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Le coq du village, Chapitre 1

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le coq du village, chapitre 1

Aurélie est une femme comblée, son mari Olivier l’adore, ils s’aiment d’un amour sincère. les deux ont un fils Raymond, qui a aujourd’hui 26 ans, il travail dans l’évènementiel. Ses conquêtes amoureuses ne se comptent plus, il est comme en dit, le coq du village, jalousé par certains hommes, mais, en revanche très envié par certaines femmes délaissées, qui n’attendent que d’être courtisées voire plus, par ce jeune homme à la réputation fougueuse.

Ses parents ignorent la réputation de dragueur de leur fils. Un jour sa maman en rendant visite à une très chère amie, apprend par celle-ci, les ravages que cause son fils dans le village. La femme on a dit trop ou pas assez. Aurélie la questionne et demande des précisions et pas des on-dit. Justine, en baissant honteusement les yeux répond :

-Raymond est un séducteur, je le confirme, j’avoue que moi aussi je suis tombée sous son charme et cédée à ses avances !

Aurélie sursaute et dit en déglutissant bruyamment :

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-Mon Dieu, toi ma meilleur amie, tu avoues avoir couchée avec mon fils, mais tu peux être sa mère, tu n’as aucune morale ma pauvre fille, j’ai honte pour toi !

Justine rouge de honte ajoute :

-Si c’était à refaire, je le referai, sans hésiter, c’est un très bon coup, un amant exceptionnel !

Aurélie, n’en croit pas ses oreilles, elle réplique en bégayant :

-Mais, mais, tu es folle, tu frises les soixante-dix ans, comment tu peux faire une chose pareille avec Raymond !

Justine en parlant de son jeune amant, semble pâmer elle dit d’une voix douce :

-Lorsqu’il me prend, il me fait grimper aux rideaux, il me fait subir les pires outrages, m’enfonce des objets dans la chatte pour la dilater au maximum. Il me sodomise à fond, il me fait délirer. J’ai des jouissances anales et vaginales monstrueuses avec lui, que je n’ai pas avec mon mari, en plus il est bien fourni le coquin, rien que d’en parler je mouille !

Aurélie se cabre :

-Oh mais tu es une vraie cochonne, et si ton mari l’apprenait hein ?

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Justine rêveuse dit en soupirant fortement :

-Je l’inviterai à se joindre à nous, cela serai bénéfique pour nous !

Aurélie, n’en revient pas, elle est abasourdit par les propos de son amie, elle rugit :

-Tu accepterais de faire un trio, mais tu es une grosse salope ?

Justine toujours dans les nuages répond :

-Après tout ce que me fait subir Raymond, s’il me demandait de joindre une autre personne pendant nos ébat, j’accepterai sans aucune hésitation, crois moi !

-Aurélie, dubitative, réplique :

-Mais qu’est-ce qu’il a d’aussi extraordinaire mon fils ?

Justine en poussant un gros soupir dit :

-Sa bite eh oui sa bite, et le bougre sait s’en servir !

Aurélie, boit un verre d’alcool, pour faire passer la pilule. Elle embrasse son amie et rentre chez elle. Elle se laisse tomber sur le canapé, et reste de longues minutes rêveuse. Enfin elle refait surface et prépare le diner. Son mari rentre du travail, il est suivit de près par son fils. Ils se lavent les mains et prennent place à table. La maman regarde son fils d’un autre œil, souvent elle ravale sa salive, soupire profondément. Après de diner, Olivier prend sa douche et monte dans sa chambre, sa journée a été dure.

Aurélie dévisage son fils et débarrasse la table
. Penchée sur son évier, elle dit :

-Il parait que tu as une réputation, de don Juan mon cochon, et que tu as même eux le culot, de coucher avec Justine ma meilleur amie, je ne te félicite pas, elle a mon âge !

Raymond, rejoint sa maman à la cuisine, il l’enlace et se colle à elle, il plaque son bas-ventre contre ses fesses, et la serre très fort. Aurélie frissonne. Raymond lui dit en souriant :

– Mais ma parole tu es jalouses ma petite maman d’amour, sache que j’adore les femmes mûre !

Aurélie sursaute et rue dans les brancards :

-Oh alors surement pas, jalouse d’elle, elle est aussi vieille que moi, je me demande quel plaisir que tu peux avoir avec elle !

Il donne plusieurs baisers sur la nuque et le cou de sa maman, et répond :

-Elle baise comme une déesse ta copine, c’est un volcan, qui ne refuse rien, en un mot, une bombe sexuelle !

Aurélie déstabilisée, se pince les lèvres et réplique :

– N’empêche, qu’elle fait cocu son mari la salope !

Raymond, saisit sa maman par les hanches et donne quelques coups de reins pour simuler un accouplement. La maman s’agrippe à l’évier, en se tendant comme un arc. Le fils entreprenant, donne un baiser très appuyé sur la nuque de sa maman, desserre son étau, et se dirige vers la salle de bain. Une fois sa douche prise, il en ressort avec sur son corps juste son slip. Il se dirige vers la cuisine ou sa maman essuie la vaisselle. Il l’enlace, la serre très fort et lui murmure à l’oreille :

-Je t’adore maman jalouse, avoue que tu es jalouse de Justine !

Aurélie frémit, elle ne peut dire un mot tellement qu’elle est troublée. Son fils sans aucune gêne, agite son bassin contre le fessier bien rebondit de la maman, qui se crispe, elle pousse de nombreux soupirs, tremble terriblement.
Raymond, lui donne un baiser brulant sur le cou. le souffle chaud de son fils la perturbe terriblement, il l’entend déglutir, et cela le fait sourit. Mais à force de frotter son bas-ventre contre les fesses charnues, ce qui devait arriver, arriva. Une érection pointe son nez, la coquine prend plus de volume, car le gredin de fiston, continue de d’agiter contre les fesses maternelles.

Aurélie sent le manche de chair, glisser contre ses lobes fessiers. Sa respiration s’accélère. Seule le tissu de sa jupe, et de sa culotte, la protège du mandrin énorme qui cherche à s’insérer dans le large sillon. Aurélie reconnait que son amie avait raison, son fils est bien monté, peut-être plus que son mari. Raymond tire plusieurs fois sur ses hanches. le mandrin appuie contre son œillet, tétanisée, Aurélie reste sans voix.

Elle laisse tomber l’assiette qu’elle essuyait sur le sol, coup de chance, elle ne se brise même pas. La maman se contorsionne, pour faire face à son fils trop entreprenant. Les visages sont si près, que les souffles chauds se mêlent, les lèvres se frôlent. Les yeux d’Aurélie brillent de mille éclats, elle est tremblante. Son fils la serre dans ses bras, elle sent contre son ventre la verge dure comme du béton, elle frissonne. Il lui donne un baiser en plein sur le lèvres puis se défile. Il monte l’escalier pour rejoindre sa chambre.

Aurélie reste un moment sans faire un geste, elle a beaucoup de mal à reprendre ses esprits. Elle ramasse l’assiette, et termine la vaisselle. C’est très perturbée qu’elle entre dans la salle de bain. Elle se regarde longuement dans le miroir, secoue négativement la tête, car ses pensées sont malsaines, elle se dénude.

L’eau gicle sur son visage, son corps se recouvre de perles de rosée fumantes, elle saisit le flacon de gel et en verse sur le gant de crin. Et comme pour se punir, des mauvaises pensées, elle se frotte énergiquement la peau qui rapidement devient rouge, elle serre les dents mais continue de frotter.
Elle s’attarde sur sa vulve, la martyrise avec le gant, son fessier, subit le même traitement, ainsi que son anus. Elle s’acharne sur ses parties intimes, en serrant les dents, elle saisit son clito entre son pouce et son index gantés, et l’agite si fort qu’elle grimace. les frottements du au crin sur le clito, le fait changer de couleur, le bougre en prenant beaucoup de volume devient violacé.

Aurélie gémit. En s’infligeant cette douloureuse masturbation, une moue affreuse déforme son visage. Soudain, elle se frappe violemment les seins, en marmonnant. Comme une pénitente elle se maltraite le corps. Son fils a raison, elle est jalouse de son amie, elle l’imagine, ramonée copieusement par la verge de son fils dans tous les orifices. Soudain, elle saisit brusquement le flacon de gel, le place contre sa vulve et pousse. Le flacon s’enfonce lentement dans la chatte qui se distant au maximum. Elle veut elle aussi se dilater la chatte comme son amie. Le flacon de plastique est entièrement en elle, elle le tient par le goulot et commence un va-et-vient brutal. Elle grimace, serre les dents en marmonnant des mots inaudibles.

Elle se ramone comme une possédée du démon, son visage est grimaçant, et ses yeux injectés de sang. Soudain, elle se tend comme un arc et pousse un hurlement de jouissance, qu’elle tente d’étouffée en se mordant la main. Enfin, elle retire l’objet de sa chatte, qui reste ouverte un bon moment.
Sa respiration est rapide, mais elle veut tenter encore une chose, elle se doigte l’anus, elle réussit à y enfonce jusqu’à trois doigts. Elle le fouille férocement en cherchant une jouissance encore inconnue d’elle.
Par peur, elle n’a jamais tenter la sodomie, mais d’après son amie c’est merveilleux. Elle se fouille le conduit étroit et parvient à avoir une jouissance anale, c’est si intense, qu’elle se laisse tomber dans le bac de la douche en haletant fortement.

Elle reste un long moment avant de se relever. Elle ferme le robinet d’eau, sort de la douche et s’essuie. Elle enfile une nuisette sur son corps nu, et monte à l’étage. En marchant dans le couloir, elle passe devant la porte de son fils, un rai de lumière passe sous la porte. Elle se penche, plaque son oreille contre la porte, elle entend son fils parler, il est au téléphone et discute avec une de ses conquête. Elle serre les dents, et les poings, et rejoint sa chambre. Son mari dort comme un bébé, elle le regarde en souriant puis, pousse un soupir avant de s’enfoncer dans les draps.

Elle ne peut s’empêcher de passer sa main sous la nuisette. En pensant à la bite tendue de son fils qui pesait contre ses fesses, elle saisir son clito douloureux, et le branle sauvagement jusqu’à l’orgasme. Elle se mord le poignet pour ne pas hurler le nom de fils pendant sa jouissance. Le lendemain pendant que les deux hommes sont à leur travail, elle se précipite chez sa copine Justine.

Les deux copines s’embrassent, elles prennent place au salon, sur le canapé. Justine serre une boisson, que les deux amies sirotent en discutant. Mais immédiatement la conversation se porte sur Raymond. Aurélie les yeux brillants dit :

-Raconte comment il te prenait le coquin, j’ai penser à lui toute la journée, et j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil !

Justine sourit et dit :

-Ah, ah, la maman fantasme sur son fils, et tu t’es branler en pensant à lui salope. Si tu as l’occasion, je te conseille de baiser avec lui, il est phénoménal. Offre toi bien à lui, il est très gourmand le bougre, surtout exigeant, mais tu vas avoir des jouissances fabuleuses. Oh la vache je mouille en pensant à sa queue énorme !

Sans gêne, Justine retrousse sa jupe et montre sa culotte trempée à son amie, qui regarde en écarquillant les yeux, la tache humide qui s’étend sur le tissu. Justine ajoute :

-Je l’ai eu au téléphone hier soir, il veut me présenter une femme, et veut que je fasse l’amour avec elle, tu peux pas savoir comme je suis excitée. Vivement ce soir, heureusement, mon mari travaille de nuit, je suis chaude comme un brasero !

Justine reste la jupe retroussée, et les jambes écartées, elle dit en regardant Aurélie :

-Et toi, tu n’as jamais rêvée de faire l’amour avec une femme, ou avec plusieurs personnes, ton fils me l’a promit, j’attends se moment avec impatience !

En se raclant la gorge, Aurélie répond :

-Pour l’instant, je ne désire que mon fils, c’est de ta faute, si je pense à lui comme ça, tu m’as racontée tellement de choses que vous faisiez ensemble, que j’en suis malade, mais s’il veut de moi, je ferai tous se désirs, moi aussi je veut qu’il me prenne comme toi, qu’il me fasse hurler !

Justine répond en arborant un large sourire :

-Oh ma chérie calme-toi, soit patiente, ton tour viendra !

Justine se lève et s’assoit sur les genoux de son amie. Elle la prend par le cou la regarde intensément, et lui dit :

-Tu es sûre que tu n’es pas tentée par une femme, Aurélie ?

Elle répond étonnée par la question :

-Pour être honnête, cela, ne m’a même pas effleurée l’esprit !

Justine ajoute :

-Tu ne veux pas essayer ?

Aurélie sursaute, fronce les sourcils et réplique :

-Tu sais je ne suis pas une brouteuse de minou, mais pourquoi tu me poses cette question ?

En ravalant sa salive, Justine répond avec quelques trémolos dans la voix :

-Tu ne voudrai pas essayer avec moi !

Aurélie écarquille les yeux, et en se pinçant les lèvres répond :

Tu es sérieuse, tu veux que je fasse l’amour avec toi ?

Justine réplique :

-Ben oui, c’est une expérience à tenter, ton fils te le proposera surement, comme à moi !

Aurélie est dubitative, elle se pose la question, et si son fils lui demandait d’avoir une relation lesbienne, la question est là, elle le ferai ou pas . Son amie la serre très fort contre elle, elle appuie sa poitrine contre la sienne, en la regardant droit dans les yeux. Aurélie est mal à l’aise, elle déglutit et dit :

-Mais tu es folle, je ne peux pas faire l’amour avec une femme ?

Justine un peu vexée réplique :

-Je ne te plais pas, c’est ça hein ?

Aurélie tente de son sortir comme elle peut :

-Mais ne dis pas de bêtises, Justine, je ne l’ai jamais avec une femme, et cela me trouble !

Excitée comme une puce, Justine insiste :

-Faisons-le je t’en prie, moi aussi je ne l’ai jamais fais, mais ton fils me le demande, et lorsqu’il me présentera la femme, je veux avoir un peu d’expérience !

Aurélie sursaute et répond :

-Si je comprends bien je suis ton cobaye, tu ne manques pas de culot toi ?

En se raclant la gorge bruyamment Justine répond :

-C’est un peu ça !

Elle pose brusquement ses lèvres sur celles d’aurélie, qui tente de la repousser, mais la coquine la tient fermement. Habilement Justine fait glisser sa langue dans la bouche de son amie, qui se débat de moins en moins. la languie agile, se noue à la sienne, cherche à s’enrouler autour.
Aurélie souffle comme un dragon, sa respiration devient bruyante et saccadée. Sans savoir pour quelle raison, elle enlace son amie qui se cramponne à elle. Aurélie ne refuse plus le baiser, les deux amantes, échangent un flot de salive. Le baiser dure de longues minutes, et devient de plus en plus fougueux. les respirations sont bruyantes, les langues s’enroulent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler. le deux femmes donnent tout ce qu’elles ont, pour que le baiser soit brulant.

La tension monte dans les corps, les deux complices se retrouvent vite nues. C’est étrange, Aurélie est plus volontaire que son amie Justine, qui semble timide. Elle lui malaxe les seins, roule entre ses doigts les mamelons, elle les étire les pince pour augmenter la tension dans son corps. C’est en grimaçant que Justine geint, il semble, qu’elle apprécie ce traitement énergique. Aurélie s’enhardit, elle caresse le corps brulant de son amie, qui ne cesse de geindre en agitant doucement son bassin. elle gobe un mamelon et le suce férocement, Justine se cabre en poussant des gémissements de bête blessée.

Aurélie dévore les mâts dressés comme de petites bites en érections, la vorace semble s’acharner dessus. la main baladeuse d’Aurélie, arrive sur l’entrejambe, elle constate que son amie a la chatte trempée. Habilement, elle fait glisser ses doigts, plusieurs fois sur la toison humide, avant de saisit la boule magique, qui comme par miracle est gonflée affreusement. Aurélie sait manier la boule de chair qui continue de prendre du volume. Elle l’agite avec une dextérité remarquable, Justin se cambre fortement pour bien offrir son clito à son amie, qui accélère le branlage. Une terrible jouissance fait hurler Justine, qui retombe lourdement sur le canapé.

Aurélie embrasse chaque parcelle de peau, jusqu’à l’entrejambe. Mais une fois qu’elle pose sa bouche sur le puits, Justine se cabre en gémissant terriblement. Les succions et les aspirations sont féroces, elle gobe le clito et le suce avec rage. Justine défaille, elle agite son bassin, ses yeux sont révulsés. Une seconde jouissance la fait cabrer.

Aurélie se redresse, et attend que son amie lui renvoie l’ascenseur. Justine en haletant dit :

-Eh ben toi pour une novice de l’amour au féminin, là ma cochonne tu m’en bouches un coin, je vais te faire la même chose ma chérie !

Les mains moites de Justine, travaillent les lobes mammaires efficacement, les mamelons rapidement prennent du volume, il sont d’origine large et épais. La coquine les fait devenir énorme avec ses doigts et sa bouche vorace.
Elle reproduit sur Aurélie les mêmes attouchements, buccaux et digitaux, qu’elle lui à fait. Elle geint comme un animal agonisant. Son bassin s’agite, son souffle devient court. Justine lui dévore la chatte avec férocité, sa langue lui fouille les entrailles en la faisant geindre comme une bête malade. Mais lorsqu’elle s’attaque au clito, Aurélie semble devenir hystérique, elle agite son bassin comme une forcenée, en en gémissant de plaisir. Justine la fait jouir plusieurs fois avant de la délaisser.

C’est haletante, qu’Aurélie git sur le canapé sans force. Elle dit entre souffles :

-Mon Dieu, tu es terrible Justine, tu m’as fait jouir comme une dingue !

En souriant Justine répond :

-Toi aussi ma cochonne tu m’as explosée !

Aurélie avant de rentrer chez elle, lui dit :

-Tu me raconteras, avec mon fils et la femme !

Justine souriante lui répond :

-Oui ma chérie, reviens demain, tu auras tous les détails !

Aurélie, rentre, fait du, ménage et prépare le repas, ses deux hommes en pause, rentrent. Ils l’embrassent, et prennent place autour de la table. la discussion est animée, des éclats de rires fusent. Aurélie ne cesse de regarder son fils, de temps en temps le bougre lui fait des clins d’œil. Elle serre les dents pour ne pas se ruer sur lui. Une fois le repas terminé, elle débarrasse la table et emmène la vaisselle à a cuisine. Raymond en profite pour la rejoindre et se coller à elle. Sa maman trésaille, elle pousse un long soupir, sans repousser son l’agresseur. Il continue son manège, il se frotte à elle en lui donnant des baisers sur le cou, Aurélie frémit Raymond le sent, il se doute que sa maman est dans un état fébrile, et en profite. Il la serre très fort, pour qu’elle sent contre ses fesses, son manche qui ne cesse de gonfler.

Avec beaucoup de trémolos dans sa voix tremblante, Aurélie murmure :

-Tu es un monstre, je te hais !

En souriant, il lui dit, :

-Moi je t’aime jalouse maman !

Et lui donne un gros baiser très appuyé sur la nuque, et la libère. Les yeux de sa maman sont remplis de larmes, elle reste un moment à la cuisine en attendant que cela se passe, elle ne veut pas montrer son trouble à son mari.
Enfin ils retournent à leur travail. Aurélie, se laisse tomber sur le canapé, ses soupirs profonds, sont bruyants. Elle est obsédée par son fils, elle ressent encore contre ses fesses, son membre tendu. Sa vulve se met à suinter, bien qu’elle serre les cuisses fortement, elle ne peut empêcher l’écoulement de la cyprine, dans sa culotte. Elle passe sa main sous sa jupe, et plaque sa main sur sa chatte en ébullition. Elle la presse fortement en grimaçant, elle tente de faire cesser le suintement qui noie sa culotte.

Elle retire rapidement sa culotte, regarde la grosse tâche qui humidifie le tissu, et la laisse tomber sur le sol. Sa jupe est retroussée, sa vulve est exposée à sa vue. Elle passe sa main sur sa fente aux grosses lèvres bien charnues, et la caresse en rêvant. Elle saisit son clito qui rapidement devient hors norme. Elle l’agite en serrant les dents, Aurélie se fait violence, elle grimace en se martyrisant le clito.

Elle le presse fortement, donne plusieurs tape dessus puis, l’écrase le plus fort possible, elle marmonne :

-Je suis une chienne, une maman indigne, qui désir que son fils l’embroche jusqu’à la garde, et lui fasse subir les pires outrages !

Elle hurle :

-Tu me rends folle Raymond, oh comme tes maitresses ont de la chance !

Elle se massacre le clito férocement, se fouille la chatte profondément, jusqu’à ce qu’elle explose de jouissance. Haletante, elle reste étendue sur le canapé un long moment, comme une agonisante.
Elle reprend péniblement ses occupations, en ne pensant qu’à son fils. Pendant le diner, elle fusille son fils du regard, le bougre lui sourit, en faisant de nombreux clin d’œil provocateurs. Elle profite qu’elle est près de lui, et pendant qu’elle le sert, sans que son mari ne la voit, elle ose une chose immorale, elle presse fortement la verge de son fils. Le bougre se cabre, mais ne crie pas. Il regarde sa maman en fronçant le sourcils, il lui fait comprendre qu’il aura sa vengeance.

Souvent, pendant le repas, ils échangent des regards intenses, qui lancent des éclairs. le repas se termine, la maman comme à chaque fois débarrasse la table, et se rend à la cuisine, Raymond la rejoint. Il la serre fortement, et lui dit en faisant un large sourire :

-Tu as de la chance que je dois sortir ce soir, mais tu ne perds rien pour attendre, tu vas me le payer et très chèrement !

Les paroles provocatrices, font défaillir la maman amoureuse, ses jambes deviennent molles, elle s’accroche à l’évier pour ne pas tomber. Elle se demande ce que veut dire son fils par, le payer chèrement.
le lendemain, après une nuit très agitée par l’insomnie, surtout par de multiples masturbations, qui laissent des marques.

Aurélie, descend l’escalier comme chaque jour, avec une nuisette ultra courte, sans rien dessous. Comme un boxeur, elle semble sonnée. Ses yeux sont cernés, ses traits tirés. Les deux hommes admirent les formes que le fin tissu transparent, voile à peine.

C’est samedi, jour de repos pour les hommes. Olivier, a déjà préparé le petit déjeuner. Il est à table avec son fils, les deux regardent la mère de famille en souriant déambuler en se cramponnant à la rampe. Elle semble dans les vapes, ses gestes sont maladroits, elle balance son bassin comme un félin. Raymond la regarde en souriant. Elle embrasse ses deux hommes et prend place à table.

Elle s’étire comme un chat, en faisant une moue. Olivier avale son café il a prévu avec ses potes de faire une partie pêche. Il prend ses affaires et disparait. Aurélie est seule avec son fils, le bougre ne porte qu’un boxer, il sourit à sa maman et lui dit :

-Vu ton état, je suppose que tu as passée une drôle de nuit, maman !

Elle le regarde et répond :

-Oui très mauvaise, c’est un peu cause de toi !

Raymond se lève et s’approche de sa maman, il se place derrière elle, et lui masse doucement les épaules. Il demande tendrement :

-Dis-moi ce qui ne va pas maman chérie, tu sais, chaque problème a une solution !

Il dénude les épaules de sa maman en faisant glisser légèrement, la nuisette hors des épaules. Il prétexte que c’est pour mieux la masser. Les mains douces, caressent, pressent les muscles noués d’Aurélie, en lui faisant pousser de gros soupirs. Puis elle demande :

-Ta soirée c’est bien passée !

En souriant Raymond répond :

-Oh oui, une soirée terrible, que je ne suis pas près d’oublier !

Bien qu’elle le sache, en serrant les poings, Aurélie demande :

-Tu as revu Justine ?

En déposant un baiser sur l’épaule de sa maman il répond :

-Eh oui, et pas qu’elle ?

La maman rugit :

-Tu es un monstre, tu couches avec ma meilleure amie, oh comme de te hais !

Sans répondre, Raymond, continue de lui donner des baiser sur ses épaules nues. Avec douceur, il fait glisser ses mains sur le torse puis, il empoigne fermement les seins, et les presse fortement. Aurélie se cabre, elle bafouille :

-Mais, mais qu’est-ce que tu fais Raymond, tu deviens fou :

Le bougre, malaxe les seins au travers du fin tissu. La maman semble tétanisée, même si elle désir son fils, elle panique. les mains se font plus agressives, elles pétrissent fermement les lobes généreux de la maman, qui soupire de nombreuses fois. Au travers du tissu, il saisit entre ses doigts les mamelons et les roule longuement, il les presse pour enfin les étirer fortement, cela provoque chez sa maman un long gémissement.

Aurélie, grimace, se cambre sur sa chaise en marmonnant. Raymond dit en souriant :

-Tu as des tétons comme je les aime, larges et bien épais, hum je les adore. Maintenant, je vais faire ce que j’ai promis, c’est faire payer le geste immorale que la maman a eu sur son fils, allez, lève toi pour recevoir ta punition !

Il aide sa maman à se lever, et en la prenant par la main, l’entraine au salon. Aurélie suit son fils comme un automate, ses yeux sont hagards, elle est pâle comme un linge. Il la bascule sur le canapé, et brusquement, il lui arrache la nuisette. Il jette sur les sol les lambeaux de tissu, et regarde un long moment le corps nu de sa maman qui blêmit encore plus. Elle croit que son fils va la dérouiller, elle écarquille les yeux. Elle tremble mais ne proteste pas, Raymond commence par lui peloter, les seins, il les presse, les malaxe. Aurélie est rassurée, geint en serrant les dents, mais dès qu’il aspire un mamelon, elle se cabre fortement.

Raymond met en application son savoir faire de bon amant. Il suce et tète férocement les mamelons qui enflent de plus en plus. Mécaniquement, sa maman lui appuie sur la tête en la maintenant contre ses seins.
la bouche lui suce les mamelons, comme lorsqu’il s’allaitait quand, il était enfant. les grognements qu’elle pousse son bruyants. Après un long travail sur les mamelons, sa bouche descend sur le corps fébrile, en lui donnant de nombreux baisers.
Aurélie pâme de bonheur, enfin son fils va être son amant. Il lui ouvre le cuisses, contemple un moment la vulve ruisselante, il constate, que les grandes lèvres sont très gonflées. Il avant sa tête entre les cuisses largement ouvertes, hume fortement la vulve, qui rejette des effluves odorantes.

Raymond dit tendrement :

-Hum, maman comme tes grandes lèvres sont gonflées, tu as du te masturber toute la nuit pour être arrangée comme ça. Maman tu sens l’amour, je vais t’aimer comme jamais tu ne l’as été !

A suivre.

Linsee

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