En fin d’après midi je suis nue au bord de la piscine quand la sonnette du portail retentit. J’enfile un peignoir de bain à la hâte, surprise car je n’attendais personne.C’est Marcel ??
-Salut ! Comme tu es seule ce week-end , tu vas sortir avec moi .Habille toi d’une robe nous sortons en ville .
Un peu surprise de ses propos , je ne conteste pas , j’enfile une robe sans rien en dessous et je suis prête pour sortir avec Marcel.
Il m’amène dans un restaurant que je ne connais pas. Dans la voiture il veut savoir si je me bien suis nue sous ma robe comme il me l’a demandé et met directement une main sous ma robe pour vérifier
– C’est bien, je vois tu es obéissante !
Il me rentre deux doigts dans la chatte puis me les fait sucer , je suis déjà trempée.
Nous voilà au restaurant qui en fait est aussi un endroit pour danser les gens nous dévisagent un peu Nous arrivons à notre table et me présente un homme déjà à table.
– Je te présente, Roland, un très bon copain .
Le repas se passe et Marcel n’arrête pas de faire des allusions au sexe.
Il y a une ambiance bizarre dans ce restaurant ,beaucoup de couple pas d’enfants ?
Le repas fini, nous allons danser, il fait très chaud, Roland danse avec nous et me colle très souvent.
Marcel me prend par la main et me ramène à notre table mais en fait nous entrons dans un petit salon avec deux banquettes et une table basse avec une bouteille de champagne dessus .
– C’est quoi cet endroit Marcel ?
– Pourquoi cette question ? Tu n’aimes pas ?
– Je trouve l’ambiance bizarre !
– Pourquoi ? Les gens sont sympas non ?
– Oui ils le sont.
– Tu t’es faite belle ce soir, c’est pour moi ?
– Oui c’est pour toi .
Ses mains remontent le long de mes cuisses
Et il m’embrasse à pleine bouche, une main se posant sur mes seins :
– Marcel, fais attention !
– A quoi bon on est seuls, personne ne rentrera.
– Sa langue cherche la mienne, sa main quitte mes seins pour se poser sur mes cuisses et remonter
– Laisse-toi faire, on est bien, tu mouilles déjà.
– Oui, c’est vrai, mais je ne suis pas tranquille.
En réponse, je sens ses doigts appuyer sur mon clitoris, un gémissement sort de ma bouche.
– Il prend ma main et la pose sur sa queue, je la caresse avec un œil vers la porte d’entrée du salon
– Caresses-moi, vas-y .
Je gémis sous ses caresses, il m’ouvre les cuisses .
– Je préfère ta chatte ainsi, tes lèvres lisses.
De son autre main, il descend sa braguette de pantalon, ma main s’immisce à l’intérieur et je sens sa queue à moitié dure et toute chaude, cela m’excite .
– Suces-moi !!
– Ici ?
– Allez, vas-y, tu en meures d’envie, personne ne rentrera .
Sa main guide ma tête vers sa queue
– Suces-moi, allez salope, tu aimes !
Mes lèvres se rapprochent et je prends dans ma bouche sa bite qui doucement durcit entre mes lèvres.
– Tu vois personne ne rentrera, continues, oui lèche-moi bien les couilles aussi.
Je sens ses mains remonter ma robe et caresser ma vulve, je le laisse faire, je m’entends même dire .
– Oui, continue, Marcel
– T’inquiètes pas, je vais continuer cochonne, tu es trempée…
Et ses doigts jouent avec mon clitoris et rentrent dans ma grotte détrempée, je gémis .
– Oui continue, c’est bon !
– Suces-moi, oui comme ça
Son autre main dégrafe ma robe . Je ne fais plus attention à rien et suce cette bite si dure, si bonne.
– Oui, vas-y , suce-moi comme ça, je vais te baiser ici sur ce canapé.
Je ne réponds pas, trop occupée à sucer cette queue pleine de ma salive. Ses doigts sur ma grotte puis dedans et jouant avec mon clitoris me font frissonner, je jouis presque sous ses caresses. Son autre main me tenant la tête, me prenant par les cheveux.
– Tu es une bonne chienne.
Je l’écoute et, en me redressant et fais descendre ma robe sur mon ventre.
– Oui, continue, suce-moi, tu es ma pute ce soir, dis-le.
– Oui Marcel !
– Dis-le ! Je suis ta pute !!
– Oui je suis ta pute ! Ces mots m’excitent, moi la soumise, je suce Marcel dans un salon de restaurant.
– Je veux te baiser, demande-le-moi ?
– Oui Marcel, baise-moi.
Mais il me tient la tête pour que je continue à le sucer et je sens sa main sur ma vulve.
Mais ses deux mains sont sur ma tête, et je sens une main me caresser le sexe ?? Je deviens folle ou ?? Ça doit être Roland qui me doigte le sexe pendant que je suce Marcel ??
– Non Marcel, ça je ne veux pas ça !!
– Tais-toi et suce-moi .
Je sens maintenant la langue de Roland me lécher la vulve, écarter mes lèvres, aspirer mon bouton.
– Non, tu es un salaud, je ne veux pas.
– Tu as aimée avec Jean dans la grange . Alors là tu vas aimer avoir deux bites rien que pour toi, et tu en redemanderas salope.
Et il appuie de plus belle sur ma tête, sa bite s’enfonce complètement dans ma gorge.
J’entends Thierry dire :
– Elle est vraiment bonne, elle a un cul superbe .
– Oui, je sais, et elle suce merveilleusement bien cette chienne.
– Ah oui, et bien elle adore cela, elle est trempée cette salope.
C’est vrai que je suis trempée, Roland me lèche divinement , la queue de Marcel est toute luisante de ma salive. Peu à peu je m’abandonne.
– Tu vois Roland, elle adore, je te l’avais dit que c’est ma chienne.
Malgré moi, je gémis et suce de plus belle Marcel.
– Oui, c’est bon comme ça, dis-moi que tu en as envie .
– Hummmmm
– Dis-moi que tu les veux toutes les deux .
– Oui ! Je les veux bien toutes les deux , mais pas ensemble.
– Maintenant, je vais te baiser, demande-le-moi ! Dit Marcel
– Oui ! Baise-moi.
Il s’assied sur le divan et, me fait lui présenter mon dos pour je m’assois sur sa bite. De suite Roland me présente sa queue devant la bouche , je n’hésite pas la prendre entre mes lèvres.
– Tu vois mon pote, elle aime ça.
– Oui, tu avais raison, quelle pute .
Marcel me soulève et me lime très fort, je n’arrive plus à sucer Roland .
Il me change de position, me met à quatre pattes pour me rentre sa queue jusqu’à la garde, je sens ses couilles sur mes cuisses. Roland se rapproche :
– Allez la pute suce-moi .
Et m’enfonce sa bite dans la bouche, en gémissant sous les coups de boutoir de Marcel.
– Tu es trempée, je vois ton petit cul s’ouvrir.
– Oui, mets-lui un doigt dans le cul !
– Pas un doigt, je vais l’enculer .
Marcel se retire et je sens sa langue me lécher l’anus
– Non Marcel, pas par-là, pas ici !!
– Tais-toi, tu vas bientôt me supplier de t’enculer.
Je sens un doigt puis deux doigts dans mes fesses. Je n’ai aucune douleur j’en gémis .
– Tu vois que tu aimes ??
– Oui c’est bon !!
– Demande-le-moi
– Oui Marcel, vas y sodomise-moi !
C’est bien moi, qui lui demande ce que je ai toujours refusé a mon mari , je me reconnaît plus.
– Quelle salope, vas-y, encule là ta pute.
– Oui, je vais la défoncer .
Il se retire et je sens sa queue sur mon anus, pour ne pas crier, je suce de plus belle Roland pendant que je sens son gland pousser la porte de mes entrailles.
– Oui, c’est bon, tu l’aimes dans ton cul ?
– Oui, vas-y, mets-lui entière .
Doucement sa queue rentre dans mon cul jusqu’à le sentir complètement puis il commence les va et vient pour me sodomiser doucement, c’est fou, je m’entends gémir.
– Oh !! Oui ma pute, cambre-toi bien, tu vois que tu aimes .
– MMMHH !! Oui , continue, c’est si bon .
– Tu es une belle pute .
– Oui je suis une pute, mais continue.
Roland se dégage et passe en dessous de moi
– Oui on va te baiser et t’enculer en même temps comme une actrice de porno !
-Non ! Non ! Vous allez par faire ça ??
-Tu es ma pute ce soir et une pute ne dit jamais non !!
Je sens la bite de Roland s’insinuer doucement entre les lèvres de ma chatte. Marcel se dégage un peu et je sens la queue de Roland m’investir complètement
Jamais je n’aurais pensé un jour être prise comme ça entre deux hommes.
– Alors ça te plaît de te faire défoncer, hein ? Tu aime ça chienne ??
– Regarde comme elle prend son pied !
C’est vrai, je jouis coup sur coup plusieurs fois de suite, jamais on m’a baisée ainsi, je m’entends crier sous leurs coups de bite .
Marcel éjacule dans mes entrailles.
– A ton tour Roland de l’enculer
Roland s’assoit sur le divan et me fait m’asseoir sur lui et doucement je sens sa queue qui rentre dans mon jardin secret par la porte grande ouverte et graissée du sperme de Marcel qui se rapproche de moi .
– Tu vois que tu aimes ça !! Il m’embrasse à pleine bouche puis approche sa bite de mes lèvres, que j’engouffre de suite, elle sent fort son sperme et mes fesses, cela me dégoûte au départ mais très vite, elle m’excite vraiment .
– Ton cul est si bon , Roland me soulève les jambes et m’allonge sur lui
Ainsi je suis offerte la bite de Roland dans mon cul et la chatte grande ouverte
Marcel n’en perd pas une miette et me doigte la chatte avec vigueur. Très vite, sous ma langue il rebande et se positionne devant moi les jambes en l’air, les cuisses écartées, la chatte ouverte et il apprécie le spectacle
– Tu veux que je te baise ?
Je sais qu’il veut me l’entendre dire.
– OOH !! Oui, viens me baiser .
– Oui viens Marcel, elle est vraiment très chaude cette pute
Et de nouveau Marcel s’approche et me présente sa bite devant mon sexe trempé de mouille et de sperme et me baise sans ménagement, son visage à quelques centimètres, il m’embrasse, me suce la langue et m’insulte copieusement .Après s’être répandu copieusement dans mes puits d’amour en me donnant un dernier orgasme, ils se rhabille correctement.
Quand nous sortons de cette pièce j’ai entraperçu un échange furtif de quelque chose entre Marcel et Roland .C’est les yeux cernés de fatigue que Marcel me dépose devant chez moi.
Le lendemain après avoir bu mon café, je flâne dans la maison, simplement vêtue d’un peignoir en soie, dont j’aime le contact sur sa peau nue.
Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit ??
Je vais ouvrir et me trouve en face d’un inconnu, un grand gaillard aux cheveux court, la cinquantaine passée, comme le suggère les traits marqués de son visage.
L’homme me fixe de ses petits yeux bleu, me déshabillant littéralement du regard ,mon peignoir mal serré laisse entrevoir la naissance de ma poitrine
L’instant de surprise passé, je reconnaît immédiatement Raoul un copain de Marcel !!
Sa présence sur le pas de ma porte est totalement incroyable.
J’ai beau fouiller dans mes souvenirs, rien ne justifie la présence de cet homme chez moi,
Qu’est-ce que vous me voulez ? Je pose la question en refermant mon peignoir, gênée par le regard de l’individu.
– Je m’appelle Raoul, dit-il, vous vous rappelez de moi ?
– Euh oui… vous êtes un copain de Marcel c’est ça ?
– Oui, tout à fait. J’ai quelque chose à vous montrer ! dit-il en brandissant un portable
– De quoi s’agit-il ?
– C’est un petit souvenir que m’a transmit Marcel, en échange d’un service.
– Je ne comprends rien à tout ça. Je vous remercie mais je n’ai besoin de rien ! Que je lui répond en tentant de refermer la porte.
Mais l’homme l’a bloquée avec son pied, et il insiste, d’un ton soudain plus menaçant.
– Je pense que vous devriez regarder ce que je vous amène et y réfléchir ! C’est un petit film réalisé lors de votre galipette dans sa grange et vous êtes très photogénique !
Je sens mon sang se glacer brutalement en entendant ces mots. Comment ce type peut-il être au courant de ça ?
Abasourdie par la nouvelle, je m’efface pour le faire entrer , puis je l’accompagne au salon.
Sans un mot, il lui tend le portable et démarre la lecture.
Les premières images, très explicites
On me voit sur la pile de plateaux jambes écartées, gémissant sous les coups de rein que donne Karim
Quel salaud ce Marcel d’avoir donné ce film a un copain
– Vous être très belle ! La félicite-t-il d’une voix mielleuse
– Mais comment vous m’avez eu ça ? S’inquiète-t-elle
-C’est Marcel qui me là donné pour me dédommager il me doit beaucoup
– Que voulez-vous ? soudainement angoissée par les images qui continuent à défiler.
– Vous avez démontré de belles qualités, et je crois que votre mari ne le sait pas ! Je me trompe ?
Elle ne répond pas, l’œil fixé sur l’écran ou elle voit Karim lui pétrir les seins à pleines mains.
– Non bien sûr, il n’est pas là ! Il ignore tout de votre aventure, et vous souhaitez certainement qu’il continue de l’ignorer !
– Combien voulez vous pour ce film ? Que je lui demande , horrifiée par la situation.
– Je ne veux pas d’argent, je veux juste profiter moi aussi de vos belles dispositions !
– Il n’en est pas question ! Sortez d’ici où j’appelle la police !
Il est hors de question qu’elle trompe son mari avec un inconnu, même si son jacques n’est pas un foudre de guerre au lit.
– C’est comme vous voulez, répond-il en gagnant lentement la sortie. Mais demain, ce film sera dans les mains de votre mari et sur Internet, et il ne faudra pas longtemps avant que quelqu’un de votre entourage ne tombe dessus !
La menace a claqué comme un coup de fouet, me laissant complètement décontenancée.
J’imagine déjà mon mari en train de découvrir comment je le fait cocu avec un intérim , et je n’ose pas penser aux conséquences si mes amis ou ma famille venaient à apprendre cela.
Sans bien connaître les possibilités d’Internet, je pressant néanmoins les dangereuses possibilités, et ne tient pas à ce que cette vidéo soit diffusée librement, accessible à tout un chacun.
L’homme est sur le point de quitter la maison
– Attendez…. !
– Oui… ? Dit-il avec un sourire en biais.
– Si je fais ce que vous voulez, vous me laissez tranquille après, c’est ça ?
– Tout à fait madame! Et vous n’entendrez plus parler de moi !
– Bon rentrer ! Que je répond , la tête basse, blême de rage à l’idée de me laisser toucher par cet inconnu
Ma réponse le remplit de joie , il regagne le salon, et s’installe confortablement sur le canapé
– Tu sais que tu m’as fait sacrément bander quand Marcel m’a fait voir le film et j’aime autant te dire que j’ai apprécié ta prouesse
Fais-moi voir un peu ton corps , approche toi !
Tout en parlant, il dénoue la ceinture de mon peignoir, dénudant ma poitrine qu’il contemple un instant avant de la malaxer de ses doigts épais.
– T’es bien foutue…. ! J’ai bien fait de venir…
– C’est de la belle marchandise ça ! S’exclame-t-il en pressant mes mamelons à pleines mains. Et du c’est naturel !
Je ne bronche pas, priant le ciel pour qu’il ne soit pas violent et que tout cela finisse au plus vite.
Cachant mon dégoût, je laisse l’homme palper sauvagement mes seins nus, les pétrir de ses gros doigts , puis descendre le long de mon ventre jusqu’à ma chatte que je viens juste de raser.
Ses doigts fouillent Ma vulve sans trop de ménagement, frottant lourdement sur Mes lèvres
lisses et cherchent à me pénétrer, en vain.
Je suis trop sèche, crispée par l’angoisse de la situation et ses méthodes peu délicates
– dis donc, mais tu ne mouilles pas… il faut que je t’excite un peu avant tout ça !
Il porte son index à sa bouche, le couvre de salive, puis le ramène à l’entrée de ma chatte.
Le doigt s’introduit alors facilement, je le sens m’explorer maladroitement, en me faisant presque mal . Ce type est un vrai goujat, je me demande si je vais pouvoir tenir jusqu’au bout.
– J’ai vu que la bite ne te fait pas peur, hein ? Fais-moi voir un peu ce que tu sais faire !dit-il
en ce déshabillant , je ne bouge plus comme soudé au sol du salon ,mon regard ne perd pas un centimètre carré de son torse velu ,large et musclé comme ses cuisses , je reste admirative devant sa grosse bite tendue au maximum
Elle est très longue et d’un gros diamètre, j’en ais jamais vus de si grosse ,ses couilles sont grosses et sûrement pleines , il s’assied sur le canapé
Soucieuse de ne pas le contrarier,je m’agenouille docilement devant lui,
– Voilà, régale-toi ma belle !
Avec une certaine réticence, je me penche sur le membre gonflé qui se dresse entre les cuisses de Raoul et je referme mes lèvres sur le gros gland écarlate
Il est dur, lisse, manifestement gonflé à l’extrême, et il me remplit la bouche complètement
Les larmes aux yeux, je rassemble toute mes forces pour sucer Raoul le mieux possible
Après tout, plus tôt il jouira, plus tôt mon cauchemar finira.
Mettant en œuvre tout son savoir-faire, j’empoigne sa bite tendue et l’enfourne le plus profond possible dans ma gorge, puis remonte, les lèvres serrées autour de sa tige que je sens palpiter
Je lèche du plat de la langue, lentement, de bas en haut, avant de l’enrouler autour du gland, et de l’aspirer avec force
Ma main libre s’est emparé de ses grosses couilles , que je malaxe ce qui semble lui plaire
Je les presse elles roulent sous mes doigts, ce qui fait gonfler un peu plus sa bite
– Ça c’est bon ! Tu sais le faire toi ! Lèche-moi les couilles ! Tu dois aimer ça, les grosses burnes ?
J’obéis jetant mon dévolu sur la volumineuse paire de couilles aussi poilues que ses cuisses
Tour à tour je les engloutit , n’hésitant pas à les presser fortement contre mon palais, pour la plus grande joie de Raoul.
– Sacrée salope ! Oh tu aimes ça,oui !
Je ne répond pas, la bouche emplie par ses couilles velues
Je reprend sa queue dans ma bouche tout en la branlant avec vigueur, bien décidé à mettre un terme à tout ça.
Sa bite est devenue extrêmement dure, proche de l’explosion, mais Raoul ne semble pas vouloir s’arrêter là.Il se dégage de ma bouche puis se relève, m’entraînant avec lui.
– Doucement ma mignonne , ce n’est que le début nous avons toute la matinée devant nous
– S’il vous plaît ! Laissez-moi !
-Tu pense pouvoir te défiler comme ça , mais tu n’as pas encore compris que tu est faite pour obéir , pour qu’on ce serve de toi comme d’un objet de plaisir, Marcel me la bien dit !
– Allez, enlève-moi ça… ! Dit-il en faisant glisser mon peignoir au sol, découvrant ainsi ma nudité totale, qu’il salue d’un sifflement admiratif.
Je crois que je vais mourir de honte , mais je ne réagis pas je suis toute molle
-Couche toi là . Me dit il en me désignant le canapé qu’il est entrain de déplier
Gardant le silence, résignée, je me couche sur le canapé, les fesses au bord
Je suis totalement à la merci des désirs de cet individu, je suis situation de soumise
Je ne veux que cela se termine bien, surtout qu’il ne me fasse pas de mal
Raoul n’a pas l’air menaçant, mais sait-on jamais, s’il vient à s’énerver…
Il vient s’agenouiller entre mes cuisses qu’il relève en les tenant bien écartées puis ce penche sur mon bas-ventre, humant les effluves qui émanent de mon sexe galbe
– Tu as un beau coquillage! dit-il en passant sa langue sur mes grandes lèvres . Tu sens bon
Je sens ses doigts écarter mes lèvres , le bout de sa langue vient me lécher déposant sur mes chairs délicates une abondante salive qui rend la caresse agréable.
J’essaie de penser à autre chose, en vain, le glissement de langue humide sur mon intimité fait naître en moi des sensations qui m’échauffe le ventre.
Ce n’est plus moi offerte sur le canapé a la merci d’un inconnu qui me tire des gémissements de plaisir venant de mon sexe .
Il me bouffe la chatte. Attrape mes grosse lèvres une par une,les aspirent , les mordent
Il enfourne sa langue le plus loin possible , varie la pression de ses lèvres sur ma chatte en balançant sa bouche de gauche à droite, il monte et descend le long de ma fente ruisselante
– AAAHHH OOOHHH salaud !
Je n’en dis pas plus car il vient d’attraper mon clito tout dure et après quelques succions prononcées il me le mordille
– Dieu, tu as une chatte douce et savoureuse, je pourrais la bouffer tout au long de la journée.
Je ne répond pas, luttant contre le plaisir que je sens monter au fur et à mesure que sa langue me fouille profondément
Je sens mon clito gonflé à bloc, et chaque coup de langue me fait tressaillir, sans pouvoir contrôler quoique que ce soit.
Il m’excite de plus en plus ,il ne faut pas longtemps avant que sa bouche et sa langue ne fasse leurs effet désiré et que je me mette à jouir en avançant ma chatte pour bien la plaquer sur la bouche de Raoul qui avale mon jus .Il ne quitte pas ma chatte pendant toute ma jouissance pour ne pas perdre une goutte de ma cyprine.
Lorsque j’ai fini de jouir, Raoul ce redresse, un sourire sur son visage brillant de mon jus.
Il vient m’embrasser et moi je me laisse faire en ouvrant mes lèvres ,il tourne sa langue dans ma bouche pour bien me faire sentir le goût de mon jus de chatte
– Mais dis donc tu aimes ça hein ?
– Oui…. ! Je l’avoue timidement
– Quoi ! Je n’ai pas compris… crie Raoul. Réponds plus fort !
Je voudrais lui répondre que je n’ai rien ressentie mais ma chatte trempée prouve le contraire
– Oui j’aime ça !
– Tu aimes que je te suce ton clito ?
– Oui…oui… j’aime ça !
– Tu aimes quoi ? Allez chienne dis-le !
Rouge de confusion et au bord des larmes, je lui répond.
– J’aime qu’on me suce le clito !
– Ah ! Bon je crois que tu es prête ! dit-il en se redressant.
D’un geste rapide, il défait sa ceinture et fait glisser au sol slip et pantalon . Sa bite est énorme Dressée comme un mat, elle est presque une moitié plus longue que celle de mon mari et deux fois plus épaisse !
– Non s’il vous plaît ! Vous êtes trop gros pour moi ! Je proteste faiblement ,en essayant de l’amadouer. Laissez-moi je vous en prie!
– Je suis sûr que tu vas aimer ma queue! Ne crains rien ! Dit-il en relevant mes jambes
Il présente son sexe contre ma grotte humide, et d’un puissant coup de rein il s’introduit , indifférent à mon cri de douleur .
Le gland congestionné, incroyablement dur, force son chemin en plongeant dans mon intimité délicate en écartant les chairs.
J’ai l’impression qu’on me pousse une mandarine au fond du vagin tellement la pression est importante, je soupire de soulagement quand Raoul se retire.
Le répit est de courte durée car aussitôt il me pénètre à nouveau, de la même façon, rapide et brutale, et l’infernale pression me fait crier à nouveau, sans qu’il s’en souci le moins du monde.
Il se met à aller et venir , en poussant des grognements de satisfaction, poussant son membre le plus loin possible à chaque pénétration.
La douleur s’estompe peu à peu au fur et à mesure que sa chatte s’adapte, et Raoul glisse maintenant facilement en elle. Sa bite gonflée remplit Mon vagin elle me fouille avec une force que le trouble s’installe dans mon esprit .
J’ai du mal à réprimer les sensations qui montent de mon ventre, envahissant tout mon être
La tête en arrière, je couine de plaisir en sentant mon corps envahi par la bite la plus grosse que je n’ai jamais eu en moi. Mon Jacques ne fera plus jamais le poids après ça, car plus
Raoul s’enfonce, plus je me sens rempli par cette énorme bite qui n’en finit pas de progresser dans mon puits d’amour écartelé. Un orgasme approche au grand galop.
Lorsque ses couilles viennent frapper mes fesses, Raoul ne bouge plus, enfoncé profondément Je me met à bouger des hanches en grognant des mots étouffés.
– La vache ! C’est vrai que t’es bonne a baiser ! Viens, tournes-toi !M’ordonne-t-il en m’aidant à me relever.
-Met toi a quatre pattes les genoux sur l’assise du divan, ta tête tu la pose sur le dossier
Je me retrouve à quatre pattes sur le bord du canapé les fesses offertes
– Quelle belle paire de fesses ! Dit-il en pétrissant mes deux globes charnus exposés ainsi .
Raoul me pénètre à nouveau, et se met à me baiser furieusement
Tandis qu’il me défonce la chatte à une cadence infernale.
J’ essaie de me raccrocher à l’amour de mon Jacques, à la façon tendre et sensuelle qu’il a de me faire l’amour, mais la sensation de la grosse bite qui me fouille de fond en comble est de plus en plus jouissive.
Son sexe est totalement détrempé et Raoul s’en est rendu compte.
-Elle aime ma queue la petite chienne ! Moi j’aime sa chatte et ses seins ! Dit il en pressant tour à tour mes mamelons aux pointes érigées, gorgées de désir.
– Regarde-moi ces tétons comme ils sont bandés !
Diablement excité, il redouble d’efforts, enfonçant son membre le plus profondément possible entre mes reins , je mord les lèvres pour ne pas laisser échapper des cris d’un plaisir qui devient incontrôlable.
Les coups de boutoir de Raoul font vibrer tout mon corps, m’enivrant d’une jouissance sans égal. La réalité semble avoir basculé dans un monde où il n’y a que volupté et désir, chaque fois que le gland monstrueux m’écartèle la chatte, je reçoit une décharge si délectable qu’elle attend la prochaine avec impatience.
Je creuse mon dos pour mieux m’offrir à la queue monstrueuse qui me laboure le ventre.
– Qu’est ce que c’est bon de te baiser ! Tu la sens ma queue ?
– Oui , je la sens bien ! Elle est bonne ta queue !
– Je savais que tu l’aimerais ! Tu aimes bien les grosses bites maintenant !
– Oui! Je les aime comme ça ! Que je crie entre deux râles
Brusquement, un jet brûlant jaillit au cœur de mon ventre, tandis que Raoul râle fort , je sens qu’il jouit dans mon ventre, son sperme fuse inondant mon intimité.
Cela a pour effet de déclencher mon propre orgasme, auquel je m’abandonne, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, le corps pris de tremblements irrépressibles.
Nous restons ainsi un long moment, intimement liés l’un à l’autre, chacun savourant à sa manière la jouissance vécue.
Quand j’ouvre les yeux, je sens toujours la bite de Raoul plantée en elle, à peine dégonflée, il me pelote les seins, qui sont durs et gonflés.Une main vient emprisonner mon clito bandés entre ses doigts , après l’avoir branler un petit moment deux doigts viennent s’incruster entre sa bite et ma chatte juste un instant pour recueillir le jus de nôtre baise , puis ils ce posent sur ma corolle qu’ils forcent à s’ouvrir
-Je vais t’enculer !Tu doit apprendre à recevoir avec plaisir ma bite dans son cul ! Dit il en guise de conclusion.
M’enculer ? Mais je n’avais pas du tout envie, surtout avec un engin comme le sien.
Je tourne mon visage pour le regarder en face , je fronce les sourcils d’un air réprobateur
Il dut capter dans mes yeux une lueur de terreur car il se mit à rire.
-Ah ah ah, tu as bien entendu, je vais t’éclater le fion.
-Ce matin Nicole, t’es ma chienne , ne refuse rien si tu veut pas que Marcel envoie des photos à ton mari !
Je suis remplie de doute et de peur, qu’avais-je fait de faire entrer cet inconnu chez moi, un homme qui de par sa carrure peut faire ce qu’il veut de moi par la force?
Et si je lui demande de partir maintenant? Après tout il ne va tout de même pas me violer!
Sa bite est trop grosse, même pour mon cul, je vais avoir mal pendant des jours! Il faut que je lui dise de partir!
Après quelques minutes de ce traitement, il se retire de ma grotte, la bite toujours fièrement dressée et m’ordonne de me lever du canapé.
-Maintenant, tu vas te mettre à quatre-pattes par terre illico.
J’obéis sans broncher par peur d’une réaction violente
Une fois à quatre-pattes à même le sol, il me donne l’ordre de me cambrer au maximum.
-Comme une chienne qui donne son cul au chien , dépêche
Il ce penche, met sa main entre mes cuisses, récolta de la mouille sur ma chatte et l’étale entre mes fesses. Je sais ce qu’il veut faire , la peur me saisit à nouveau, surtout en jetant un œil sur sa bite, qui semble encore plus grosse . Il s’agenouille derrière moi, cracha sur mon anus et introduisit une nouvelle fois son majeur puis son index, fait quelques va et vient qui ne me firent pas de mal a présent.
-Tu vois, tu t’habitues, je savais que tu es une bonne salope
Il ôte ses doigts puis je sens qu’il positionne sa queue devant mon œillet. Il le touche.
Il attrape mes cheveux, les tire vers lui pour me faire relever la tête et en même temps commence à s’enfoncer en moi. Je commence à crier de douleur au fur et à mesure qu’il pousse pour la rentrer. Elle est vraiment trop grosse elle me fait très mal.
-Oh aïe ! arrête Raoul arrête, tu me fais mal!
Il s’arrête de pousser mais je sens qu’une petite partie est déjà en moi.
-Tu rigoles ou quoi ? Je vais te casser le cul ! Tien Prends ça !
D’un coup de rein il enfonce sa bite jusqu’à la garde dans mon fondement
– Aïe !! Arrête ça fait trop mal !
Il n’en a rien à faire de mes supplications pour qu’il arrête , il fait coulisser sa queue jusqu’à la sortie et la renfonce d’un coup m’arrachant un cri de douleur et il continu encore.
La douleur est immense , je tente de me soustraire en me tortillant . Il me claque les fesses ,il tire plus fort mes cheveux en arrière pour que je cesse de gigoter. Cette posture m’oblige à me cambrer mes reins encore plus.
-Arrête de te débattre, sinon je tu vas te décoller le cuir chevelu toute seule !
Je me calme pour ne pas aggraver les choses. Il me ramone les entrailles avec force. Je sens toujours une grosse douleur mais bizarrement je commence à aimer aussi cette douleur
Elle ce mêle à autre chose , même si à chaque coup de rein je grogne entre mes lèvres
ma grotte recommence à ruisseler entre mes cuisses. Je devient ce qu’ils appellent une salope
-T’aime que je te défonce le cul ! Je sens bien que tu mouilles ! Vas-y, crie bien fort, j’adore
-Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, t’arrête pas putain oh oui!
-Tu n’es qu’une chienne qui aime se faire enculer , tu n’es bonne qu’à te faire défoncer
Il me pistonne carrément comme un fou en m’insultant, il est à bout de souffle.
– Je te bourre le cul ! ! chienne de Nicole !
Il m’assène le coup de grâce en s’enfonçant au plus profond de mes boyaux en expulsant de longues giclées de sperme par saccades. Je tombe sur met bras pliés , il agrippe mes hanches très fort en beuglant que je suis une pute , une chienne , une salope !
Ses mots orduriers dans mes oreilles me déclenche un orgasme qui couvait depuis le début
L’homme se dégage enfin, visiblement très satisfait de sa prestation . Puis, il se relève et s’assit sur le divan
– Après t’avoir vue à l’œuvre dans la grange , j’étais sûr que tu étais un bon coup !
-Mais pas ce point là ! Je crois que je vais en profiter encore
– Vous m’avez dit que si j’obéissais , cela serait fini.
– Je ne savais pas à quel point tu es bonne ! Dit il en fixant mes mamelons qui se dressent fièrement, les pointes encore gonflées.
Ce genre d’excitation avait disparu de ma vie depuis belle lurette, je crois qu’une nouvelle vie vient de commencer.
-Aller sers moi un whisky sans glace , j’ai besoin de me remplir les burnes que tu m’a vidées
Je remet mon peignoir et lui sers son whisky puis Je vais me rafraîchir dans la salle de bain avec un affreux sentiment d’échec, de remord de m’être laissée piégée de la sorte.
Toutefois mon ventre me brûle encore des va et vient du sexe ardent de mon presque inconnu j’ai encore dans sa bouche le goût de son gland et cela n’est pas si horrible que ça.
Au moment ou je sort de la salle de bain en peignoir pour aller m’habiller dans ma chambre la carillon de l’entrée me fait sursauter , j’entends les voies de plusieurs hommes qui sont entrés maintenant dans le salon . J’accoure sans réfléchir dans l’entrée .
J’entre dans le salon , je pousse un cri de surprise !
-Je te présente Malik,Lucien ,Karim,et Henry des copains qui vous te mâter . Dit Raoul
Je suis vite immobilisée par Henry et Lucien qui me maintiennent les bras et me bâillonne de leurs mains un grand black ouvre mon peignoir en sifflant me voyant apparaître nue. Karim ce lève et écarte mes cuisses et fourre ses doigts dans ma chatte. Pendant ce temps, Lucien malaxe mes seins malgré mes ruades. Des mains baladeuses se précipitèrent, on me triture les seins, tirent sur mes pointes et mes aréoles m’arrachant des cris étouffés, les doigts de Karim s’infiltrent dans ma fente me titillent le clitoris
Je me débats et essaye de crier mais les énormes mains de Lucien et de Henry rendirent vaines toutes mes tentatives.
-Tu vas la fermer ta gueule de pouffe ou je t’éclate les dents.
Une violente claque vint battre ma croupe que dévoile peignoir ouvert par Malik
-Ferme ton clapet ou il va t’en cuire, crois-moi, grognasse !
Je suis jetée sur le canapé en cuir de notre salle à manger tandis que des larmes commencèrent à couler sur mon visage. La main de Karim qui m’a fessée, caresse à présent éhontément mes fesses. La main qui s’appesantit sur ma croupe a des doigts longs et fins qui se faufile partout dans mon entrejambe, effleurant perversement ma vulve , un doigt serpente entre les lèvres moites.
Le doigt de Karim aventure ses trois premières phalanges, se frotte aux parois chaudes et me masturbe allègrement un bon moment . Je pousse des gémissements !
-Non non ! Arrêtez !
Mon sexe clapote d’humidité. La masturbation cesse enfin, mais une poigne tire sur mes cheveux , Malik me relève la tête en arrière. Durant cette opération, je me trouve nez à nez avec une queue d’ébène énorme et érigée dans toute sa splendeur. Malik approche de mon visage son pénis , le frotte sur mon visage du menton jusqu’à mon front, l’enroulant parfois dans ses cheveux . La longueur et la grosseur de ce mandrin au gland sur-développé m’effraie en même temps qu’il me fascine.
-Écoute moi. Me dit Malik tu vas me sucer. Ne t’avise pas de crier ni de me mordre. Montre moi un peu des talents de suceuse ! Il parait que tu aime ça !
J’aspire une grandes goulée d’air , Malik en profite pour pousser sa queue entre mes lèvres ouvertes. La masse de ce paquet de chair noire me déboîte presque la mâchoire. Mes lèvres se distendent autant qu’elles le purent. Il me coupe le souffle. Il est imposant . La main de Malik libère mes cheveux , descend sur sa queue pour l’aider à la faire entrer dans ma gorge . Je secoue la tête pour me soustraire à cet avalement forcé et douloureux , mes yeux jaillissent de leurs orbites pendant qu’inexorablement sa bite poursuit sa course sur ma langue .
Lucien qui n’en perdait pas une miette comme Henry se déshabille , retire la ceinture de cuir de son pantalon l’enroule deux tours autour de sa main en maintenant fermement la boucle dans celle ci et d’un regard méchant me lance
-On va la dresser cette bourgeoise !
Mon regard est remplie de crainte et implore la pitié.
-Nous allons enseigner à cette chienne comment s’occuper de nos bites ! Et devenir une femme bien docile .
Malik se retire de ma bouche , soudain j’ai un haut de cœur , je ressent une douleur cuisante traverser mon postérieur qui me fait plonger tête en avant sur la bite de Malik tendue devant mon visage. La ceinture de cuir continue à s’abattre en cadence sur mes fesses qui prirent vite une teinte rouge sang. La douleur assaille mon corps de toutes parts, je pousse des cris de supplications. Je râle bouche ouverte ce que met à profit Malik pour pousser sa queue entre mes lèvres et étouffer mes cris. Le gland boursouflé franchit le faible rempart de mes dents j’ouvre désespérément ma bouche sur le nœud qui l’envahit. Les coups qui redoublent sur ma croupe font tomber mon ultime résistance. Ils s’arrêtèrent enfin , résignée, je m’abandonne à leurs caprices pervers. Les mains de Karim et de Henry caressent mes fesses surchauffées et douloureuses des coups reçus. Je suce Malik malgré que son membre me distend les lèvres
– Elle commence à comprendre la salope .Dit Malik d’une voix grave
Mes jambes sont largement disjointes. La verge tendue de Karim se presse entre mes cuisses ouvertes elle continue sa lente progression dans ma grotte qui ne s’arrête que lorsque les testicules de Karim vinrent battre mon périnée .Je me tortille sous la douleur. Pendant ce temps, la queue de Malik dans ma bouche est avalée jusqu’aux couilles qui ballottèrent sur mon menton , les poussées de la queue de Karim dans mon vagin ma font m’empaler la bouche sur la queue de Malik qui me saisit la tête entre ses deux mains et la fait aller et venir de plus en plus vite sur sa hampe rigide.
Un torrent de salive coule aux commissures de mes lèvres je tente tant bien que mal de déglutir mais Malik me maintient fermement. Malik se retire un peu d’entre mes lèvres ne laissant que son gland. Je rouvre ma bouche en grand , dans un râle la queue qui se vide dans ma gorge. Pendant ce temps la queue de Karim est enfoncée dans sa totalité dans ma grotte jusqu’à ma matrice. Les parois internes distendues, je ressent totalement la présence virile qui me laboure comme forcené.
Les testicules de Karim vinrent buter contre mes lèvres vaginales déformées de manière obscène et taquinent mon clitoris érigé. Le ballottement des testicules à l’entrée de ma grotte et sur mon clito me font chavirer les sens tandis qu’un orgasme s’annonce, je jouis ! Mon sexe ventouse la queue infernal qui me perfore. J’ai du mal a inspirée avec ma bouche encombrée de la bite qui dégorge le sperme salé de Malik .
Les coups de boutoir de Karim dans mon dos se font plus rapides, plus puissants. Il souffle à chaque allées et venues . Les va-et-vient humidifient mes muqueuses vaginales. Je soulève mes fesses pour accompagner la répétition des coups de bite dans ma grotte , mes genoux se soulèvent à chaque coups de rein de Karim, j’encaisse le martèlement de sa queue avec bonheur. Karim précipite encore ses va-et-vient pour remplir ma grotte de sa semence en poussant des cris inarticulés. Son foutre jaillit avec force au fond de mon vagin. J’ halète comme une chienne puis je crie dans un long feulement.
Je jouis en graissant d’une cyprine abondante la matraque qui me pistonne.
– Voyez-vous pas les gars . Dit Lucien . Il y a encore un trou que nous n’avons pas visité .Il est temps que nous nous en occupions !
Quatre mains m’immobilisent et m’écartent violemment les fesses. Une autre main se glisse dans ma grotte pour recueillir de la substance crémeuse. Mon anus est graissé de cette crème
J’ai peur je suis effrayée , je leur cri
– Non Non Pitié pas par là !
Lucien promène son très large membre autour de l’entrée de mon fondement . Je tente de crisper mes muscles , de me soustraire mais je suis bien immobilisée , Lucien pose son gland massif sur l’entrée de mes reins , je resserre mes muscles pour empêcher l’introduction Le gland force brusquement la porte de mes entrailles .
-Non AAAAH !! Je vous en prie AIE ..OOOHH !!
Ignorant mes suppliques Lucien me sodomise d’une poussée rectiligne. Je suis comme fendue en deux par une barre qui s’enfonce dans mes intestins. Il me sodomise à grand coup d’aller et venues dans mes entailles
J’ happe de l’air comme un poisson hors de l’eau .
-AAAH C’est trop gros .
Je pousse des cris terribles , a chaque coup de rein son piston s’enfonce un peu plus dans mon rectum et dans ma douloureuse détresse .
La queue qui me sodomise férocement est très grosse Lucien se retire un instant, ça soulage momentanément le calvaire de mes intestins tourmentés .
– Bordel, j’ai la queue compressée dans un étau tellement son cul de chienne est serré
– Il faut que je l’agrandisse encore un peu.
Il replonge dans mon cul entrouvert ,il me pistonne furieusement . A chaque aller retour dans mes intestins, il m’ouvre et m’élargit la porte de mes entrailles . Il me sodomise à toute allure en râlant de plus en plus fort
Je suis clouée sur le canapé par ses coups de rein puissant . Lucien continue me fendre par des mouvements rapides et abrupts du bassin L’ouverture de mes reins est rendue si large que la queue qui frotte sur les parois de mon rectum, me pistonne plus aisément et dans râle de jouissance il me remplie les entrailles de sa semence , il coulisse mieux je sens presque plus la douleur , elle s’accompagne d’une volupté insoupçonnée ,puis se sort sans ménagement en m’arrachant un autre cri de douleur et de frustration.
Ma grotte toujours béante et suintante ,mon anus agités de spasmes laisse s’écouler une traînée de sperme que s’écoule sur ma vulve humide.
Je pense que le cauchemar est terminé mais je me trompe Mon calvaire n’est pas finit.
Karim se couche sur le canapé et dit à Malik .
– Amène cette chienne ! Il me tire par les cheveux en m’obligeant à m’empaler sur l’énorme bite de Karim qui pose ses mains sur mes épaules et appui jusqu’à la fin de l’introduction .
Malik enfonce son index et son majeur dans mon anus ouvert. Il les fait coulisser, tourner
-AAAH . OH ! Mon dieu Non !arrêtez ! Malik enfonce avec délectation sa bite noire dans mon trou du cul meurtri . Il s’agrippe à mes hanches et se met à me bourrer comme un fou.
Je crie, j’essaye de me débattre mais les deux gaillards ne me laissent pas faire , je suis prise en sandwich , je me fait défoncer comme une chienne.
Mes deux lascars commencent leur va et vient en cadence alors que Henry dont la bite est rebandée la pose devant ma bouche que j’ouvre machinalement ,je met à la sucer. Lucien, pour ne pas être en reste, s’approche aussi de ma bouche et essaye de la rentrée. Je secoue la tête en signe de refus , Henry cède la place qui est prise de suite par Lucien . Je les suce alternativement .
J’imagine le spectacle incroyable d’une femme jusqu’à présent fidèle se faisant baiser et enculer par deux hommes pendant qu’elle suce deux autres.
Un orgasme arrive , non je dois pas jouir . OOOHH ! C’est trop fort OOUAAAH . RAAHH
– Elle jouit la chienne ,tu avais raison Raoul elle aime ça .
Le premier à jouir est mon sodomite. Il se vide les couilles dans mon fondement en poussant des rugissement puis il se retire sans douceur laissant des traînées de foutre sur mon anus complètement ravagé. Henry expulse bruyamment son foutre dans ma gorge j’essaie d’avaler au fur et à mesure des giclées , pratiquement en même temps que Karim qui m’inonde la chatte . Ce dernier se répandit dans ma chatte alors que l’autre jouit et se retire de ma bouche pour que Lucien le remplace, il donne quelques coups de rein et se fige au fond de ma gorge, il étouffa un long râle.
-AAHHHH OUAIAIAI ! Putain je gicle sur sa glotte! Avale tout! Je ne veux pas que tu recraches!!
-OHHH c’est BONN!!!
Je suis rouge écarlate car sa queue m’empêche de respirer, je suis obligée de tout avaler, et quand il daigne enfin se retirer, je met plusieurs minutes à récupérer une respiration normale
-T’es une bonne soumise ma petite chienne .
Le sperme coule de ma chatte et de mon cul martyrisé. Mes lèvres sont humide déborde de salive et de sperme qui me dégouline sur le menton . Henry m’empoigne les cheveux et
Lucien empoigne sa ceinture et d une voix mauvaise il me dit .
-Salope tu va être obéissante avec Marcel et ses amis ou je te caresserais les cotes avec ma ceinture .Vaincu par la douleur et l’avilissement j’acquiesce
-Oui ! Je ferai tout ce qu’ils voudront , je leurs obéirais .
Lucien rétorque toujours d une voix mauvaise .
– Tu seras une bonne chienne bien docile
– Oui je serai une bonne chienne docile .
Sam Botte
La suite demain même heure
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