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Le chantage de l’ouvrière qui découvre le sexe extrême Chapitre 3

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Sur le chemin du retour, je suis perdue, désemparée. J’ai faillit bien avoir plusieurs fois un accident tant je suis  absorbée par ce qui vient de se passer.
Puisque c’est ça je n’irai pas  que je me dis avec véhémence. Non mais pour qui il se prend. Je ne suis pas à ses ordres tout de même.

Durant toute la durée du parcours je parle toute seule. Faisant des mouvements de tête, haussant les épaules. Puis, peu à peu je me calme, j’arrive à la maison.
Délaissée par mon mari depuis un bon bout de temps, mon corps c’est réveillé au plaisir du sexe, mes sens mon trahi, je n’ai pus retenir ma jouissance si longtemps attendue.

Ma première réaction est de me rebeller contre moi même. J’ai honte d’avoir céder aussi facilement à la jouissance. Je m’en veux. Mais cependant, après coup, la colère passée, je dois bien admettre que j’ai pris un pied d’enfer.

D’avoir été attachée à ce moment là a décuplé mon orgasme. Jamais auparavant je n’avais joui comme ça. Je rentre chez moi nue sous ma robe, heureusement que Jacques rentre que tard le soir.

Après une bonne douche chaude, je déambule nue sous mon peignoir de soie. J’aime bien être dans cette tenue chez moi, je prépare le souper, je  m’habillerais juste avant le retour de  Jacques

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Samedi il ne ce passe pas une heure sans que je repense au plaisir que ma donné Marcel

Dimanche je reste nue sous mon peignoir toute le matinée sans que Jacques réagisse

Il  passe son temps dans le garage à faire de la mécanique sur une vielle voiture

Si Jacques m’avait fait l’amour, je lui aurais peut être parlé du chantage de Marcel.

Il ne ce passe pas un jour de la semaine sans que je croise dans l’atelier Marcel qui agite son portable pour me rappeler que je dois revenir vendredi après midi dans sa grange

Aujourd’hui vendredi après midi je m’habille d’une robe légère sans rien en dessous à la demande de Marcel.

Puis je me rend chez lui comme convenue, j’ai le trac comme la première fois, je sais qu’il va me prendre comme une pute que l’on ne paye pas.

La grange est ouverte, il est là souriant, il referme les portes, je descend de la voiture

— Tu est belle dans cette robe, allons voir si tu as suivis mes instructions  Dit il en s’avançant vers moi, il déboutonne le haut de ma robe, regarde mes seins libres qu’il empoigne a deux mains, et gratte avec ses ongles mes tétons qui ce dressent sous le grattage, puis il finit de déboutonner ma robe, écarte les deux pans en sifflant d’admiration

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Je rougis de confusion sans réagir, je suis sous sa domination, ce que je ne déteste pas.

– Allez vient tu connais le chemin, ce n’est pas la peine de refermer ta robe tu sais pourquoi

Nous traversons l’écurie pour entrée dans la petit pièce, le drap est propre, le sac est sur le bout du lit.

Je n’ai pas le temps de me retourner qu’il me pousse en avant en agrippant ma robe qu’il m’enlève en la tirant par derrière.

– Allé à poil !!

– Tu t’adresses à une femme ! Pas à une pute !

– Depuis vendredi tu n’es plus une femme. Tu es une chienne en chaleur. Ma pute personnelle.
Sa pute personnelle… malgré tout, j’aime l’entendre me traiter de pute. Cela me fait chaud au ventre, mon sexe me démange.

Marcel me regarde, non… il admire  ma nudité car ses yeux brillent de plaisir.
– Assis toi sur le lit et écarte tes cuisses !
Obéissante, j’écarte lentement mes jambes sous le regard concupiscent de Marcel.

– T’as vraiment une belle chatte. Relève tes genoux et maintiens-les bien écartés.
Sa tête plonge entre mes cuisses et sa bouche aspire mes lèvres intimes pour les sucer et les aspirer. Je sens sa langue qui s’insinue entre elles et qui fouille mon sexe. Mon dieu que c’est bon une bouche gourmande ! J’en avais oubliée le plaisir.

Sa langue court le long de mes lèvres pour aller débusquer mon clitoris, sa bouche essaye de l’aspirer le plus loin. Et il recommence son petit manège fouillant chaque recoin de mon sexe et lorsqu’il reprend mon clito excité, ses dents me mordent légèrement.
– OOOHH, Marcel ! Tu me donne envie de faire l’amour !! Prends-moi !
Il s’écarte de mon entrecuisse en fixant ma chatte déjà bien humide.
– Je fais ce que je veux. Tu es ma pute ! N’est-ce pas ?
– OUIIII !!
– Oui quoi ?? Dis-moi ce que tu es…
– Je suis ta pute, ta salope !!
– C’est mieux ! Mais tu es surtout une salope de pute qui aime se faire baiser ! Dis-le !
—OOH!! Oui ! Je suis une pute, une salope ! Qui veut  qu’on la baise !

A son regard lubrique, je vois qu’il aime ça que je lui dise que je suis une pute soumise.

Pendant la conversation, Marcel c’est déshabillé, il bande et moi je reconnais que ça m’échauffe les sens et ça m’excite qu’il bande pour moi,  mais surtout qu’il me traite et me prenne comme une pute !
– Tourne-toi ! A genoux !
Je me tourne et je lui présente mon cul.
– Non de dieu ! Quel cul !
– Écarte des fesses !

A genoux et la tête sur le lit, j’attrape mes fesses et  lui présente toute mon intimité, toute.
Sa main glisse entre mes cuisses, son pouce s’enfonce dans ma grotte, son index et son majeur emprisonne mon petit bouton à jouir.
Il me doigte pendant deux  à quatre minutes, moi je mouille de plus en plus.
—OOH!! OUIII !! Prends-moi !
Il retire sa main et d’un seul coup il enfonce sa queue dans ma grotte trempée.
– AARRG, MMMHHH… Oui baise moi !
Il commence à me baiser mais après quelque aller-retour, je sens un doigt qui caresse mon anus ! Sur le coup je ne dis rien, mais quand le bout de son doigt essaye de s’enfoncer dedans, je crie.
– Non ! Arrête Marcel !
– Ferme -là !! N’oublie pas que tu m’appartiens ! Tu es ma pute Dis-le !
– Oui, je t’appartiens, je suis ta pute ! Mais pas par-là !
– Tu es moi, ma pute, mon jouet. J’ai envie de prendre ton petit cul. Il doit être encore vierge d’ailleurs…. Je vais te faire découvrir que c’est bon d’avoir quelque chose dans le cul tu regretter tout ce temps perdu.
– Non ! Je te donne mon corps sans mon cul !

Et à ce moment-là, Marcel retire son sexe de ma grotte aux délices.
– NONN,  ! Baise-moi… J’en ai envie !!
– Mets tes mains dans ton dos !
Sans bien m’en rendre compte, j’obéis, il attrape mes poignets pour les lier dans mon dos avec une paire de menottes. Marcel passe un bras sous mon ventre pour faire remonter mes fesses. Il écarte encore plus mes cuisses, passe une main entre, il fais glisser un doigt entre mes lèvres intimes en le remontant entre la raie de mes fesses qui se retrouvent bien en l’air.
Il m’attrape par les cheveux pour me faire tourner ma tête et dit.
– Tu as des fesses bien rondes dans cette position.

Il écarte mes fesses et ajoute.
– Et au milieu une fleur qui ne demande qu’à s’ouvrir.
Il prend quelque chose dans son sac, il se remet derrière ma croupe, il fait couler sur ma corolle un gel lubrifiant.
– Marcel ! Non ! Détache-moi !
Mais j’ai beau crier, je sens un doigt qui pousse la petite porte de mon jardin secret en tournant autour pour ensuite l’enfoncer doucement dedans
– NOOOOONNN ! Marcel ! Pas ça !!
Il enfonce plus loin son doigt, puis il le fait aller — venir en le tournant doucement.

Un frisson me parcourt le ventre ! Je tremble un peu avec un doigt dans mon anus !
Maintenant c’est avec deux doigts qu’il fouille l’entrée de mon jardin secret, malgré moi, je me détends, j’ai presque envie qu’il continue. Mais dans un dernier sursaut.
– Arrête !! Marcel… Je t’en prie Arrête !!
Mais il renfonce sa bite dans mon puits d’amour en continuant de me branler l’anus en disant.
– Quand on est une pute comme toi, on obéi à son maître, on la ferme !

– Je vais m’amuser avec ton cul qui commence malgré toi à frémir de plus en plus sous mes doigts.

Le pire c’est qu’il a raison ! J’ai des petites contractions anal, avec sa queue dans ma grotte, ses doigts commencent à m’exciter encore plus.
– J’ai un truc qui devrait te plaire ! Des boules de geishas… tu connais pas ?
Mon dieu ! Bien sûr que je sais ce que c’est. Mais je n’en ai jamais utilisé !

– AIE ! AAH ! OOOH !!
Il vient de m’enfoncer une boule dans le cul !
Sa queue se retire de ma chatte, il la renfonce lentement, je sens, en même temps qu’elle glisse en moi, une deuxième boule qui passe la petite porte de mon jardin secret. Je tremble de plaisir en me sentant fouillée ainsi, je geins quand il recommence, une troisième boule pénètre dans mon anus.

A chaque fois qu’il retire presque entièrement sa bite de ma grotte. Il introduit une nouvelle boule dans mes reins en renfonçant sa bite dans ma grotte, il finit par introduire cinq boules dans mes reins, en plus les dernières sont sûrement plus grosses car elles dilatent drôlement le vestibule de mes entrailles.
Sa queue va et vient dans ma grotte en feu, elle fait vibrer les boules en frottant la mince cloison qui sépare mon vagin de mon anus. Indépendamment de ma volonté il se contracte sur ses boules qui électrisent mes sens.

Je ne me rebelle plus tellement c’est bon.
– AOUHH !! OH ! Je crois que je vais …. Jouiiir ….
Je suis au bord de la jouissance et il le sait parfaitement. Ses doigts cherchent mon clito et quand il le pince, je crie de douleur mais immédiatement mon orgasme éclate dans mon corps.
– OOOHH !!! OUUIII !! MMMFFF !!
Son sexe est bien enfoncé dans ma grotte parcourue de spasmes de jouissance et je le sens merveilleusement bien. Mon orgasme diminue d’intensité, mais il repince mon clito en tirant sur la chaînette des boules de geishas et une des boules sort de mon cul
– OUUUAAAAHH !

Mon corps entre une nouvelle fois en éruption et une nouvelle vague de plaisir déferle dans ma chatte, mon ventre et aussi… dans mes reins !
Et dès que l’intensité de ma jouissance diminue il recommence à martyriser mon clito et à tirer sur la chaînette.
Je n’arrête pas de jouir car il réactive mon orgasme constamment avec sa bite, ses doigts et ces saloperies de boules dans mon fondement.
Lorsque toutes les boules sont sorties de mes reins, il prend dans ses mains mes seins aux tétons tout durs, toujours en moi il murmure à mon oreille.

– Tu vois ….tu es une salope de pute, hein ? Avoue…

Haletante, je réussis à articuler.
– OUUIIIII…
– Quoi ! Je n’entends rien ! Répète !
– Oui ! Je suis une pute salope ! Et toi un putain de salaud ! Mais je n’ai jamais autant joui !
– Ça te plaît d’être une bonne salope hein…
– OUIIII ! OUAIH ! Ça me plaît, c’est tellement bon d’être ta pute ? Détache-moi maintenant.
– Je n’est pas fini… Je n’ai pas encore jouis moi.

Je sens sa bite qui glisse dans mon sexe dégoulinant de jus tellement j’ai joui, qui sort et qui… remonte sur mon anus !
–  NAON ! Tu ne vas pas ….. !
– Faut que tu perd l’habitude de dire non a tout ce que je te propose ! A moi de prendre du plaisir et  je ne vais pas m’en priver !
– Arrête Marcel ! Ta bite est beaucoup trop grosse. Tu vas me déchirer ! Tout ce que tu veux mais pas ça !!

– Justement sait ce que je veux maintenant.
Je n’ai pas le temps d’avoir honte car je sens son gland qui pousse la porte de mes reins, d’un seul coup, il est en moi !
– NOOOONN ! Tu ne vas pas faire ça !!
– Ferme là ! Tu vas voir, tu vas aimer !
– AAHH !! OOOHH !! Mon dieu….

Il s’enfonce et ça me brûle !
– Stop ! Arrête ! Tu es trop gros !
Il s’arrête de glisser dans mon anus, il murmure.
– Détends – toi… Laisse — toi faire…
J’obéis, j’arrête de contracter  mon sphincter, je me détends en respirant plus calmement. Sa main caresse ma vulve avec deux ou trois doigts dedans, sa queue dans mes reins ne me fait plus mal. Au contraire… je me sens rempli, ça me procure un plaisir nouveau, mon corps s’adapte à son sexe.

C’est une nouvelle sensation, inconnue jusqu’à ce jour, qui me donne du plaisir. Je me sens non seulement salope pour répondre à ses désirs pervers, mais aussi sale, souillée… en un seul mot… pute ! Mon mari ne m’a jamais traitée comme telle. C’est Marcel qui me donne ce plaisir nouveau !
J’aime ces frissons qui commencent de nouveau à faire trembler mon corps, c’est intense, électrisant. Je ne sais pas s’il le ressent, mais son sexe reprend sa progression et je crie.
– AAAAHHH ! CCCC… C’est gros !!
Tout doucement, centimètres par centimètres, je sens sa queue qui s’enfonce elle dilate à l’extrême mes entrailles. Enfin je sens les poils de son pubis qui chatouillent les fesses.

Je suis empalée ! Il est entièrement dans mes reins ! Marcel vient de m’enculer !
Lentement, il commence à me baiser le cul tout en continuant de fouiller ma chatte de ses doigts.
– Ça y est ma salope !! tu l’as dans le cul ! Tu la sens bien ma bite ? Je suis à fond ! Ça te fait quoi d’avoir une bite dans ton cul ?
– J’ai l’impression d’être une pute ! Salope et pute en même temps !
– Mais tu es une salope de pute ! Ma pute !
Marcel entreprend des vas et vient dans mon cul. Je ne peux m’empêcher de gémir car mon plaisir grimpe en flèche.
– OOOH !!, Oui…. Met la toute entière !
– Tu vois que t’aime ça ! Dis-le !
– OH ! OOH! Oui  ! Prends-moi comme pute comme une chienne !

Comme un sauvage, il vient frapper mes fesses à chacune de ses poussées profondes et je sens ses couilles qui claquent sur ma vulve.
– Ouiiiii ! Vas y plus fort ! AAARRRGGGUE !!!…

Il se déchaîne, il laboure mon anus frénétiquement en me criant des mots obscènes du genre.

– Enculée de putain de salope ! Chienne, pute !  Et j’en passe…
Moi aussi je ne sais même plus ce que je dis, après un dernier cri.
– Salaud ! OUUUAAHH ! Défonce — là ta pute !

Un nouvel et terrible orgasme explose dans tout mon corps, je jouis comme une folle sous les coups de bite de mon maître chanteur qui me défonce le cul.
Je viens de jouir par le cul, lui, sur une dernière poussée, jouit en moi en gueulant.
– HAANNN ! Tiens prends ça dans ton cul ! Salope !

Marcel resserrent ses mains mes hanches, en même temps que je ressent une chaleur dans mes entailles. Incroyable encore hier, aujourd’hui un homme jouit dans mes entrailles.

Marcel c’est immobilisé plaquer à mes fesses, il détache les menottes qui entravent mes poignets, puis ses mains caressent mon dos, descendent sur mes seins, enfin il sort de mon fondement.

Je me couche sur le coté, mon anus agité de spasmes rejette par saccades des relents de spermes sur mes fesses tachant le drap.

– J’adore faire l’amour avec toi, je prends vraiment mon pied à te baiser. Maintenant tu es  ma chienne. Tu vas te raser tout les poils de ton entre jambe pour vendredi, c’est plus jolie.

Marcel sourit en me donnant ma robe, je me rhabille, je marche à petits pas de peur que
mon ventre ne laisse encore s’écouler plus de sperme.

Pendant qu’il ouvre les portes de la grange, je me bourre les fesses de mouchoir en papier

que j’ai prise dans la boite à gant, pour ne pas tacher ma robe et mon siège

– A vendredi même heure et rappelle toi de te raser le minou, tu sera plus belle. Me dit il.

– Que va dire mon mari ?

– Il en sera ravi, tu lui dira que c’est pour pimenter vôtre vie sexuelle, si t’en as une !!

Je me reconnais plus du tout et je le laisse tout dire et tout me faire. Le soir et tout le samedi j’ai eu du mal a m’asseoir.

Sam Botte

La suite demain même heure

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