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Le beau-fils défonce sa belle-mère en l’absence de son père chapitre 7 Final

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Jérôme c’est mis en ménage avec sa copine de la FAC de droit.
Cela faisait quelques mois que ça ne va plus entre Marie et moi.                                      Engueulades sur engueulades, reproches justifiés, larmes de son côté, remarques vengeresses, la totale. Nous sommes au bord de la rupture définitive.

Ce jour là, un samedi, il doit être neuf heures, nous venons de boire le café, je suis en jeans et t-shirt, vautré sur le canapé du salon en train de parcourir le magazine de          l’homme moderne.

Marie sort de la salle de bains, habillée pour sortir ?
– Je vais faire des courses, tu veux venir ? J’en ai pour au moins deux ou trois heures.   Lance à la cantonade Marie.
Je ne lève même pas les yeux de mon journal, je grogne un truc du genre.
– Vas-y toute seule ! Je reste là !

Contrairement à son habitude qui est de répliquer, elle ne dit rien et part en claquant la porte relativement fort.
Après son départ, je laisse le magazine sur la petite table du salon, je profite de son absence, pour me mettre devant mon ordinateur.
Cela fait à peine dix minutes qu’elle est partie, quand tout à coup, un coup de sonnette retentit. Je décroche l’interphone, le silence me répond ?                                                              Autre coup de sonnette, je réalise que c’est celle de la porte. Allons donc ?                                    Elle a encore oublié ses clefs cette conne.

En ronchonnant, j’ouvre la porte et ?

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Je tombe nez à nez avec Jérôme ?

– Bonjour papa. Je peux entrer, comme je n’ai plus les clefs, j’ai sonné pour venir te voir.

Je m’écarte et referme la porte derrière lui, je le précède dans le salon.
– Bon, Papa ! Je ne vais pas faire de long discours. Je viens sur la demande de Marie.
Depuis que je suis partis vivre avec ma copine, ça ne va plus entre vous. Alors je crois qu’il est temps de remettre vos pendules à l’heure.

Après votre dispute mémorable du mois dernier, pour ne pas qu’elle te quitte. Tu lui as promis de façon formelle que tu obéirais à ce qu’elle demanderait ? Voilà c’est maintenant le moment de tenir ta promesse si tu veux qu’elle revienne avec toi.

Je me méfie avec Jérôme, on ne sait jamais de quoi y retourne.
– Je t’offre un verre ? Un café ?
– Un café ? Oui je veux bien ! Merci ! Qu’il me répond en s’asseyant sur le canapé.                  – Je vois que tu as la lecture de l’homme moderne ! Ce n’est pas pour me déplaire.                                            Commente t-il en feuilletant le magazine abandonné sur la table.

Sans répliquer, je file à la cuisine. Trois minutes plus tard, je reviens avec de deux tasses de café. Je lui sert sa tasse. Jérôme reprend son discours.
– Donc, à partir de maintenant, tu obéis exactement sans rechigner à tout ce que je te dirais.

Tu n’as rien à dire, tu exécutes. Bien sûr, tu peux refuser, alors en ce cas, votre relation s’arrête à présent. je pense que vous vous séparerez très vite.

Marie espère que tu vas en chier, car elle trouve que depuis quelques temps tu lui as rendu la vie impossible.
Ça va êtres très hard, ça tu l’as bien cherché, toi qui est un soumis, tu vas êtres servi.          Tu as cinq minutes pour te décider. La décision t’appartient.

Je suis estomaqué, quelle salope ! Je suis pétrifié mais en même temps hyper excité.           Je m’étais déjà soumis a Jérôme. Après les avoir vu baiser tout les deux, dans ma colère, il avait été plus fort que moi. Je m’étais soumis a sa volonté, pour pas les perdre tous les deux. C’est vrai que j’avais accepté ces conditions, je m’étais bien fais baisé. Alors qu’Il a fait de ma Marie une salope.

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Le Jérôme, en attendant ma rèponse, sirote tranquillement son café que j’ai fait la connerie de lui offrir, tout en reluquant mon fameux magazine, il me surveille du coin de l’œil. Mon fils est parfaitement tranquille, appuyé au dossier du clic-clac. Sans aucune expression sur le visage.

J’hésite, puis je lance.

—Ok! Je suis d’accord ! Il me regarde et un petit sourire vient éclairer ses lèvres.
– Parfait Alain, je savais que tu le ferais. Marie m’a dit qu’il y a un sac noir au fond de son armoire avec du matériel pour ta soumission. Va me le chercher, et fais vite, je déteste attendre tu le sais.

Quelques secondes plus tard, je reviens avec le sac que j’avais jamais vu. Jérôme sort du sac tout un matériel ? Martinet, cravache, menottes, corde, bâillon boule et autres choses.
– Bien, parfait. Mains dans le dos !
Je sens les menottes se refermer sur mes poignets, il boucle autour de mon cou un collier à chien. Il tire mes bras afin qu’ils soient à l’horizontale derrière mon dos. Il relie le collier aux menottes par l’intermédiaire de mousquetons et de corde.

Il me met alors un bandeau très serré sur les yeux, c’est le noir total pour moi. À ce moment, il décroche son portable.                                                                                              — Angèle ? Tu peux venir mon cœur, nous sommes prêts à commencer à nous occuper de cet emmerdeur d’Alain.

Environ trois minutes plus tard, coup de sonnette. La porte s’ouvre et claque, je sens une autre présence, féminine d’ailleurs car un léger parfum vanillé émane de cette personne.
– Joli morceau, prêt à cuire le rôti on dirait ! Dit une voix assez jeune.
– Allons-y, toi papa, silence absolu sinon ?
Des mains alors me poussent, je bute contre le canapé, sans pouvoir me retenir, je plonge la tête la première. Je me retrouve allongé de tout mon long. Je sens des mains passer sous ma taille, déboucler mon ceinturon, ouvrir ma braguette, et les boutons, malgré ma tentative de résistance, immédiatement stoppée par un virulent coup de cravache. Je me retrouve en slip, ensuite je sens le slip descendre, je me retrouve cul nu.

La fessée commence ? Doucement une fesse, puis l’autre, en haut, en bas, sur les côtés. Clac ! Clac ! Clac ! Régulièrement, sans hâte, après plusieurs dizaines de claques, je commence à me tortiller.
– Petite nature on dirait ! Angèle, assieds-toi sur lui, immobilise le.
Coincé, je ne peux plus rien faire. La vraie fessée commence. Au bout de plusieurs centaines de claques, je sens mes fesses chauffées de plus en plus.
– À ton tour Angèle, je fais une pause.

Cela reprend différemment, elle est plus vicieuse, plus garce, elle écarte mes fesses pour frapper autour de mon anus, variant l’angle la fréquence et la force des claques. Je commence à trouver cela excitant. Je suis un peu exhibé et sachant que mon postérieur s’expose sans pudeur devant deux autres adultes, ça me fais bander.
– Regarde-moi cette petite pute Jérôme ! Il se tortille comme une vraie chienne en chaleur.
– Ne t’inquiète pas chérie, on va lui en donner.
Ils savent fort bien fesser car cette punition est vraiment dosée, graduelle, tout y passe, Martinet, cravache, ex-cetera, ce qui me permet d’être toujours entre douleur et plaisir.

Je gémis, est-ce de joie ou de honte, de crainte ou de douleur ?
– Il m’excite, j’ai envie de m’en servir un peu. Tu permets ?
– Vas-y, mon Jérôme j’adore !
Je sens sa poigne ferme me tirer en arrière, je me retrouve debout, la queue tendue à l’extrême, le pantalon et le slip tire bouchonnés autour des chevilles. Mon bandeau est toujours soigneusement ajusté, je ne vois rien. Je titube un instant et reprend mon équilibre.
– À genoux !

Je m’exécute aussitôt, je sens alors une tige raide et chaude forcer l’ouverture de ma bouche. Elle sent le mec lavée, cependant avec tout de même un arrière-goût de mâle en rut. Belle pine, que j’ai d’ailleurs sucé une bonne vingtaine de fois.

Sans rien dire, comme un bon soumis, je sors ma langue et commence à sucer son gros sucre d’orge, ma langue monte en frétillant le long de la colonne de chair dont je sens les grosses veines gonflées rouler sous mes papilles. Je lèche, de bas en haut, de haut en bas. Je sens la queue durcir encore et grossir.

Tout d’un coup, une vive douleur me cisaille les fesses.
– Enfourne la complètement, sinon, gare ? Dit Angèle.
– Il suce bien chéri ?
– Superbe, une vraie salope ou plutôt une vraie petite pute, je crois bien que je vais lui casser le fion tout à l’heure. Tu as ce qu’il faut ma biche ?
– Ne t’inquiètes pas, j’ai absolument tout, et même le superflu. Mais nous découvrirons cela ensemble ? Répondit elle en riant doucement.

J’aspire alors le gros mandrin de mon fils que j’aime, je commence à sucer en creusant bien les joues. Ma langue joue un ballet sur toute la hauteur de la colonne de chair bien raide, je titille parfois le méat déjà entrouvert. Parfois, ma langue frétille tout le long de la grosse veine de cette superbe queue, je me l’enfonce complètement, je sens le bout de mon nez qui s’enfonce dans les poils pubiens de Jérôme. Il donne un petit à coup de queue, elle passe la glotte, j’ai son pieu de chair qui me transperce complètement la gorge. Jérôme grogne de plaisir, j’entends le sifflement admiratif d’Angèle :
– Putain, quelle suceuse ton père !

Pendant une dizaine de minutes, je joue de tout mon art, descendant très loin entre les fesses, prenant dans ma bouche de lourdes couilles bien gorgées de jus que je fais rouler doucement sous ma langue, léchant.
Je sens les mains de Jérôme m’écarter brutalement.
– Stop ! Il va me faire jouir ce pédé. Angèle, fouette le un peu, le temps que je me calme !

La fessée reprend, distribuée sans réticence, ni retenue par la main d’Angèle puis le martinet. Sur mes fesses brûlantes, ça chauffe vraiment.
– Bien allez, espèce de petit pédé, vient te faire baiser, mais demande le moi poliment sinon ?
Décidément, rien il ne m’épargne rien.
– Jérôme mon fils, est-ce que tu peux m’enculer s’il te plaît ?                                                              Que je lui demande sans aucune pudeur. J’en ai trop envie.
– Mets-toi en position salope.

Je me remets à genoux, face au canapé, j’appuie mon buste sur celui-ci.
Mon fils m’a déjà fait sucer sa bite et aussi avaler son sperme, là c’est la première fois qu’il va me sodomiser.

– Prépare le ma chérie. Sinon il va japper le paternel.

Elle prend place derrière moi, je sens sa main caresser ma raie. Je me cambre plus encore. Elle étale un produit lubrifiant, elle me tartine la raie puis glisse un doigt dans mon anus.
– Je sais que tu vas aimer comme ta femme. Il va bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t’ouvrir.

Angèle commence à m’enculer avec ses deux doigts, petit à petit la douleur disparaît totalement. Elle écarte ma rondelle qui commence à s’ouvrir.
– Bon, allez, je crois qu’il est prêt, ma chérie.
Je ne répond pas, d’un coup, Jérôme m’écarte les jambes, il pèse de tout son poids sur moi, son torse épouse mon dos, ses jambes puissantes écartent les siennes au max.

Je me sens femelle, soumise, offerte. Son membre viril frotte sur mon orifice, me procurant un nouveau plaisir, il sait que je vais encore céder. Lui offrir ma féminité anale, malgré l’effroi qui m’envahit d’être pris son gros calibre.
Jérôme sent que je cède, que je n’oppose pas de résistance, que mon corps lui est offert.
Son gland ce frotte sur mon anus, je ne sais pas pourquoi, cependant je le sens s’ouvrir, prêt à accueillir cette énorme barre de chair dans mon boyau.
– Tu est comme les femmes qu’on ne veut pas engrosser, tu vas être heureux, tu vas être baisée comme la femelle que tu es !

Il m’écarte les jambes le plus possible, son sexe s’enfonce dans mon anus. Malgré mes cris, il continue, son gland franchi la barrière de mon anneau. J’ai l’impression d’être ouvert en deux, malgré le lubrifiant d’Angèle, mon anus me brûle. C’est gros. Trop gros ?
Jérôme ressort de mes reins, Angèle remet un peu de gel, elle repositionne le sexe sur mon orifice encore béant.
– Je vais te baiser comme une femme ! Mon papa.

Dès que le gland est rentré, Il s’enfonce, en entier dans mon rectum d’un coup brutal. Je crie, je suis sur que je vais mourir, que mon trou va éclater, j’essaye de le pousser hors de moi, mes mains ne rencontrent que ses abdominaux.
– Calme toi papa ? Tu es un enculé maintenant ! C’est juste un peu dur au début, mais tu vas aimer ça ? Je t’assure !

Mon fils reste un moment enfoncé dans mon rectum en entier, petit à petit, il commence des va et viens. Pas trop important d’abord, pourtant de plus en plus fort, insérant des mouvement de plus en plus amples.
D’un coup, Jérôme râle. Il jouit en poussant un grognement de bonheur. Angèle s’envoie en l’air elle aussi, car j’entends gémir alors que moi ? Je suis attaché, coincé, frustré et incapable de me faire jouir seul. Je le sens s’enfoncer au plus profond de mon ventre, soudain des jets chauds remplissent mes entrailles. Mon fils vide son plaisir dans son père.

Il se retire de mon dos, sort son sexe encore à moitié dure.

– Tu as aimé Salope ? On en a pas fini avec toi. Çà fait que commencer ?                                       Il me fait cambrer, m’écarte les cuisses, et les fesses, ce qui permet a Angèle de voir de prêt, mon anus rougi et encore bien ouvert.
– Ça t’as plu hein salope de te faire défoncer par une grosse bite, hein ? Réponds !
—MMM? Oui ! Ça m’a plu.
– Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre, tu appartiens a Jérôme ! Dit Angèle.

Je sens de longs doigts aux ongles acérés me caresser les couilles ? Un ou deux mouvements de branlette. Puis, plus rien.
– Salope, dis-je furieux.

En réponse, un petit rire inquiétant. Angèle me dit :
– Nous verrons bien qui sera la salope tout à l’heure. Ne crois pas t’en tirer à si bon compte.
Là, je commence à m’inquiéter un peu mais de toute façon, c’est trop tard, il faut aller au bout. Ils m’autorisent à m’asseoir, toujours menotté et les yeux bandés. Je serre les fesses, je contracte par à coup mon anus. Quelques minutes passent..
– Debout et ne bouge pas.

Je sens les menottes qu’on enlève, on me détache les bras du collier.
– Mets tes mains devant !
Clic-clac ? Les menottes sont désormais fixées sur mes poignets devant moi. Je suis toujours aveuglé par le bandeau. Je sens Angèle qui m’enlève mon slip et mon pantalon. Je sens des lanières qui se bouclent sur mes chevilles, ensuite l’écarteur de jambes ?          Je ne pensais pas qu’ils allaient utiliser ce truc comme ça.

Je me retrouve debout, les jambes largement écartées, les mains liées devant moi, ses mains d’ailleurs qui viennent d’être attachées à une ceinture que l’on vient de me boucler autour de la taille. Je suis complètement immobilisé, ne pouvant même plus bouger les mains.
– Regarde comme il est mignon ton père, un vrai petit poulet de grain.
J’entends un petit rire ? Ce n’est ni celui de Jérôme, ni celui d’Angèle.

Il y a une troisième personne présente, troisième personne si discrète que je ne me suis rendu compte de rien. Au moment où j’ouvre la bouche pour protester, je me sens solidement empoigné, la tête immobilisée et un chiffon odorant s’enfonce dans ma bouche.
– Oh ! Oui, regarde petit veinard, c’est bien la culotte d’Angèle, avec ton slip en prime, tu en as de la chance hein ? Je te conseille de respirer par le nez.

Clame Jérôme en fixant fermement la culotte par un autre foulard qui écarte ma bouche.   — Pourquoi j’ai fait cela ? Mais tout simplement parce que je sens que tu vas protester et je ne veux pas que tu m’interrompes quand je te donnerai la suite de l’histoire ! Écoute bien. Si tu as compris, hoche la tête.

Je voudrais bien jouer au plus malin, mais là ? Je préfère me méfier. J’accepte donc.
– Chérie, tu vas à la voiture et tu remontes avec Job ! Ordonne Jérôme.
– J’y vais à de suite, ne t’en vas pas Alain ?
Oh ce qu’elle est drôle la conne. Je suis mort de rire. Qui c’est ce Job ? Putain, je ne suis tout de même pas un garage à bite ? Au bout de cinq à six minutes, sonnette. Angèle revient, cependant elle n’est pas seule ?

Il y a quelqu’un d’autre avec elle. Vous savez, quand les yeux sont bandés, quand on est immobilisé, sans pouvoir parler ni même grogner, tous les autres sens se décuplent, là, j’ai beau chercher, je ne comprends pas ? Le bruit d’une respiration forte.                                  Bon dieu ils font quoi ?
– Bien mon papa, je te présente Job. Tu es content ?

Je hoche la tête, oui je suis content ?
– Et toi Job, il te plaît ?
Pas de réponse, respiration.
– Oui, oui, je vois qu’il te plaît bien. D’ailleurs tu vas nous montrer cela tout à l’heure hein mon bébé ?

Putain, il est grave le Jérôme où alors c’est un gosse le Job ?
– Voilà papa, reprend Jérôme. Marie nous a dit que tu avais certains désirs particuliers. Alors ! Ce n’est pas tout de fantasmer, il va falloir l’exécuter. Sans rien dire sinon, je te cravache, ensuite je te découpe les fesses en rondelles, je vais enlever ton bâillon. Mais rassure toi, je te le remettrai tout à l’heure, tu vas bien sagement exécuter mes ordres. Tu sens ce que j’ai à la main ?
Je fais signe que oui.

Le bâillon tombe, puis le bandeau. Je cligne des yeux, je dois avoir l’air fin, en sueur, le cul rouge, les fesses à l’air avec une tête d’abruti à cause de la lumière brutale qui agresse mes yeux, ça fait une bonne heure et demie que je suis aveuglé par ce satané bandeau. Imaginez la scène, debout, devant le canapé, la queue à l’air, nu de la ceinture aux pieds.

Sur le canapé, me faisant face et souriant trois personnes : Jérôme, Angèle, aussi Marie.
– Eh oui ! Marie est là depuis le début. Elle est revenue avec Angèle, d’ailleurs elle en a profité pour te tanner le cul, tu n’as pas senti ? Clame Jérôme.
C’est vrai, à un moment j’ai bien cru deviné une autre présence ?

Ma tête d’ahuri doit beaucoup les amuser, ils sont morts de rire. Un grognements sur ma droite et alors, je vois, assis le cul par terre près de la porte de la salle à manger, un superbe chien. Un danois, les oreilles bien dressées, il me fixe d’un air intéressé. Jérôme prend la parole.
– Je te présente Job ! Vous allez faire connaissance tous les deux tu vas voir. Tu voulais connaître ? Voilà, tu y es, alors maintenant, au boulot. Viens Job, viens mon bébé !

Le chien se lève s’approche, je commence à comprendre la fameuse respiration forte. Job s’approche de son maître, il pose ses deux pattes avant sur ses genoux.
– Allez viens ? On va voir qui est la salope, qui est la chienne. Viens et suce, suce le bien car après, figure toi qu’il va te défoncer le cul. Tu verras ça change d’une queue de mec, c’est pas mal du tout, en plus il est au moins aussi long et gros que Jérôme. Le passage est fait, il va te ramoner le cul. Comme la petite chienne en chaleur que tu es. Tu réalises ? Il va te saillir, tu vas devenir sa nouvelle petite femelle.

Claironne Angèle.

Elle éclate de rire tout en défaisant la ceinture qui maintient mes menottes contre mon ventre. Mes mains sont toujours attachées devant moi, enfin je peux les bouger. Là je dois dire que je ne suis pas très fier. Je lance un regard suppliant à Marie, elle secoue la tête en me fixant dans les yeux.
– Non Alain, tu assumes ! Quand je t’ai raconté comment qu’Angèle et moi, nous nous sommes fait saillir par un chien et que malgré tout, nous avons aimé. Tu souhétais te faire prendre par un chien. Voilà ! Tu y es. Tu t’exécutes. De toute façon, Jérôme te cravache si nécessaire. De plus, regarde, on est sympa ? Il a les quatre pattes protégées par des chaussettes, tu n’auras même pas de marque de griffes ! Alors heureux ?

Très drôle en effet, il ont entouré les pattes du chien avec des chaussettes et ligaturé le tout avec du sparadrap. C’est pour cela que je n’entendais que la respiration sans rien d’autre. Ils m’ont bien eu.
– Allez ! A la saillie, chienne !
Une brusque poussée, je me retrouve a genoux près du chien, toujours les pattes avant posées sur les cuisses de son maître qui lui gratte doucement les oreilles.
– Allé ! Papa suce le !

Cette fois j’y suis, je ne le désire pas ? Je n’avais qu’à fermer ma gueule, faut assumer. Je me penche, approche ma bouche. Ça sent fort, un peu le fauve, un peu le chien mouillé. Vlan ! Vlan ! Deux coups de cravache me cinglent les fesses
– Ça vient oui ?
Alors j’y vais, je sors la langue, je commence à lécher l’étui pénien du chien, c’est de la fourrure. Soudain, un petit bout rose commence à dépasser, je lèche toujours, mon dieu ça grossit terriblement ! Vlan !
– Tu vas te décider à le sucer oui ou non ?

Question appuyée par un deuxième puis un troisième coup de cravache bien appliqué en travers de mes pauvres fesses déjà bien rouges. J’y vais ! Je respire à fond, puis je plonge, je le prends dans ma bouche. C’est doux, pas trop âcre, frais même ?
Je lèche puis, en m’aidant de mes mains toujours menottées devant moi, j’empoigne la verge, je commence à engloutir le gros bout rose et noir. J’ai une sensation de chaleur intense dans la bouche, une espèce de saucisse boursouflé et souple. La queue continue à sortir de son fourreau. Alors je me retrouve en train de sucer un mandrin qui doit bien faire dans les vingt trois à vingt cinq centimètres sur environ six centimètres de diamètre.

Finalement, c’est bon, pas du tout comme une queue de mec, c’est agréable très ferme et doux à la fois, raide et souple tout de même. On sent que c’est un animal, j’avoue que je pensais que ce serait plus âcre et fort.
Le chien a l’air d’aimer, car il gémit de plaisir, son fouet bat dans tous les sens. Je commence à y prendre plaisir. Pas un mot dans la pièce, tout le monde me regarde, je me sens avili, humilié et en même temps terriblement excité, surtout fier d’avoir eu le courage de faire cela.

Tout d’un coup, tout en continuant à sucer Job, je sens un petit peu de liquide séminal qu’il évacue de sa bite, je ne peux m’empêcher de me reculer. Beurk.                                          Vlan ! Vlan ! Deux coups de cravache, puis la voix de Jérôme.
– Bon pour une première fois, on ne va pas te forcer à le boire. Mais la prochaine fois ?
La menace est claire.
– Allez, à quatre pattes maintenant ! Non, ce n’est pas à Job que je m’adresse, c’est à toi papa. Il va te saillir, je te l’avais promis.
– Mais, il va me défoncer, il est bien trop gros ! Dis-je pour essayer de l’amadouer.
– Parfait, tu l’auras voulu ! Angèle, les culottes !

Quelques secondes plus tard, je me retrouve avec la culotte d’Angèle ainsi que mon propre slip enfoncés au fond de la gorge, le tout retenu par un autre foulard. D’une poussée dure, je me retrouve à genoux au bout du canapé ; Marie se saisit de mes bras, elle les tire en avant, Angèle, s’assoie carrément sur mon dos. Je suis allongé, le buste sur le canapé, en long, les jambes largement écartées par le bâton, le cul bien exposé.

Jérôme alors enduit copieusement mon anus de lubrifiant, il masse bien, tourne, fait pénétrer un, deux puis trois doigts à l’intérieur. Il me graisse comme on graisse une chatte avant de la perforer.
– Attends mon chien, attends je vais te l’ouvrir ta petite femelle.

Je le sens s’installer derrière moi et d’un seul coup, il me rentre sa bite jusqu’aux couilles. Je les sens qui tapent contre mon cul en feu.
– Voilà mon Job, il est tout ouvert, tout prêt pour toi. Regardez les filles comme elle est bien ouverte la chienne de notre amant Job !
Marie et Angèle se branlent sans se cacher, je sens leurs mouvements, elles gémissent les salopes, ça les excite. Je sens la truffe froide et humide de Job qui renifle mon trou du cul, il est largement ouvert et il palpite. D’appréhension ou d’impatience ? Je ne sais pas.

Jérôme prend alors la bite de Job à pleine main, il la positionne sur mon cul, les pattes du chien sont sur mon dos, tenues fermement par Angèle. Je sens la queue qui cherche, elle entre.
Marie encourage le chien à me baiser. Il veut satisfaire son maître et remue de plus en plus. Il me pompe le cul pendant un moment jusqu’à ce qu’il s’arrête. Un soulagement de courte durée. Il vient de se nouer à mon cul de chienne.

Marie a compris que nous ne pouvons plus nous dégager l’un de l’autre, elle vient se mettre face à moi pour me donner sa chatte à lécher. Je me fais défoncer le cul par un énorme chien pendant, qu’elle colle sa vulve odorante sur mon visage. Honnêtement c’est très bon ! Je ne sais pas comment elle fait, elle réussit à se faufiler sous moi en position soixante neuf. Je lui lèche la chatte pendant qu’elle me suce enfin la bite durant que Job me défonce le cul.

Voilà comment se passe le final de cette position. Job jouit le premier dans mon cul. Mon érection est de plus en plus forte surtout qu’elle est stimulée par la bouche experte de ma femme. Je lui aspire le fond de la vulve pour étouffer mes cris de jouissance. Je la fait jouir et je jouis en même temps. Je décharge dans sa bouche et elle avale le tout. En attendant que le nœud de la verge de Job se dégonfle pour nous libérer, je doit aussi faire jouir Angèle avec ma bouche. Une fois qu’elles ont bien joui, c’est autour de Jérôme de jouir dans ma gorge. Après tout ça, Job se retire après que le nœud se soit défait. Le sperme coule de mon cul dans les cheveux de ma femme.

Marie se relève, elle tamponne ses lèvres, elle me roule une pelle, nos langues encore imprégnées de sperme se mélange. Elle me dit qu’elle est ravie, car elle vient de trouver une nouvelle façon nous faire jouir.
– Petit veinard ! Tu vois, toi qui souhaitais savoir ce que c’est que de prendre du sperme plein le cul sans préservatif, maintenant tu sais. Bien sûr au départ tu parlais du sperme d’un homme, mais bon. C’est pas mal aussi le sperme de chien hein ?                        Clame alors Jérôme.

Je suis moi aussi content de ce qui vient de se passer. Puis mon cœur s’est arrêté de battre lorsqu’il me dit, qu’ils vont maintenant me présenter officiellement à leurs amis qui ont de gros chiens prêts à être satisfaits par mon petit cul.

Sans que je ne le sache, le trio fait partie d’un groupe de zoophiles. Je vais devenir le vide couilles de mon fils et son chien aussi de ceux de ses amis.

Ça y est, je l’ai fait, j’ai sucé un chien, aussi je me suis fait enculer par lui. J’ai honte !                   En réalité, j’ai adoré ça. Je suis une vraie salope, une vraie chienne. C’est vrai, mais cette fois-ci, je le revendique.
Je pense que c’est fini. Mais non ! On se contente de m’enlever l’écarteur, mes mains sont à nouveau fixées par la ceinture sur mon ventre.
– Maintenant Marie, je te le livre. Règle tes comptes, s’il remue trop, Jérôme est là.

Marie, un sourire ravi sur le visage, écarte la table de la salle à manger pour dégager un large espace et s’installe confortablement sur une chaise qu’elle a tiré au milieu de la pièce.
– Viens ici mon chéri. Viens ! On a des choses à se dire.
Angèle et Jérôme s’assoient tous les deux sur le canapé, comme au spectacle.
– Marie, si tu as besoin de martinet ou autre, n’hésite pas.
– Merci, pour le moment je vais chauffer le terrain. Allez Alain, viens ici !                                  Dit-elle d’un ton sarcastique.

Je m’approche alors et fermement, elle me fait basculer sur ses genoux ? Mes bras ne me sont d’aucune utilité, ils sont immobilisés. Je suis à cheval sur son genou car avec sa deuxième jambe passée sur les miennes, elle m’immobilise totalement. Mon cul est parfaitement exposé, prêt à subir. Là, je me rends compte que je vais morfler, je vais payer en gros, capital et intérêts. Les intérêts me paraissent élevés, très élevés, bien trop élevés !

La main de Marie caresse mes fesses déjà sensibles, la fessée recommence. Décidément, c’est ma journée. Elle frappe de façon régulière, répartissant bien les claques tout autour, ainsi qu’au centre des fesses, faisant rougir la totalité de la surface, en embrasant de nouveau mes pauvres fesses meurtries, pour une fessée, c’est une fessée. A chaque claque sur mes fesses, mon cul se referme spasmodiquement en éjectant un peu de sperme canin et humain.

Au bout d’une éternité, elle s’arrête, elle affirme tranquillement :
– Maintenant, tu vas recevoir trente coups de spatule et nous serons quitte. Pour le moment et jusqu’à la prochaine fois. Mais là, tu sauras ce qui t’attends si jamais tu dépasses les bornes. Jérôme, délie le, enlève tout. Alain, penche toi en avant, les jambes bien droites, les mains posées de l’autre côté de la table de la salle à manger. Agrippe en le bord opposé. Offre toi bien à la punition, tiens, réclame la ?

Je suis brisé, je ne cherche même pas à répliquer.
– Merci Marie pour cette fessée amplement méritée, finis de me fesser avec la spatule, je l’ai bien mérité. S’il te plaît, fesse-moi !
Elle agrippe la spatule.
– Si tu bouges les mains, si tu te redresses, si tu te trompes dans le compte des coups, je recommence à zéro. C’est bien compris ? C’est parti !
1, 2, 3… 29,30.

Je me redresse dès qu’elle m’y autorise. Jérôme et Angèle applaudissent.
– Merci Marie de ta sévérité ! Je le méritais, je me suis conduit comme un gamin mal élevé, tu m’as puni comme tel, c’est bien. Merci pour cette preuve d’amour.
Je ne vois même pas le drôle de la situation tellement je suis cassé et sans réaction.
– Bien, maintenant, une petite récréation, dit-elle. Les amis, nous allons arroser ça. C’est de moi. Il ne manquait plus que ça ?
– Alain, va chercher le plastique et assieds-toi dessus.

J’obéis et me retrouve assis au milieu de la salle à manger, mon cul bouillant sur le plastique glacé d’une bâche transparente.
– Ouvre la bouche ! M’ordonne Marie.
– Jérôme, regarde le joli réceptacle, la superbe pissotière !
Jérôme s’approche, astiquant doucement son manche dans sa main droite.
– Il a un super cul, on est très bien dedans, voyons voir si la bouche est aussi intéressante.
Il tient sa queue d’une main et en dirige le bout vers moi ?                                                   Je vois une goutte perler au bout du gland, quelques fuites, ensuite le jet dru qui défonce ma bouche. Je manque de m’étrangler.
– Ne bouge surtout pas sinon ?                                                                                                    Dit la voix menaçante de Marie.

Alors, je ne bronche pas, la pisse me coule partout dans la gorge sur le corps. Je me rends compte que pendant toute cette séance, ils ont bu deux grandes bouteilles d’eau. Tout cela était prévu. Ça coule, ça coule. Ça y est, c’est fini.
– Essuie le ! Ordonne tranquillement Marie.
J’obéis, je sèche avec ma bouche et ma langue la totalité de la queue de mon fils qui rebande un petit peu.
– Si tu veux encore le baiser, n’hésite pas ? Dit Marie.
– Non, non, il va seulement me branler bien gentiment. Au boulot !

Me voilà en train de branler Jérôme qui ne tarde pas à éjaculer à longs traits dans ma bouche.
– À nous maintenant ! Viens Angèle, toi Alain, allonge-toi. Ordonne Marie.
Elles sont toutes les deux au-dessus de moi, elles commencent. Je vois les chattes qui se crispent, l’effort qu’elles font toutes les deux puis soudain, la pluie jaillit. Une douche chaude et vigoureuse, je suis complètement inondé. Ça dure, ça dure, puis les jets entremêlés ralentissent, ainsi ils se tarissent.
– Ta récompense Alain, tu nettoies bien proprement nos deux chattes, fais ça bien sinon, pan pan cucul. À genoux et lèche !

Affirme Marie dans un grand éclat de rire.

J’obéis, je commence par Marie, puis je passe à Angèle. Voilà, tout est bien propre. J’accroche le regard de Jérôme, plein d’ironie. Je suis furieux. Je me relève, au moment où je me dirige vers la salle de bain, Marie me rappelle :
– Oh là là ! Une seconde ! Je crois bien que tu veux peut être encore jouir ? Réponds !
– Oui c’est vrai !
– Bien parfait ! Le spectacle continue, asseyez-vous sur le canapé mes amis !

Les voilà tous trois vautrés sur le canapé. Marie m’ordonne.
– Viens ici devant nous Alain ! Maintenant, tu vas te branler devant nous, lentement bien à fond, en décalottant bien le gland afin qu’on le voie bien. Bon, je veux te voir en action, ne te presse pas, exécution !

Alors, je me branle, j’essaie de faire durer, j’écarte bien les jambes, je mouille délicatement le gland turgescent d’un doigt léger. Je sens que ça monte.
– Tu recueilles tout ça dans ta main et surtout n’en perds pas, sinon ?
J’ai compris, je sais comment l’histoire va se finir, je suis résigné, sans réaction. Un orgasme violent me terrasse. Je jouis en plusieurs jets qui viennent s’écraser dans ma paume droite. Sans attendre l’ordre, en ouvrant bien la bouche en sortant la langue au maximum, je lèche mon sperme, lentement.

Marie approuve de la tête, sans rien dire, même Job a l’air d’approuver, admiratif le chien devant sa nouvelle femelle. Elle a de la ressource la petite chienne, me dis-je en moi même avec beaucoup d’ironie.
– Bravo, bravo ! Tu vois quand tu veux. Je sens que nous recommencerons ce genre de séance, cela te rends docile et j’adore cela ! Déclame Marie enfin.
Voilà, c’est terminé. Je suis crevé, je file à la salle de bain pour me laver. Ils discutent et rient, ils plaisantent de moi, de la salope que je suis heureuse devenu, une salope certes, mais quelle salope ?
Je suis sûr que ma vie de couple vient de prendre un autre chemin.

Sam Botte

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