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Le beau-fils défonce sa belle-mère en l’absence de son père chapitre 2

Le beau-fils défonce sa belle-mère en l'absence de son père chapitre 2
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Marie aurait pas du accepter

Jérôme m’a donné rendez vous dans un hôtel, où il est arrivé avant moi avec son copain Karl, sans m’en avoir avertie. Il ne m’a pas trop laissé le loisir de réfléchir car, sitôt rentrée, il m’a enlacé en m’appuyant contre le mur du couloir, pour m’embrasser et me caresser. Ses mains relèvent la jupe que je porte, je ne peux que me tortiller, car sa bouche ferme la mienne dans un baisé d’amour. Prenant ça pour une invite, Karl se met à genoux entre Jérôme et moi, il commence à me caresser les cuisses.

Ma peau se hérisse au passage de ces lèvres sur mon ventre. Il atteint bientôt mon pubis et met sa tête entre mes cuisses. Il lèche ma chatte à grands coups de langue, il me fait relever une jambe, offrant totalement mon intimité à sa bouche. Il écarte mes lèvres, sa langue pénètre mon vagin et le fouille.

Je suis morte de honte. Je ne veux pas et en même temps, je sens mon corps devenir tout chose. Un doigt agace mon bouton qui est gorgé de sang, il titille mon clito d’une main et fouille l’intérieur de ma chatte de l’autre. Je commence à soupirer de plus en plus fort. Ma poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Karl devient plus hardi et appuie le bout de sa langue sur mon clito.

Cette situation est terriblement excitante, me sentir là, dans le couloir, êtres à la disposition de ces deux jeunes, qui me tripotent partout, m’investissent, me caressent, rentrent leurs doigts dans mon intimité, me pincent les pointes des seins. Je n’en peux plus, j’ai envie d’être prise. Je tourne la tête vers Jérôme et lui demande d’aller dans la chambre.

Il avance sa bouche rencontre la mienne, sa langue me fouille comme rarement elle ne l’a faite, je sens fond je suis toute à lui. Jérôme dit à Karl de venir aussi pour me prendre, car j’aime les grosses queues.                                                                                                                          Ma main descend saisir son sexe et je sens un gros membre, aussi gros que celui de Jérôme.

Avec Jérôme collé à ma bouche nous tombons sur le lit, où, dans la pénombre de la pièce, je ne vois pas immédiatement qui se glisse entre mes cuisses et commence à frotter une bite de bonne taille contre ma chatte trempée qui s’ouvre avec avidité. J’ai envie de sentir rentrer cette grosse verge.

Mes yeux s’habituent à la pénombre, je vois que ce n’est pas Jérôme qui se prépare à me posséder. Je suis toute chose, toute gênée et toute excitée à la fois.                                               Je ne voulais pas mais là, en sentant cette masse de chair se frotter c’est le physique qui prend le dessus. Mon sexe semble indépendant de moi, comme s’il voulait de la bite d’abord, laissant les autres sentiments au vestiaire. Et puis zut, tant pis, j’en ai trop envie, en plus il est trop tard, pour faire marche arrière étant donné la situation où je suis.

Les yeux fermés je pose la main sur cette queue et la présente à l’entrée de ma grotte d’amour qui coule depuis un bon moment. Avec mes jambes j’enserre Karl, je l’amène vers moi. Je sens le gland buter contre mes lèvres et les ouvrir doucement. Il commence à me rentrer sa queue qui finalement s’engouffre tout au fond de ma grotte.

Je la sens toute à l’intérieur de moi, c’est chaud et bien dur, elle me remplit bien. Je sens bien qu’il veut commencer à me baiser, je reste ainsi quelques instants la queue de Karl enfouie au fond de moi, sans bouger, profitant bien du moment en regardant Jérôme, à coté de moi sur le lit, qui se branle en me regardant.

Puis, Karl me saisit fermement les hanches et aussitôt, je sens sa queue me labourer avec vigueur, pendant que temps Jérôme se met à me caresser et à m’embrasser.                                 — C’est bon ma belle salope ? Bourre-lui bien la chatte Karl, je souhaite, qu’elle soit bien baisée, il faut la faire jouir ! Comme ça ! OUUAIIS ! Vas-y continue !                                          Jamais on ne m’a traité ainsi et d’ailleurs si quelqu’un l’aurai fait, il aurait vite fait de se ramasser deux gifles…. Mais j’avoue qu’à ce moment précis, je ressens ces mots comme des mots doux !

Karl continue son va et vient en moi, il me décrit les sensations qu’il éprouve en me prenant ainsi, il me dit que ma chatte est chaude, humide, douce et glissante, qu’elle lui serre bien la bite.                                                                                                                                         — Putain qu’elle est bonne ta belle mère ! AAARRR ! Ce qu’elle mouille la salope ! Dis que tu aimes ça, salope ! T’ aime ça hein ?                                                                                                           —OOH! OUIIII ! OORRRFFF ! OOH! OUUIII ! Je suis une salope qui se fais baiser ! C’est trop bon ! Je vais JJOUIIIIIRRR  !

– Alors, tu vois que tu l’aimes sa grosse bite ! Me dit Jérôme                                                                          – Oh oui ! Il me remplit bien ! AAFF ! Mon salaud ! Tu me fais baiser devant toi ! OOH! J’adore ça ! Tu le vois, dis tu vois, sa grosse queue qui me défonce ? Hein, tu vois ta belle mère qui se fait prendre dans un hôtel, comme toutes les salopes adultères ? Ça t’excite hein ? SAAAlOOOO ! Me voir en train de me faire tirer par une grosse bite qui n’est pas la tienne  ?                                                                                                                                                              – Profites-en bien ! Laisse toi aller, prend ton pied  !                                                                           – OORR ! ROUIIII ! Je viens ! Je JOUIIIII ! Que c’est bon, regarde moi Jérôme ? Je JOUIIII ! avec sa grosse queue !

Je sens monter en moi un orgasme, il explose, je jouis, je jouis, je suis sur une autre planète, mes muscles vaginaux se contractent sur la queue de Karl, j’ai de la difficulté à respirer, je cries mon plaisir. C’est alors que Karl jouit lui aussi. Je sens les pulsions de sa queue au moment ou son sperme fuse en tapissant le fond de ma grotte. Il se retire finalement avec regret, il va s’asseoir sur un fauteuil, je redescends de ma jouissance, mes muscles se relâchent doucement, je reprends mon souffle et mes esprits.                                   — J’adore que tu sois une salope, tu me fais bander belle maman !

En effet sa queue ressemble à un véritable manche de pioche. Cela l’excite terriblement de m’avoir fait baiser si généreusement par un autre. Quel salaud ce Jérôme, il me transforme en une vide couilles pour ses potes, en plus, il me dit qu’il en pas finit avec moi ?                          Jusqu’où va-t-il me mener sur les chemins de la perversion.                                                             — Viens ma belle salope, donne moi ton cul : Me dit-il.

Juste à la pensée d’avoir sa bite dans mon cul, voilà que je recommence à mouiller comme une fontaine. Je me mets à quatre pattes, les cuisses assez écartées. Je pose un coussin puis pose ma tête dessus. Je glisse une de mes mains entre mes cuisses, je commence à me masturber en me lubrifiant l’anus du jus de ma chatte et du sperme de Karl. Derrière moi Jérôme se régale du spectacle.

Il approche sa queue de la petite porte de mes reins, il écarte un peu mes fesses, puis force l’entrée. C’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer me dit-il. Je me suis tellement bien lubrifiée que la tête de son braquemart entre assez rapidement. C’est vrai que je suis une salope et j’en suis surprise moi même ?
Centimètre par centimètre il continue sa progression. Puis il s’arrête d’un coup. Je sens mon anus tout distendu, je m’attends à l’entendre craquer. Il pousse alors sa queue un peu plus dans mon rectum. J’y crois pas ! Je me sens envahi par ce membre, c’est bizarre, cette douleur s’accompagne d’une sorte de plaisir, le plaisir d’avoir mal ?

Je sens comme si c’était tube gros comme ma main qui m’envahit, ma tête tourne, tourne et je pousse des râles de plaisir plus que de douleur. Je pousse le plus possible afin de bien le sentir, aussi pour lui permettre de me l’enfoncer le plus loin possible. Je tourne la tête, regarde en arrière, je lui dit de m’enculer comme la salope que je suis devenue.

Il me prend alors par les hanches pour enfoncer sa bite d’un seul trait. Je râle à n’en plus finir. De plus le salaud m’écarte les deux globes pour tenter de rentrer encore un ou deux centimètres de plus. Ma main gauche active de plus en plus vite mon clito. Il ressort presque entièrement de mon cul, puis entre à nouveau à fond dans mon conduit. Sa queue profondément enfoncée dans mon cul me déclenche les spasmes d’un orgasme.

Il me baise comme un forcené et me traite de pute, de salope. Je jouis encore plus.                       — Tu aimes ça salope ! T’aime te faire défoncer le cul, tiens prend ça, elle est bonne la queue de Jérôme !                                                                                                                                                    — Vas y ! Baise-moi ! Encules moi à fond salaud. Prends-moi bien fort ! Vas-y bien à fond ! N’arrête jamais ça ! Lime bien mon cul de ta salope de belle mère avec ta grosse bite ! Oui, vas-y ! Encore ! Encore ! Je suis à toi ! Baise mon cul de salope ! Possède-moi ! Baise-moi plus fort ! Oh ! Jérôme ! OUIII ! OUIIIIIII !

Il continu à m’enculer sans ménagements. Il regarde son membre entrer et sortir de mes fesses, ça l’excite encore plus. Je demande à Jérôme de me retourner, pour qu’il me sodomise de face, je veux le voir pendant qu’il me sodomise. En deux secondes c’est fait, je regarde ce salaud, qui a fait de moi une salope, entrer sa queue dans mon cul, en la tenant avec deux doigts, tout en me massant la motte avec son autre main.

Je deviens dingue en sentant cette caresse qui me fait gonfler le clitoris et mouiller comme une salope. Je tremble des jambes, je commence à pousser des soupirs en ouvrant la bouche. Je suis prise, possédée, enculée à fond par le fils de mon mari.

Il m’attrape par les hanches, il donne de longs coups reins, qui me font remonter sur le lit tout en me ramenant vers lui pour mieux m’enculer de nouveau. Je plane en matant ce spectacle de sodomisation, en me réjouissant sur tout ce qui m’arrive en matière de sexe depuis que je donne à Jérôme. Je suis devenue sa salope, je m’abandonne à lui, je suis à lui en somme.

Karl s’est remit à bander, il vient se placer à la tête du lit, face à moi. Son gros sexe luisant est face à moi, à quelques centimètres de ma bouche. Il se masturbe devant le spectacle. Son membre sous mon nez, je ne peux m’empêcher d’ouvrir la bouche. J’aspire sa queue dans ma bouche, Karl se met à grogner. Il ne désirait que cela sans oser le demander, il ferme les yeux de bonheur. Je prends appui sur mes coudes, me relève partiellement, j’entreprends de le sucer encore plus gloutonnement en aspirant comme si je tétais.

Jérôme profite de cette position pour s’enfoncer encore plus sa grosse queue jusqu’à la racine, il me saisit les seins à pleines mains pendant que je sens ses couilles qui tapent contre mes fesses. Je sens que je ne vais pas encore tarder à venir. La queue de Karl ne cesse de grossir dans ma bouche. Il bascule sa tête en arrière et ferme les yeux. Je sens le plaisir monter en moi, je l’aspire de plus belle.

Je suis morte de honte et d’excitation… moi, la petite coincée d ? il y à 8 mois, celle qui ne se masturbait même pas, qui refusait de s ? entendre dire qu ? elle était une salope, une baiseuse, une mangeuse de queue… Je suis dans une chambre d’hôtel avec deux jeunes mecs, qui me tirent comme la salope que je suis devenue, qui me font subir les derniers  outrages  auxquels, je prends un plaisir fou, qui me liment le cul et la chatte, me font les sucer. J’aime, ça me plaît de voir leurs yeux exorbités, leurs fronts transpirants, leurs mains fouisseuses, êtres à la disposition de leurs queues pour me faire jouir.

Jérôme n’y tient plus :                                                                                                                                   — T’aimes ça hein, Ça te plaît de nous faire jouir ma belle salope, tu aimes sa grosse queue dans ta bouche. Tu aimes te faire enculer maintenant. OOOOORRRFFF ! MMMOUII ! Que tu es bonne, mon père sait pas que t’es une très bonne salope !                                                                                         Je n’ai pas la force de répondre, d’un coup j’émets des grognement de jouissance, je me sens partir. Je me laisse aller à mon plaisir, je me raidis, j’avale le plus possible la queue de Karl.

Jérôme se libère à son tour, il envoie tout son sperme gicler au fond de mon rectum. La situation a excite énormément Karl qui me regarde aspirer sa queue de bonheur d’êtres une salope comblée qu’on remplit de foutre.                                                                                                                                   — OUAAAARRR ! Putain que c’est bon, moi aussi je veux t’enculer salope. Dis moi que tu veux ma bite dans ton cul, MMOUAAAFFF !

Jérôme se retire doucement de mon anus, il vient doucement m’embrasser. Il me regarde et dit :                                                                                                                                                                    – Elle le veut ? N’est ce pas ma salope, demande lui de t’enculer ! Allez, vas y salope.                             –  Tu es un vrai salaud, regarde comme je suis, vous mavez remplie de sperme, je suis devenue ta salope et je nai même pas honte. Karl va menculer comme toi, je vais jouir comme avec toi, en te regardant, pendant que sa grosse bite senfonce dans mes reins. Tu mas rendue indépendante à vos grosses queues.                                                                                              – Alors! Oui Karl, viens, encule moi! Enfonce ta grosse bite dans mon cul. Jérôme veut que tu me défonce le cul! Alors va y!

Karl me sodomise en face à face, il en profite pour me téter les seins. Un orgasme vient me foudroyer en sentant le chaleur de son sperme qu’il envoie dans mes entrailles.                                      — Oh salope ! je crache tiens, prend tout !
Je sens le sperme qui coule dans mon anus, j’adore cette sensation, encore maintenant.                   Parfois on ne le sent pas mais quand c’est sensible,. ça me fait jouir. En jouissant Karl sur couche sur moi, il unit sa bouche à la mienne, nous jouissons en mélangeant nos salives dans un baisé torride.

Des étoiles brillent dans ma petite tête, je suis submergée par une onde de bonheur, de béatitude.                                                                                       J’entends la porte de la chambre qui s’ouvre et se referme ?                                                                  Coller sur moi, Karl continue à me bouffer la bouche. Il retire de ma bouche, il s’affale sur le lit à côté de moi. Je suis couverte de sueur, les jambes largement écartées sous les yeux lubriques de deux jeunes qui viennent d’arriver.

Avant que je n’ai eu le temps de comprendre, Jérôme leur fait signe.
– A vous les gars, faites vous plaisir. Elle adore ça ma salope.
Je dois réagir mais je n’en ai pas le temps. Leurs mains sont déjà sur moi à me tripoter, me peloter. Le plus gros a sorti sa queue et il me la colle sous le nez.

Encore dans les lymphes de mon dernier orgasme, j’ouvre la bouche et me mets à le sucer. Il sent fort, cela me répugne, mais malgré tout je m’applique. J’ai l’impression d’être une pute, souillée par ses jeunes. Cela devrait me dégoûter mais au contraire je suis excitée.
Je sens entre mes cuisses, les coups de langue désordonnées du second. Il enfonce ses doigts avec maladresse, jouant avec mes deux trous.

Ils inversent les rôles et le gros se plante entre mes cuisses. Son sexe n’a rien à voir avec son pote mais il est large et me remplit bien. Je me mets à sucer son copain, sa queue longue et fine vient taper au fond de ma gorge.
Le gros n’arrive pas à tenir le rythme au dessus de moi et rapidement en a assez. Il s’assoit et je viens m’asseoir sur lui, lui tournant le dos. J’ai alors tout loisir de sucer son pote rapidement rejoint par Jérôme qui a repris du poil de la bête.

Je suce alternativement les deux, excitée par l’image que je dois renvoyée.
Derrière moi, le type me triture les fesses, admirant sa queue entrer en moi. Il ne tarde pas à jouir, je sens les spasmes de sa verge qui se vide. Je suis ensuite mise à quatre pattes sur le lit et tandis que j’en suce un, un autre me prend en levrette.

Cette séance de sexe dure plus de trois heures. Et tout ça évidemment sans capote, J’ai toujours eu horreur des préservatifs. Je suis devenue le temps d’une après-midi un vrai réservoir à sperme. Je suis aux anges. Tous mes orifices ont été copieusement baisés et je rentre le soir, les jambes flageolantes. Un passage obligé par la salle de bain me permet de constater les stigmates de cette folle journée. J’ai du sperme séché sur mes seins, mes cheveux. Mon anus me fait souffrir et mon sexe est rouge et gonflé.

Sam Botte

A suivre

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