Histoires taboues et histoires de sexe

Le coup de folie de Brigitte qui est devenue accro à la sodomie

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Coup de folie

Bonjour, je m’appelle Brigitte, je suis blonde, les yeux verts pour 1 m 68. Maman d’un petit garçon et d’une petite fille, je suis mariée depuis 7 ans et suis toujours restée fidèle.

Je travaille comme représentante en produit de beauté. Il y a 2 mois, je suis montée pour une semaine à Paris, à l’occasion du salon de l’emballage. En marge de la manifestation, et parce que l’entreprise avait fait une grande année, des réunions de stratégie étaient prévues. Dès le premier soir, le directeur commercial nous a fait le point sur les résultats décevants, en mettant le doigt sur les supposées faiblesses…

De retour à notre hôtel, j’ai dîné avec un collègue de Montpellier, Michel. Fatiguée et nerveuse, moi qui ne bois jamais, j’ai accepté de prendre un apéritif, et même deux verres de blanc, à table. Arrivée au dessert, j’avais un peu chaud au visage et la tête embuée.

En regardant ma montre, je vis avec stupeur qu’il était 22 h passées, et que je n’avais toujours pas téléphoné à mon mari, comme prévu.

Je me suis excusée auprès de Michel, lui expliquant que je devais monter dans ma chambre pour appeler mon chéri. Il a proposé de commander une bouteille de champagne et de la monter dans ma chambre. Sans explication, mais sans doute pour partir au plus vite, j’ai dit « oui ».

Prenant congé, je me suis dirigée vers l’ascenseur pendant que Michel attendait pour la note et le champagne. Arrivée dans ma chambre, j’ai laissé la porte entrouverte, puis j’ai déposé ma veste sur une chaise. J’ai vite composé le numéro de chez moi. La petite était couchée, et j’ai raconté ma journée à mon mari Philippe.

Lorsque Michel est entré dans la chambre, j’ai été presque surprise. Occupée par notre conversation, j’avais oublié qu’il devait venir.

Comme il restait debout près de l’entrée, je lui ai fait signe discrètement de poser la bouteille et les deux coupes sur le bureau. Je ne voulais pas que mon mari sache que quelqu’un était dans ma chambre. À côté du bureau, ma valise était restée ouverte. J’ai vu Michel regarder dedans. Puis, en se penchant, il a sorti un soutien-gorge blanc en dentelles. Il a commencé à l’agiter devant moi, avec un petit sourire en coin. J’étais furieuse, et lui lançai un regard noir. Je ne pouvais rien dire, à cause de mon mari, et Michel a profité de ma condamnation au silence, pour fouiller de nouveau dans mes sous-vêtements. Il en a sorti le string qui allait avec le soutien-gorge, et une paire de bas noirs. J’étais à la fois énervée et morte de honte. Du coup je n’étais plus trop à la conversation. Mon mari commença à me demander la raison de mon appel tardif, pourquoi je semblais un peu ailleurs. Je lui ai expliqué que cette longue journée m’avait usée, et que j’avais besoin d’une bonne nuit réparatrice.

En fait, je n’attendais qu’une chose : raccrocher pour dire à Michel son impolitesse et le foutre dehors. Malheureusement pour moi, Philippe avait visiblement très envie de discuter. J’étais partie depuis moins de 24 heures et je lui manquais déjà. Il me détaillait tout ce qu’il désirait me faire à mon retour. J’étais mal à l’aise et n’entrais presque pas dans son jeu. Au bout d’un moment, mon mari suspicieux me demanda si j’étais seule. Effrayée, je lui ai dit que « oui » et essayais de participer normalement à la conversation. J’étais gênée par le fait que Michel était en face de moi et qu’il me regardait.

Il est venu s’asseoir sur le lit non loin de moi, puis s’est allongé. Ne le voyant plus, je me suis un peu détendue. Je dis à Philippe combien lui et les petits me manquaient, que j’avais hâte de rentrer à la maison. D’humeur câline, il m’expliquait qu’à mon retour il me couvrirait de baisers lorsque j’ai senti la main de Michel se poser sur ma hanche. Je l’ai repoussée sans pouvoir rien dire, mais il l’a remise aussi tôt. Je l’ai repoussé 3 ou 4 fois, sans succès. J’ai finalement décidé de le laisser faire de peur que mon mari ne s’aperçoive de quelque chose. Je continuais à parler à mon mari, la main de Michel me caressant et me massant doucement les hanches et le dos. Ce massage commençait à me détendre, je me sentais de mieux en mieux. Michel s’est relevé, puis s’est assis derrière moi. Avec ses deux mains, il a commencé à me masser les épaules et la nuque. J’avais accepté son massage, mais j’essayais d’écourter la conversation avec mon chéri pour que cela n’aille pas plus loin.

Tout en me massant d’une main, il a, avec l’autre, commencé à essayer de déboutonner mon chemisier. J’ai tenté d’arrêter son geste, mais mon mari a demandé ce qui se passait, ce qu’était ce bruit. J’ai répondu que ce n’était rien et ai laissé Michel faire. Il a défait un à un les boutons, puis a fait glisser mon chemisier sur les épaules. Il a repris son massage. Il était doué, il a réussi à me détendre de nouveau, j’étais bien… Il a d’abord repoussé les bretelles de mon soutien-gorge, qui le gênait, puis il a carrément sorti mon chemisier de ma jupe. Sans le regarder, je l’ai laissé faire, je l’ai même aidé en changeant le téléphone de main pour qu’il puisse retirer complètement mon chemisier. Puis il a dégrafé mon soutien-gorge et l’a enlevé. Malgré cette situation incongrue, je n’avais plus envie que mon mari raccroche.

Être au téléphone, « réduit au silence », me donnait l’excuse d’accepter sur mon corps les mains d’un homme qui, a priori, ne me plaisait pas et qui, jusque-là, ne m’avait jamais fait connaître ses intentions.

Michel m’a saisi par les épaules, et m’a fait allonger sur le lit. Pendant que je parlais à mon mari, Michel faisait courir tout en délicatesse ses doigts sur mon ventre, s’arrêtant et jouant avec mon nombril. Les caresses et, peut-être un peu l’alcool, me mettaient dans un état de relaxation total. Il me mangeait le corps de ces yeux et approcha ses mains de mes seins. Mes amies ont toujours jalousé ma plastique, avec ma poitrine, un 90 C, en poires, comme elles disent, et mes fesses à faire virer sa cuti à n’importe quel homosexuel.

Michel excitait la pointe de mes tétons avec l’intérieur de sa paume. Des frissons me parcouraient de haut en bas. Il m’a regardé droit dans les yeux, s’est approché de mon visage, de mes lèvres et a déposé tout en silence un petit baiser. Il m’a regardé de nouveau et m’a embrassée. Sa langue me donnait une impression de douceur, et ma langue répondait à la sienne. Je fermais les yeux et profitais intensément de ce baiser ; le téléphone collé à l’oreille mon mari continuait de me parler sans se douter de rien.

Pendant que je reprenais mon souffle, Michel, le plus discrètement possible, m’embrassait et me mordillait le cou, je me tortillais comme une anguille. Ses lèvres sont descendues vers mon ventre, passant sa langue dans mon nombril. Il est remonté vers ma poitrine, la couvrant de centaines de baisers. Prise au jeu, j’ai mis ma main sur sa nuque et ai appuyé sa bouche sur mes seins. Il était comme un fou, il les léchait et les suçait en alternance régulière.

Sans m’en rendre compte, j’ai poussé un petit gémissement que mon mari a entendu. Il m’a aussitôt demandé ce qui se passait, et qui était avec moi. Prise au dépourvu, je lui ai répondu que j’étais seule, que notre conversation m’avait excitée et que je me caressais. En entendant, cela, Michel, tout à son ouvrage, s’est relevé et m’a souri. Mon mari m’expliqua que lui aussi était excité et qu’il se mettait à l’aise pour se caresser. Michel s’est mis à genoux au pied du lit. Il a fait glisser ses mains le long de mes jambes, parcourant mes bas, glissant sous ma jupe, ralentissant au contact de ma peau jusqu’à arriver à l’élastique de mon string. Il l’agrippa fermement et le tira doucement vers lui. Pour lui faciliter la tâche, je me suis légèrement cambrée.

Au fur et à mesure, Alors que j’éprouvais un sentiment de chaleur depuis de longues minutes, je sentais une bouffée d’air frais parcourir mon entrejambe, ce contraste était divin. Il a retiré ma culotte et l’a porté à son visage. Mon mari haletait, et je lui demandais ce qu’il aimerait me faire. Il a répondu qu’il aimerait me lécher le sexe. Répétant à haute voix ce qu’il venait de me dire, Michel me fit un clin d’œil et approcha mon bassin du bord du lit. Il a alors enfoui sa tête sous ma jupe. Il s’est d’abord arrêté à quelques centimètres de ma chatte. Je sentais sa respiration, ou plutôt son souffle. Puis du bout de la langue il a commencé à agacer mon clitoris. Mariée depuis 7 ans, et avec mon chéri depuis une dizaine d’années, à 33 ans cela faisait longtemps que quelqu’un d’autre n’avait pas eu la faveur de mon corps. Je gémissais, en guidant par mes paroles mon mari, mais surtout Michel. Je devais mouiller comme une folle, je ne cachais même plus mes jouissances.

Après quelques minutes, mon mari me demanda ce que moi je lui ferai. Michel s’est alors relevé, a défait son ceinturon, a baissé son pantalon, et s’est retrouvé en boxer-short face à moi. J’ai compris ce qu’il attendait. Je l’ai attrapé par le boxer, et de ma main gauche l’ai descendu. Sa bite a jailli, droite comme un I, elle était longue et assez large, sans commune mesure avec celles que j’avais connues. Il s’est allongé près de moi. Reprenant notre jeu, j’ai alors dit à mon mari que j’avais vraiment envie de le prendre dans ma bouche. Je me suis alors penché vers le sexe de Michel, et ai commencé à le mordiller sur les côtés. De ma main libre je caressais ses bourses, je les sentais se contracter sous mes doigts. Par petites poses, j’expliquais à mon incrédule mari ce que je faisais. J’ai alors pris complètement en bouche ce sexe qui me faisait tant envie. J’y mettais tout mon cœur, ne pouvant éviter des bruits de succion. Mon mari, trouvant cela plus que réaliste, m’a une nouvelle fois demandé si j’étais seule. Amusée, et devenue intrépide par tant d’excitation, je lui ai dit sur un ton sarcastique que je suçais un homme qui était dans ma chambre. Devant sa colère, j’ai coupé court et l’ai rassuré, en lui expliquant que pour me mettre parfaitement dans l’ambiance, je suçais mes doigts. Mon mari a tout gobé au quart de tour.

Michel semblait apprécier ma pipe, vu les soubresauts de son sexe. Je savais pertinemment qu’avec ces coupures, il ne pourrait pas jouir. Il s’est mis à cheval sur moi, et a mis son sexe entre mes seins. Les maintenant avec mes avant-bras, il se payait une bonne cravate de notaire. Je lançais vers son gland des coups de langue. Mon mari était toujours à notre histoire, il avait repris le cours des descriptions. Michel s’est relevé et a mis son bassin au-dessus de mon visage. Je l’ai pris dans ma bouche. Il allait et venait se servant de mes lèvres comme d’une chatte. Je n’avais jamais connu ça…

Mon mari qui était au bord de la jouissance m’a dit qu’il voulait me prendre. J’ai repoussé mon assaillant pour pouvoir lui répondre. Je lui ai dit que moi aussi je voulais le sentir en moi. Michel a compris le message, m’a laissé me retourner pour que je me mette à quatre pattes. Il a retroussé ma jupe, et j’ai senti son membre à l’entrée de ma chatte. Je me suis retournée et lui ai fait signe que « NON ». Il est alors allé vers son pantalon, et a sorti de son portefeuille un préservatif. Il l’a enfilé, et s’est présenté de nouveau derrière moi.

J’avais les fesses en l’air et le visage sur l’oreiller. J’ai dit à mon mari que je n’en pouvais plus, qu’il fallait qu’il me défonce. J’ai alors senti l’énorme bite de Michel me perforer. Je n’avais jamais été aussi remplie. J’ai dit à mon chéri que j’allais jouir, je ne mentais pas. Mon mari a voulu que je le prévienne pour que l’on jouisse en même temps. Michel variait admirablement les rythmes. Mon plaisir montait, montait, montait… Quand j’ai entendu mon mari crier, un orgasme me terrassa, tandis qu’au même moment Michel crispait ses mains sur mes hanches et se vidait dans le préservatif.

J’ai embrassé Philippe en lui disant à demain et me suis écroulée sous le poids de mon amant sans même prendre la peine de raccrocher.

Il s’est retiré, puis nous nous sommes embrassés longuement à pleine bouche comme un jeune couple. Sa bite a recommencé à prendre de la vigueur. J’ai retiré le préservatif et, alors que je ne l’avais jamais fait auparavant, j’ai nettoyé son sexe de ma langue. Je me suis mis à le sucer, sans cette fois être interrompue. J’étais gourmande de sa queue. En peu de temps, il était de nouveau en forme, et je me suis empalée dessus pour le sentir en moi. Tout à mon plaisir, je le chevauchais. Je lui ai demandé s’il avait d’autres capotes. Il m’a répondu qu’il en avait suffisamment pour ce soir.

Je me suis levée et ai pris un chapelet de préservatifs. Je lui en ai enfilé un à l’aide de mes lèvres. Nous avons baisé dans toutes les positions. À un moment, alors qu’il me prenait en levrette, il m’a caressé avec son majeur ma rosette. Je n’ai rien dit. Puis il a enfoncé son doigt dans mon cul. La sensation était étrange, mais encore une fois je n’ai rien dit. Il me dit enfin qu’il adorait mon cul et souhaitait y mettre sa bite. Je lui ai répondu que j’étais vierge de ce côté, et qu’il était certainement trop gros. Il était étonné qu’avec ce cul-là, personne n’y ait pensé avant lui. Il m’a rassurée, puis convaincue.

J’ai senti son gland contre mon anneau. Il a poussé lentement, et peu à peu mon sphincter s’est ouvert. Il est rentré d’un coup, la douleur était là, une larme perlait au coin de mon œil, mais il y avait autre chose. Je sentais au loin une sorte de plaisir, j’ai caressé mon clitoris. La douleur et le plaisir s’inversaient proportionnellement. Michel était toujours immobile, tout au fond de moi. C’est moi qui aie commencé à bouger les fesses. Doucement il prit mon relais, il n’y avait maintenant que du plaisir. Il a accéléré la cadence, je me sentais chienne. Après 5 bonnes minutes de besogne, il s’est retiré et s’est couché près de moi, son torse au niveau de mon visage. Il a retiré le préservatif et a fait courir ses doigts le long de son sexe. De son autre main, il me caressait les cheveux. Il a pressé légèrement sur ma tête en direction de son sexe. Dans un état second, ma bouche a pris le relais de sa main. Il me caressait toujours les cheveux. Je l’ai vu se contracter, et ressenti un premier jet au fond de ma gorge. Même si sa main était sur ma nuque, et même si c’était une première, j’en avais envie. Je l’ai sucé plus fort, aspirant sa semence, jusqu’à ce qu’il ne reste rien.

Nous avons fait l’amour tous les soirs de la semaine avec et sans préservatifs. Je suis devenue une accro de la sodomie, mais mon mari ne le sait pas. Cette aventure extraconjugale a duré d’un commun accord que pendant le salon. Nos relations sont restées professionnelles. Mon mari n’a jamais rien suspecté, tant mieux. Une chose trotte pourtant dans ma tête, au mois de septembre, toute la société est supposée aller au Packaging Show, le salon de l’emballage de Düsseldorf, et ce pour 10 jours…

Brigitte

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