Bonjour à tout le monde,
Je m’appelle Marie, j’ai 29 ans et j’habite à Paris. Je vais vous raconter une histoire tabou qui m’est arrivée l’année dernière. Je ne vais pas tourner autour du pot et vous dire que c’est une histoire sexuelle avec mon dentiste. C’est plus un témoignage qu’une confession sexuelle, mais bon.
Je m’appelle donc Marie, j’ai 29 ans et je suis une jolie blonde à forte poitrine. Je suis ce que l’on appelle une bombe atomique. Non non, rassurez-vous ce n’est absolument pas de la prétention, c’est strictement la vérité. J’ai toujours fait fantasmer les hommes et lorsque je me retrouve dans un café, dans une soirée ou quelque part où il y a d’autres personnes, je suis systématiquement dévisagée. Cela à l’air idiot comme cela, mais ce n’est pas une position enviable. Croyez-moi ! Bref ce n’est pas le sujet. En tant que petite blonde sexy et désirable, j’ai dû me rendre chez un dentiste pour une douleur persistante. J’ai pris rendez-vous ce qui n’a pas été facile avec mon travail. J’ai réussi à trouver un praticien qui a pu m’accueillir à 19 h 30. J’étais ravie !
À la sortie du boulot, je me dirige immédiatement vers le cabinet de ce dentiste en espérant qu’il puisse me soulager. Je ne me doutais alors absolument pas que c’est de cette manière-là qu’il allait m’aider. C’était un bel homme, d’une cinquantaine d’années, très élégant avec beaucoup de charme. Il m’a demandé de m’installer et m’a posé quelques questions vu que c’était la première fois que nous nous voyions. Il m’a ensuite demandé d’ouvrir la bouche et l’a introduit ses outils. Il y a passé beaucoup de temps et je me suis aperçue qu’il frottait son sexe contre ma main qui était sur l’accoudoir. Au début, je me suis dit que je me faisais des idées. Mais vu ce qu’il s’est passé ensuite, le doute n’était plus permis. Il m’a dit que j’avais un début d’abcès et qu’il fallait le drainer. Il m’a proposé d’anesthésier ma gencive pour ouvrir la dent et libérer le pu. J’ai immédiatement paniqué, car j’ai peur des aiguilles et encore plus de tout ce qui touche aux dents. Il a proposé alors de me mettre le masque qu’il met aux enfants avec le protoxyde d’azote. Il me dit que je ne sentirais absolument rien et que je serais un petit peu dans les vapes. Alors j’ai dit allons-y !
Lorsque je me suis réveillée, je me suis aperçue que je m’étais endormie ! Je n’étais pas juste dans les vapes j’étais complètement shootée ! Mais ceci étant dit, il avait ouvert ma dent et avait fait tous les soins qu’il fallait. La douleur avait disparu et c’était parfait ! Mais il y avait quelque chose qui me gênait. Il m’a expliqué que je devais revenir dans 48 heures après que le pu ait bien eu le temps de s’écouler. Il devrait alors nettoyer le reste de la dent et de la gencive avant de la reboucher. J’étais contente, mais perturbée par quelque chose.
Sur le trajet du retour dans la voiture, je me sentais toujours bizarre. Lorsque je suis arrivée à la maison, je me suis déshabillée et j’ai vu alors que mes vêtements étaient tout en vrac. Je venais de comprendre que le dentiste avait abusé de moi. J’étais paniquée et je ne savais que faire. Je me suis déshabillée et je me suis lancée dans une auscultation digne des experts. J’avais effectivement des traces sur ma culotte. Le dentiste m’avait doigté les deux trous certainement avec ses doigts. J’avais des pertes vaginales sur le gousset de ma culotte et des traces de matière fécale. J’étais sa dernière patiente, il n’y avait personne après moi et il ne courait aucun risque puisque j’étais endormie. Je suis une fille qui ne pratique pas la sodomie et qui est très étroite du vagin. Je peux vous dire que s’il y a eu pénétration quelle qu’elle soit, je le sens tout de suite ! Je me suis sentie trahie et totalement sale. Mon réflexe a été d’aller prendre une douche pour me laver. J’avais la certitude qu’il ne m’avait pas pénétrée avec son sexe, mais simplement avec ses doigts. Mais cela ne l’excuse en rien !
Toute la journée du lendemain, j’ai brogé. Mon lieu de travail se trouve juste en face du commissariat. J’ai décidé à la pause de midi de pousser la porte de la police et de demander à parler à quelqu’un. Au début, je n’ai pas été prise au sérieux. C’est fou comme en France le fait d’être une victime vous rend suspicieux aux yeux des forces de l’ordre. J’ai fini par tomber sur une femme très gentille qui m’a écoutée. Elle avait décidé d’intervenir le lendemain lors de mon rendez-vous. J’étais terrifiée à l’idée de retourner là-bas, mais elle m’a assuré qu’il n’aurait rien le temps de me faire. Je devais absolument poser ma journée du lendemain pour revenir voir cette policière afin qu’elle m’équipe de mouchards.
Je n’ai pas dormi de la nuit. Le lendemain matin, je suis retournée la voir et elle m’emmenait dans une salle spéciale où elle m’a présenté une autre femme très gentille. Cette dernière m’a équipée d’un micro et d’une mini caméra placée dans un collier. Je devais le laisser en évidence par-dessus mon chemisier. Elle m’a rassurée une dernière fois avant de m’accompagner au rendez-vous. Le rendez-vous était prévu pour 12 h 15. Encore une fois j’étais la dernière de la matinée. Je suis entrée et le dentiste était très souriant et personne n’aurait pu deviner ce qu’il faisait aux patientes. Je me suis allongée terrifiée. Il m’a demandé de me détendre et a posé le masque du protoxyde d’azote sur mon visage. Lorsque je me suis réveillée, il était assis sur une chaise, menottée et j’avais le visage de cette policière au-dessus du mien qui me réveillait doucement.
Elle m’a montré les images capturées par la caméra et on le voit très bien ouvrir mon chemisier pour me caresser les seins, en tout cas essayer. Il n’a pas eu le temps d’aller plus loin que mon soutien-gorge lorsque l’équipe de policiers est entrée pour le coincer. Vous avez certainement entendu parler de cette histoire dans les journaux l’année dernière.
Aujourd’hui, lorsque je me rends chez un médecin et qu’il veut m’endormir, je m’assure d’être systématiquement accompagnée. C’est idiot, parce que le scénario du dentiste qui me doigte sur son fauteuil était une idée très excitante jusqu’ici. J’aurais certainement accepté ses avances s’il les avait formulées officiellement. Mais le fait d’abuser de moi est impardonnable !!!
Marie, 29 ans Paris
Histoire taboue ultra bandante ! Je me suis masturbé 2 fois en la lisant !!!
houlala quand je pense que pour ma dernière visite chez le gynéco il m’a injecté pour m’endormir je commence à me poser des questions
hihi imagine il a joué avec toi non LOL
ça t’excite pervers dévolu tu l’imagine me fouiller bien profond avec son avant bras eh bien non non c’est pas possible il y avait Titti, par contre moi je pense déja à tes 50 ans quand tu sera à quattres pattes sur la table du proctologue je vois bien une femme un peu sadic qui jouera avec tes balloches pendouillantes en leur tirant bien dessus et bien sur à te travailler ton entrée annale avec pour objectif de te fouiller très profond pour te faire jouir comme un crapaud baveux ( huuummmm j’adore ètre perverse)
Hihi tu es très perverse la