Drôle de remboursement.
Angèle habite une petite maison un peu à l’écart, avec une belle terrasse. Les deux voitures se garent devant la maison. Alors que Jérôme aide Angèle à descendre, le tatoué est déjà là pour tenir compagnie à Marie, le barbu se joint à eux.
Ils se mettent de part et d’autre de Marie, le tatoué la tient par la taille, il discute avec elle, le barbu collé à elle, Jérôme ne vois pas sa main autour de la taille de sa belle mère. Il s’arrête pour aider Angèle à garder l’équilibre, ils passent devant lui, il comprend mieux. Le barbu pelote sans vergogne le cul de Marie, qui se trémousse, elle le repousse, mais sans grandes convictions, ce qui fait qu’il revient à la charge de plus belle.
Angèle ouvre la porte de sa maison, ils s’installent tous dans le salon.
Le grand suivit Angèle, pour l’aider à chercher quelques bouteilles à la cave, le tatoué installe Marie dans le canapé et s’assoit à côté d’elle, le barbu prend la place de l’autre côté. Pour sa part, Jérôme choisit un fauteuil face à eux pour observer. Les trois discutent en rigolant, le tatoué raconte des histoires plutôt obscènes, qui font par moment rougir Marie cependant la font surtout rire.
Il a posé une main sur sa cuisse, Jérôme l’observe caresser doucement sa peau et remonter imperceptiblement sous sa robe. Marie, dans son état, ne s’aperçoit de rien, surtout qu’elle est aussi occupé à tempérer les ardeurs du barbu qui est beaucoup moins fin, il essaye depuis un moment de lui caresser la poitrine.
Agnès met un temps anormalement long pour remonter de la cave, Jérôme décide d’aller leur donner un coup de main.
Il laisse les trois sur le canapé, il descend discrètement à la cave. Il n’y a personne dans la première partie de la cave, qui contient surtout de la nourriture, cependant il entend des gémissements venant d’une ouverture à gauche. Il s’approche doucement, il trouve Angèle penchée en avant, les deux mains appuyées sur une table sur laquelle sont posées deux bouteilles, elle est en train de se faire baiser par derrière par le grand.
Sa robe est remontée jusqu’à la taille, le grand lui pelote les seins sans ménagement tout en la besognant. Angèle couine de plaisir, les yeux mi-clos. Effectivement, les boissons vont avoir un peu de retard.
Jérôme quitte la cave et remonte au salon.
Il y a maintenant de la musique un peu langoureuse, le barbu est en train de farfouiller dans le bar. Il sort toutes les bouteilles d’alcool fort qu’il trouve, pendant que le tatoué danse avec Marie. Danser est un bien grand mot. En fait, il la serre contre lui, ondule du bassin, les deux mains posées sur les fesses de Marie, qui semble un peu dans le vague. Il glisse une jambe entre ses cuisses, il vient plaquer le bassin de Marie contre sa cuisse. Sa main gauche la maintient contre lui, bien plaquée entre ses fesses, l’autre main lui saisit la taille, il remonte le long de son torse, Marie ondule en rythme, elle a fermé les yeux, complètement abandonnée.
Le tatoué atteint la base de sa poitrine, il empaume doucement son sein gauche, sans provoquer de réaction de recul. Il s’enhardit, Jérôme le vois caresser sa poitrine, son majeur insiste sur le téton qui commence à poindre. Sa main gauche monte et descend maintenant sur ses fesses, s’insère de plus en plus profondément dans le sillon de ses fesses. Relâchant son sein, il lui prend la taille à deux mains, il commence à descendre ses mains le long de ses hanches puis de ses cuisses, se baisse jusqu’aux genoux, pendant que Marie danse lascivement, les bras tendus au-dessus de la tête.
Jérôme devine aisément où il veut en venir, effectivement, il remonte le long de ses cuisses, hors cette fois-ci ses mains sont passées sous la robe, il finit par lui saisir une fesse nue dans chaque main, fermement. Il l’attire vers lui, il la met à califourchon sur sa cuisse toujours glissée entre ses jambes, les pieds décollés du sol.
Marie doit lui saisir les épaules pour ne pas perdre l’équilibre. Il la fait monter et descendre sur sa cuisse, sollicitant sa chatte qui devient presque le seul point d’appui de Marie. Il ne peut cependant aller plus loin, le barbu a trouvé un disque de disco, il change brutalement de musique, passant d’un rythme plutôt langoureux au rythme effréné. Alors Marie se détache soudainement de son partenaire pour danser comme une folle au milieu du salon. Le tatoué est déçu, mais il n’a pas dit son dernier mot. En attendant, il va se servir un verre au bar, pendant que Jérôme accompagne sa belle mère dans sa danse endiablée !
De son côté, le barbu, également étonné de ne pas voir revenir les bouteilles de rouge, descend lui aussi à la cave, Jérôme se dit qu’elles allaient prendre encore plus de retard.
Il a suffisamment maté, il se frotte langoureusement contre elle, laisse ses mains parcourir les globes fermes des fesses de sa belle mère, glisser le long de son ventre plat, remonter le long de son dos musclé. Marie vient se plaquer à lui, de dos, ondule contre lui, ses fesses viennent lui masser le sexe, il lui faut peu de temps pour qu’il aie une belle érection. Marie ne peut pas ne pas la sentir à travers sa robe, pourtant elle continue de se frotter contre lui.
Jérôme lui saisit la taille à deux mains, il remonte le long de son torse. Comme elle l’a fait avec le tatoué, elle étend les bras au-dessus de la tête pour danser, libérant l’approche de ses seins, qu’il vient empaumer doucement. Jérôme est aux anges, la soirée s’oriente encore mieux que ce qu’il aurait pu espérer.
Le tatoué les observe, son verre à la main, en train de se masser l’entre-jambe.
Jérôme hésite, il en avait oublié la raison de la présence des trois loubards. La chaleur du corps de Marie contre le mien et son état de désinhibition l’ont fait basculer du côté obscur. Il prend Marie par le bras, il l’accompagne au bar, pendant que le tatoué reprend la main et lui pelote le cul, ce qui lui fait pousser des petits rires et se trémousser. Jérôme lui sers un grand verre de rhum-coca, nettement plus chargé en rhum qu’en coca. Marie est assoiffée, elle vide son verre à une vitesse hallucinante. la soirée dérape complètement pour elle.
Prétextant une envie pressante, Jérôme s’éclipse, laissant sa Marie aux mains baladeuses du tatoué. Il en profite pour faire une visite à la cave ? Angèle est bien en mains, le barbu a pris la place du grand, qui de son côté se fait sucer tout en buvant directement à la bouteille. Angèle est juste habillée de ses sandales, sa robe git maintenant sur la terre battue à ses pieds.
Remontant dans le salon, Jérôme le trouve vide.
Il parcoure la maison, regarde dans toutes les pièces, mais il n’y a plus de traces de Marie et du tatoué. Étonné, il revient au salon, il remarque alors la porte-fenêtre entrebâillée. Jérôme sort dehors, la température est douce, une légère brise agite les buissons, la lune presque pleine éclaire le jardin. Jérôme laisse ses yeux s’habituer quelques minutes, puis commence à se déplacer sans bruit. Il fait le tour de la maison, il distingue tout à coup la tache claire de la robe blanche de sa belle mère derrière un bosquet.
Faisant un détour, il s’approche sans bruit, camouflé par les arbustes. Progressivement, il entend de plus en plus distinctement des soupirs de plaisir. Caché derrière les buissons, il découvre alors Marie, appuyée et penchée en avant contre un arbre, les cuisses écartées, derrière elle, à genoux, le tatoué qui a relevé sa robe sur ses reins, est en train de lui bouffer le cul.
Jérôme est ravi par cette vision, qu’il s’empresse de la prendre en photo discrètement. Il se déplace souplement, il passe de l’autre côté de l’arbre sur lequel est appuyée Marie. Il se plaque à l’arbre pour ne pas être vu, il a cependant suffisamment d’allonge pour venir lui peloter les seins. Ses gémissements augmentent d’intensité comme il lui malaxe la poitrine, il pince ses tétons qui pointent maintenant. Le tatoué doit croire qu’il lui fait de plus en plus d’effet, puisqu’il ne peut voir Jérôme. Marie halète de plus en plus fort, Jérôme décide de pimenter un peu leurs ébats, il lui pince cette fois-ci brutalement le téton droit.
Elle crie de douleur, essayant de repousser ma main, mais sa position n’est pas très stable, alors il continue de broyer son téton érigé entre ses doigts. Elle finit par se redresser pour repousser les mains qui la torturent, ce qui n’arrange pas le tatoué. Jérôme se cache à nouveau derrière l’arbre, pendant que le tatoué se relève.
– Tu me chauffes vraiment trop la bite, toi !
– Laissez-moi, je crois que je vais rentrer chez moi, souffle Marie en essayant de s’éloigner en titubant.
Le tatoué la rattrape par le bras.
– Tu ne vas t’en aller comme ça, on s’amuse bien tous les deux ?
Il la plaque contre l’arbre, il essaye de l’embrasser sur la bouche. Elle essaye de le repousser.
– Arrêtez où je crie !
– Tu peux crier, ça fera venir mes potes !
Il lui bloque les bras le long du corps pour réussir à l’embrasser. Ce faisant, il la maintient toujours contre l’arbre derrière lequel Jérôme est caché, une jambe glissée entre celles de Marie. Elle a donc les jambes légèrement écartées. Jérôme en profite pour se baisser, depuis sa position invisible, il remonte une main entre ses jambes sous sa jupe, il lui doigte sa chatte humide !
Marie se débat pour échapper à la fois au tatoué qui l’embrasse et à la main qui la pelote, le tatoué la maintient trop fermement. Délaissant son minou trempé suite au grignotage qu’elle vient de subir, Jérôme laisse mon majeur remonter dans le sillon de ses fesses, jusqu’à venir le poser sur son petit trou.
A ce contact, elle essaye soudainement de ruer, sans succès, il se met à lui masser l’œillet par petits mouvements tournants. Jérôme se doute que le tatoué ne va pas passer des heures à l’embrasser, du coup, sans prévenir, il force mon majeur dans son cul le plus loin qu’il peut. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle se cambre brutalement sous la douleur et la surprise, ce qui projette le tatoué en arrière.
– Laissez-moi tranquille ! Halète-t-elle
Mais le tatoué a vite repris son équilibre.
– Tu n’aimes pas les bisous, tu veux passer à autre chose ?
Marie essaye de lui donner un coup de genou dans les couilles, mais dans son état d’ébriété, elle a mal évaluée la distance, le tatoué est déjà presque contre elle. Il ne reçoit que sa cuisse dans les parties, ce qui a l’effet de le mettre en colère plutôt que de le mettre hors de combat.
Elle essaye de s’enfuir dans le jardin, mais saoule comme elle l’est et en talons, il la rattrape en deux enjambées, la retourne et lui envoie une gifle monumentale qui l’envoie valdinguer au sol ?
– Ah, tu veux jouer à la plus maline !
Marie, toujours au sol, essaye de s’éloigner à quatre pattes, mais le tatoué la suit, il lui allonge une grande claque sur les fesses.
– Ça aurait pu se passer amicalement entre nous, tu m’obliges à utiliser la force ?
Elle sanglote et rampe toujours devant lui.
– Je vais m’occuper de toi, tu me supplieras de te faire jouir dans peu de temps !
Saisissant Marie par les cheveux, il la relève, la tire sans ménagement jusque à une table de jardin en pierre, sous un kiosque.
Elle n’apprécie guère ce traitement, elle essaye de suivre pour ne pas se faire arracher les cheveux en gémissant de douleur. Le tatoué n’en a cure, il la bascule sur la pierre froide, lui maintenant la tête d’une main, pendant qu’il relève à nouveau sa robe de l’autre.
– Je vais te péter la rondelle, petite salope ! Éructe-t-il.
Elle le supplie d’arrêter, elle essaye de lui griffer la main qui lui tient le cou, elle tente de redescendre de l’autre sa robe sur ses fesses.
– Reste tranquille !
Grogne-t-il en lui serrant un peu plus le cou, pendant qu’il sort sa bite de son autre main. — Je vais casser ton cul de petite bourgeoise !
À moitié étouffée, elle essaye de repousser le tatoué, mais son état d’ébriété et sa position l’empêche de faire quoi que ce soit d’efficace. Il a maintenant sorti son braquemart, il se branlait en matant le cul nu de Marie. Crachant dans sa main, il vient lubrifier son gland, il lui écarte brutalement les jambes, il se positionne face à son cul sans défense.
– Je vais t’ouvrir en deux, tu vas aimer ça ! Rugit-il.
—NOON! Laissez-moi, je ne suis pas préparé a ça ! Lâchez-moi ! Essaye de crier Marie, remuant pour échapper au viol qui se prépare.
Mais le tatoué est beaucoup trop fort pour elle, maintenant il est beaucoup trop excité pour s’arrêter. Il maintient toujours Marie par le cou, il plaque son gland contre son anus brun, il se met à pousser pour lui forcer le cul. Marie serre les fesses tant qu’elle peut, ce qui gêne considérablement le tatoué, car elle les a très musclées avec la danse.
Voyant cela, le tatoué serre un peu plus le cou de Marie. De sa position, Jérôme vois les veines de son cou se gonfler, elle commence à se débattre désespérément pour respirer. Dans sa lutte pour aspirer de l’air, alors qu’elle est proche de l’évanouissement, elle finit par relâcher son fessier, le sexe du tatoué, force pour la pénétrer, il brise la résistance de ses sphincters et pénètre ses entrailles !
Elle tente de hurler de douleur, mais l’étranglement qu’elle subit l’empêche de produire le moindre son. Jérôme vois sa bouche s’ouvrir dans un cri silencieux, ses yeux écarquillés remplis de larmes reflètent sa souffrance et son désarroi.
– Tu vois que ça fini par rentrer ! Grogne le tatoué, relâchant son cou pour lui permettre de respirer.
Elle aspire frénétiquement une goulée d’air, le tatoué en profite pour donner un coup de bassin, il embroche un peu plus la Marie qui crie cette fois de douleur.
– T’es étroite comme une pucelle, on va bien s’entendre.
Il continue de s’enfoncer dans son fondement par saccades violentes, il arrache à Marie des cris de douleur à chaque fois que son sexe progresse dans ses muqueuses tendres, jusqu’à finir par l’empaler complètement sur son sexe !
– T’es vraiment trop chaude et serrée du cul, je vais te défoncer comme jamais.
Il commence à la sodomiser sauvagement, il lui bourre le cul sans ménagement, l’écrase à chaque poussée sur la table de pierre. Elle couine et sanglote, son pauvre cul défoncé à sec la brûle !
Le tatoué lui saisit les hanches, il se met à l’enculer par à-coups. Il se retire doucement, puis se renfonce d’une seule poussée au plus profond de son tendre boyau, coupant le souffle de Marie à chaque fois, il recommence ainsi un temps, qui parait infiniment long à Marie.
Finalement, sentant sans doute venir les prémices d’une jouissance, il saisit à nouveau le cou de Marie à deux mains, serrant progressivement, il recommence à la sodomiser sans ménagement. L’étranglement coupe à la fois la respiration de la pauvre belle mère, ça empêche également le sang d’atteindre son cerveau. Elle ne sait plus où elle est, son cerveau s’obscurcit par le manque d’oxygène, elle a un mal fou à respirer, ses paroies anales lui renvoient des sensations équivoques.
Le tatoué sent une vague de plaisir monter dans ses reins, il accélère encore le rythme, serrant encore plus le cou de Marie, qui est au bord de l’évanouissement, elle essaie d’arracher les mains qui l’étrangle. Jérôme a peur qu’il n’aille trop loin, il s’apprête à intervenir, quand le tatoué jouit brutalement dans les entrailles de sa belle mère, l’inondant de jus chaud.
Au même moment, il relâche soudainement la gorge de Marie, alors l’afflux combiné de l’air dans ses poumons, du sang dans son cerveau et du sperme dans son rectum provoque malgré elle un orgasme incontrôlé.
Elle pousse un long râle de jouissance, se cabrant sur la table de pierre, tous les membres tétanisés, puis elle perd connaissance, elle s’affale de tout son long.
Le tatoué met encore deux ou trois coups de bite dans son rectum, pour bien se finir, puis il s’essuie son sexe sur sa robe et remballe la marchandise.
– T’es vraiment le meilleur coup depuis très longtemps.
Il lui envoie un claque retentissante sur les fesses, ce qui ne fait même pas tressaillir Marie dans son état second.
Ensuite, il s’éloigne en titubant lui aussi en direction de la maison.
Jérôme est scotché par l’orgasme dévastateur que Marie vient de subir.
Le tatoué sait y faire pour faire jouir une femme, dans la douleur, c’est vrai, mais avec un résultat époustouflant.
Le tatoué est retourné à la maison, Jérôme s’approche de sa belle mère, qui ne bouge toujours pas ? Il est comme hypnotisé par son cul éclairé par la lune.
Jérôme commence à lui caresser la chatte, qui est trempée de cyprine. Sa bite bandée lui fait mal, il dégrafe rapidement mon pantalon, sort son braquemarts, il le positionne contre la fente humide de sa belle mère.
Elle commence à reprendre pied, elle gémit doucement. Jérôme ne lui laisse pas de répit, il a placé son gland à l’entrée de sa chatte, il s’enfonce d’un seul coup de bassin au plus profond de sa grotte d’amour ! Elle se cambre en poussant un profond soupir, il ne la laisse pas reprendre son souffle. Il se met à la baiser à grands coups réguliers, en se retirant presque de sa chatte pour y replonger avec délice jusqu’à la garde.
L’orgasme qu’elle vient de subir après s’être fait sodomiser sauvagement, semble avoir déconnecté le cerveau de Marie. Elle gémit de plaisir, les deux mains posées sur la table, elle essaie d’aller à la rencontre de la bite. Jérôme se penche sur elle, il lui saisit les seins à travers sa robe, les malaxe, excite les tétons dressés. Marie est dans un état second, son corps complètement abandonné au plaisir, alors que son anus doit la brûler encore après ce qu’elle a subi.
Accélérant le rythme, Jérôme lui martèle la chatte à grands coups de bassin, les cris de plaisir de Marie deviennent de plus en plus aigus. Jérôme en profite pour lui enfoncer mon pouce dans l’anus, il lui masse le colon par l’intérieur. Marie ne réagit pas à cette intromission, son cul doit être anesthésié par ce qu’il a subi.
Du coin de l’œil, Jérôme aperçoit les gars qui sortent de la maison. Ils ont été plus vite que prévu. Jérôme augmente encore sa fréquence, sentant une vague de lave monter dans ses reins, il décharge tout mon foutre dans sa moule affamée, il lui arrache un nouvel orgasme. Il se retire rapidement et s’éclipse avant que les trois autres ne l’aperçoive en train de s’occuper de Marie, il retourne se dissimuler derrière un bosquet.
Le tatoué ramène ses deux compères jusqu’au kiosque et leur présente le cul de Marie qui relève lentement la tête.
– Voilà le plus beau cul que je n’ai jamais niqué !
Il attrape Marie par les cheveux, il la relève avec brutalité, la présente tel un trophée à ses collègues.
– Je pense qu’on peut en faire ce qu’on veut, Jérôme nous l’a donné pour rembourser sa dette de jeu !
Il l’a pousse dans les bras du petit barbu.
Celui-ci l’a rattrape, il l’a retourne dos à lui, il attrape la fermeture éclair de sa robe dans son dos, il la descend d’un seul coup jusqu’à ses reins ! Chopant la robe aux épaules, il dénude le torse de Marie d’un seul mouvement, ça fait apparaître sa poitrine moulée dans un soutien-gorge couleur chair.
– Je veux voir tes nichons !
Sans essayer d’enlever l’agrafe, il lui rabat le soutien-gorge sur la taille, faisant jaillir sa poitrine sous le nez du grand ?
Elle essaie bien de se défendre, de se débattre, mais les trois sont trop forts pour elle. Ils commencent à se l’envoyer, profitant de l’avoir dans les bras pour la peloter. L’un lui pince un sein, un autre lui fourre deux doigts dans la chatte, le troisième lui envoie une claque avant de la projeter vers un autre de ses comparses, Marie gémit sous les coups, gémissements couverts par les rires gras du trio.
Jugeant qu’elle est entre de bonnes mains, Jérôme décide d’aller voir où en était Angèle. Il s’éclipse discrètement en direction de la maison. Le salon est sens dessus dessous, il n’y a pas de trace d’Angèle. Idem à la cave, personne à la cuisine. Jérôme monte à l’étage, il finit par la trouver dans sa chambre. Elle est allongée sur le lit, endormie par l’alcool, à plat ventre, entièrement nue. Des zébrures sur ses fesses laissent penser qu’elle a pris des coups de ceinturon. Sa chatte dégouline de sperme, il y en a aussi qui colle ses cheveux.
S’approchant du lit, il glisse une main entre ses cuisses, il lui caresse la moule, puis il remonte le long de la raie de ses fesses jusqu’à son anus. Étonnamment, il semble qu’elle ne s’est pas fait sodomiser. C’est peut-être dans les plans initiaux, mais l’arrivée du tatoué a peut-être repoussé l’échéance. Jérôme décide de remédier à cela.
Saisissant un foulard, il commence par lui bander les yeux. Puis, avec la ceinture de la robe de chambre posée sur une chaise, il lui attache les poignets dans le dos. Jérôme la veut totalement à sa merci. Une fois préparée, Il lui saisit les deux chevilles, il la tire sans ménagement au bord du lit, pour qu’elle se retrouve avec les deux genoux au sol, les cuisses écartées avec le cul en position.
Cette garce qui le prend de haut à la FAC de droit a vraiment un cul de toute beauté.
Jérôme lui caresse la raie, ça ne provoque aucune réaction, ensuite la poitrine qu’elle a aussi magnifique. Le seul effet produit, c’est de lui redonner une belle trique ? Il sort sa bite, il la lubrifie en crachant dans sa main, ensuite il lui écarte les fesses d’une main, il positionne son gland sur l’anus tant convoité. Il pousse pour le faire pénétrer.
Le gros sexe de Jérôme s’enfonce dans le rectum, de la fière Angèle. Son gland est maintenant engagé à moitié, suffisamment pour ce qu’il veut faire ensuite. Il saisit ses hanches des deux mains, il raidit ses muscles et d’un brutal coup de rein, il l’empale de toute sa longueur.
Angèle se réveille dans un hurlement, son anus défoncé sans préliminaire. Ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle, Jérôme se retire presque complètement, il la pénètre à nouveau sauvagement. Elle crie de nouveau, essayant de se débattre pour échapper à cette sodomie.
– T’es vraiment étroite du cul, tu n’as pas du souvent te faire sodomiser !
Jérôme, lui en remis un coup dans le cul.
– Arrêtez, vous me faites mal ! Crie Angèle en sanglotant de douleur.
– J’arrêterais quand j’aurai inondé ton cul de mon jus d’homme !
Jérôme la sodomise sauvagement. Il lâche ses hanches, se saisit de ses seins à pleines mains, les malaxant sans douceur, pinçant les tétons, il la redresse vers lui. Angèle se retrouve cambrée, le fond de ses reins martyrisé et ses seins pelotés, elle halète et sanglote sous les
assauts d’un étudiant qu’elle a snobé à la fac.
Sam Botte
A suivre
Ajouter un commentaire