Le destin de Doriane, Retour à la vie Chapitre 1

Retour à la vie 1

Doriane, maltraitée, violentée, par un mari alcoolique jaloux, Marc une force de la nature, il ne contrôle pas sa force. Doriane Subit depuis de nombreuses années la tyrannie de cet homme odieux et violent. Son fils Logan, tout juste majeur, reste sans voix devant le spectacle lamentable que donne son père. Il assiste impuissant aux scènes qui deviennent de plus en plus violentes. Son mari, l’a soupçonne d’avoir un amant, ce qui est faut bien sûr, Doriane est bien trop pudique pour cela. Les scènes violentes, se multiplient. Quoi qu’elle dise, il n’en croit pas un mot, il l’oblige même à quitter son travail. Elle se donne à lui que forcée, heureusement c’est de plus en plus rare. Cela fait des mois qu’il ne l’a touche plus. Lorsqu’il rentre dans le lit elle craint le pire, mais miraculeusement il s’endort immédiatement. Souvent, elle cache ses yeux noircis par les coups, avec de grosses lunettes noires.

Sa sœur Amandine et son mari Karl, qui connaissent la situation, pour éviter un drame, acceptent de les héberger. Ils exploitent une petite ferme dans un petit village à de nombreux kilomètres de la maison des martyres. Ils sont heureux de les recevoir, les retrouvailles sont chaleureuses, les embrassades interminables. Logan vient d’avoir son bac et compte chercher du travail. Cela tombe bien, car à la ferme le travail ne manque pas. Karl propose un petit salaire, en plus du gîte et du couvert, contre une aide à la ferme.

Doriane et Logan n’en espéraient pas tant, ils sont ravis et acceptent la condition plus que raisonnable. Pour remercier le tonton, et la tante, Logan les embrasse. Doriane embrasse elle aussi son beau-frère, et sa sœur généreux. Les jours passent, l’entente est quasi parfaite. Doriane, avec l’aide de sa sœur, apprend rapidement à traire les vaches. Logan lui s’affaire aux champs avec son oncle, le métier semble leur plaire, ils mettent tout leur cœur à l’ouvrage. le soir à la rentée des champs, Logan aide sa maman à nettoyer l’étable, pendant que la tante prépare le diner, l’oncle nourrit les animaux et étend de nouvelles litières.

Comme chaque jour, après une dure journée de labeur, la douche s’impose. Karl, et son neveux, sont déjà douchés. C’est au tour d’Amandine et de sa sœur, de prendre la suite. C’est inhabituel Amandine, sort de la salle de bain, enveloppée dans une serviette, nouée juste au dessus de ses seins, le tissu éponge lui arrive à mi-cuisses.

Logan écarquille les yeux en la voyant s’approcher. Elle doit obligatoirement traverser le salon pour se rendre à sa chambre. Karl, remarque l’émoi de son neveu, et cela le fait sourire. Il arrête sa femme et dit :

-Tu reluques bien ta tante petit coquin, elle te plait ?

Logan ravale sa salive, et répond timidement sans quitter des yeux sa tante :

-Ouah, oh la vache, elle est magnifique !

Karl éclate de rire et ajoute avec humour :

-Attention petit gredin, si tu touches à ta tante, moi je touche ta maman, alors fais gaffe !

les deux femmes se regardent, et haussent les épaules, en opinant de la tête. Amandine monte dans sa chambre pour se changer. Tous les yeux sont braqués sur elle, la coquine en profite pour se déhancher comme un félin, avant de disparaitre. C’est maintenant Doriane qui entre dans la salle d’eau. Après avoir prise sa douche, elle en sort. Dans la précipitation elle à oubliée de prendre son peignoir, donc elle n’a pas d’autre choix que de sortir, elle aussi, avec sur elle une serviette.

Karl sursaute et siffle d’admiration, Doriane rougit comme une pivoine, elle s’avance lentement et passe devant les deux hommes, elle se sent déshabillée du regard. Elle tente de presser le pas, mais bute sur le bord de la table basse du salon. Malencontreusement, sa serviette se dénoue et tombe sur le sol. Doriane est prise de panique, elle serre les cuisses, plaque ses mains sur ses parties intimes en rougissant encore plus.

Karl ramasse la serviette, et lui tend. Mais avant de la lâcher, il prend le temps d’admirer le corps de sa belle sœur, qui tremble comme une feuille au vent. Enfin elle s’enfuit en courant vers da chambre. Karl regarde son neveu et en faisant une moue dit :

-Ta maman est une bombe, j’ai rarement vu un corps aussi bien fait, honnêtement je me la ferai bien !

Logan le regarde et dit en souriant :

-Attention, si tu touches à ma maman, moi je touche ma tante, fais gaffe !

Karl éclate de rire, il vient de recevoir la monnaie de sa pièce. Les deux femmes réapparaissent, les hommes ne les regardent plus de la même façon. les bougres sont plus aimables avec elles, et tentent de leur faire plaisir à chaque fois qu’elles demandent quelque chose. Le repas se passe merveilleusement bien, Karl dévisage sa belle sœur en lui souriant. Sachant qu’il la vu nu, elle rougit chaque fois qu’elle croise son regard. Logan lui, depuis fantasme sur sa tante, et son imagination est fertile. Il la voit le suppliant de la prendre sauvagement. mais il est vite rattrapé par la réalité, sa tante l’interpelle :

Logan, tu rêves, je suis à côte de toi avec le plat, et cela fait deux fois que je te demande si tu veux que je te resserve !

Logan sursaute et répond :

-Excuse-moi-tante j’étais ailleurs !

Amandine lui sourit, et dépose sur la tête de son neveu un baiser bruyant. Enfin le lendemain c’est samedi, il n’y qu’à s’occuper que des animaux, ils peuvent donc s’attarder devant la télévision. Les femmes vont se préparer pour la nuit, dessus leur nuisette, elles enfilent un peignoir et rejoignent les hommes. Logan se retrouve à côté de sa maman, sur le canapé. Et Amandine sur le bi place avec son mari . Amandine cherche un film, elle ne cesse de zapper. Soudain, elle sursaute, un film porno s’affiche sur l’écran. Tous les yeux se posent sur la télé. Amandine zappe, mais Karl dit :

-Mais laisse le film de cul, cela nous changera, nous n’avons pas souvent l’occasion d’en voir !

Il regarde sa belle sœur et son neveu et ajoute :

-Cela vous dérangent un film porno ?

C’est Logan qui répond :

-Oh non tu penses, remets-le tante !

Doriane reste sans voix, dès le premières images elle ne sait plus ou se mettre, son visage est rouge. Karl éteint la lumière et s’enfonce dans son siège. De temps en temps, il tourne la tête vers sa belle-sœur, dans les lueurs de la télé, il voit qu’elle a les yeux écarquillés et ne loupe pas une image. Elle serre les cuisses autant que ses dents. très gênée Doriane sent sa toison soyeuse s’humidifier. De son côté, Amandine jette un regarde sur son neveu, une bosse énorme déforme son pantalon, cela la fait sourire. Elle aussi serre les cuisses, son abricot perd également son jus. Karl commence à avoir une érection. Il ne peut cacher la bosse qui enfle de plus en plus sur son bas-ventre. Amandine machinalement pose son regard sur l’engin gonflé, prisonnier dans du pantalon. Elle jette un regard vers son mari qui lui fait un clin d’œil.

Discrètement, elle passe sa main sur la bosse et la presse plusieurs fois. Karl se cabre doucement, et pose sa main sur celle de sa femme. le bougre donne à la main de sa femme le rythme adéquate pour une douce masturbation. En s’assurant que sa sœur et son neveu, ont les yeux fixés sur l’écran. Elle agite doucement le manche emprisonné dans son carcan de tissu.

Logan, dans un état d’excitation extrême, sans savoir ce qu’il faisait vraiment, pose sa main sur la cuisse de sa maman. Doriane, se raidit au contact de la main. Elle serre les poings, et reste muette pour ne pas faire attirer l’attention de son beau-frère et de sa sœur. lentement la main glisse par l’ouverture du peignoir, et monte doucement le long de la cuisse. Lorsque qu’elle atteint l’entrejambe, Doriane réagit, elle saisit la main de son fils et la presse fortement pour faire cesser la progression. Les deux se regardent, Doriane fait les gros yeux à son fils. Qui avant de retirer sa main, constate que sa maman mouille terriblement.

Doriane soulagée, respire un peu mieux. Elle détourne son regarde vers sa sœur. elle écarquille les yeux, elle voit dans la faible lueur de la télé la main de sa sœur s’agiter sur le bas-ventre de son beau-frère. Elle n’a aucun doute sur ce qui se passe. Maintenant, elle est plus attirer sur ce qui se passe dans la pièce que par le film. Pour ne pas interrompre sa sœur dans son action, elle souvent elle lance un regard discret vers le couple. Karl a les yeux fermés, il se cramponne au fauteuil. Amandine devient plus audacieuse. En s’assurant que personne ne regarde dans sa direction, fait glisser la fermeture éclaire du pantalon de son mari et extirpe du slip la verge tendue.

Amandine est tellement excité, qu’elle oublie sa sœur et son fils. Elle décalotte le gland et se met à le sucer voracement. les succions sont si bruyantes, qu’elles attirent l’attention de Logan et sa maman, qui regardent sans dire un mot le spectacle. Karl ouvre les yeux, il est au bord de la jouissance. Il croise le regarde des deux voyeurs involontaires, et ne peut retenir un gémissement, lorsqu’il remplit la bouche de sa femme avec sa semence. Amandine avale la semence en déglutissant bruyamment. Soudain elle réagit, d’un geste vit et maladroit, range dans son carcan la verge gluante, et s’enfonce dans son fauteuil. Doriane fait celle qui n’a rien vu, quant à Logan il fixe sa tante en écarquillant les yeux.

le film se termine, Amandine mal à l’aise se lève salue, et monte dans sa chambre. Karl lui est souriant, il referme sa braguette et dit en souriant :

-Eh bien moi, j’ai passé une belle soirée. Il salue à son tour et disparait. Doriane et son fils se regardent un long moment sans dire un mot. C’est Logan qui rompt le silence :

-Tu as vu comme moi maman, tante a bien sucée tonton, je n’ai pas rêvé ?

En ravalant sa salive Doriane répond :

-Non mon chéri, tu n’as pas rêvé, oui elle a bien fait une fellation à son mari !

Logan toujours en érection, et en regardant sa maman, se caresse sans complexe bosse. Doriane, regarde sans quitter des yeux la main qui caresse le monstre cracheur, caché dans sa tanière de tissu. Logan cesse de se caresse, et en se tortillant baisse son pantalon et son slip. Sa verge se détend comme un ressort et oscille sur son bas-ventre. Il la saisit fermement d’une main, est débute une masturbation bien contrôlée. Sa maman reste sans voix devant la verge que son fils agite doucement.

Jamais, elle n’aurait n’imaginé que son fils, pouvait être si bien membré. Bien qu’elle soit rouge coquelicot, elle ne quitte pas du regard l’engin. Logan pose sa main sur la cuisse de sa maman, qui se crispe, elle serre les dents. Tout en se masturbant le coquin fait glisser sa main par l’ouverture du peignoir, et lentement l’approche du jardin d’Eden. Comme hypnotisée, sa maman ne réagit pas, elle se cabre un peu lorsque que les doigts de son fils caressent sa culotte, qui est très humide.

Soudain ils entendent des cris et des gémissements terribles. Karl honore sa femme en la défonçant comme un sauvage, les deux super excités, ne peuvent retenir leurs cris de plaisirs. Doriane sort de son état léthargique, repousse la main de son fils et monte rejoindre sa chambre. En passant dans le couloir, elle ne peut s’empêcher d’écouter à la porte de sa sœur, qui geint comme une bête malade. Un cri terrible la fait sursauter, Amandine vient de jouir. Doriane entre dans sa chambre, ôte son peignoir et se jette sur son lit, elle fixe le plafond, sa respiration est rapide.

Elle passe sa main sous sa nuisette, et se caresse l’entrejambe, que seul la culotte trempée protège. Elle taquine au travers du tissu son clito gonflé, elle le saisit entre son pouce et son index et commence un branlage, qui au fil des minutes devient furieux. Doriane geint, s’agite sur sa couche en se martyrisant le clito. Soudain la porte de sa chambre s’ouvre, c’est son fils qui fait son apparition, sa verge est hors de son pantalon, le gland visqueux de sperme. Ce qui ne laisse aucun doute, le coquin c’est masturbé jusqu’à l’explosion finale, son pantalon en porte encore les traces.

Sa maman les yeux vitreux le regarde s’approcher d’elle. Doriane, semble sur une autre planète, elle continue sa masturbation, sans se soucier de la présence de son fils. Logan s’assied sur le bord du lit et regarde sa maman œuvrer, sa culotte est trempée plus elle agresse son clito plus elle mouille. Logan, lui retire la main, Doriane, yeux écarquillés halète, son bassin est secoué de soubresauts, c’est poings fermés, qu’elle se cambre. Ses yeux lancent des éclairs à son fils, qui ne lui a pas permis d’atteindre son but.

Logan saisit la culotte, et habilement la descend sur les longues jambes de sa maman, qui marmonne des mots inaudibles. Une fois la culotte retirée, Logan la porte à son nez, et la hume longuement avant de ma jeter sur le plancher. Il retrousse bien la nuisette et approche sa main de la vulve en ébullition. Il saisit délicatement la boule de chair hyper gonflée, et la presse doucement comme pour en connaitre la texture.

Doriane est sur une autre planète, lorsque son fils commence un branlage de plus en plus rapide. Soudain, elle prend conscience, se mord le poignet jusqu’au sang en marmonnant :

-Non, non, mon chéri, c’est monstrueux ce que tu nous faisons, non, non, arrête il ne faut pas !

Mais l’excitation est telle, que Doriane n’a pas la force de repousser son fils, qui sans l’écouter, lui branle le clito avec ardeur. Ce qui devait arriver, arriva. La maman se cambre comme un pont et explose en poussant un long râle rauque qu’elle étouffe en se mordant encore une fois le poignet. Son corps retombe lourdement sur le lit, sa respiration et rapide, son souffle court. Son cœur bat se rompre dans sa poitrine, qui se soulève à un rythme saccadé. Logan caresse doucement la vulve qui ne cesse de rejeter sa cyprine. Il dit tendrement en regardant sa maman :

-Comme tu es belle maman, lorsque tu jouis !

Il avance doucement sa tête, entre les cuisses ouvertes de sa maman, qui à beaucoup de mal à retrouver son souffle. Elle s’arque boute, lorsqu’elle reçoit de plusieurs coups de langue sur les grandes lèvres de sa vulve. Logan bien que jeune sait y faire, il aspire les lèvres épaisses, et les suce voracement. Doriane gémit, de plaisir. Son fils vorace lui tète les lèvres, en la faisant geindre comme une bête malade. Cela fait de nombreux mois, que sa vulve était en jachère, et elle en avait presque oubliée les plaisirs sexuels. Doriane redécouvre la vie, mais malheureusement c’est avec la chair de sa chair.

La bouche de son fils la fait délirer, elle grogne, couine, gémit. Lorsque la bouche de l’affamé aspire son clito, elle se cabre et ne peut retenir un cri. Logan, tète, suce la boule de chair comme un bonbon, sa maman est au bord de la syncope. Même pas son mari ne lui a jamais aussi bien sucé le clito. Elle pâme, bafouille
des paroles incompréhensives. Logan lui mord le clito, sa maman se cabre en poussant un gémissement monstrueux, et explose. Sa jouissance est exceptionnelle, elle appuie sur la tête de son fils, qui continue de lui dévorer la boule magique.

Sa langue s’enfonce profondément dans la gaine en surchauffe, et en fouille chaque recoin. Doriane défaille :

-Oh mon chéri, c’est immorale, mais si bon, mon Dieu, je vais encore jouir, oui, oui, ça vient !

Une nouvelle jouissance fait hurler Doriane. Enfin Logan retire ses vêtements, sa queue est tendue comme un arc. Ol regarde sa maman et lui dit :

-Maman fais moi, comme tante à fait a tonton !

Doriane ne peut plus reculer, elle a déjà été trop loin. Elle tend fébrilement la main vers l’engin de son fils, le saisit et commence un doux branlage. Elle l’agite un moment avant de le décalotter, elle l’observe sous toutes ses coutures, puis en poussant un gros soupir, donne sur le gland des coups de langue bien ajustées, avant de le gober. Elle suce et tète, la coquine se prend au jeu, elle s’acharne sur la queue de son fils qui gémit. Il s’avère que Doriane est douée pour les fellations, et cela ne déplait pas à son fils, qui agite son bassin en grognant. Doriane est vite récompensée, elle reçoit un flot de sperme brulant dans la bouche. Elle s’écarte de son fils et avale par petites gorgée la semence onctueuse.

Elle regarde la verge gluante toujours tendue, sa chatte délaissée depuis plusieurs mois, a besoin de pénétration. Logan se place entre les cuisses de sa maman, et approche son mandrin de ma vulve dégoulinante. Il le frotte un instant contre les grandes lèvres gonflées, et lentement, l’enfonce dans la gaine brûlante. Doriane s’accroche à son fils en poussant un long râle rauque. Doriane en soufflant comme un dragon marmonne :

-Oh mon chéri, mon chéri, enfonce bien ta bonne queue dans le ventre à maman, elle en a tant besoin, fais la jouir, encore mon chéri vas-y, vas-y !

Logan encouragé, commence un va-et-vient terrible, il tire sur les hanches de sa maman à chaque pénétration. Doriane, meurt de plaisir, bien que cela soit immorale et incestueux, la coquine agite son bassin en incitant son fils :

-Oh mon chéri c’est trop bon, éclate bien maman, mon dieu je suis une chienne, vas-y, vas-y mon chéri !

Logan la défonce somme un soudard, ses coups de reins sont violents, à chaque coup sa maman sursaute en geignant comme une bête. Les gémissements que poussent les deux amants sont très, très, bruyants. La défonce est terrible, Doriane subit les assauts de son fils en geignant comme une malade. la bite vigoureuse, voyage dans son corps en lui arrachant de grognements inhumains. Jamais son mari ne la défoncé avec autant d’ardeur, elle s’accroche à son amant en donnant des coups de reins violents. Elle sent le gland lui labourer le col de l’utérus avec brutalité. Cela produit sur elle un genre d’hystérie. Elle marmonne, couine, des paroles, qui ne sont pas de son vocabulaire :

-Oh oui, défonce ta putain de maman, éclate lui la chatte à cette grosse salope, fais là encore jouir !

Logan défonce sa maman une bonne partie de la nuit, malgré son jeune âge, comme un amant expérimenté, il l’honore efficacement. Elle jouit plusieurs fois, lui, souvent déverse dans le ventre accueillant de sa maman, sa semence. Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Au petit matin, Doriane depuis qu’elle a repris goût au sexe, n’est plus la même, bien qu’elle est des remords, et qu’elle culpabilise terriblement, elle rayonne de bonheur. Lorsqu’elle croise le regard de son fils, elle lit dans ses yeux qu’il la désir. Elle baisse honteusement ses yeux en faisant une moue. Lui le petit coquin, la déshabille du regard. A chaque occasions, discrètement, il lui donne de petits baisers sur la nuque et le cou. La maman incestueuse, bien que se sachant immorale, n’a pas la force de le repousser, et à chaque fois, elle frissonner.

Après le petit déjeuner, en compagnie de sa sœur, elle va traire les vaches.

Amandine connaissant parfaitement sa sœur, remarque que quelques chose a changé, curieuse, il lui dit :

-Mais qu’est-ce qui se passe Doriane tu sembles être une autre femme depuis hier !

Doriane en baissant la tête dit :

-J’ai honte de se que j’ai fait, Amandine!

-En se raclant la gorge fortement, Doriane avoue !

-J’ai fait une chose horrible, surement excitée, par le film, j’ai cédé aux avances de mon fils !

Amandine sursaute et dit en faisant un large sourire :

-Ouah tu as couché avec ton fils, et tu t’en veux ?

Toujours tête baissée, la sœur répond :

-Ben oui, mais j’avoue que j’ai joui comme jamais avec lui, et lorsque j’y pense, j’ai des pincements au cœur !

Amandine en souriant :

-Oh ma salope, tu aimerais recommencer hein, , je pense qu’il baisse bien, vu comme tu en parles !

Doriane répond :

-Oh oui, il est fougueux et infatigable, sa verge est si puissante qu’à chaque coup de reins j’ai l’impression qu’il me traverse !

Amandine en fronçant les sourcils réplique :

-Oh comme je te jalouse, moi aussi j’aimerais avoir dans mon lit un jeune étalon, là ma salope tu me chauffes !

Doriane répond ;

Tu ne peux pas savoir comme j’ai honte, de moi !

Amandine en souriant répond :

-Je vais m’occuper de ton fils, et lui expliquer que c’est pas bien de coucher avec sa maman, je vais le remettre dans le droit chemin !

Doriane regarde sa sœur et demande :

-Tu veux coucher avec ?

Amandine réplique :

-Après m’avoir ventée ses performances au lit, toi tu baises avec, j’aurai bien tord de ne pas tenter le diable !

Doriane sursaute :

-Mais et ton mari ?

En riant Amandine répond :

-Je vais, me faire baiser par ton petit étalon, et si cela vaut le coup. Eh bien Karl, pourra se joindre à nous, je sais qu’il fantasme de me voir faire l’amour avec un autre, et si tu le souhaites rien ne t’empêche de te joindre à nous!

Doriane reste un moment sans voix, puis en bafouillant réplique :

-Tu, tu, me, me, proposes de, de, faire une partouse, avec vous ?

Amandine ajoute :

-Mais sœurette cela ne dépend que de toi, oh je suis chaude comme un braséro, je vais tester la queue de Logan immédiatement !

Doriane secoue la tête négativement en poussant un gros soupir, elle sait que sa sœur est capable de tout. Après la traite, les deux femmes rentrent, les deux hommes viennent de soigner les animaux, sont entrain de boires un café. Amandine regarde son neveu avec d’autres yeux, elle l’imagine entre les cuisses de sa maman, en la faisant gémir de plaisir, sa culotte s’humidifie. Elle dit en souriant :

-Logan j’ai, besoin de toi dans la grange, lorsque tu auras bu ton café, rejoins moi !

Doriane sursaute, elle se dit sa y est, sa sœur va mettre à exécution son projet, elle n’ose pas intervenir. Une fois dans la grange Amandine attend son neveu. Enfin il arrive, elle lui :

-Alors petit cochon, tu as bien démonté ta maman toute la nuit, tu l’as fait grimpé aux rideau, il parait que tu est très performant Fait voir à tata comment tu baises !

Logan sursaute, elle relève le menton de son neveu avec deux doigts, et lui dit en le regardant droit dans les yeux :

– Elle m’a vantée tes exploits, fais voir comment tu sais te servir de ta queue, petit coquin, regarde tante à déjà retirée sa culotte, elle est nue sous sa blouse, profites- en mon chéri la chatte de tata est brûlante ?

Amandine déboutonne un à un les boutons de sa blouse, et ouvre les deux pans. Logan regarde la touffe soyeuse qui cerne le pubis, les poils sont humides. Les lèvres épaisses bien dessinées, le font saliver. La tante provoquante, s’allonge sur une botte de paille, en ouvrant les cuisses largement. Elle se cambre et dit :

-Viens mon chéri, tata, ne peut plus attendre !

Logan bande comme un cerf en rut. Il retire son pantalon et son slip et s’agenouille face à sa tante. Il hume la vulve un long moment. Le coquin est grisé par le parfum que rejette la chatte. Il plaque sa bouche sur la fente et aspire tout ce qu’elle rejette. La tante geint en appuyant sur la tête de son neveu. Le bougre lui dévore la chatte avec rage, il s’attarde longuement sur le clito qui devient énorme. Il le tète et le suce comme un bonbon. Amandine se cabre :

-Oh la vache continue mon chéri, je comprend ta maman maintenant, vas-y, vas-y, bouffe moi bien !

la langue s’enfonce dans la gaine brulante en arrachant à la tante des gémissements terribles. la coquine se cabre et explose de jouissance. Elle délire :

-Prends -moi, prends-moi, mon chéri !

Logan prend place entre les cuisses de sa tante, et lui enfonce son pieu profondément dans le ventre. Amandine s’accroche en geignant:

-Oui, oui, bourre-moi bien mon chéri, oh comme c’est bon, vas-y,vas-y !

Les coups de reins puissants du jeunot sont dévastateurs, Amandine défaille, elle grogne en donnant elle aussi de terribles coups de reins. la bite gorgée de sang voyage dans ses entrailles en la faisant gémir de plaisir. Sa jouissance est fabuleuse, elle hurle :

-Encore, encore, oh mon Dieu, comme c’est bon !

Logan enfin déverse dans le ventre de sa tante, ce qu’elle cherchait désespérément, sa semence épaisse. Logan retire sa verge du ventre, sa tante se jette sur sa queue gluante, la décalotte, et la gobe. Elle suce et tète, comme une vorace pendant de longues minutes. Logan gémit, de plaisir. Les efforts de la tante, sont vite récompensés, un flot épais de crème onctueuse, lui remplit a bouche. Amandine avale en regardant son neveu, ses yeux pétillent de bonheur, elle dit entre deux souffles :

-Tu es merveilleux mon chéri, j’espère que nous recommencerons souvent, ce moment de plaisir, Karl va être heureux !

Après avoir récupérés, les deux amants se rajustent en entre dans la maison. Doriane croise le regard de sa sœur, la coquine, rayonne de bonheur. Après avoir pris un verre, elle dit :

Karl, toi qui fantasme de me voir faire l’amour avec un autre, je dois t’avouer que je viens de me faire sauter par notre neveu, je t’assure que c’est un sacré bonhomme !

Karl sursaute, yeux écarquillés aux maximums dit :

-Oh la vache tu aurais pu au moins m’inviter, tu as bien joui j’espère !

Amandine en souriant répond :

– Oh oui j’ai joui très fort. Mais mon chéri, nous sommes prêts à recommencer avec toi, et ma sœur aussi, si elle le souhaite. Sache que Logan baise sa maman, elle le l’a avoué !

Karl regarde sa belle-sœur et dit :

-Oh oui, j’aimerais te prendre comme une chienne Doriane, dis oui, je t’en pris !

Karl dévore des yeux sa belle-sœur, il ne peut s’empêcher de dire :

-Doriane tu as un cul d’enfer, j’aimerais l’investir de la queue, hum il doit être bien serré !

Doriane reste sans voix.

Linsee