ; en même temps ce salaud d’oncle, qui sait y faire, finit par lui donner envie de réaliser un pas de plus dans sa libération de belle femelle avide de sexe, d’adultère.

Il lui appuie la tête sur le tapis plein de farine, il l’a pénètre sauvagement en levrette. Elle en a un orgasme incroyable. Comme elle ne sais pas dire non, a une personne autoritaire, alors ?        Pendant plusieurs semaines, la scène se répète chaque mardi. Le deuxième mois, un mardi elle est appuyé comme d’habitude, les coudes sur la machine, la robe relevée sur ses épaules. Mais cette fois-là, il lui met une noix de beurre dans l’anus ?

Avant qu’elle réalise ce qu’il veut faire, il l’a sodomise d’un coup sec, elle n’a que le temps d’ouvrir la bouche de surprise. Il se vide dans ses entrailles, comme il le fait d’habitude dans son vagin et bien sûr comme a chaque fois sans capote.

Durant tout ce temps, elle ne se contente pas que, d’aller chaque mardi se faire baiser par mon oncle. Elle nous raconte également comment elle occupe les autres jours de la semaine.                                                                                                                                    Avant de me connaître, après avoir donc été dépucelé de la manière qu’elle nous a narré. Marie a connu un garçon qu’elle ne savait pas être un de mes collègues de travail.

Après notre mariage donc, elle le revoit pendant des mois.

Je le connais depuis bien longtemps, dans l’entreprise, nous savons tous que pour lui une femme n’est qu’un de trou à bite, comme il le dit lui-même. Autant dire que mon épouse lui sert que de dégorgeoir, encore plus lorsqu’il sait que je l’ai épousée.                                                                      Suivant les dires de Marie elle-même :                                                                                                      — Je ne suis qu’un morceau de viande pour lui.

Il la prend partout, dans l’ascenseur, sous l’escalier, dans le cave de notre immeuble et bien entendu dans notre lit. Elle a de formidables orgasmes à chaque fois qu’il l’a sodomise, ce qu’il fait souvent, car elle veut que l’enfant soit de moi. Il l’a même prise en sandwich avec notre comptable plusieurs fois dans l’appartement.

Voilà pour nos trois premières années de mariage. La jeune femme timide que j’ai épousé, est devenue un vagin et un anus sur pattes, prête à se laisser dominer et avilir, pour se faire baiser par n’importe quel mec avec une bite puissante et endurante, tout ce que je ne suis pas.

Mon fils Jérôme commence à parler.                                                                                             — Ta petite Marie est adorable et je compte bien continuer à la baiser encore longtemps.         Jessaye de linterrompre, mais il me balance un ta gueule papa qui nadmet pas la réplique. Je reste là, à lécouter.

 

– Tu sais ta femme, ce quelle aime cest ma grosse bite, faut pas te faire dillusions. Elle est accro à ma queue et aussi longtemps que je resterais avec vous, je lui prendrais sa chatte, sa bouche et son petit cul. Quoi que tu lui dises, quoi que tu lui fasses, tu seras mon papa cocu. 

Jérôme ne sest pas gêné pour me dire que ma femme a un tempérament de salope et quelle ne dira jamais non à une belle queue et qu’il faut que je l’accepte ou bien que je la quitte. Ces propos sont choquant et blessant.

 

Je lui dit alors :                                                                                                                               — Si cest tout ce que tu as à dire, tu peux te casser dans ta chambre.
– Ah non! Ce nest pas tout. Elle ma parlé de ta petite queue et de tes éjaculations précoces. Jai peut être une solution pour toi
Connement, je lui demande.

– Cest quoi ta solution?

 

Il se lève, sapproche de moi, il me dit :                                                                                     — Ces petites discutions mont excité, jai vraiment envie que tu me suces!

– OH! Mais ça va pas ta tête Jérôme.
Il me répond fermement.
– Si, si, ça va très bien papa!                                                                                                          Il se lève, défait sa ceinture, puis ouvre sa braguette et sort sa bite bien plus grosse que le mienne, elle est en semi-érection.

 

Il mordonne de le pomper. Je regarde cette queue déjà bien grosse, jimagine ma petite Marie suçant ce mandrin. Il me prend les cheveux et me dit :                                                     — Allez, cocu, suce moi et comme il faut, tu seras récompensé!
Je me dégonfle et je le suce comme une nana, je lui lèche les couilles, je lui aspire la queue, la lèche sur toute sa longueur puis l
enfourne.

Je deviens sa chose. Mon fils me domine, il me fait le sucer en me traitant de petite chienne. Ça dure une éternité avant quil me balance dans la bouche, trois énormes giclées de sperme quil me force à avaler. Ensuite, il me fait nettoyer sa queue avec ma langue avant de me dire :

– Bon allez, je te laisse discuter avec ta petite femme à tout à lheure!                                           Il se dirige vers la porte et il me dit :                                                                                            – Tu suces presque aussi bien que Marie, encore quelques pipes et tu vas être un bon suceur!
Il est sorti, nous laissant seul avec nos questions et le goût de son sperme dans la bouche.
– Marie, pourquoi tu mas fait ça? Avec loncle et lautre, passons. Mais, là, avec Jérôme?

– Jérôme a fait comme avec toi, il ma dominé tout de suite. Cest la fautes de tes absences, il a profité de ma faiblesse dêtre seule.

Après mavoir baffé, puis se faire sucer, il prend ses aises.

Quand Marie est indisponible, il se rabat sur moi.
J
essaye de résister les premières fois, très vite je me soumets à ses désirs. Cest à peu près chaque fois le même scénario, il me fait sucer sa grosse queue et ses boules avant de me décharger son foutre dans la bouche.

 

Plus ça va, plus il mhumilie en me disant :                                                                                    — Tu vois papa, ce quelle prend ta petite Marie, tu imagines ma bite dans son petit cul serré, ça texcite de savoir que je la baise quand je veux, quelle est toujours daccord pour moffrir tous ses orifices, allez papa avoue que ça texcite?                                                                         Et moi? Je réponds bêtement que, oui ça mexcite.                                                                      

Je dois dailleurs avouer que ça mexcite de la savoir prise comme une chienne. Je limagine, entrain de couiner sous ses assauts, lui réclamant de la baiser encore et encore, lentendre lui répondre quelle est sa chose, sa femelle.
Tout ceci tourne dans ma tête tandis qu
il me baise la bouche comme un porc en haletant avant de minonder de son sperme.

Par la suite, Jérôme est dans le lit conjugal quand je suis absent, elle veut rester seule avec lui. Souvent, il la pelote devant moi, parfois elle me demande de le sucer. Ce qui me plaît le plus, même si je suis cocu, ce sont les relations que nous avons à deux ou à trois.                   

Comme vous pouvez vous en douter, Jérôme mobligent à les regarder en train de faire lamour, le plus souvent, nu à moins de deux mètres du lit conjugal. Il exige que je sois nu pour voir si ça me fais bander de le voir baiser Marie. Ce qui est le plus souvent le cas quand je lentends hurler sa jouissance, quand aussi, il la défonce comme un chien démonte sa chienne.

Elle hurle aussi bien quand il lui prend la chatte que quand il la sodomise. Il la fait magnifiquement jouir avec son énorme engin qui ne débande jamais. Parfois je croise le regard de Marie et je vois dans ses yeux de lamour et de lenvie pour mon fils qui la démonte. Elle est accro à sa grosse queue, elle réclame encore et encore des coups de queue qui la défonce et qui la font jouir.

Il faut savoir comment Marie s’est fait piéger par Jérôme. Ce mercredi là, Marie se rend à la pharmacie, une bien plus loin que celle habituelle. Elle se sert de sa journée de repos pour faire les courses. Elle rentre donc, habillée en pantalon moulant beige, de petits escarpins et un chemisier. Il y a peu de monde.

 Elle demande d’une voix peu assurée :                                                              — Bonjour, j’aimerais une lotion hydratante après épilation, un shampoing pour cheveux clairs et une boite de préservatifs grandes tailles ?                                 Finit elle d’une voix plus faible.

La pharmacienne sourit légèrement en entendant la fin. Après quelques minutes, la pharmacienne revient et tend les deux premiers articles avec la boîte de préservatif XXL, à Marie. Elle sourit gênée, dit au revoir et repart d’un pas pressé à sa voiture.

Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Jérôme passait par là. IBM est étonné de voir sa belle mère sortir d’une pharmacie loin de l’habituelle. Alors, il la suit discrètement, intrigué par ce qu’il vient de voir. Le fait que les fesses de Marie s’entrechoquent lorsqu’elle marche rapidement à sa voiture l’aide aussi à la suivre. Marie est trop absorbée par ce qu’elle fait pour remarquer que Jérôme avec son Scouter la suit.

Marie rentre au parking souterrain de son appartement, elle se gare dans un coin reculé, une place de service à l’écart jamais utilisée. Ce n’est pourtant pas la place qui lui est attribuée. Jérôme arrive à la retrouver en rentrant dans le parking en roue libre avec son Scouter arrêté. Il reste légèrement à l’écart attendant que sa belle mère sorte.

Pourtant Marie ne sort pas, même au bout de quelques minutes. La voiture tangue bien un peu, montrant qu’elle bouge à l’intérieur. Il s’approche lentement, voyant la silhouette de Marie s’activer entre les deux sièges. Il finit par avancer au niveau de la vitre arrière, se débrouillant pour être invisible de Marie tant qu’elle ne se retourne pas. Ce qu’il voit le surprend énormément, du moins au début. Marie une fesse sur le siège conducteur, l’autre en l’air, penchée sur le levier de vitesses le recouvant délicatement d’un préservatif XXL par dessus avec ses doigts.

Jérôme décide de filmer discrètement avec son portable, pour immortaliser quelque chose qui l’amuse beaucoup alors que Marie commence à prendre en bouche délicatement le gros l’evier noir et dur. Elle doit écarter beaucoup sa mâchoire pour accueillir un membre aussi large, c’est assez fatigant d’ailleurs, cependant elle doit le faire, elle le sait. Des petits bruits de bouches humides se font entendre même pour Jérôme. Elle prend bien soin de tenir la base du l’evier de vitesse pendant quelle le suce.

Puis au bout de cinq minutes, Marie déboutonne son pantalon, elle libère son fessier blanc de son string en dentelle. Jérôme s’amuse de le voir bouger librement, non maintenue ainsi avec la ficelle disparait dans sa raie. Elle se positionne au-dessus du levier de vitesses impassible, écarte la ficelle sur sa fesse gauche et l’accueille lentement dans son intimité de mère de famille mariée. Jérôme en profite pour zoomer sur ce fessier et aussi le vagin de Marie, accueillant difficilement ce membre noir étranger en elle.

Elle finit par amorcer des vas et vient lent, qui semble libérateur pour elle. En voyant le membre conquérant rentrer et sortir de l’intimité de sa belle mère, Jérôme est excité. Surtout quelle se fait plaisir dans un recoin du parking souterrain en se faisant prendre par son levier de vitesses.

De jolies traces humides viennent teindre le préservatifr. De petits gémissements étouffés se font entendre. Ceux d’une mère de famille timide et gentille, coupable d’aimer se faire prendre par le levier de vitesses de sa voiture. Jérôme apprécie la vue du cul blanc de Marie qui se contracte comme il peut en laissant le l’evier conquérant rentrer dans son intimité, puis tangue de gauche à droite lorsque le levier ressort.

Marie finit par accélérer grandement ces vas et vient sur cette queue droite et dure qui ne faillit jamais. Les gémissements s’accélèrent, ils se finissent par un plus long couinement, affaissée sur le levier de vitesses. Après quelques minutes prostrées ainsi elle se retire très lentement du levier en soulevant ses cuisses, toujours accroupie au-dessus. Elle change de position, se met à genoux sur le siège conducteur, elle se penche sur le levier pour le prendre en bouche docilement comme pour le remercier.

Jérôme apprécie de la voir se rabaisser ainsi. Sa petite langue léchant les traces un peu blanche et humide provenant de son intimité, déposé sur le leviere. Marie a les yeux fermés, concentrée sur sa fellation massant la base du levier. Elle finit par le prendre en bouche délicatement, son rouge à lèvres, presse le levier qu’elle prend comme un gros membre qui ne faiblit jamais. Jérôme entend même de jolies gémissements lorsqu’elle suce gentiment.

Après avoir bien sucée ce membre de subtitution, elle nettoit les traces de sa propre intimité, elle finit par de jolies petit baisés sur le pommeau extra large du levier de vitesses. Docilement, à quatre pattes penchée sur lui. Marie finit par retirer le préservatif délicatement, le place dans son sac à main, range ses affaires et avant de sortir, redépose un baiser docile sur le levier de vitesses. Jérôme anticipe, il se cache plus loin, très intéressé par ce qu’il vient de voir et de filmer. Il pense bien tenir sa belle mère.

Sam Botte

A suivre

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