Bonjour,
Je me suis décidée après plusieurs semaines à lire vos histoires, d’écrire la mienne. Je vais vous raconter une période de ma vie dont je n’ai jamais parlé à personne. Même pas à mon mari. J’avais 19 ans et j’étais dans un établissement scolaire strict en internat. Le directeur était un pervers fétichiste qui prenait un malin plaisir à observer les jeunes filles de son école et quelquefois à aller plus loin avec elles. Mais cela n’a pas été le cas avec moi. Il n’a jamais eu d’autre geste envers moi que celui de me voler ma petite culotte en fin de journée.
J’avais donc 19 ans et j’étais en internat dans cet établissement. Le directeur avait cette réputation de pervers vicieux fétichiste et toutes les filles le savaient. Certaines affirmaient qu’elles avaient eu des relations sexuelles avec lui, mais personne n’en était sûr. Beaucoup de filles disaient cela pour lui nuire ou pour se rendre intéressantes. C’était une école où il n’y avait pas de garçons hormis les surveillants et les professeurs. Un soir, le directeur a fait une inspection surprise dans les chambres. Je partageais la mienne avec une fille que la nature n’avait pas beaucoup gâtée. Le directeur l’a fait sortir et nous étions seuls dans la pièce. Il a fouillé ma chambre et a fini par tomber sur mes sous-vêtements que j’avais jetés dans un coin de la pièce avant de me mettre en pyjama. Il les a attrapés du bout des doigts et a découvert ma petite culotte souillée de la journée. Il l’a reniflée et me l’a confisquée. J’étais tellement abasourdie parce que je venais de voir que je n’ai pas trouvé la force de dire quoi que ce soit.
Le lendemain matin, j’ai profité d’une petite pause entre deux cours pour passer dans ma chambre et me changer. Le nouveau pantalon que ma mère m’avait envoyé me serrait trop. Lorsque je suis entrée dans la chambre, j’ai découvert sur mon oreiller ma petite culotte empruntée la veille totalement propre. Il y avait un petit mot du directeur avec me demandant de le rejoindre entre midi et deux dans son bureau. Je suis retournée en cours, terrifiée. Après avoir réfléchi, je suis allée le retrouver. Il m’a expliqué qu’il adorait les petites culottes portées et que cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas trouvé une odeur comme la mienne. Il m’a fait une proposition que je devais accepter ou refuser avant le la tombée de la nuit. Toute l’après-midi, je ne pensais qu’à ça et je ne savais quoi faire. Il voulait que chaque soir, je passe dans son bureau pour enlever ma petite culotte et la lui donner. Le lendemain, il me la rendrait propre et nettoyée. En contrepartie, j’accédais à quelques privilèges notamment au niveau de la nourriture et des sorties. Après avoir beaucoup réfléchi, j’ai fini par accepter sa proposition.

Chaque soir, à la fin des cours, j’allais dans le bureau du directeur et j’enlevais devant lui, ma petite culotte. Il prenait un malin plaisir à me regarder l’enlever. À aucun moment, je dois l’avouer, il n’a eu aucun geste déplacé. Son trip était vraiment sur les petites culottes sales et le voyeurisme. Je lui remettais en main propre et je partais. Un jour, il m’a dit ce qu’il faisait avec. Il la reniflé, la suçait et se masturber dedans. Il la lavait ensuite à la main avant de me la rendre. Cet homme n’était pas marié et obtenait son plaisir auprès des jeunes filles de l’internat. Avec moi, c’était son côté fétichiste qui était ressorti. Cela a duré toute une année. Chaque soir, je lui donnais ma petite culotte sale. Un jour, il m’a demandé de les garder plus longtemps. C’est ainsi que de fil en aiguille, je suis arrivée à porter certaines de mes petites culottes pendant une semaine entière ! Tout le monde trouvait son compte, moi la première. Il n’y avait pas de relations sexuelles et cela ne me coûtait rien. Au contraire, j’en tirais des privilèges fort intéressants.
À la fin de l’année, le directeur a été muté parce que des filles avaient parlé et des parents s’étaient plaints au rectorat. Du coup, il est parti. Comme cadeau d’adieu, j’ai glissé quelques une de mes petites culottes sales dans son sac. Je n’ai plus jamais eu de nouvelles de lui depuis ce jour. J’ai essayé de le retrouver grâce à Internet, en vain.
Vous êtes les premiers à qui je raconte cette histoire taboue. J’ai aujourd’hui 38 ans et je suis heureuse en ménage. Personne n’est au courant de cette histoire que j’ai gardée secrète et enfouie au fond de moi. Le fait d’en parler me fait du bien. Si par hasard le directeur se reconnaît dans cette histoire, qu’il me laisse un message avec de quoi le contacter, je promets de le faire en souvenir du bon vieux temps.
Liliane, 38 ans Grenoble
très excitante ton histoire taboue. En tant que fétichiste, j’imagine le plaisir qu’il a du prendre. Bises
Le vicieux !!! Mais quand on vous écoute parler, je pense que j’aurai fait la même chose.
En tant que fetishiste jaimerai bien etre a sa place…si tu vend encore tes culottes, je suis pret a ten prendre…
Mail envoyé :)
Tres belle histoire,
jai le meme fantasme,vendez vous encore vos petite culottes ?