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Le chantage de l’ouvrière qui découvre le sexe extrême Chapitre 7

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Ils ce rhabillent et partent en un instant, je suis hagard sur le tapis comme dans un rêve

Non ce n’était pas un rêve, je vient bien d’être soumise a cinq inconnus pour la première fois de ma vie. Mon ventre, mon cul, ma mâchoire me brûlent encore des vas et vient de leurs grosses bites, j’ai encore dans la bouche le goût prenant de leurs sperme, cela n’est pas si horrible que ça après tout, bien au contraire

Bizarrement j’aime cette situation de soumise, je devient esclave de mes sens incontrôlables. A plusieurs reprises je me suis sentie envahie par un énorme plaisir aussi inattendu qu’incroyable.

Je viens de finir mon déjeuner, par ce dimanche ensoleillé je vais aller me balader dans la campagne La sonnette de l’entrée retentis, après un moment d’hésitation je vais ouvrir

— Bonjour Marcel que fait tu là ?

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— Comme tu est seule, je viens te tenir compagnie  jusqu’à demain matin, regarde je t’ai amené ton beau collier avec la laisse. Me dit il en brandissant le collier qu’il m’a mis vendredi

 Il me pousse en entrant et ferme la porte derrière lui

— Tu me fait un café et tu vas te changer, tu n’a besoin que d’une robe sur toi, pas plus. je t’emmène chez Jean

— Mais que veux tu encore ? Hier ton copain Riton et ses copains sont venus et ont abuser de moi, ils m’ont même battu, je ne veux pas y aller chez ton voisin Jean

— Oui je sais, tu veux voir les photos qu’a pris Riton, tu veux que ton mari les regarde aussi ?

— Rappelle toi ce que tu nous à dit dans la grange que tu nous obéiras, alors obéie. Qu’il me répond en venant accrocher le collier a chien autour de mon coup

— Tu as été prise pour une chienne dans la grange, tu seras toujours une chienne, ma chienne !

Je touche le fond  , il me tient pour de bon. Une fois de plus résignée j’obéis en allant me changer pour mettre juste une robe sur moi

— C’est jolie chez toi, ferme le porte d’entrée nous allons passer par le garage pour sortir

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Il accroche le laisse au collier, je le suis jusqu’à dehors tenue en la laisse

Je monte dans la voiture coté passager, il passe la poignée de la laisse sur le levier de vitesse

Nous traversons le village, je me fait toute petite sur mon siège pour pas que l’on me vois avec ce collier autour du coup.

Après une demi heure de route nous rentrons dans la grange de Marcel. Il vient à ma descente de voiture prendre la laisse et me tire vers l’extérieur, je résiste un peu humiliée.

— Allons viens, il n’y a personne dehors dans ce hameau isolé.

Je le suis au bout de la laisse comme une petite chienne docile, nous remontons la rue pour rentrer dans une maison

— Nous voilà ! Dit il en tirant sur la laisse pour que je le suive à l’intérieur

En rentant il y a sur le côte gauche un mur avec une grande glace et de chaque côté de cette glace des portes manteaux pleins et des chaussures avec des bottes sur le sol en face un escalier qui monte à l’étage, à droite une très grande salle rectangulaire, du coté de l’entrée sur une longueur  le coin cuisine avec l’évier sous la fenêtre qui donne sur la rue et les bâtiments de Marcel, c’est une cuisine aménagée avec tout le confort, sur la largeur  un lave vaisselle puis un grand et haut buffet en chêne avec plusieurs portes à côté un meuble avec un très grand écran plat avec en dessous une grande niche ou il y a un lecteur enregistreur DVD

posé sur un magnétoscope, puis une porte qui ferme presque l’angle, sur la longueur du fond  une grande cheminée avec son bûcher garni, devant la cheminée deux fauteuils tournés vers l’écran plat, au milieu une longue table de ferme dans le sens de la longueur entourée de chaises, le sol est carrelé de tomettes rouge, mais du côté de la cheminée avec ses fauteuils il y à des grands tapis qui vont jusqu’à la porte du fond je ne l’ai vus qu’après être assis à la table, car en rentrant la table avec ses  chaises cachent cette partie du  sol et le bas des fauteuils

— Voici Jean que tu connais et sa femme Jeanne qui a hâte de te connaître.

Le couple est attablé devant un café, j’ai déjà vu Jean, je vois Jeanne pour la première fois

Elle a un visage fin, le tain mâte des cheveux claires avec de beaux yeux vert. Elle doit être aussi grande que moi avec une poitrine généreuse, de bonne fesses  , elle porte une blouse qui cache ses vêtements

— Un petit café Nicole. Me dit elle ce n’est pas une proposition ça ressemble a un ordre.

— Vient ici ! Me dit Jean en tirant la laisse que lui a donner Marcel.

Je fais le tour de la table pour venir devant Jean, Marcel s’assoit devant un verre de vin

— Tient bois ton café sans sucre c’est bon pour la ligne.

Pendant que je bois mon café debout devant Jean, il glisse ses mains sous ma robe, me

caresse les fesses, remonte sur mes reins pour venir sur mon ventre.

— C’est bien ! Pas de sous vêtements, elle est obéissante Dit il en mettant ses mains de chaque coté du haut de mes cuisses en pressant pour les écartées

— Donne. Me dit Jeanne entendant la main pour prendre ma tasse vide.

Une main glisse et un doigt serpente entre les lèvres molles et moites de ma grotte. Le doigt aventure ses trois premières phalanges, se frotte aux parois chaudes et masturbe légèrement un bon moment ma chatte. Mon sexe s’humidifie. Je serre les dents pour ne pas gémir.

Plusieurs doigts viennent insinuer entre les lèvres de ma grotte, remontent en les écartant et attrape mon petit bouton qu’ils pressent en le  faisant sortir de son écrin protecteur.
Je  commence à me sentir un peu bizarre, voire docile. C’est peut-être ce drôle de goût qu’avait le café. Je ressent une chaleur dans tout mon corps.

Deux doigts roule mon clito pendant qu’un troisième le gratte avec son ongle.

— Salaud… qu’est-ce-que vous faites à mon clitoris… vous l’avez décalotté..vous le doigté… vous êtes fou… non non ! Arrêtez ! C’est sortie de ma bouche spontanément.

Je deviens rouge de honte. Il est vrai que je ressens une forte chaleur au ventre suite à cette vicieuse caresse. Après tout, je suis une femme, et mon corps réagit en femme.

— Allons laisse toi aller, tu es nôtre pour cette après midi et même plus si nous en avons envies, c’est Marcel ton maître qui nous t’offre en cadeau  . Me dit Jeanne en caressant le collier autour de mon coup, coller a mon dos ses deux mains descendent sur le premier bouton de ma robe, qu’elle déboutonne puis elle continue l’opération jusqu’en bas de ma robe qu’elle retire en me tirant les bras derrière.

Une fois de plus je me retrouve nue devant des étrangers, je suis plus gênée que devant Raoul et ses copains, peut être parce qu’il y a une femme dans la pièce.

Toujours dans mon dos elle me caresse les seins, triture mes mamelons les fait durcir, ma tête frissonne, c’est la première fois qu’une femme me caresse les seins

Jean continue a me branler le clito pendant que deux puis trois doigts me baise la chatte

mon sexe clapote d’humidité.
–Tu aimes sentir mes doigts dans ta chatte, hein ?

Mon cerveau dit non mais mon sexe réclame encore du plaisir avec ses doigts ou autre chose

Pour toute réponse j’écarte un peu plus mes cuisses

— Marcel ouvre ma blouse tu vois bien que j’ai les mains occupée !

Je vois Marcel quitter la table pour passer derrière nous, Jeanne malaxe toujours mes seins en tirant sur leur pointe, elle s’éloigne de mon dos un instant puis revient ce coller, elle est nue,  je sa chaleur dans mon dos comme c’est agréable, je découvre une nouvelle sensation venant d’une femme, elle me mordille le coup, je frissonne de partout, elle frotte maintenant son pubis sur mes fesses, je ne sais plus si je dois reculer mes fesses sur le pubis de Jeanne ou avancer le mien sur les mains de Jean

C’est Jean qui décide pour moi, il ce lève de sa chaise me laissant au bord de la jouissance

pour quitter son pantalon et son slip ce qui fait apparaître une verge de belle taille

— Aller ! A quatre pattes comme la chienne que tu es.

Je m’exécute en me désolidarisant de Jeanne.

Il ce dirige vers un fauteuil devant la cheminée en me tirant par la laisse, je le suis sur les tapis qui recouvre toute cette partie de la pièce.

Quelle humiliation d’être traitée comme une chienne, comment ai je pu en arrivée a accepter

de me faire traiter ainsi devant des inconnus pervers dont une femme

Il y a deux fauteuils, devant l’un des deux il y a un repose pied avec le dessus recouvert d’un cuir rembourrer

Il s’assoie sur le bord du fauteuil libre, tire la laisse pour que ma tête soit entre ses cuisses.

— Viens me prendre dans ta bouche humide et chaude que j’ai déjà  apprécier !

Je l’enfourne d’une façon de soumise dans ma bouche. Si sa queue n’était pas encore très bandée, je l’a sens rapidement prendre de la grosseur et de la longueur dans ma bouche et je m’empresse de la sucer et de la caresser avec ma langue.

Rapidement, j’avale complètement sa grande bite et lui pratique une belle gorge profonde pendant que Jeanne me fouille le vagin en écartant avec ses doigts mes grandes et petites lèvres.  je commence à sucer de haut en bas, en prenant soins de bien l’enfoncer à chaque fois et de toucher ses couilles avec mon menton.

Soudain, un objet dur et tiède entre en contact avec mon clitoris, je devine aux petites vibrations qu’il s’agit d’un vibromasseur,  je met a vibrer de concert. Très vite, cependant, elle déplace celui-ci vers l’entrée de mon sexe, le fait pénétrer lentement, puis ressortir, rentrer à nouveau, c’est une exquise torture, je me sens mouillée comme jamais.

Jeanne active le va et vient du gode dans ma grotte, tandis que les parois de ma vulve se gonflent de plus en plus contre l’engin vibrant….. Quand elle  sent que je suis sur le bord de me m’abandonner complètement à l’orgasme elle accélère le mouvement en enfonçant deux doigts mouillés dans mon cul ce qui  fait éclater mon orgasme.

Du coup il me baisse carrément la bouche en me l’enfonçant complètement à chaque fois.

Je gueule intérieurement car la bite de Jean est tellement grosse que je ne peux que gargouiller
Je pompe sa bite comme une folle, en plein orgasme, essayant de m’empaler encore plus sur le gode qui ravage  mon puits d’amour.

Mon orgasme se calme un peu mais je sens la bite de  Jean qui se gonfle encore dans ma bouche et un jet de sperme gicle au fond de ma gorge pendant qu’il hurle sa joie.

J’ingurgite avec empressement cette crème onctueuse et j’avale aussi vite qu’il me remplit la bouche.

Je suce et nettoie, comme une parfaite petite chienne que je suis, sa queue jusqu’à ce qu’il n’y a plus de sperme, jusqu’à la dernière goutte qui perle de son gland.

Jeanne retire doucement le gode de ma grotte baveuse de cyprine, elle vient a mon coté me tire la tête en arrière par les cheveux  , elle ce penche en avant et m’embrasse, poussant ma langue dans ma bouche, je la tourne autour de la sienne.

 Elle devine que la saveur sur ma langue est le sperme de Jean, elle répond a mon baiser en suçant ma langue. Après ce long baiser elle va s’asseoir sur le fauteuil en face le repose pied, là je vois qu’elle est nue sous sa blouse grande ouverte

Marcel vient me prendre par la laisse pour me tirer vers ce dernier fauteuil.

— Met ton ventre la dessus. Me dit il en me désignant le repose pied.

C’est maintenant Jeanne qui tient la laisse et tire pour que je me mettre mon ventre sur le repose pied avec ma tête entre ses cuisses. En un tour de main Marcel me sangle les poignets et les creux des genoux aux pieds du repose pied. Docilement j’ai laisser Marcel m’attacher dans une position humiliante

 Une fois de plus  mon intimité et mes seins sont libres de tout accès. Je lève un regard implorant vers Jeanne

— Tu vas être bien sage, nous t’avons attaché pour qu’on ce serve de toi comme d’un objet de plaisir, a ton tour de me faire jouir. Me dit Jeanne en tirant a tête sur son sexe.

Sans réfléchir je m’approche de sa chatte, sort ma langue, l’introduit dans sa grotte ouverte et commence à sucer, comme le font les hommes avec nous. Je suis agréablement surprise par la saveur, j’apprécie le goût, je trouve merveilleux de lécher et sucer le sexe d’une autre femme comme si c’était à moi qu’on le faisait.

 Je suce son clito et lèche sa chatte avec ardeur Mes coups de langues ont l’effet escompté, Jeanne mouille abondamment, je sens la cyprine couler sur mon visage, son bassin commence à bouger pour mieux venir à la rencontre de ma bouche elle gémit doucement. Jeanne s’offre en totalité. Je ne peux croire que je fasse ça a autre femme, je voudrais la posséder toute entière !!

Jeanne halète  quand elle sent ma langue qui suce puis pénètre dans sa chatte. Mais je ne la lâche pas jusqu’à que suçant son clito elle commence à jouir en gueulant :
— Chienne ! Tu me fais  jouir !  putain c’est bon !

Je suis fier intérieurement de faire jouir une femme pour la première fois, j’en éprouve du plaisir. Alors tu pense que je ne vais pas la lâcher ! Elle jouit intensément et inonde ma bouche de cyprine odorante, que j’aime avaler après l’avoir mélanger dans ma bouche.

Une queue vient écarter les lèvres de ma chatte, lentement elle sombre dans ma grotte humide qui n’attend que ça ! Je commence à gémir quand elle me pénètre.

Jeanne recule un peu le fauteuil et ce lève nos regards ce croisent, elle ma fait un clin d’œil en souriant, je me retrouve seule avec une queue qui me baise.

Je me délecte de cette queue qui me remplit. J’apprécie cette baise lente et son gland qui vient frapper mon utérus à chaque fois qu’elle m’empale complètement. Tournant la tête je vois Marcel qui augmente  la cadence et frappe ma chatte de plus en plus fort et le plus loin qu’il peut. Elle est longue sa queue, j’ai vraiment l’impression qu’il m’ouvre le col de l’utérus

Je sens qu’Il ne vas pas tenir très longtemps à ce rythme. C’est trop tôt en ce qui me concerne et ce que je craignais arrive car il pousse un cri et claquant son pubis contre mes fesses son phallus bien enfoncé il cri :
— Ouais, je jouis dans ma salope de chienne ! Tiens prends tout mon jus !
Je sens un flot de sperme envahir ma chatte au fur et à mesure des spasmes de sa queue toute gonflée qui écartèle mes chairs malmenées.

Tout doucement je sens sa bite glisser hors de ma chatte remplie de son sperme qui commence à couler par terre. Je baisse ma tête, mes cheveux tombe sur mon visage frustrer

d’avoir était abandonner pendant le montée de mon plaisir qui n’a pus s’épanouir.

 Jeanne porte une main à ma vulve qui déborde du sperme de Marcel. Je sent deux, puis trois doigts me pénétrer. Les mouvements de ces doigts me font vite mouiller. Un quatrième doigt vint se joindre aux autres et je pousse un gémissement évocateur.                                         – Dit moi, Marcel, a-t-elle l’habitude d’être fister ?
— Non,  Je pense que cela ne lui ai jamais arrivé.
— Elle a d’excellentes dispositions pour cela. Je vais, donc, le faire. Il faut bien une première fois !

J’en crois pas mes oreilles ! Cette femme veut me fister et elle en parle tranquillement avec Marcel. Le pire étant que celui-ci semble ravi de la chose !!! Je sent le pouce qui se faufile contre le reste de la main dans mon vagin ultra dilaté. Je pousse un petit cri et soudain, j’ai  la main de Jeanne dans mon vagin ! Intense sensation… C’était la première fois qu’on me fiste la chatte. Elle attend que l’équilibre se fasse dans mon corps et commence à bouger sa main.

Elle y va avec entrain, rentre sa main et la ressort avec facilité. Je mouille comme une chienne. Ses doigts s’ouvrent, mes parties intimes se distendent et je repars vers les étoiles que je viens à peine de quitter.  elle la sort de presque la moitié pour la replonger au fond de ma grotte. elle ferme sa main et me fourre alors avec son poing, ce qui eu l’effet de me faire crier car en plus elle a serré mon clito très fort. Elle va de plus en plus vite. Lubrifiée à l’extrême, je sen qu’un gros orgasme me submerge… Je jouis, je jouis, je jouis encore…
Mon corps n’est plus qu’une jouissance, mon cerveau est déconnecté.
Le temps s’arrête, je viens encore de franchir une nouvelle étape dans ma vie sexuelle, et sans comprendre pourquoi, qu’elle a réussie à me faire autant jouir. Elle retire sa main de moi,  je met quelques minutes à me calmer

J’entends un grand bruit de léchage a coté de mon derrière, je tourne la tête ?

Je vois un gros chien au poil ras  lécher la main qui il y a quelques instants était au plus profond de moi… cette main qui ma fait jouir.

Jeanne vient se placer à mon coté, le chien la suit en léchant toujours sa main.

– Je te présente Costaud bien mieux membré que Garçon qui ta pris dans la grange de Marcel il va mieux te remplir pour te faire plus jouir encore.

Soudain une grande langue chaude, humide et râpeuse  remonte de mon bouton d’amour en ouvrant mes lèvres intimes pour lécher ma mouille qui a débordée sur la margelle de mon puits d’amour. Une décharge électrique me traverse tout le corps pour éclater dans ma tête. La langue recommence en écrasant mon bouton d’amour pour le tirer vers le haut, cette fois ci le bout de la langue pénètre mon puits d’amour pour recueillir plus de cyprine, la décharge électrique est moins puissante. Le manège recommence mais cette fois  la langue en remontant mouille ma petite porte de derrière, c’est un éclaire électrique qui atteint ma tête.  Au bout de plusieurs coup de langue, je râle de plaisir en écartant comme je peux mes cuisses  pour me donner encore plus à cette langue qui me lèche.

– Allé hop !! Jeanne tapote mes reins de sa main, ta nouvelle femelle est prête, elle t’attend, prend la !!

Costaud monte sur mon dos et met tout de suite des coups de reins imitant la saillie, son sexe me pilonne la raie des fesses en désordre. Derrière moi, je sens que Jeanne positionne le bout du sexe de Costaud a l’entrée de ma petite porte………..

Sortant de ma torpeur, je prend conscience qu’elle veut me faire sodomisée par Costaud.

– OOOOOHH NON !! Pas dans le cul !!! Ça rentrera pas !! Que je crie.

Je panique, tente de me soustraire a cette sodomie, mais son poids sur mes reins et les liens qui me lies au repose pieds m’empêche de bouger.

La pression contre mon anus augmente rapidement, ma corolle s’ouvre naturellement dans cette position qu’ils m’ont mise en m’entravant sur ce repose pieds.

Puis d’un violent coup de reins il s’enfonce entièrement dans mes reins me faisant gémir.

Tout est rentré !! Je sent ses couilles sur l’entrée de ma grotte.

Mon anus n’a jamais été aussi dilaté !! Je suis maintenant réceptive de ce coté là.

Quand, je me fais sodomiser les sensations les plus fortes se produisent quand le gland force la petite porte de mon jardin qui n’est plus secret. Inutile de dire qu’un sexe de ce diamètre, ça me fait un effet incroyable.

Il est gros, je le sens bien envahir mon fourreau pour s’imposer dans mon ventre. Je suis à lui. Il  fait de moi sa femelle. prenant appui sur mes mollets il se met à me pilonner l’arrière-train avec force. Il continue à  m’enculer, son sexe se met à gonfler !!

Jeanne encourage mon amant a me baiser toujours plus en profondeur. Mon anus ce dilate, et il le supporte !! Je commence à apprécier de me faire enculer par Costaud.

Je ne sais plus depuis combien de temps qu’il me besogne mais le bonheur qu’il me donne est tel que je veux qu’il me baise indéfiniment, j’ai perdu le sens des réalités, seul compte pour moi cette magnifique queue qui me fore les reins, j’ai les fesses en fusion et l’anus complètement dilaté et je me met à râler sous ses puissants coups de bite qui m’ouvrent chaque fois plus l’anus pour me défoncer encore plus, il  me lime avec une régularité de métronome.

 Oh ! Ça vient, je ne dois pas jouir pas comme ça avec un chien, mais c’est trop fort.

Et puis une sensation incroyable… une chose énorme arrive.
Soudain une boule de chaleur se forme au creux de mon estomac et remonte vers ma figure, le plaisir m’envahit totalement je me met à dire tout mon bonheur.

Un spasme foudroyant m’emporte, je me cambre au maximum que mes liens me le permettent pour m’offrir totalement à mon amant, un hululement de jouissance sort de ma gorge. Mon amant me baise violemment quand il me met un coup de bite plus puissant, a cette instant je sens son nœud bulbeux s’enfoncer dans mes reins Je croyais que j’avais été aux limites de mon élasticité anal ! … Là je ne crie pas… j’ai un blanc. Le nœud continue a grossir dans mes reins pendant qu’il m’inonde les entrailles en abondance de son jus chaud

Ça me déclenche  un énorme orgasme d’une force incroyable.

Mon cri déchire le silence qui n’est jusqu’alors rythmé que par les halètements de Costaud. Je sens un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendent le long de ma colonne vertébrale et remontent de mon bas ventre en de longs papillons frissonnants. Pour la première deuxième fois, je jouis grâce à un chien en présence d’une autre femme ! C’est contre nature mais c’est merveilleux. Tout mon être n’est que tremblements, spasmes, frissons de plaisir. C’est tellement bon d’être une chienne !!!

La sensation est tellement décuplé par cette situations ou moi une femme normale

Je me retrouve attachée sur un banc en train de me faire sodomiser par un amant canin

Tout mes principes volent en éclat aujourd’hui, désormais rien  ne sera plus comme avant, ma sexualité vient de basculer dans des plaisirs immoraux

Je tremble sous le plaisir : il vient de me faire prisonnière.

Je pousse une plainte quand sa boule atteint le maximum écartant le vestibule de mes entrailles Même s’il a éjaculé, la boule énorme qui me remplit encore le ventre me procure des sensations très fortes.

 — Tu as pris son nœud, tu vas être prise avec la bite de Costaud dans ton cul pendant une quinzaine minutes.

Nous formons plus qu’un être a six pattes a chaque fois qu’il bouge dans mon cul distendu

une onde plaisir se propage de mon ventre a mon vagin jusqu’à la racine de mes cheveux

des étoiles dans les yeux un énième orgasme me terrasse  d’autre ce succèdent pendant

les longues minutes que dure notre liaison, sa boule dégonflée mon amant sort de mes fesses

Mon anus agité encore de spasmes rejette par à coup du sperme qui coule sur ma chatte

Mon anus est ouvert, c’est un puits, mon ventre gargouille à cause des quantités de sperme que mon amant a déversé en moi… Jeanne lui caresse la tête.

 — C’est bien mon Costaud !! Elle est bonne cette femelle là !

— C’est bon de ce faire sodomiser par Costaud ? Tu as aimée ça hein ?

Je redresse le tête pour les voir tout les trois me regarder avec un sourire, Jean tient un caméscope à la main, il y a un troisième homme a leur coté, il est grand et trapu.

— Voici nôtre ami Martin, nous l’avons appeler pendant que tu te faisais élargir par Costaud, il a vu que ça t’a fait plaisir. Il va pouvoir enfin sodomiser une femme. Me dit Jean

— Il faut pas perdre de temps  d’autres amis vont arriver pour faire ta connaissance.

— Non vous avez pas le droit de faire ça. Que je lui répond en essayant de me libérer

— Pourquoi lutter contre ta nature, tu es une soumise née qui mouille dés qu’on la tripote, tu es facile a faire jouir, alors profite que l’ont s’occupent de toi. Répond Jeanne

Martin vient cul nu ce mettre sur le fauteuil devant moi, il est velu comme un singe il écarte les cuisses ,  je reste sans voix car Martin vient de dévoiler son engin, je n’a jamais vu une chose pareille. Il  est vraiment doté d’un énorme sexe, 25 cm, peut-être plus et d’une grosseur impressionnante. Mes yeux ne quittent pas cette grosse bite, elle est déjà toute tendue. Je suis comme hypnotisée devant ce spectacle. Puis, je passe ma langue autour et sur le bout. Ça va être compliqué de la mettre complètement dans ma bouche ! Je n’ai pas le temps de réfléchir car il me saisit par les cheveux, me dit d’ouvrir la bouche et me la rentre d’un seul coup en amenant mon visage contre son corps en faisant pression sur ma nuque.

 Il ne me laisse pas m’occuper de lui, il baise ma bouche furieusement. Cela me fait peur et il pousse un peu trop fort. Il me domine complètement, il se sert de moi ce qui m’excite un peu mais mes mâchoires deviennent douloureuses.

J’entends les encouragements des autres
— Oui, vas-y, suces le bien, tu aimes ça, hein ?
— Avale tout ! tu le peux dans ta grande bouche de chienne !
Cela ne fait que m’exciter d’avantage et je suce de plus en plus profond. Puis il ce retire

Martin s’agenouille entre mes jambes et place son énorme queue à l’entrée de mon anus.  Malgré le fait que son membre soit enduit de ma salive et que Costaud a déjà élargi le passage, l’introduction est lente, longue et douloureuse.

– Heureusement que Costaud t’a bien graisser, ça rentre tout seul !! Dit Martin.

Une fois le membre entièrement dans mon cul. Il reste immobile, peu à peu la douleur diminue pour faire place à une étrange sensation. Il ce penche sur mon dos, il m’embrasse la nuque, le dos, ses mains empoignent mes seins gonflés aux bouts durcis. J’ai du mal à réaliser que j’ai son énorme membre totalement enfoncé dans mon cul. Il me chuchote des obscénités du genre.

– Oh oui sale chienne, t’aimes te faire prendre le cul hein, sens ma grosse bite dans ton petit trou. Et oui, pour le coup, je la sens bien.

– Grâce a Costaud je peux enfin sodomiser une femme, et quelle femme ??

Martin commence à me pistonner d’abord délicatement, puis plus vite et enfin vigoureusement.  Lentement mon boyau s’adapte a cette bite hors norme, je commence même à profiter de la sensation que me procure son énorme queue qui va et vient entre mes fesses. Les autres sont tous debout, très prés et ils observent les coups de bite de Martin qui écartèlent ma corolle, sa queue rentre et sort de mon cul au gré de ses pénétrations courtes ou profondes.

Le temps me semble une éternité quand je sens enfin la bite de Martin gonfler, il explose à l’intérieur de mon ventre. Je sens son foutre inonder mon intestin, ça me fait un bien fou, son sperme se mélange a celui de Costaud  qui est encore en moi. Mon trou du cul est secoué par des spasmes répétitifs. Je jouis !  Je n’ai jamais joui encore aussi longtemps de la sodomie de toute ma vie, l’orgasme est constant, permanent, je crie des mots sans suites, que je serais incapable de reproduire.

— Son cul ce contracte sur ma queue, elle prend son pied les gars !!

— Moi aussi je jouis, ça fait du bien un cul tout chaud pour ma grosse queue.

Quand Martin a fini de jouir, il ce retire, je sens comme un air frais qui prend la place du membre impressionnant qui c’est logé dans mon cul. Je viens d’être sodomisé, enculé au plus profond de moi. J’ai reçu dans mes entrailles un membre long et large. Il a joui en moi, son sperme dégouline de mon anus distendu, ouvert, qui porte la marque évasée de la puissante queue qui vient de me défoncer divinement. Je suis heureuse, épuisée, pantelante, , les cuisses écartées, le cul bien ouvert.  Je suis offert a leurs regards  , j’en suis consciente.

— Vous croyez qu’elle peut encore prendre des bites ? Pourquoi vous ne la baiseriez pas dans le cul, vous aussi… je sais que c’est ce qu’elle veut, n’est ce pas ?  Dit Jeanne

Marcel s’installe et pose sa bite sur mon anus dilaté !

Il glisse sa queue dedans et s’enfonce complètement en poussant un cri.
— Putain ! Qu’elle est bonne et chaude !
Pendant que ses va-et-vient se font de plus en plus rapides, il fait glisser ses doigts sur mon clitoris, ce qui me donne un deuxième orgasme en moins d’une minute. Le plaisir est tout aussi fort que tout à l’heure, je sens  mon anus se crisper et se relâcher.

Maintenant, j’apprécie pleinement le plaisir d’être prise par derrière. Marcel se retire de moi après avoir inondé mon cul de son sperme

Un troisième le remplace aussitôt, sa queue est grosse et je la sens bien passer. Il s’enfonce en moi profondément, je sens ses couilles battre sur ma chatte. Il donne de petits coups de reins et de sa main glisse entre nous il taquine mon clitoris avec douceur.. Je sens à nouveau monter le plaisir. Il ralentit un peu car il veux faire durer son plaisir le plus longtemps possible.

 Quand il a senti mon cul se détendre à nouveau, il reprend ses mouvements de plus belle et enfonce son membre maintenant gonflé à son maximum, dans l’abysse de mes entrailles et dans un long gémissement, il a éjacule de toutes ses forces en moi. Je peux sentir sa chaude semence se déverser en moi, je sens également chaque pulsion que sa bite émet avec ses jets de sperme.

Un autre gars est accroupi derrière moi, il s’enfonce doucement mais sûrement dans mon cul pour me limer tranquillement puis de plus en vite. Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul

L’un après l’autre ils m’ont tous baisée dans le cul, ils m’ont remplie de leur sperme brûlant à tel point que ça déborde encore plusieurs minutes après la dernière baise de Jean qui  m’a donné mon dernier orgasme quand il a déversé son foutre au fond de mon cul Quand il est sorti  de mon anus lubrifié  J’ai eu une sensation de vide et de manque quand on n’a plus rien dans le cul.

J’ai reconnu les douces mains de Jeanne qui ouvrent mes fesses. Puis un truc froid contre mon anus. C’est Jean qui me tient largement ouvertes mes fesses. Le truc froid poussait contre mon anus. Je ne comprends pas ce qui se passe.

La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre ma corolle. Je ne comprend pas ce qui entre dans mon intimité mais c’est épais, très épais. Ma corolle se dilate douloureusement. C’est plus gros que le sexe de Martin
Le truc  ouvre brusquement mon muscle anal, m’arrachant un crie de douleur. Je commence à comprendre ce qui m’arrive. La personne derrière moi  se contente de pousser pour m’enfoncer l’engin au plus loin possible.

J’ai brusquement cru que mon ventre allait explosé sous la pénétration du monstre froid. J’ai hurlé. En même temps, Jeanne s’est collé sur mon dos.
— Il y longtemps que je rêvais de d’enculer  une femme, avec toi c’est fait.

Elle ne bouge pas. Son bassin bien collé contre mes globes tendus. Moi j’attends que la douleur s’estompe en cambrant bien mes reins
— C’est incroyable ce que tu as dans ton cul.. Le gode a la même taille qu’une bouteille de bière

Maintenant je vais te sodomiser comme un homme ma petite chienne !
Elle  commence à me limer et je vois mille étoiles dans mes yeux. J’ai mal, très mal et envie de jouir.  La bitte de plastique coulissait de plus en plus vite, Jeanne trouve le bon rythme pour me dévaster les entrailles.
— C’est vrai que tu as le trou comme un hall de gare maintenant

Elle halète, donne des coups de reins de plus en plus violents. A chaque fois le bout du gode me tape au fond et me fait sursauter de douleur. Mon cul répond parfaitement en s’élargissant souplement. Je n’ai plus mal et son gland ouvre mes entrailles chaudes. Cela  dure longtemps, très longtemps.

— Ça te quel effet de te faire enculer par une femme ?…. Tu sens comme t’es dilaté ?….. Tu as vingt cinq centimètres dans le cul…. Après ça tu auras du mal à t’asseoir ma chère Nicole
Je me suis laissé défoncer devant tout le monde en gémissant de plaisir.

Jeanne me tient à taille et va de plus en plus vite dans mon ventre.

— Je vais bien te baiser….. Ton cul c’est bien ouvert…. Regardez, comme elle s’offre à mes coups de queue… elle a toute la longueur dans son ventre…. Et elle aime ça…..
Elle écarte mes fesses pour qu’ils puissent voir la bite coulisser le long de ma rondelle dilatée. Je me laisse sodomiser devant tous en gémissant de plaisir. La pieux de plastique tape le fond de mon ventre m’arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir.

Sam Botte

La suite demain même heure

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