Histoires taboues Confession Intime Prostitution Viol Zoophilie

Le chantage de l’ouvrière qui découvre le sexe extrême Chapitre 8

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

J’aime maintenant la sodomie, oh comme vous toute j’avais mal au début c’est un vieux souvenir. Il y a longtemps que je sais apprécier ces sensations, là elles sont géantes. Jean vient m’enfoncer  un vibromasseur dans la chatte cette fois pendant que Jeanne me défonce le cul avec son gode. Je sens un petit mouvement de ses mains et ensuite, je sens l’objet se mettre à vibrer doucement. Je suis tellement excitée que je sens que par moment un jet coule de ma chatte. Sollicitée par le godemiché et le vibromasseur ma vessie ne peut que se relâcher.

Je jouis violemment attachée sur mon repose pied. Elle jouit  lui aussi. Mon orgasme à été déclenché par ses coups de godes. Jeanne me tire les cheveux pour que je redresse ma tête vers elle  pour prendre ma bouche de ses lèvres, elle enfonce sa langue au fond de ma gorge. Nous  échangeons un baiser passionné.

Elle ce retire de mes entrailles avec un bruit de siphon, je peux enfin voir l’engin qu’elle m’a mise dans le cul il est vraiment énorme, le gland est souiller de matière brunes

— Tient bois un coup Me dit Jean en approchant un verre d’eau de mes lèvres

— Détachez moi maintenant que tout le monde est satisfaits d’avoir bien profité de mon corps

Le chantage de l'ouvrière qui découvre le sexe extrême Chapitre 8
Porn IA

— Pas question, tu es avec nous  jusqu’à demain matin, tu ferais mieux de boire  , nous attendons du renfort, tu va être une bonne petite chienne obéissante sinon je te met une muselière ce serais dommage de nous priver de ton adorable bouche.

Vaincue j’ouvre la bouche devant le verre d’eau, prestement il me met une gélule dans la bouche avant de porter le verre a mes lèvres  , la main  qui a introduit la gélule vient me pincer les narines

— Avale ça te feras du bien, ça va t’ouvrir au plaisir, boit voilà c’est ça avale bien.

Je ne peux qu’avaler les gélules et l’eau du verre si je veux respirée puisqu’il me pince les narines pour m’empêcher de respirer

— On va laisser agirent la gélule pendant que l’on ce restaure, après on pourra te détacher  tu seras en chaleur prête a tout recevoir dans tout tes trous

Je relève la tête pour voir qu’ils sont six a ce mettre autour de la table, il y en a deux que je ne connais pas, il sont tous passés dans mon cul

Je ne sais pas ce que Jean ma donné a avaler, mais je sens une chaleur montée dans mon ventre, mes seins ce durcissent, mes tétons bandes forts, mon clito bande aussi  , ma grotte et mon cul me chauffe de plus en plus, je sens monté en moi un désir fou

Soudain le bruit d’une voiture qui s’arrête devant la maison, j’entends les quatre portières ce refermer, quelqu’un frappe à la porte et rentre aussitôt

— Salut tout le monde, merci de nous avoir appeler, je l’aime bien cette petite Nicole moi.

Le chantage de l'ouvrière qui découvre le sexe extrême Chapitre 8
Nouveaux profils

Je reconnais la voie de Raoul et il n’est pas seul  , je vois qu’ils sont cinq a contourner la table

je me sens rougir de honte d’être soumise a leur regard ainsi attacher sur ce repose pied

— Profitez en, la drogue agit trois heures elle va être docile et sexuellement en demande tu peu le détacher maintenant elle est à vous, nous ont regarde et on filme vos exploits

– Salut ma belle, c’est un beau collier que tu a là. Me dit Raoul en me détachant

Allez suit moi à quatre patte sur le tapis salope que l’on voit bien ton cul

J’ai chaud mon cerveau dit non mais mon corps réclame des queues pour jouir, je suis trop faible pour résister aux exigences de mon corps

-Allez ! viens me sucer Nicole
-HUMMM ! une bonne  chienne on va se régaler les mecs
-Oh  putain ses nibards et son cul moi ça me fait bander direct
-Une bonne femelle à défoncer ça
Le type me penche en avant sur sa queue et je commence à le sucer. Raoul est derrière moi il passe sa main  entre mes fesses
-C’est bien Nicole t’as déjà  le cul graissé ça va être plus facile à baiser

Le troisième commence à me fouiller la chatte avec ses doigts.
les trois autres sont en train de se déshabiller et un dit :
-Écarte tes cuisses putain je vais te fourrer la chatte
Il est maintenant derrière moi. Sans attendre il me prend d’un coup sec. Celui que je suce se retire laissant ma bouche libre à une autre bite qui vient de suite la remplir. Les insultes pleuvent
-T’es qu’une sale chienne
-C’est une pouffiasse
-Une chienne de bourgeoise qui veux se faire saillir

Ils sont à présent tous nus, j’en ai une en bouche et une qui me baise à grand coup. Les deux autres mettent leurs capotes et viennent me baiser à tour de rôle. Le cinquième veux aussi se faire sucer et me prendre. Ils sont très excités, Raoul me dit :
-Allez ma grosse salope écarte bien les cuisses on va tous te défoncer à tour de rôle
-Mais dis-nous que t’est nôtre chienne  Allez dis le
-Oui je suis vôtre chienne

ils me regardent tous en se branlant devant moi.
-Nous sommes venu pour te donner nos bites salope allez dis-nous que tu veux nos bites
-Oui je veux vos bite, baisez moi tous
-T’inquiètes pas tu vas en recevoir des bites ce soir  .On va te baiser à la chaîne.
-Allez ! je commence la série. Dit un des mecs en me pénétrant le premier. Il me laboure comme un forcené environ cinq minutes se retire et dit :
-Elle est chaude cette pouffiasse au suivant !

Un autre prend sa place immédiatement puis un autre et encore un autre. Moi je mouille de plus en plus et je jouis plusieurs fois de suite en gémissant
-Elle est bien trempée cette chienne
-Tu jouis salope ?
-OUIIII !!
-T’en veux encore la bourgeoise ?
Je remue le tête en signe d’acceptation
Une fois les six passés dans ma chatte Raoul me dit :
-Écarte le ton gros cul de chienne écarte le bien, on va te bourrer le cul maintenant

Je suis en levrette sur le tapis, les bras tendus, là je sens une première queue à l’entrée de mon anus. Un gars est accroupi derrière moi, il s’enfonce doucement mais sûrement dans mon cul pour me limer tranquillement puis de plus en vite. Il commence à râler et envoi tout sons sperme dans mes trailles
-AAAHHH t’es une  bonne chienne

Un autre prend la place, il ne résiste pas longtemps non plus il gicle lui aussi dans mon ventre
-Trop bon le gros trou de cette salope ! Il m’a fait cracher trop vite.
Un troisième le remplace aussitôt, sa queue est grosse et je la sens bien passer. Il s’enfonce en moi profond et je sens ses couilles battre sur ma chatte. Il  me prend pendant cinq bonnes minutes et fini par  jouir dans mes fesses.

Cela fait déjà une heure qu’ils sont arrivés et déjà trois hommes ce sont répandus dans mes entrailles   Ils décident de faire une pause. Jeanne vient me mettre un plug gonflable dans l’anus, elle le gonfle a la limite du supportable

— Il ne faut pas que tu perdre tout le bon jus qu’ils t’ont mis dans le ventre, ce serais du gâchis

Elle prend la laisse pour me traîner dans les toilettes afin que je fasse pipi

-Alors ça te plaît de faire la chienne ?
-Oh oui  j’aime bien surtout avec la gélule que m’a fait prendre Jean, j’en ai encore envie !
-On te l’avait dit, on ne raconte jamais d’histoires
-Tu vas te faire souvent baiser maintenant avec nous Et toujours par des groupes de mecs
-Ah oui !

Je connais pas mal d’hommes, il y aura pas mal de propositions
-Tu es vraiment devenue une chienne qui ce laisse tout faire, d’ailleurs ils n’ont  pas fini de te baiser et ce soir tu finira avec tes orifices bien remplis ce sera l’apothéose

Toujours a quatre pattes elle me ramène dans la pièce et accroche la laisse a un accoudoir de fauteuil, je suis vraiment traitée comme une chienne
Les voilà de nouveau tous les cinq  à me peloter et claquer mon cul. Raoul me prends violemment par la chatte faisant balancer lourdement mes seins. Un autre devant moi  me fait sucer sa belle queue
-Allez Raoul défonces là bien cette grosse salope
-Oui elle nous est offerte pour ça
-Moi je veux lui défoncer le cul maintenant dit un autre

Raoul me fait tourner, m’offre à l’autre qui me sodomise en me claquant les fesses. Puis je tourne encore et c’est Raoul qui me prend mon cul comme un sauvage.
Au bout d’un moment Raoul dit :
-On va la fourrer en double maintenant
-Bonne idée

Il s’allonge sur le tapis se dresse la queue en l’air et me tend les bras
-Vient couvrir ma queue de ta chatte
Je m’avance sur lui et sur sa queue je viens empaler ma chatte trempée. Mes seins lui enserrent le visage Il me tête comme un nourrisson puis ses deux mains écartent mes fesses.

L’autre est maintenant entre nos cuisses d’une main il me cambre en m’appuyant sur les reins et de l’autre il me retire le plug d’un coup sec, je pousse un cri de douleur, puis il m’enfonce sa bite dans mon anus ouvert. Me voilà prise en double
-HUMMM Oh OUIIII ! c’est bon
-Tais-toi et suce dit un autre inconnu en me collant sa bite dans la bouche
Je suis prise par mes trois orifices, ma grotte en coule de plaisir
Au bout d’un moment un inconnu  s’assoit sur le repose pied et lance :
-Allez on change viens t’enculer sur ma queue

Sa bite est grosse bien tendue, je m’assois dessus et écarte en grand mes cuisses.
Mes seins dansent sous les coups de sa queue. Hervé, très excité par la scène grimpe sur le fauteuil, vient se mettre au-dessus de mon visage et me met sa queue en bouche
-Pompe à fond salope, pompe bien ma queue
Un autre  viens entre mes cuisses grandes ouvertes et me prend ma chatte toute béante.

Prise ainsi je jouis de nouveau plusieurs fois de suite et j’en pisse encore de plaisir, l’autre n’en peut plus, il enfonce encore plus sa queue de ma bouche.
-Tiens salope prends ça sur ton gosier AAAAAH !

Je sens aussitôt son sexe se contracter deux ou trois fois, je sais qu’il va éjaculer et j’ai envie de lui dans ma bouche. A la contraction suivante, je reçu au fond de la gorge son premier jet de sperme. Je suis surprise par la puissance avec lequel il jaillit de son pénis. Je reçois une nouvelle giclée  qui m’inonde la bouche.

Je me décide d’avaler avant que la quantité ne m’étouffe.

— Tu les sens bien hein nos queues ?
— Mmm J’eus  pour toute réponse
— T’aimes hein être prise par deux bites, t’aimes ça salope ?

— Oui, oui, oui, j’aime, ça ah

Je suis enculée par le dos, la chatte prise par devant, mon visage est rempli d’extase lubrique  De temps en temps, subjuguée par le double plaisir, je me laisse aller tête en arrière.

L’inconnu me prend la bouche, nos langues ce mélangent  Hervé empoigne mes seins, leurs deux bites infatigables coulissent en cadence dans mes deux trous comblés. Parfois même, ils réussissent à me pénétrer à fond ,  je râle encore plus fort ce qui les  excites de plus bel.

Finalement l’un m’inonde l’intérieur de mon ventre en me conduisant au bord de l’évanouissement puis il ce retire.
l’inconnu qui est encore dans mon cul me dit
-Tu m’as pissé sur les couilles ma grosse salope lèches les moi maintenant et suce ma bite

Après quelques minutes à lui gober ses couilles et à le sucer  il jouit et me lâche tout son sperme au fond de la gorge
-Tiens chienne, prends ça vide couille !

le surplus coule sur son menton.

Mon cul, ma chatte, ma mâchoire, sont en feu. Mais j’ai pris un plaisir immense. Je suis vidée, détendue et même heureuse. 

  Avant je pratiquais le sexe  par amour maintenant c’est pour le plaisir que je me soumet

Jeanne vient me remettre le plug dans mon fondement quelle gonfle pour qu’il ne sois pas expulsé

— Ce soir c’est tout la crème qui rentre dans ton cul que tu dois garder jusqu’à demain matin, tu l’auras en guise de petit déjeuner, mais ne t’inquiète pas tu va en recevoir d’autre afin que tu sois rassasiée demain matin.

— Remet toi en position, tu dois être toujours a quatre pattes avec nous, tu es nôtre chienne et une chienne c’est a quatre-pattes qu’elle attend les ordres.

Me dit Jean en me tendant un verre d’eau

— Avale cette gélule tu vas en avoir besoin pour la suite !!

Malgré que leurs paroles m’effraie, docilement j’avale la gélule de l’esclavage sexuelle

— Voilà c’est bien, nous aurons pas besoin de t’attacher pour la suite car tu vas être encore plus en chaleur ce qui va plaire à Gamin.

Je viens de réaliser que je ne rentrerais pas chez moi ce soir, que ce salaud ma vendu  à ses gens pervers mais étrangement je ne révolte pas les gélules me rendre vraiment docile de plus il a raison Jean, je suis en manque de sexe, j’ai le feu au cul comme on dit

— Allez vient boire un peu me dit Jeanne en posant une gamelle d’eau prés de la cheminée

Docilement je vais a quatre-pattes laper l’eau comme une chienne que je suis devenue

Après avoir bu, Jeanne me ramène devant le fauteuil et y attache la laisse

— Vous pouvez vous approcher pour profiter du spectacle, aujourd’hui c’est pas moi la vedette

Je l’ai vois tous venir avec une chaise pour faire un cercle autour de moi, un fauteuil est occupé par Jean l’autre reste vide, il doit être réservé sûrement pour Jeanne qui vient s’accroupir a mon coté

Je sens deux doigts dans ma grotte humide, puis trois, quatre elle fait plusieurs va et vient avec, elle me dilate la chatte avec beaucoup de concentration, je sens qu’elle essaye d’y glisser son pouce, Je sens que ses doigts sont facilement rentrés, mais la base de la main est bien plus large ! j’ai un mouvement de recule car elle force un peu

D’une voix ferme elle me dit de ne plus bouger ! Elle me caresse le ventre, me dit de respirer calmement  j’obéis. Je la sens appuyer un peu plus, ma chatte se dilate la sensation est très excitante!  d’un coup sec je sens sa main pénétrer en moi assez rapidement jusqu’au poignet ! C’est une sensation de surprise assez dingue ! Je me sens complètement remplie !

Comme si je faisait totalement corps avec Jeanne. Elle joue alors en moi, en tournant etc… Je sens ses doigts bouger dans mon ventre, je pourrais presque les voir ! C’est une sensation incroyable ! Elle est en moi jusqu’à la moitié de son poignet  et je n’ai pas du tout mal ! cette main, elle est chaude, elle bouge, elle est humaine, elle est celle d’une femme.
Sentant que je suis au bord de l’explosion, elle insère deux doigts de son autre mains dans mon cul libérer de son plug elle fait simplement pression sur mon point G. J’ai alors un orgasme comme je n’en ai jamais eu ! J’explose littéralement de mouille.

Elle arrête de bouger sa main, vient jusqu’à la hauteur de mon visage, nos bouches se trouvent, s’ouvrent, nos langues se tournent, se retournent. Elle finit par sortir sa main, un bruit de succion ce fait entendre. Nos bouche désunies, consciente que  je vient de jouir devant tout ses hommes, je baisse la tête.

J’entends un grand bruit de léchage a coté de mon derrière, je tourne la tête. Je vois un  chien au poil ras  lécher la main qui il y a quelques instants était au plus profond de moi… cette main qui ma fait jouir

Je fait un effort surhumain pour lutter contre la drogue qui embrume mon cerveau

— Non pas ça, tout mais pas le chien, je vous en prie !!

— Marcel met lui la boule pour quelle ce taise, une chienne ça ne parle pas !

il vient avec la boule devant ma bouche, j’ouvre celle ci pour qu’il me bâillonne

– Rappelle toi, tu nous a dit que tu es nôtre chienne, et nous ont a fait de toi une chienne en    chaleur pour être saillie par tous les chiens qui le désirent. Tu nous a tous vidés les couilles et comme tu es encore sous les effets de la gélule, il faut bien éteindre le désir qui te tenaille.

Nous avons vu comme tu a jouis quand Garçon ta violée dans la grange de Marcel, alors maintenant ce n’est plus un viol c’est une saillie qu’ils vont te faire et que tu vas aimée.

Jeanne vient se placer à mon coté, le chien la suit en léchant toujours sa main

— Je te présente Costaud bien mieux membré que Garçon qui t’a pris dans la grange de Marcel il va mieux te remplir pour te faire plus jouir

— Allé hop !! Elle tapote mes reins de sa main libre, une nouvelle femelle t’attend, prend la !!

Je n’ai pas le temps de réagir que le chien me couvre le dos de tout son poids m’enserrant

la taille de ses pattes avant, il est plus lourd que l’autre  il cherche sa voie à coup de rein

En quelques secondes la main de Jeanne le guide dans l’entrée mon anus

Je prend conscience qu’elle veut me faire sodomisée par son chien, je devrais me soustraire a cette saillie mais sous l’emprise de la gélule qu’ils m’ont fait avaler, je pousse mon cul vers l’arrière. Costaud enfonce son membre chaud dans mon cul.

Malgré mes appréhensions, la sensation était nouvelle mais oh combien agréable. Je me surpris à émettre des petits cris étouffés alors que des tremblement secouaient mon corps et remontaient ma colonne vertébrale. Il me sodomise de façon brutale avec rapidité. Sous ses coups de bite je râle sur la boule qui m’entrave la bouche, ses coups de bite me secoue le ventre déjà rempli par mes précédent amants, j’ahane comme une chienne, je jouis sous les coups de mon nouvel amant tout le temps qu’il ce répand dans mes entrailles, il n’en finit pas de déverser son jus  .Nous restons lié un bon moment avant qu’il ce retire

— Te voilà une véritable chienne. Mais tu vas pas te plaindre, t’aimes ça. Tu en veut encore ?
Constatant qu’elle a raison. Jai déjà eu deux orgasmes d’une rare intensité mais l’excitation du moment me pousse à aller jusqu’au bout., je grogne mon accord.

Un autre amant canin me lèche la chatte et le cul, la langue est râpeuse, aucun homme m’a léché aussi fort, mon excitation remonte d’un cran, je n’y tient plus je le réclame sur ma boule en  remuant mon fessier, je l’invite a me prendre. Je suis vraiment en manque de sexe, n’importe lequel fera l’affaire pourvu qu’il éteigne ce feu qui me ronge les sens, maudite gélule !!

– Aller Gamin ! Elle est a toi, prend la !

Je tend mon cul en l’air et tout va encore très vite  . Aussitôt cet nouvel amant ce dresse sur ses pattes arrière, appuie celles de devant sur mes reins pour venir aidé par Jeanne placer sa longue tige à l’entrée de la petite porte de mon ventre. Par je ne sais quel réflexe je cambre mes reins pour entrouvrir ma petite porte déjà bien sollicitée, mon amant ce rue dans mon fondement accueillant, sa bite est plus longue et plus grosse que le précédent. Il me pilonne de toutes ses forces, je sens ses va et vient à l’intérieur de moi.

Le pilonnage ne dura pas longtemps, mais sur la fin, je sens comme une boule rentrer en moi avec son pénis, puis il s’arrête. Un long jet brûlant venait de me perforer, puis un second, s’en suivit de nombreux autres pendant quelques instants.  Ma jouissance est très forte.

Il reste un moment collé derrière moi, son poids m’empêche de bouger, puis doucement sort de mon corps. Il est vite remplacer par le plug que me remet Jeanne pour pas gâcher comme elle dit   Ils sont tous avec une bière à la main a me regarder.

Consciente de ce que je vient de faire, je n’ose relever la tête

– Salut j’espère que je ne suis pas en retard, Brutus est impatient lui  il a senti l’odeur d’une chienne en chaleur, qui fait la chienne ce soir puisque tu es la Jeanne ?                                                          Je tourne la tête pour voir qui est arrivé avec Brutus ? Cette voie mais pas inconnue. Horreur c’est mon chef Henri avec son danois en laisse, je suis tétanisée de honte incapable de bouger

– Mais c’est Nicole, ah si on m’avait dit qui Brutus devait saillir ce soir je serais venu plus tôt !!

— J’aurais jamais cru ça de toi Nicole, mais rassure toi tu n’es pas la première que Brutus va saillir puis ça restera entre nous  tant que je pourrais t’amener Brutus pour lui vider les roubignoles, il aime saillir les femmes plus que ses congénères

— C’est vraiment une brave chienne, elle videra toutes les couilles que l’ont lui donnera à vider. A répondu Jeanne  en enlevant le plug de mon anus.

J’acquiesce de la tête, sous ma boule je ne peut que grogner un oui inaudible

Derrière moi le chien halète bruyamment. Mon cœur commence a battre plus fort.

— Sens Brutus ! Sens !

Entre mes fesses je sens le museau froid renifler mon intimité puis une grande langue me lèche la vulve en finissant sur ma corolle suintante du sperme mélanger des mes amants précédant. Mon pouls s’accélère ainsi que ma respiration .  Je bave sur ma boule, la langue qui me lèche est bien plus large et plus grande que celles des autres, je frissonne d’inquiétude et d’impatience

– Détends toi ! C’est pour son plaisir que j’ai amené Brutus. Pour ton plaisir aussi puisque tu vas te donner à lui.

Je suis toute excitée, je voudrais voir ce membre que je vais recevoir dans mon cul

Deux pattes lourdes ce posent sur mon dos  ,une main guide a la porte de mes entrailles le bout d’une bite qui me semble très grosse

– Doucement Brutus ! Calme me toi, doucement !

Je halète sur ma boule, je suis excitée d’impatience. Je gémis quand je sens cette bite énorme ouvrir les parois de son rectum. Il fait pénétrer tout son pénis, même le nœud  , je râle de plus en plus fort, je sens la bite de mon amant occuper tout mon boyau jusqu’au fond de mes entrailles. C’est très chaud et ça remue dans mon ventre qui s’agite de spasmes

Je suis possédée par un membre impressionnant, je sens deux grosse couilles sur ma chatte
— Elle est bonne cette nouvelle femelle, vas y fait donne lui du plaisir, remplie la !!

Il entame un va-et-vient lent, il est tellement grand que ses pattes sont de chaque coté de mes épaules, sa gueule ce referme sur ma nuque  obligeant mon corps à suivre ses mouvements qui deviennent de plus en plus rapides.

Son excitation monte en même temps que la mienne, je râle sous me boule, ma grotte déborde de cyprine. Sa bave coule dans mon cou

On m’enlève la boule de la bouche

— Maintenant elle ne crie plus de la même façon. Dit Jeanne

Mon amant va de l’arrière vers l’avant plus rapidement, mon rectum supporte cette  sodomie  il me secoue comme un prunier, son énorme bite s’agite dans mes entrailles en cadence avec mes seins qui ballottent. Je remue la tête dans tout les sens  Je sens le sperme de Mon amant remplir mon cul. J’ai un premier orgasme avec lui

Je pousse un long gémissement plaintif sous leurs ricanements pervers de l’assemblée

– OOOOOHH ! Oh c’est bon ! OOOOOH ! AAARAAHH ! ENCOOORE ! OUIIII !

Un deuxième orgasme me fait trembler de la tête au pied…. mes hurlements de plaisir envahissent la pièce

– JOUIII !! RHAAAA !! AAAHH !! encore OOOOHHH !!                                                   .

Je sens le nœud de mon amant grossir dans mon cul. Puis  je sens  le nœud arrêter de grossir.

À chaque fois que Brutus bouge, j’ai un orgasme. J’aime bien sentir la queue de mon amant bien prise en moi. J’ai quatre orgasmes puis je sens le nœud rétrécir. Un bruit de succion accompagna la sortie de la bite de mon amant de mes entrailles.   Une main revient vite me bouger l’anus avec le plug pour que je garde toute cette quantité de sperme qui y a été introduite depuis cet après midi

– Alors ! Tu es comblée ! Pour une chienne comme toi, il te faut bien ça !

– Maintenant c’est a mon tour d’avoir du plaisir.

Me dit Henri en s’asseyant sur le fauteuil vide après avoir quitté pantalon et slip. Jean lui passe la laisse puis il me tire a lui entre ses cuisses ouvertes. C’est une bite de taille normale que je découvre au milieux d’une toison noir, elle est dressée sur deux grosse couilles velues

– Aller ! Ouvre la bouche. Me dit mon chef d’atelier en tirant sur la laisse

La première seconde est interminable. Le trouble que me procure cette situation est plus fort que tout. Bien que cela m’aurait paru impensable quatre heures plus tôt, je n’en éprouve aucune répulsion mais plutôt une gène. N’écoutant que mon courage, je décide d’aller jusqu’au bout.

Le sexe de Henri est savoureux. Il libère un liquide salé que j’avale sans complexe. Sa légère odeur me rend folle. Je m’étonne de sucer le sexe de mon chef comme si je l’avais déjà fait .  Sa queue me déforme la bouche et j’arrondis mes lèvres autour de sa hampe en évitant bien le contact avec mes dents. Ma langue commence un ballet voluptueux autour de cette tige brûlante qui coulisse dans ma bouche. Pendant ce temps, Jeanne me murmure à l’oreille qu’elle a redonner a Brutus l’envie de saillir une chienne, et comme il y en a pas d’autre !!??
— Elle est bonne la queue de Brutus, tu l’aimes, comme celle d’Henri, suce-la bien, lèche-la, tu vas voir comme elles vont te récompenser…

Henri manifeste son plaisir par des gémissements de plus en plus bruyants.  Je lèche sa hampe, ses couilles, puis reviens sur son gland. Je suis devenu une machine à donner du plaisir. Henri commence à se masturber dans ma bouche en imprimant des mouvements qui font buter son gland sur ma glotte.

Brutus se met à tourner autour de mon corps offert. Je reste dans l’attente du sacrifice. La langue pendante, le souffle haletant, il contemple sa future victime, sa femelle. Déjà une formidable érection gonfle son sexe qui balance avec indécence entre ses pattes arrière au rythme de sa marche. Le sexe hyper gonflé touche presque le sol malgré la taille de l’animal.

—  C’est pas possible ! Comment va t-il me faire rentrer tout cela ?

Puis Brutus revient au niveau de mon visage, de nouveau ses puissantes mâchoires me saisissent le cou, les crocs me serrent la nuque, c’est douloureux mais je ne me plains pas. Un grognement sourd émane de sa gorge. Il veut me dire:  Tu m’appartiens, je peux te mettre à mort, en charpies quand je le veux !!

Je suis fière d’être servie en sacrifice à ce merveilleux amant. Je suis décidée à faire face, quoiqu’il arrive. Je dois mériter l’honneur qu’il va me faire de me saillir, l’honneur qu’il me fait de m’avoir choisie.

A la vue de ce qui va se passer, les hommes se sont rapprochés et forment un cercle. Tous ont leur bite à la main et se masturbent lentement.

Mon amant passe alors derrière moi, me donne quelques coups de langue sur ma vulve encore endolorie de la précédente intromission et me couvre de son corps puissant, son poitrail velu pesant lourdement sur mon dos. Il me fait frissonner d’envie et du bonheur à venir.  Mon précédent amants revient me saillir comme me l’a annoncer Jeanne. Elle n’a pas retirer le plug de mon anus, c’est donc dans mon puits d’amour  que cette énorme bite va venir assouvir son plaisir. Comment allai-je encaisser l’assaut d’un tel engin dans mon vagin . Malgré mon  appréhension, j’ai le réflexe d’ouvrir les jambes et d’arquer le dos, m’offrant à la saillie.

De nouveau ses pattes me saisissent la taille, elles soudent nos deux corps. Je sens son membre bien bandé battre contre mes fesses. Puis, comme s’il avait retenu la position de nos corps lors de notre dernier accouplement, sans aide extérieure cette fois, d’un formidable coup de rein il projette sa verge d’une taille maintenant démesurée au fond de mon ventre. Il entreprend un coït dix fois plus violent que tout à l’heure. C’est comme s’il voulait me transpercer pour déverser ses flots de sperme directement dans mon utérus. Malgré l’extrême brutalité employée, je n’émet aucune plainte, aucun cri de douleur. Le choc dans le fond de mon puits d’amour se répercute à travers mon corps jusqu’à mon cerveau. Je suis redevenue son esclave, sa soumise, je dois accepter silencieusement ses désirs et m’abandonner à ses caprices et à son bon vouloir.

De nouveau mon vagin se trouve monstrueusement dilaté. Mon amant entre sa boule, qui est déjà bien grosse, et je la sens encore grossir en moi, j’ai peur qu’il déchire mon vagin elle est aussi grosse qu’une orange, je me retrouve de nouveau soudée à ce mâle conquérant. Il se passe alors la même alchimie que tout à l’heure mais à la puissance dix. Tout mon corps se trouve secoué de spasmes incontrôlables, les terminaisons nerveuses de mes organes génitaux excitées plus que de raison me plongent dans un délire démentiel, je ne peux plus rien maîtriser et me trouve plongée dans une confusion mentale totale. Je me met à hurler une suite de phrases qui, pour les personnes qui assistent à cette scène, doivent penser que je plonge dans la démence.

— Oui ! Vas-y mon beau mâle ! Emplis moi de ton sperme, féconde moi, engrosse moi. Je veux devenir la mère porteuse de ta progéniture. Envoie-moi tes giclées de sperme, gonfle mon ventre, bientôt ce sont tes enfants que je sentirais bouger dans mes entrailles. Je t’aime ! Continue ! Ah quel bonheur de te sentir si gros en moi, de sentir ton liquide reproducteur m’envahir si entièrement, si profondément. Je suis heureuse, si heureuse.

Jeanne passe du côté de mon visage et dit à au chien qu’ils ont fait rentrer. – Costaud vient ici !! Il n’attendait que ça ! Elle le fait mettre, le cul vers moi. Ensuite, elle passe une main entre ses pattes et ramène un sexe tout aussi énorme, rougeâtre avec des parties plus roses. Un liquide visqueux, pas du sperme, sourd du méat. – Bon !! J’ouvre la bouche ! Je suis obligée d’ouvrir complètement la bouche pour sucer le sexe. Jeanne prend le sexe du chien que je suce et le serre à la base. Il aime ! Comme les hommes, quoi. Je le sens, lui aussi, gonfler et soudain c’est comme si on ouvrait un robinet dans ma bouche ?? Il m’envoie des saccades de sperme, j’avale mais le reste coule sur ma gorge et mes seins.

Je plonge alors en complète léthargie, entièrement livrée à la vivacité de mon amant qui inlassablement continue à me remplir le ventre de son liquide séminal. Un orgasme continu s’est emparé de tout mon corps, de tous mes sens. Je ne pense plus, toute activité cérébrale a cessée. Je suis comme morte.
Je suis effectivement comme morte, littéralement foudroyée par un trop plein de bonheur et de jouissance.
Ce n’est qu’environ quinze minutes plus tard que je donne signe de vie en rouvrant les yeux. De nouveau j’ai bien du mal à me situer. Puis tout me revient. Mon amant s’est dégagé, je suis allongée dans une mare de liquide écoulé de mon vagin, le corps entièrement souillé par ces déjections. Je suis à bout de souffle, à quatre patte au milieu de la salle devant le fauteuil à dégouliner de sperme. Je reprend peu à peu mes esprits.

Marcel vient me donner a boire un verre d’eau, je le regarde dans les yeux.

– Je suis folle, je devrais te haïr, tu as fait de moi une pute, que l’on baise et encule, sans se soucier de ses réactions, et moi comme une conne je suis tombée amoureuse de mon bourreau… de l’homme qui a fait de moi une chienne qui ce fait baiser par n’importe qui et par n’importe quoi et…

T’es vraiment un salaud, maintenant j’aime avoir une bite dans mon cul, dans mon ventre, des mains sur mes seins, des doigts dans mon ventre, t’es un enfoiré qui me fait saillir comme une chienne par des chiens, t’es vraiment un enculé qui me traite comme du bétail. Mais je ne parviens pas à te haïr, j’aime ce que tu me fais subir, t’es vraiment un enfoiré de merde… et je t’aime… Je  ne me suis jamais aussi sentie comblée que ce soir ! Et, de penser qu’ils  m’ont tous baisé ce soir… et plusieurs fois ! Je n’en reviens pas moi-même !

Mon Dieu, je n’en reviens pas de dire cela, surtout devant d’autres personnes ! tout les hommes ce rhabillent  , ils m’ont tous entendu crier mon plaisir avec Brutus, plusieurs me passent la main dans mes cheveux en partant. Il ne reste plus dans la pièce Jeanne, Jean, et Marcel qui a un caméscope en main maintenant

Jeanne vient posée un grand bol entre mes cuisses.

– Met toi cul au dessus du bol. Redresse toi !  Je m’exécute, j’ai les fesses au dessus du bol, elle enlève le plug de mon anus, tout le sperme que mes amants ont dégorgé dans mon ventre ce déverse dans le bol.

Après un bon moment d’écoulement le bol est bien rempli, Jeanne le prend en y mettant une cuillère dedans, elle crache plusieurs fois avec Jean dans le bol en remuant

– Voilà tes fortifiants dit elle en approchant le bol de mes lèvres.

– Boit cette bonne liqueur dit Jean en me pinçant les narines

Je suis obligée de boire cette infâme mixture tiède  jusqu’à la dernière goutte.

– Voilà qui est fait, allez vient ici maintenant, c’est là que tu vas dormir si ils t’en laissent le temps. Me dit Jeanne en me tirant par la laisse jusqu’à l’étrange appareil que vient de déposer Jean loin des fauteuils.

Ça ressemble a un I majuscule posé à plat sur le tapis. C’est une longue barre verticale avec une autre petite barre horizontal a chaque bout. Sur la grande barre il y a d’un coté un support en forme de T dont le pied coulisse sur celle ci. La barre du T est rembourrer comme un fauteuil. De l’autre coté c’est un petit support en forme de O qui s’ouvre en deux, l’intérieur est rembourrer.

— Met ton ventre la dessus et ton cou la dedans, il te faut bien un lit pour la nuit !!! Me dit elle en ricanant .  Je me met à quatre-pattes sur l’appareil, le ventre sur le T et le cou dans le O ouvert. Jeanne referme le O sur mon cou avec une clavette comme fermeture. Elle passe une sangle sur mes reins qui vient s’attacher sur le pied du T. Jean me sangle les chevilles aux extrémités d’une barre du I, puis sangle mes poignets  au extrémités de l’autre barre opposée du I.

Me voilà a quatre pattes, le nombril repose sur la barre du T ,les seins dans le vide, mon cou est emprisonner comme dans un carcan, les poignets liés, mes coudes reposent sur le tapis ainsi que mes genoux. Mes chevilles sont liés à une bar de fer qui maintient mes cuisses écartées, de sorte que je présente ma croupe. Jeanne me colle une bande de sparadrap médical sur le bord de mon sillon fessier, elle tire dessus pour écarter ma fesse et le colle sur le devant de ma cuisse, elle répète l’opération sur l’autre fesse, mes fesses sont ouvertes en grand, ma vulve et mon anus ce retrouve entrouverts.

Jean ouvre la porte du fond pour faire rentrer d’autres chiens qui ce précipitent autour de moi.

– Coucher ici ! ordonne Jean aux chiens.

– cinq amants pour toi toute seule, tu as de la chance ce ne met jamais arrivée ! Me dit Jeanne en souriant pendant qu’elle me passe sa main dans les cheveux.

J’en ais déjà subis deux mais il y en un qui  est plus gros que Brutus, et ça ne me rassure pas. Les autres sont du type Doberman et Rottweiller. Leurs pattes avant sont enveloppées de bandes.

Sam Botte

Le Final demain même heure

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images avec le générateur porno IA GRATUIT

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou