Le bizutage de Brigitte.
Je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai réussi mon bac et en plus je viens de passer mon permis de conduire avec succès. Pour fêter ces réussites, mes camarades du lycée ont organisé une petite fête et m’ont lancé un défi.
J’interrogeais alors mon camarade de classe, celui qui parmi la trentaine de lycéens et lycéenne jouait le porte-parole, sur la nature de ce défi et l’enjeu.
Il me dit :
Brigitte est tu capable de te rendre d’un point A à un point B, nue ?
Pourquoi pas ! Croyant qu’il voulait que je me déshabille de suite et de me rendre de la ou je suis à l’autre bout de la salle, il me dit Brigitte, tu me laisses terminer ?
Oui, je t’écoute ?
Non pas à pied, mais en voiture, comme tu viens d’avoir ton permis nous désirons que tu conduises nue du point A (le parking du cinéma…) Jusqu’à ton domicile qui sera le point B, en passant par la station-service du centre commercial où tu devras prendre du carburant.
Quoi vous me demander à faire une chose pareille ?
Dans la journée ?
Non, la nuit !
Premièrement je n’ai pas de voiture et croyez vous que je vais le faire.
Pas grave Brigitte quelqu’un va t’en prêter une voiture.
Écoute, ce n’est pas fini !
Quoi encore ?
Tu devras être vêtue de la façon suivante :
une jupe, ou une robe ;
un soutien-gorge ;
une culotte ;
porte-jarretelles et des bas.
Je croyais nue ?
Maintenant, écoute-moi bien cette opération ce déroulera samedi soir au cinéma ou tu assisteras à la séance de vingt heures trente, nous réserverons deux demi-rangées et tu t’installeras au centre de la première rangée.
Ensuite pendant la séance tu devras retirer par étape un sous-vêtement après l’autre, tu devras être nue sous ta robe à la fin de la séance.
Tu quitteras le cinéma comme tous les autres spectateurs avec tes sous-vêtements sur tes bras, tu traverseras la route, le parking jusqu’à la voiture. Tu déposeras tes habits dans le coffre. Puis avant de prendre le volant tu retireras ta robe que tu remettras à Lou qui s’installera à l’arrière et contrôlera si tu suis bien les règles.
Rassure-toi tu n’auras pas à empruntés les grandes artères, Yvan et Patrice te précèderont et te guiderons à travers des petites rues jusqu’à la voie rapide et de la jusqu’à ton domicile en passant par la station. Ils seront en liaison radio avec Lou en cas de problème de contrôle de gendarmerie ou autres.
Derrière toi deux autres voitures te suivront.
Et les enjeux ? L’entrée du samedi soir sera gratuite et nous t’offrirons un abonnement pour un an d’entrée au cinéma dans la salle de ton choix,
À prendre ou à laisser !
Vous êtes tous des tarés, mais bon j’accepte.
Rendez-vous alors samedi soir à 20 heures à l’entrée du cinéma. Pour le parking quelqu’un te réservera une place.
Je suis rentrée chez moi, je n’ai bien entendu rien dit à mes parents, sauf la veille au soir en me voyant rentré en voiture. Et là je leur ai dit que j’allais au cinéma, après tout je n’ai pas menti.
Le samedi soir après m’être habillée de la façon qui m’avait été demandée, je me suis rendue au lieu de rendez-vous fixé par le porte-parole.
Je me suis assise comme convenu au premier rang réserver et au centre. À ma droite une fille et à ma gauche un garçon auxquels je devais remettre mes sous-vêtements que j’enlevais au fur et à mesure de l’avancer du film. Les deux camarades à mes côtés me faisaient un signe à chaque fois que je devais retirer quelque chose.
Première chose à retirer, ce sont mes chaussures que j’allais remettre après avoir retiré mes bas. Pour ce dépouillage je n’avais aucune peur, car j’étais bien protégée à mes côtés et au rang derrière moi.
Ma voisine de droite me fit signe de retiré un bas, je troussais ma jupe dégrafais les deux attaches bas de la jambe droite et fit retirai le bas que je donnais, à ma voisine. Puis j’attendais l’ordre venant de ma gauche pour retirer le second. L’ordre fut donné quelques minutes plus tard et fut exécuté.
Avant l’entre actes je retirais mon porte-jarretelles, opération un peu plus compliqué, car j’ai du faire passer le bas de ma robe sous mes fesses afin d’y avoir accès pour le retirer et le donner à la fille.
À la reprise du film, il ne me restait plus que le soutien-gorge et mon string à retirer. La fille à ma droite m’ordonna de retirer le soutien-gorge en premier.
Je m’avançais légèrement sur mon siège et passais mes mains dans mon dos pour dézipper ma robe puis dégrafer le soutif, il ne me restait plus qu’à retirer ce dernier et à le remettre à la fille.
J’attendais alors que le garçon de ma gauche me donne l’ordre de lui remettre mon string. Ordre m’a été donner de retirer mon string dix minutes avant la fin. Juste avant le mot fin mes deux voisins me rendaient mes sous-vêtements. Je voulais zipper ma robe, mais elle m’en empêcha. De toute façon je devais la retirer après alors autant rester ainsi.
Je suis sortie du cinéma mes sous-vêtements sur les bras entourés par les camarades puis avec Lou, nous nous sommes rendue à la voiture, j’ai déposé les sous-vêtements dans le coffre et attendait le feu vert de Lou pour enlever ma robe et me mettre au volant.
Les deux voitures ouvreuse se sont présenté et Lou en contact radio m’a donné le feu vert de les suivre, suivis par les deux voitures suiveuses.
Pas très rassurée, Brigitte, me demanda Lou !
En effet s’est en ville que j’ai le plus peur. Je suivais les deux voitures dans les petites ruelles. Au bout de quelques minutes de route, la première voiture signala à Lou de s’arrêter, il aperçoit des feux tournants bleus sur notre route. Je m’arrêtais en attendant que la voiture précise si la voie est libre ou s’il faut changer d’itinéraire.
Lou me donna le feu vert pour continuer, ce n’était que les pompiers.
Il y avait encore un risque c’est au rond-point avant de s’engager sur la voie rapide. Mais là aussi tout se passa très bien.
Puis vint la sortie vers le centre commercial ou le risque était très grand d’avoir non seulement du monde aux pompes, mais aussi les caméras de vidéo surveillance. La première voiture ouvreuse signala de ralentir, un véhicule se trouve à une pompe, le chauffeur raccrocha le pistolet pris son ticket et s’en allait laissant la voie libre.
J’arrivais à la pompe, suis descendue et je suis aller me servir en carburant, toujours dans la crainte d’être vue par quelqu’un.
Le chauffeur de la voiture ouvreuse prit le ticket et je remontais en voiture pour la dernière étape.
En priant que mes parents sont couchés, j’arrivais chez moi. Lou descendait de voiture, me tendit ma robe ouvrait le coffre et me rendit les sous-vêtements. Le porte-parole me donna une enveloppe avec l’abonnement qu’il m’avait promis.
Lundi nous nous sommes retrouvés en nous promettant de recommencer cette opération, mais en changeant de personne.
Brigitte
Ajouter un commentaire