Le coq du village, chapitre 2
Aurélie ravale sa salive, sa vulve est en feu, elle avoue en baissant les yeux :
-Oui, tu as raison, je me suis masturbée en pensant à toi mon chéri, je le fait très souvent tu sais, tu hantes mes nuits et mes jours. Fais moi subir tout ce que tu as fait à Justine !
Raymond en souriant répond :
-Oh, mais tu sais, je suis très exigeant, Justine elle est très docile, elle réalise tout les désirs, et toi est-ce que tu es prêtes à subir tout ce je lui ai, infligé, et obéir à tous mes caprices !

-Aurélie en état d’excitation extrême répond :
-Oui, oui, mon chéri je ferai tous ce que tu désires !
Raymond fronce les sourcils et ajoute :
-Même avec une femme, ou plusieurs personnes en même temps, tu es prête à devenir ma pute !
En ravalant sa salive, la maman répond :
-Oui, oui, je deviendrai une grosse pute, si tu le veux mon chéri, prends-moi, prends-moi, défonce-moi, tu le fais avec Justine !
Raymond lui dit en souriant :
-Alors là maman, je ne te reconnais plus, toi si prude, sans jamais un mot plus haut que l’autre, tu es prête à devenir ma pute, Oh j’ai de grands projets pour toi ma chérie. Mais avant que tu goutes à mon mandrin, fais-moi une petite gâterie !
Aurélie regarde le boxer qui est déformé par une grosse bosse. Raymond le baisse brutalement, sa verge jaillit, en oscillant sur son bas-ventre. La maman écarquille les yeux, elle dit :

-Mon Dieu mon chéri, mais elle est énorme !
Elle avance sa main tremblante, saisit la verge tendue, et commence à pratiquer une masturbation d’enfer. Son fils grimace, tellement les coups de poignets de sa maman son rudes. Soudain, elle cesse de branler, décalotte le gland çà fond, et l’observe. Elle sens battre le sang dans les veines de la hampe épaisse. Elle approche sa bouche du membre plein de vie, et donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland large. Elle ouvre la bouche toute grande, et gobe le nœud imposant, en se déboitant presque les mâchoires.
Aurélie, ne veut pas décevoir son fils, elle s’applique du mieux qu’elle peut, elle suce et tète comme une affamée. Au bout de quelques minutes, la bonne travailleuse, reçoit sa récompense. Une puissante décharge de sperme, lui remplit la bouche. Surprise par le flot important de semence, elle rejette le gland, se pince les lèvres en regardant son fils, ses yeux brillent. Le fiston en la toisant de haut, lui dit :
-Avale, apprends à devenir une bonne pute maman, et ce n’est que le début, maintenant ouvre bien tes cuisses, je vais te défoncer, comme Justine !
Rapidement Aurélie obtempère, elle ouvres les cuisses, son fils prend place entre le compas ouvert et présente à la vulve débordante de jus, son engin redoutable. Il l’appuie contre les grandes lèvres, et pousse, le gland monstrueux écrase les lèvres et pénètre lentement dans le conduit qui semble étroit. La maman grimace, serre les dents, la verge de son fils plus importante que celle de son mari, s’enfonce doucement dans son ventre. Aurélie souffle comme un dragon, elle s’accroche à son fils en geignant. Entre deux souffles et dit :
-Oh mon chéri comme ta verge est grosse, oui, ouvre bien ta maman, va à fond, oh comme tu me dilates mon chéri. Mon Dieu, mon Dieu, oui, oui, vas-y, vas-y, si Justine le fait, je veux moi aussi recevoir au plus profond de mon corps ta bite monstrueuse, éclate-moi Raymond éclate ta maman salope !
Raymond, donne un coup de reins violent, sa queue s’enfonce jusqu’aux couilles dans la chatte de sa maman, qui pousse un long râle d’agonisante. Il lui attrape les hanches et commence un défonçage terrible. A chaque coup de reins, son gland rabote fortement le col de l’utérus de la maman qui geint comme une bête blessée. La bite voyage dans le ventre de la maman en prenant de plus en plus de vitesse. De temps en temps, il la ressort entièrement de la chatte pour la replanter violement au plus profond du vagin en feu.
Raymond la défonce comme un Dieu, son mari ne l’a jamais prise comme ça, elle subit avec bonheur les assauts incessants de son jeune amant, qui ne la ménage pas. Elle delire, s’agrippe à lui en poussant des:
-Oui, oui, mon chéri, c’est trop bon, oh oui encore, encore, mon Dieu, oui, fais-moi mourir de plaisir mon chéri, fais de moi ton esclave, je vais jouir oh ça vient, ça vient !
La maman demandeuse, se cambre fortement et en poussant un hurlement inhumain, explose de jouissance. Jamais elle n’a joui aussi fort. Elle halète en marmonnant :
-Encore, encore, j’en veux encore, c’est fabuleux, défonce-moi, explose-moi la chatte mon chéri !
Aurélie survoltée, délire totalement, ses yeux sont presque révulsés, son visage est déformé par un rictus monstrueux, à la commissures de ses lèvres, s’échappe un filet de salive. Raymond redouble les coups reins, il pilonne comme un sauvage, le vagin dégoulinant de cyprine. la respiration de sa maman est rapide et bruyante, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Elle gémit en agitant son bassin, une seconde jouissance la fait hurler, elle se cambre comme un pont etb retombe lourdement sur le canapé.
Son fils continue de la déglinguer, il s’acharne sur elle, comme un rapace sur sa proie. Enfin, il se bloque et en poussant un grognement de fauve, lui remplit le ventre de sperme. La douce chaleur du liquide visqueux, dans son ventre fait couiner Aurélie, qui miaule comme une chatte en demande d’affection. Raymond regarde sa maman, elle a les yeux vitreux, et sa poitrine se soulève rapidement, elle dit :
-Oh mon chéri, c’est merveilleux, tu es diabolique en amour, je suis à toi corps et âme, je suis ta chose mon chéri !
Raymond se retire du ventre, il regarde en souriant le trou béant qui rejette de sa cyprine, mêlé à du sperme. Il dit :
-Tu es aussi performante de la chatte que Justine, je me demande si du cul tu l’es autant, ma chérie !
Aurélie, dès que l’on parle de son amie, elle se braque :
-Oui, je veux devenir aussi performante du cul qu’elle, encule-moi Raymond, je veux subir tout ce que Justine a subit !
En riant le fiston dit :
-Tourne-toi et montre-moi ton petit trou que tu veux que je visite, maman !
Aurélie se retourne, se penche en avant en prenant appuie sur le canapé. Elle cambre sa croupe, et offre à la vue de son fils son œillet ridé. Il lui écarte les fesses, et en sifflant d’admiration, il dit :
-Vu l’état de ton anus, je devine que tu n’as jamais était sodomisée maman ?
En ravalant sa salive, et comme une fautive, elle baisse les yeux en répondant :
-Mon jamais, je me suis juste une fois, fouillée avec trois doigts pour connaitre une première jouissance anale !
Raymond surprit par cette révélation demande :
-Elle était comment cette jouissance, maman ?
-Monstrueuse, j’ai joui comme une dingue du cul. Justine m’a dit que tu l’as sodomisé, et qu’elle avait des jouissances extraordinaires, j’ai voulue tenter l’expérience !
Raymond en souriant dit :
-Maintenant ce n’est trois doigts qui vont te fouiller le cul, c’est ma bite, penche toi bien maman, c’est le moment de te faire dépuceler le cul. Pour que tu t’en souvienne, je vais le faire à sec !
Raymond regarde le petit anneau qu’il va forer, et dit :
-Oh mais ça va bien rentrer, il semble bien souple. Maman ne soit pas inquiète, je vais bien t’ouvrir le cul maman !
Il pose contre l’anus son gland gluant, et saisit sa maman par les hanches. Il pousse. Sa maman prend une grande aspiration et serre les dents. L’anus cède, et avale lentement le manche de chair qui le dilate fortement.
la maman grimace. Le gland en s’enfonçant dans le rectum fait rugir la maman comme un fauve, ses yeux s’emplissent de larmes, la douleur est atroce.
Elle ne repousse pas son fils, qui continue de pousser. Elle veut comme son amie, avoir la bite de son fils au fond de ses entrailles. Centimètre pas centimètre, la verge avance dans le rectum douloureux, en faisant gémir la maman. Enfin la verge monstrueuse, prend possession du cul de la maman grimaçante.
Une fois que ses couilles frappent les fesses de sa maman, Raymond, cesse de pousser. Il attend un bon moment avant de commencer le va-et-vient.
Lentement, il fait voyager dans la gaine étroite sa bite monumentale. Aurélie ne cesse de geindre et de grimacer. Mais au fur et à mesure des allers et retours, la douleur s’amenuise. Aurélie dit :
-Oh la vache, je l’ai comme Justine jusqu’aux couilles. Oh comme tu m’ouvres le cul mon cochon, tu vas le déchirer, fais doucement mon chéri !
Le ramonage est très lent, le bougre de fils, suit les gémissements de sa maman pour accorder son rythme. Sa maman souffle comme un bœuf, elle déglutie bruyamment, et petit à petit, elle se met à agiter sa croupe. Raymond accélère, il commence un pilonnage de plus en plus violent. A chaque enfoncement de son mandrin, sa maman pousse un gémissement, qui ne ressemble pas à un gémissement de douleur mais de plaisir. Raymond se lâche, il défonce sa maman comme un soudard. Sa bite épaisse racle les parois sensibles de l’étroit conduit. Les grognements que pousse Aurélie ressemblent à ceux d’un fauve en rut. Elle se met à délirer :
-Oui, oui, Raymond éclate le cul de ta maman salope, fais la jouir comme une bête. Oh comme c’est bon mon chéri, d’avoir dans le cul une grosse bite come la tienne, qui me ramone à fond !
Elle ne peut en dire plus, elle se cabre comme un cheval fougueux et explose, sa jouissance anale est indescriptible, sa chatte envoie un puissante giclée de cyprine contre le canapé. Raymond continue de la démonter, elle gémit comme une bête, en jouissant une seconde fois. Elle hurle :
-Mon Dieu, mon Dieu, tu me fais mourir mon chéri, vas-y, vas-y, tue-moi !
Raymond donne des coups de reins, comme pour la traverser avec sa queue. Il se cabre et remplit le cul de sa maman en rugissant comme un lion. Il donne encore quelques estocade avant de se retirer. Il dit :
Alors que pense ma chérie de la sodomie ?
Aurélie, répond en haletant :
-C’était magnifique mon chéri, mon Dieu comme je suis heureuse !
Raymond réplique :
Viens sur moi et défonce-toi !
Il prend place sur une chaise, sa maman se place sur ses genoux, saisit sa queue, et s’empale jusqu’aux couilles. Elle s’agite, monte et descend sur le membre qui lui explore le ventre. Elle gémit terriblement. Elle se contorsionne, se tortille sur le mât de chair, qui lâche dans son ventre une épaisse semence. Aurélie s’agite encore plus vite, elle cherche sa propre jouissance. Elle se cabre et explose de jouissance.
Rapidement, elle se redresse, se désaccouple et s’embroche le cul avec la queue gluante de son fils, elle reprend une agitation terrible. Raymond est aux anges, sa maman prend des initiatives, les deux amants explosent en même temps. C’est haletant que Raymond dit :
-Comme tu ne refuses pas la bite, et que travailles bien, maman, pour te combler, demain, je vais t’offrir un festivale de bites, tu seras prise en double, par de bonnes queues, tu m’en diras des nouvelles et en plus, je te réserve une bonne surprise !
Il ajoute :
-Comme papa, part en mission plusieurs jours dès ce soir, nous aurons la maison pour notre orgie, que je te prédis phénoménale !
Linsee
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