La vie de Nicole a repris son cours entre le travail et la vie conjugal. La débauche et l’humiliation vécues lors du dépars a la retraite de son chef ne sont pas pour autant oubliées.
Lorsqu’elle est rentrée, ce soir-là, elle était partagée entre honte et plaisir. Honte de s’être laissée aller ; honte d’avoir ressenti tant de plaisir à cette dépravation. Elle a encore en bouche le goût du sperme d’Omar.
Mais en même temps, cette déchéance lui avait procuré deux orgasmes inouïs, fulgurants. Elle n’avait pas joui comme ça depuis… Jamais en fait ! Avant que son mari ne la délaisse, il ne lui procurait que des plaisirs fugaces, fugitifs. Des mini-orgasmes…
Il lui a fallu attendre la cinquantaine pour qu’elle connaisse la véritable jouissance ; dans la déchéance et le sordide certes mais…
Il lui arrive parfois le soir, une fois couchée, de repenser à ce viol…
Mon dieu qu’il était noir… et sale… frissonne telle dans ces moment-là.
Elle n’ose s’avouer que ces frissons ne sont pas spécialement de répugnance…
Elle se surprend d’ailleurs, de plus en plus souvent, à tenter de ressentir la caresse anale que cette langue lui avait prodiguée ; à se remémorer les mots crus et vulgaires avec lesquels Omar l’avait traitée. Et son sexe… Quelle grosseur !! Quelle douceur avec ce goût d’exotisme !!
Deux semaines se sont écoulées depuis ce fameux dépars en retraite.
Ce soir a la fin du travail Nicole trouve une enveloppe qui a été glissée dans son vestiaire. Elle ouvre la lettre une fois arrivée dans sa voiture. Elle y trouve une photo très explicite qui a été prise dans le couloir de la réserve le jour du dépars en retraite de son chef avec un mot qui lui demande de rejoindre l’auteur de cette photo dans l’ancien vestiaire de l’équipe de nuit. Elle devra être habillée d’une robe sans sous vêtement. Le rendez vous serait fixé à 19 h. Nicole a juste le temps de rentrer pour ce changer.
A 19 h précise Nicole frappe à la porte du vestiaire désaffecter.
— Entrez madame la chef, dit l’inconnu caché, et fermez le verrou derrière vous.
— Qui êtes vous ? Et que veut dire cette photo ? dit Nicole après s’être exécutée.
— Je crois que vous me connaissez, même si vous ne me regardez pas, déclare l’inconnu en sortant de sa cachette. Je te félicite pour avoir suivi mes recommandations vestimentaires.
— Vous Marcel ! Mais qui vous permet de…
— Tais toi salope, ici c’est moi qui commande !
— Comment pouvez vous ! Cette photo ?? Ce n’est pas de moi !
— En tous cas la femme qui se fait défoncer la bouche te ressemble drôlement, et c’est certainement ce que penseront ton mari, ta famille, tes amis, tes collègues de travail et bien sur tous les voisins quand ils en recevront des exemplaires par la poste. Et j’ai encore bien d’autres photos encore pires !
— Combien voulez vous, dit Nicole d’un ton mi hystérique, mi résigné.
— Je ne veux pas d’argent, je veux juste que tu sois a moi, que tu m’obéisses.
— Ça !! Jamais !
— Alors cet entretien est fini, les photos partiront demain par la poste !!
— Non attendez ! C’est… HMM ?? D’accord. Répond Nicole, sa respiration haletante, elle est rouge de colère et de honte.
— Pour commencer tu vas me montrer tes beaux nibards.
— Vous êtes fous, jamais je ne ferais ça !
— Je croyais qu’on avait réglé ce point. Si jamais je dois encore me répéter, ces photos partiront, c’est compris ?
— … Oui.
— Oui, qui ??
— Oui, monsieur !
— C’est mieux, maintenant tu t’exécutes.
Nicole, encore hésitante, commence à enlever une des bretelles de sa robe, puis une deuxième, et tire légèrement le vêtement vers le bas, dévoilant sa poitrine. Les aréoles sombres entourent ses tétons érigés. Elle baisse les yeux, humiliée par cet homme qu’elle méprise.
Marcel lui ordonne de se mettre à genoux, elle s’exécute sans un mot. Il défait alors sa braguette, sort son sexe encore mou, mais néanmoins déjà impressionnant, avec son gland disproportionné.
— Suce Salope !!
— Oh mon dieu !!!
— Dieu n’a rien à voir la dedans petite pute, suce ma grosse bite !!
— Pitié !
— SUCE J’AI DIT !!
La femme approche sa bouche du gland phénoménal, elle sort sa petite langue pour y apposer une lèchouille. Elle ouvre ensuite sa bouche le plus en grand possible, elle réussit à y faire pénétrer le gland à semi bandé.
Quand il ressort, il a presque doublé de volume, il luit de salive.
— T’as jamais vu une bite comme celle-ci hein ma salope ?
— Non
— NON QUI ?
— Non Monsieur.
— Dis moi que ça te plaît de sucer un beau gland comme le mien ??
— Ça me plaît de sucer un beau gland comme le votre, Monsieur Marcel.
— Lèche moi les couille maintenant.
— Oui Monsieur.
Nicole se penche pour gober les énormes testicules, l’une après l’autre, les enduisant de salive. Pendant qu’elle s’attelle à cette tâche, Marcel tapote son gland sur son front et ses cheveux.
— Maintenant tu vas mettre tes mains sur la tête et tu vas me sucer le plus profond que tu peux. Compris Chienne ?
— Oui Monsieur !
Nicole relève ses bras, ce qui eu pour conséquence de faire remonter ses seins, dont les tétons sont maintenant complètement érigés et durcis. Elle ouvre sa bouche pour y faire pénétrer le mandrin elle l’enfonce lentement jusqu’au fond de sa gorge. Elle entame alors de petits va et vient, faisant pénétrer la verge toujours plus profondément, tout en gardant les bras en l’air.
Parfois, le sexe ressort dans son intégralité, luisant de salive.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, le membre flasque de Marcel se tend, dans un soubresaut il déclare.
— Tiens salope, avale mon foutre, je vais te remplir la bouche.
Nicole fait des efforts pour tout avaler, par petites gorgées, mais la quantité est telle que plusieurs filets s’écoulent de sa bouche, pour couler sur sa poitrine et sur le sol.
Marcel ressort son sexe de la chaude bouche, l’essuie sur les cheveux de Nicole, puis il lui dit.
— Lèche ce qui a coulé sur tes seins.
Elle attrape ses seins en les relevant, s’applique à nettoyer les traces de souillure.
— Maintenant lèche par terre, il faut laisser cet endroit aussi propre qu’il était.
Après une hésitation, Nicole s’exécute, léchant le carrelage à l’endroit ou le sperme c’est écoulé.
–
Très bien salope, tu as été bien obéissante. Je n’enverrai pas les photos jusqu’à ta prochaine visite chez moi ou tu viendras en robe.
— Mais vous aviez promis !
— Je n’ai rien promis du tout, mais cette fois je te promets que la prochaine fois que tu viendras chez moi, tu pourras récupérer les photos à ton départ. Et maintenant dégage !
Nicole se relève, ajuste sa robe, la tête toujours baissée, elle s’enfuit rapidement.
Nicole ce raconte.
Toute la semaine j’avais beau me répéter que je ne lui obéirais pas, que je n’irais pas chez lui je savais que finalement je serais au rendez vous, je n’ai pas trouvée d’autre alternative.
J’arrive à l’entrée du hameau, Marcel tient ouverte une grande porte de sa grange, je rentre avec ma voiture. Il ferme les portes derrière moi, la luminosité de la grange s’assombrit, je ne suis pas rassurée. Je n’ose descendre de la voiture, c’est Marcel qui ouvre la porte et prend ma main pour me tirer hors de la voiture.
— Tu es belle ainsi vêtue, viens suis moi.
Nous traversons l’immense grange encombré d’un tracteur et de ballots de paille, nous passons une porte au fond pour entrer dans une ancienne écurie remplie de bric à brac agricole
C’est au fond dans une pièce avec des murs en planches qu’il m’entraîne et me fait entrée.
Elle est meublée d’un lit cage en fer, avec une table de nuit, d’une chaise, le tout éclairé
par une fenêtre aux carreaux opaques, le matelas est recouvert d’un draps propre avec un sac de sport posé au pied.
Je m’immobilise dans l’entrée, il me tire en avant en fermant la porte de cette petite chambre.
Je me retourne, il écarte les bras et vient m’étreindre comme si j’étais de sa famille.
— Ah enfin tu es là ! Je n’arrivais pas a oublier tes gémissements de plaisir dans la réserve.
Je m’en veux de ne pas m’être dégagée a temps de son étreinte, ses mains glissent le long de mon dos jusqu’à mes fesses qu’il caresse, écarte pour descendre ses doigts entre elles.
Brusquement je le repousse de mes deux mains sur son torse
— Laisse moi ! Tu n’as pas le droit de faire ça !
— Mais tu n’as rein compris, tu doit m’obéir sinon le petit film d’où j’ai extrait les photos sera diffusée sur le net, imagine la tête de ton mari regardant sa femme se faire sauter pendant les heures de boulot par un intérim africain.
— Tu ne le veux pas, c’est pour ça que tu es venue ici, alors ne commence pas à faire des manières sinon je te claque. Dit il en levant la main au dessus de ma tête.
J’ai un mouvement de recule devant la menace
— Allons voir ce que tu nous cache sous cette jolie robe.
Il déboutonne ma robe, me l’enlève, la pose sur un montant du lit, me voilà en sous vêtement
Je crois que je vais mourir de honte, néanmoins je ne réagis pas tétaniser par la peur.
Il ce recolle a moi, passe ses mains dans mon dos, dégrafe mon sous-tif ce recule en me le
retirant, ses yeux s’agrandissent de joie et d’étonnement
— Tu as de très beau seins comme je les aime, bien lourd et pas trop gros ! Je t’ai souvent reluquer au boulot, maintenant ils sont là devant moi. Dit il en me les caressant.
Sa bouche vient gober un téton qu’il aspire, il pointe sous la succion, il le mordille en pétrissant l’autre sein, puis fait de même avec l’autre, malgré mon désarroi, je sens mon sexe
s’humidifier. Je m’en veux d’être excitée par cette situation de soumission.
Sa bouche en petits baisers descend le long de mon ventre, ses mains descendes en me caressant le dos, je frissonne involontairement sous la caresse.
Il s’accroupit devant mon pubis, descend ma culotte sur mes chevilles, m’écarte les jambes
— Ouah ! C’est beau ainsi taillé, ta chatte est magnifique !
Je suis confuse, gênée qu’il commente mon intimité ainsi nous somme pas intime.
Sa langue me lèche de bas en haut en écartant mes grandes lèvres pour atteindre mon clitoris
qu’il fouette avec le bout de sa langue puis le pince avec ses lèvres, il durcit je le sens
J’ai du mal a retenir un petit cri de plaisir qu’il me procure avec sa langue.
En ce redressant il me pousse sur le bord du lit, je me retrouve assise, la tête au niveau de son ventre. Il ouvre son pantalon, baisse son slip d’où jaillit un sexe en érection plus imposant en taille que celui de mon Jacques.
Marcel passe ses mains derrière ma tête qu’il attire sur sa queue pour que je le suce.
— Allez va y prend la dans ta bouche, ne me dit pas que tu n’a jamais une fellation.
Le gland sur mes lèvres fermées, Marcel pousse ma tête en avant
-Ouvre sinon ! La menace claque comme un coup de fouet.
Ma bouche a peine ouverte, que d’un coup de rein son gland vient cogner au fond de ma gorge , le nez dans ces poils pubien qui sentent fort, j’ai un hoquet à en vomir.
Ma tête entre ses mains va et vient sur sa bite a sa cadence, je salive énormément
— Salope ta bouche est bonne, entoure ta langue autour du gland, masse moi les burnes.
La chaleur de ses mains dans mes cheveux, ses mots crus me font du bien.
Il savoure ma fellation quelques instant, puis me pousse en arrière je tombe allongé sur le lit
les pieds au sol, il finit d’enlever son pantalon et son slip.
— Recule toi un peu, écarte les cuisses. Dit il sur un ton sec .Mes pied quittent le sol en laissant tomber mes escarpins et ma culotte sur le sol poussiéreux
— Tu mets pas une capote ?
— N’ai crainte, je suis sain, je ne vais pas voir ailleurs tu est la seule depuis bien longtemps.
Il vient ce placer entre mes cuisses sexe en avant, je le laisse me pénétrer en m’ouvrant
D’une seule poussée il s’enfonce avec brutalité jusqu’au couilles que je sens sur mes fesses
J’en ai le souffle coupé malgré que je sois mouillée de salive et de cyprine.
Il colle sa bouche à la mienne, sa langue bute sur mes dents, il fronce les sourcils. Vaincue
Je laisse sa langue chercher la mienne que j’ai reculée, comme ses mains sont chaque côté de mes hanches, il m’empoigne en serrant fort, je vais crier de douleur, il en profite pour fouiller ma cavité buccal et mélange sa langue a ma langue.
Doucement il sort presque sa bite de ma grotte d’amour pour la replonger aussi doucement
Son baisé avec sa langue, son va et vient lent et en douceur ont raison de mes réticences.
Je ne résiste plus, je m’abandonne a cette onde qui remonte du fond de mon dégoût pour m’envahir irrésistiblement en un orgasme inattendu.
Il accélère le mouvement, la sève monte dans sa branche, il grogne, explose en s’agrippant
a mes hanches, en bavant dans ma bouche, de sentir sa chaleur au fond de mon ventre, je jouis aussi en enserrant sa taille avec mes jambes et en suçant sa langue.
Nos bouches ce dessoudent, nous reprenons nôtre souffle lentement.
Marcel me regarde avec un sourire de mâle dominant.
— Toi tu as pris ton pied, je le savais que tu aime ça !
Malheureusement il a raison, j’ai jouis malgré moi, je me dégoûte d’être aussi vulnérable.
Nous roulons sur le coté, toujours soudé ensemble, il me caresse le dos les fesses tendrement
une main vient entre celle ci pour masser ma corolle brune avec le jus qui déborde de ma grotte aux délices. Il veux y introduire un doigt, je sers les fesses et mon cul.
— Non pas par là
— Tu es encore vierge de ce coté là ?
— Oui je suis vierge de ce coté là, j’ai toujours refuser les demandes de Jacques mon mari.
Il débande maintenant et ce retire en me disant.
— Ne bouge pas, reste allongé tu es bien là, nous avons encore le temps
Il fouille dans le sac de sport, il me lance une serviette éponge que je positionne entre mes cuisses pour m’essuyer.
Je le vois farfouiller dans ce sac qui est au pied du lit, que peut il chercher ?
Marcel tient des paires de menottes dans ses mains.
— Tu n’as pas besoin de m’attacher pour me baiser !!
— Laisse-toi faire. Tu ne le regretteras pas !!
Je me laisse faire et en quelques secondes mes deux pieds sont attachés aux barreaux du lit, jambes bien écartées. Puis c’est au tour de mes poignets sur la tête du lit avec ma tête relevée par deux oreillers. Je suis totalement impuissante, exposée et vulnérable, livrée à aux désirs de ce pervers.
Il se recule, il émet un petit sifflement avant de dire.
— Putain ! Je vais m’amuser avec toi. Tu vas être mon jouet ma petite Nicole.
Il se retourne avec dans une main ! Un gode ! Un gode de belle taille, probablement un peu plus gros que son sexe en érection.
Il prend aussi une télécommande et je comprends que c’est un gode vibrant.
— Marcel ! C’est quoi ! Ça !
— Nicole, tu sais quand même ce que c’est ! T’es plus une gamine !
— Bien sûr que je le sais ! Mais je préfère un vrai sexe à un truc comme ça que je n’ai jamais utilisée.
Il se positionne a mon coté, une de ses mains écarte encore plus une de mes cuisses pendant que l’autre main caresse mon sexe. Son doigt tourne autour de mon pubis puis passe le long de ma fente. En remontant, son doigt écarte mes grandes lèvres encore humides par nôtre précédente copulation.
Je me retiens de ne pas gémir encore sous son doigt inquisiteur qui maintenant a passé les petites lèvres. Puis ce sont deux doigts qui écartent mes lèvres.
—OO.. OHH, la belle chatte bien ouverte ! Elle a envie de se faire visiter… de ce faire encore remplir par quelque chose ??
Marcel vient de pousser la tête du gode entre mes lèvres intimes !
— Non ! Pas avec ça !!!
J’essaye de bouger mon cul mais il enfonce un peu plus le gode et en remuant mes fesses, je sens encore plus ce faux sexe dans l’entrée de mon puits d’amour. D’un de ses doigts il caresse le haut de ma fente pour faire ressortir mon petit bouton de plaisir.
Il fait tourner le bout du gode dans ma grotte avant de le glisser sur mon clito sorti de son capuchon
— OUUAAAHH !
Il vient d’appuyer sur la télécommande, il frotte mon clito avec le gode.
— OOHH ! NOONNNN ! MMMFF !!!
Il remet le gode dans ma grotte, je le sens pénétrer en moi.
Une de ses mains courre sur mon ventre elle vient prendre un de mes seins pour le caresser. Et de nouveau cette vibration qui me fait sursauter, puis frissonner.
Il fait aller venir le gode en moi tout en le laissant vibrer, il pince un de mes tétons tout dur.
— OOOUUUUUHHH !!…
— Tu vois que t’aime ça ! Dis-le !
Il augmente la vitesse des vibrations
— OOUUAAAHH ! MMOOUUIIIII…. C’est BONOOOON !
— Tu vois, ce n’est pas difficile d’être une salope.
Il fait aller venir le gode vibrant dans ma grotte comme s’il me baisait. Mais avec cette vibration du gland qui excite mes parois vaginales, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
— OOUUUIIIIII !!!… Encore…. OOOOOOHHHH !
Il vient de retirer le gode de ma grotte en feu !
— Remets-le ! N’arrête pas ! Continue !
— Si tu le veux, il va falloir que tu le fasses toi-même.
Il met le gode dans une de mes mains qu’il libère et m’ordonne.
— Fais-toi jouir, montre moi comment te faire bien jouir !
Il veut que je me fasse jouir avec cette bite synthétique. Elle est réaliste, couleur chair, avec des renflements imitant des veines gorgées de sang, avec un gland cramoisi bien développé, le tout avec une paire belle de boules.
— NOONN ! Pas ça !!
— Fais ce que je te dis ! Imagine que tu as ton Jacques et moi à ta disposition !
Avec sous mes yeux, la queue de Marcel qui me traite de salope, je remets le gode dans ma grotte aux délices, j’en gémis de plaisir.
— MMMMFF !! OOOOHHHH, OUUIIII !!…
Marcel libère mon autre main, qu’il met sur sa queue.
— Branle-moi en même temps.
En rythme, je branle sa queue et ma grotte. Dans ma tête c’est comme si deux hommes prenaient mon corps pour me soumettre à leurs désirs pervers.
— C’est bien ! Pour tes débuts de salope.
— Non ! Je ne suis pas une salope !
— Si tu vas être ma salope personnelle. Allé baise toi avec cette belle bite ça fera un beau film.
— NOONNN !! Pas de film !!
Je dis non mais je suis terriblement excitée. J’ai chaud, ma grotte ressent avec plaisir cette chose qui la fouille en vibrant. Je l’enfonce le plus loin possible.
— Oui, c’est ça… baise toi bien… va y enfonce le bien au fond.
J’entends sa voix, mais je plane un peu, En fermant mes yeux, je sens un sexe qui remplit mon puits plein d’amour et comme j’ai le sexe de Marcel dans l’autre main, j’imagine que la bite de Jacques me défonce la tirelire. Mon statut d’épouse fidèle s’envole à tire d’aile pour laisser la place une salope, qu’il fait de moi.
— AAAOOUUUUAAHHH !
Le salaud ! Il fait varier les vitesses des vibrations avec la télécommande !
— C’est bon hein ?
Je ne réponds pas.
— Je t’ai posé une question…
Dans une dernière rébellion je crie.
— NOOOOONNN !!!
— Menteuse ! Je vois ton ventre qui ondule de plaisir. Tu es trempée ! T’es une salope.
— Dis-le que tu es une salope ! Dis-moi, que tu es ma pute.
— Je… suis… une… salope.
— Dit le plus fort, que tu es ma pute !
Encore un petit coup de vibreur au maxi et je crie
— AAARRRGGGH… OUUII !!!! Je suis ta pute !
— Voila !! Tu vois quand tu veux ! Enfonce-le bien ! Ou ? Retire-le si tu n’es pas ma pute.
— NOONNNN ! Je suis ta pute ! Je vais jouir !
— Retire-le ! C’est un ordre !
— Oh non !! J’allais me faire jouir !
— Suce-le !
— Quoi ??
— Suce le c’est un ordre
Il me regarde dans les yeux. Son regard est dur, il attend que j’obéisse.
Je pose le faux gland trempé de cyprine sur mes lèvres. Ça m’excite encore plus.
— Aller !! Suce.
Du bout de ma langue, je lèche le gland. Je découvre le goût du jus féminin.
— C’est bon, hein que c’est bon ?
— MMMMFFFF !!!
Il vient de m’enfoncer au moins deux doigts dans ma grotte ouverte.
— C’est bien, ma pute. Tu commences à apprécier on dirait. Remet le dans ta chatte et fais toi jouir !
— Non ! Pas encore ça !!
— C’est un ordre. Obéie !
En femme obéissante, je réintroduis le gode dans mon puits d’amour.
— Va y !! Enfonce-le bien.
Il n’a pas besoin de me le demander. Maintenant je suis une chienne en chaleur, j’ai besoin de me sentir pénétrer, je veux jouir.
Quand je l’ai bien en moi avec les fausses couilles qui caressent mon cul, il remet en route les vibrations, tout mon corps vibre sous cette incroyable sensation. Involontairement mon corps se cambre et il augmente les vibrations.
— OOOOOOOOOOHHHH… OOUUIIII !
Mais dans un sursaut je retire le gode vibrant de ma grotte. Quand il glisse en moi, c’est encore pire !
— AAARRGGGHH…… Arrête salaud… viens baise moi…
— Patience… patience… Tu vas tout d’abord te faire jouir avec ce sexe que tu as en main. Imagine que c’est celui de ton mari !
— T’es un salaud !!
— Peut-être, mais tu es ma pute… ne l’oublie pas. Et une pute ça obéie !
Je n’en reviens pas ! Il me traite de pute et j’aime ça. Où est donc passée la bonne épouse ??
Je replonge le gode dans ma grotte brûlante, je le fais aller venir, en imaginant mon mari au-dessus de moi qui me baise en me traitant de grosse pute. Je suis sur le point de jouir quand Marcel prend ma main, il me retire vivement le gode de mon puits plein d’amour.
— Pas si vite ! Dis-moi encore que t’aime ça et que tu es une ma pute.
— OUIIII ! J’aime ça ! Je suis une pute ! Mais remets-le-moi ! Je veux jouir ! Ou baise — moi ! Fais ce que tu veux… mais baise-moi !
Il m’arrache le gode de mes mains, il m’empale violemment avec cette bite factice qui
électrise mon corps
— Tiens salope ! Prends ça dans ta chatte !
— AAAAHHH, OOUUIIIIII, plus fort ! Défonce-moi ! Fais-moi jouir !
Je gémis, je crie, pendant qu’il me défonce avec cette bite en caoutchouc bien dure qui laboure ma grotte inondée. Excitée comme je suis, je le laisse martyriser ma grotte, je vais même au-devant de ce sexe qui électrise mon corps dans chacune de mes terminaisons nerveuse. Et je hurle quand mon orgasme explose dans ma tête et dans mon ventre.
— OOOOOOOOOOHHHH, OUIIIIIII…..AAARRRRRRRRRHH !!!!
J’attrape sa main, je la bloque entre mes cuisses pour sentir le plus possible cette chose qui m’envoie des vagues de jouissance dans mon ventre, dans mon puits débordant d’amour. Quand mon orgasme s’atténue un peu, il appui sur le bouton de la télécommande !
— OOOOOUUUUUUHHHHHH. !!! NOOOOOOONNNNNNNN !
Ça repart de plus belle ! Je vais mourir !
— Arrête ! Arrête ! Pitié !
Marcel me laisse encore un peu gueuler, me tordre sous cet orgasme qui n’en finit pas.
— OOOHH….MMM… MF..OOOHH….Puis il retire le gode magique de ma grotte il me demande.
— Tu veux que je te baise encore ? Tu la veux encore ma bite ?
J’hésite un instant, Je suis avachie sur le lit, les cuisses écartées, pendant qu’il libère mes pieds toujours attachés.
— Oui, oui… Baise moi encore, vient me prendre !! Que je lui répond excitée.
Il m’empoigne par les hanches pour me mettre sur le ventre, j’ai compris qu’il veux me prendre en levrette, je me positionne impatiente d’être prise ainsi, je tend mes fesses
Je sens sa queue qui me pénètre a nouveau, là je gémis de bonheur.
Ses mains se posent sur mes hanches, il commence à me pilonner violemment. Je sens sa queue aller et venir dans ma grotte. Il s’enfonce très loin, je gémis à chaque coup de reins…
Son ventre vient claquer contre mes fesses… Complètement excitée maintenant. L’homme me bourre sauvagement comme jamais je n’ai été bourrée ! J’ai un autre orgasme… Je pousse un long gémissement plaintif sous les ricanements pervers de mon amant !
— J’en était sûr que tu n’attendais que ça d’être traitée en chienne, dorénavant tu seras une chienne bien docile qui nous videra les couilles.
Rien qu’à ces mots, je sens un autre orgasme déferler en moi, je m’affale sur le lit fesse en l’air pendant qu’il remplit pour la seconde fois mon puits de son amour, il s’écroule sur mon dos repu
Ma chatte libérée, je me couche sur le coté
— Alors tu as aimées ça Dit il en me caressant le flanc
Je suis tellement épuisée par cette séance que je le laisse me caresser
— Maintenant que tu as eu ce que tu voulais, tu vas effacer les photos de la réserve.
— Oui ! Je te laisse les photos, maintenant que j’ai un petit filme, sur cette après midi avec le son, imagine ton mari t’entendre gueuler pour que je te baise ???
— Avec ça tu sera mon vide couilles, je vais faire de toi une véritable salope.
C’est mots me révolte, me fond du mal, mais me procure une sournoise excitation inattendue
— Tu viendra ici tous les vendredi après midi, toujours en robe sans culotte et sans sous-tif !!
Après un long moment de silence Marcel attrape ses vêtements et me passe ma robe sans le sous tif, en me relevant je vois ma culotte sur le sol poussiéreux a coté de mes escarpins
Je remet me robe sur mes seins nus, pas ma culotte que je garde bouchonnée dans ma main
— Donne ? Ça me fera un bon souvenir, je vais t’ouvrir la grange, à vendredi prochain !
Marcel est dur avec moi. Autoritaire même. Et sur un ton qui ne suggère pas la réplique.
D’ailleurs je ne réplique pas, c’est tête basse, que je file sans demander mon reste.
Sur le chemin du retour j’allume une cigarette, je repense a cette séance ou je me suis soumise
Je savais qu’il allait me baiser, je m’étais faite à l’idée qu’après je serai débarrassée de sa menace. Je m’attendais pas à ce qu’il ma fasse jouir autant et qu’il me filmerai à mon insu pour augmenter son emprise sur moi, je suis pieds et poing liés à sa merci maintenant.
Sam Botte
La suite demain même heure
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