Résumé :
Premier contact et premières sensations. Julie accepte un emploi de servante durant l’été. Même si elle s’attendait un peu à ce qui allait lui arriver, les évènements vont la transporter bien au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Cette histoire se déroule quinze ans en arrière et n’est que pure imagination.
1) Le contrat !
J’ai 22 ans. Je m’appelle Julie, je suis brune, mince et fais une taille dans la moyenne. Mes études à la fac n’étant pas encore terminées, je dois me faire un peu d’argent pendant les vacances d’été afin de ne pas dépendre totalement de mes parents. Comme je souhaite aussi prendre un peu de distance avec le cocon familial, je me suis mise à la recherche d’un emploi de jeune fille au pair ou quelque chose d’approchant. Un peu baby-sitter, femme de ménage et femme de chambre.
À force de parcourir des annonces sur Internet, j’ai fini par en trouver une qui me convenait plutôt bien. Après avoir pris contact par mail, le poste me paraissait intéressant, même si, fait inhabituel, le couple se présentant ouvertement comme étant libertin, et d’ailleurs il me demandait si cela ne me choquait pas. En effet, il ne voulait pas que ses habitudes, comme être nus dans la maison, soient modifiées. Par conséquent, il recherchait quelqu’un qui ne serait pas gêné par cela. Comme je suis plutôt du genre déluré et que je suis plutôt curieuse par nature, surtout en ce qui concerne le sexe, j’ai accepté l’offre sans hésiter bien longtemps, d’autant plus que la rémunération était parmi les plus élevées que j’avais trouvées.
Quelques semaines plus tard, le grand jour est enfin arrivé. Le premier vendredi du mois de juillet. Ai-je bien fait d’accepter ? C’est la question que je ne cesse de me poser dans le train qui m’emmène à destination. Après une heure de voyage, je suis enfin arrivée et mon futur patron m’attend sur le quai de la gare. Il s’appelle Éric N. la quarantaine, habillé dans un costume chic et décontracté, il laisse transparaître une certaine classe derrière une apparence bon enfant. Je le suis jusqu’au parking, et je constate alors que son cabriolet sportif est en accord avec son apparence physique. Les cheveux au vent, je profite pleinement des quelques kilomètres qui nous séparent de la maison où je vais passer mes vacances tandis que mon futur patron me décrit la région et ce qu’il fait. Il est responsable marketing dans une société de la région tandis que sa femme est architecte d’intérieur. Leurs enfants, désormais grands, ne viennent plus que ponctuellement à la maison.
Nous arrivons à la maison. Une grande barrière électrique s’ouvre, dévoilant un vaste parc arboré que l’on ne peut voir sinon en raison de la hauteur des murs. Nous nous avançons et je peux enfin voir une belle maison de maître. Après être sorti de la voiture, il m’indique tout d’abord ma chambre. J’y dépose mes bagages et redescends immédiatement pour signer mon contrat de travail.
Mon futur patron a déjà posé plusieurs feuilles sur la table du salon. Je ne m’attendais pas à devoir lire un contrat aussi imposant. Il m’explique alors qu’étant donné les mœurs libertines de sa femme et lui, il préfère préparer un contrat qui spécifie clairement les limites de mon travail et les limites de leur comportement. Après tout je trouve cela plutôt sain. C’est donc l’esprit rassuré que je commence la lecture.
Tandis que je parcours les feuillets, assise sur le canapé en cuir, il s’est placé derrière celui-ci pour relire avec moi le texte. Rapidement, je retrouve de façon développée, divers points qui ont déjà été évoqués lors de nos échanges par mail. Adeptes du naturisme, ils considèrent comme normal d’être nus chez eux. Il est possible qu’ils se caressent en ma présence, voire plus, mais ils ne m’obligent pas à y assister, ni à y participer. Ils peuvent recevoir des amis qui partagent les mêmes goûts qu’eux. Il est probable que je les accompagne à la plage, dans ce cas, je devrais pratiquer le naturisme. Leurs enfants, un garçon et une fille, qui sont maintenant majeurs, viennent de temps en temps à la maison. Je n’ai pas à m’inquiéter de faire une gaffe quant aux mœurs de leurs parents, car ils sont au courant. Globalement, les règles des parents s’appliquent également à leurs enfants, donc eux aussi risquent de se balader nus. À noter que je peux à tout moment d’aller au-delà des limites qui me sont accordées, en revanche, ils ne peuvent m’obliger à le faire contre mon gré.
Pendant que je lisais le texte, mon futur patron a posé ses mains sur mes épaules. Je tressaille, mais la douceur du contact de ses doigts me rassure.
« Je suis ostéopathe. J’ai remarqué que vous étiez un peu tendue ».
« C’est vrai mas ce contrat est plutôt inhabituel ».
Il continue de me parler tout en me massant le cou.
« Laissez-vous faire, ça ira mieux ? Respirez profondément. Ce contrat ne fait que formaliser ce que nous avions déjà convenu par mail ».
« En effet. C’est peut-être me fait de tout lire en bloc qui me rend nerveuse ».
« Peut-être. Relaxez-vous. Détendez votre cou, que je puisse agir sur votre système nerveux ».
Je continue donc ma lecture, il y est fait mention de ma tenue. Je devrais ranger mes vêtements et sous-vêtements personnels pour toute la durée de mon séjour car des vêtements de fonction me seront fournis : jupes, chemisiers et tabliers. Je suis arrivée au bout du texte, il ne me reste plus qu’à le signer tandis que mon patron commence à me masser le cou. Est-ce qu’il a le droit ou pas ? Je ne sais plus, j’ai l’impression d’avoir survolé certains paragraphes. Je n’ai toujours pas signé mais lui se fait de plus en plus pressant, ses mains parcourent mes épaules et mon dos à travers mon t-shirt. Il vient de heurter les bretelles de mon soutien-gorge et les soulève pour les faire claquer sur ma peau. Va-t-il enfin arrêter ? La porte du salon s’ouvre, c’est sa femme. Je me sens soulagée, il va enfin s’arrêter. Mais en fait, il n’en est rien, elle reste à distance et regarde son mari me tripoter. Alors que je suis en train de me demander jusqu’où il ira, il s’adresse à sa femme :
« Je te présente notre nouvelle jeune fille au pair. Enfin, elle n’a pas encore signé ».
Sa femme s’avance, une grande brune au physique sportif et au teint bronzé. Elle porte un tailleur chic et des escarpins à talons hauts. Je me lève pour la saluer tandis qu’elle s’adresse à moi.
« Enchantée, je me prénomme Christine, j’espère que vous vous plairez ici ».
Elle me tend la main pendant que je balbutie ma réponse. Je fais une tête de moins qu’elle, ce qui la rend assez imposante.
« Bonjour Madame. Je m’appelle Julie ».
« Bienvenue Julie ».
Son mari intervient alors.
« Attends, elle n’a pas encore signé. Peut-être qu’elle n’acceptera pas nos conditions. D’autant plus qu’elle porte un soutien-gorge ».
Je m’interroge. Qu’est-ce que vient faire mon soutien-gorge là-dedans ? Elle reprend alors la parole pour m’éclairer.
« Évidemment. Voyez-vous, ici, on ne porte pas de soutien-gorge ».
Et pour donner plus de poids à ses propos, elle déboutonne sa veste de tailleur et l’entrouvre sans hésitation. Comme les mannequins des magazines de mode, elle ne porte rien dessous, pas de chemisier et même pas de soutien-gorge. Sa poitrine nue est en liberté sous sa veste. Ses seins sont de petite taille, pas étonnant qu’elle n’ait pas besoin de les maintenir en place. Ses tétons pointent effrontément. Son corps est magnifique, la pratique du sport lui a certainement permis de rester jeune malgré les années écoulées.
Elle reprend alors la parole tout en me regardant droit dans les yeux, ses mains posées sur ses hanches maintiennent sa veste grande ouverte. Sa poitrine dénudée, provocante et impudique, me subjugue tandis que son mari a trouvé l’agrafe de mon soutien-gorge à travers mon t-shirt.
« Alors ? Qu’est-ce que vous décidez ? »
Je ravale ma salive. Je suis en train de décider de mon destin pour les deux mois à venir. Après tout, ça m’est déjà arrivé de ne pas porter de soutien-gorge. Surtout en été, avec des débardeurs. Alors pourquoi pas. Ma poitrine n’est pas très imposante, je dois pouvoir me passer de soutien-gorge pendant deux mois.
« C’est d’accord ».
Éric n’attendait que ce signal pour dégrafer mon soutien-gorge. Je le retire prestement par-dessous mon t-shirt, ne désirant laisser à mon patron le soin de le faire à ma place. Sa femme me répond alors :
« Bravo. Vous êtes tellement plus sensuelles ainsi. Je peux enfin voir vos seins bouger sous le tissu de votre vêtement. Vos tétons, excités par la caresse de l’étoffe, pointent effrontément. C’est beau et sensuel ».
Ses paroles me troublent. Elle dégage une incroyable sensualité qui me subjugue. Quant à son mari, il continue à me palper le cou et les épaules, des frissons me parcourent. Une vague de bien-être emplit progressivement mon corps. Je ne suis plus moi-même. Et lorsqu’elle me propose de signer le contrat, j’accepte sans même hésiter un instant de plus. J’ai l’impression d’être dans un autre monde. Rêve ou réalité, je ne sais plus très bien où je suis, les limites me semblent si floues.
2) L’installation !
Encore sur mon nuage, je monte jusqu’à ma chambre pour ranger mes bagages. Mes tétons ne cessent de pointer à cause de la caresse de mon t-shirt. Et dire que je vais rester deux mois comme cela. Je retire mon t-shirt pour me mettre à l’aise, face au miroir de l’armoire, j’en profite pour admirer ma poitrine, qui n’est pas très importante mais bien ferme. C’est alors que l’on frappe à la porte, avant que je n’aie pu dire quoi que ce soit elle s’ouvre et ma patronne entre dans ma chambre sans hésiter. Sa veste de tailleur est encore déboutonnée, elle s’adresse alors à moi tout en contemplant mes seins.
« Vous alliez vous changer ? Continuez donc ».
Après un bref instant d’hésitation, je me rappelle que la nudité est naturelle dans cette maison. J’ôte alors mon pantalon avant de m’adresser à elle.
« Voilà, c’est fait. Je vais pouvoir enfiler ma tenue de travail ».
« Pas tout à fait. Vous devez ranger tous vos vêtements et sous-vêtements personnels ».
« Tous ? »
« Oui, tous ».
Je m’exécute alors, m’efforçant de rester de côté pour ne pas dévoiler mon intimité et ma toison pubienne à ma patronne. Une fois ma culotte rangée, je m’approche de la commode sur laquelle une tenue de service a déjà été posée. Sur le dessus est posé un chemisier blanc. Je le prends et l’enfile à même la peau puisque je ne mettrai pas de soutien-gorge. Le tissu est vraiment léger, et même un peu transparent, je m’en rends compte en m’observant dans le miroir. On devine légèrement mes seins, quant à mes aréoles et mes tétons, ils sont bien visibles. Bon, il y a aussi un tablier, il me couvrira certainement la poitrine. Je l’écarte, ainsi que la jupe, à la recherche d’un sous-vêtement, sans succès. Je m’adresse alors à la patronne.
« Veuillez m’excuser, Madame, les culottes sont-elles rangées dans un tiroir ? »
« Non. Il n’y en a pas. Ce n’est pas nécessaire ».
« Je n’ai pas de culotte ? »
« Non. C’était écrit sur le contrat. Vous rangez tous vos vêtements et sous-vêtement personnel et nous vous fournissons votre tenue de fonction : chemisier, jupe et tablier ».
à bien y réfléchir, c’est bien ce qui était écrit, mais je ne l’avais pas vraiment interprété ainsi. Bon. Je n’ai pas trop le choix. Je me saisis donc de la jupe noire et l’enfile, elle n’est pas très haute. Déjà que mon chemisier s’arrête à la taille, dévoilant mon nombril lorsque je lève les bras, la jupe, quant à elle descend au-dessus des genoux, et sans culotte dessous. Espérons que le tablier soit assez grand. J’aurais dû m’en douter, il est assorti au reste de ma tenue, ce n’est donc qu’un simple carré de tissu blanc attaché à ma taille et qui est plus court que la jupe. Je pense qu’il va falloir une période pour m’habituer à cette nouvelle tenue. Enfin bon, après tout, c’est bien ce que je recherchais lorsque j’ai opté pour cette place, je décide donc d’assumer mon choix et termine d’ajuster ma tenue. Ma patronne me fait alors tourner sur moi-même pour m’admirer sous toutes les coutures.
« Cette tenue vous va à ravir ».
« Merci Madame ».
« Terminez de vous installer. Je vous attends en bas à 19 heures ».
Elle quitte alors la pièce non sans me mater une dernière fois avant de refermer la porte.
Le calme est revenu dans la chambre et dans mon esprit. Je prends alors le temps de m’admirer dans le miroir, c’est vrai que je suis plutôt excitante dans cette tenue. Je me surprends à me caresser les seins à travers le tissu de mon chemisier tout en m’observant. La caresse du tissu à même la peau a rendu mes tétons tout durs, je ne peux résister à l’envie de jouer avec eux, les faisant rouler avec délice entre mes doigts. Un torrent de plaisir traverse soudain mon corps. Je ne pensais pas pouvoir ressentir de telles sensations, juste en me caressant.
Je place ensuite une chaise face à la glace et m’assieds dessus. Jambes croisées, décroisées, j’observe avec curiosité mon entrejambe. Je me suis inquiétée pour rien, il n’est pas possible de voir mon intimité malgré l’absence de culotte. Après tout, j’ai déjà porté des jupes plus courtes que cela, sans me soucier de savoir si l’on voyait ma petite culotte ou pas. Évidemment, si j’écarte carrément les cuisses je peux aisément voir mes poils pubiens mais aucune jeune fille ne prendrait une posture aussi indécente.
Mes tétons sont toujours aussi durs sous la caresse du tissu du chemisier. Le désir monte à nouveau en moi. Est-ce ma tenue qui m’excite ainsi ? Mes cuisses toujours écartées m’attirent. Je ne résiste pas à l’envie de me caresser. Une main entre mes lèvres, l’autre sur mes seins, il ne me faut que quelques secondes pour qu’une nouvelle onde de plaisir me submerge. Cela me rappelle la sensation que j’ai ressentie tout à l’heure lorsque mon patron me massait le cou et les épaules. Est-ce que sa palpation aurait éveillé en mon corps des sensations nouvelles ? Je ne sais pas, mais en tout cas, c’est extrêmement agréable.
Il est temps de ranger mes affaires personnelles dans l’armoire. Je ne peux résister à l’envie de dire au revoir à mes sous-vêtements pour les deux mois à venir, sauf le lundi, jour de repos. Cela ne fait que dix minutes mais je commence déjà à m’habituer à ne plus porter de culotte. Finalement, c’est assez agréable, l’air me caresse délicatement le sexe tandis que le chemisier m’effleure agréablement les seins.
3) La fille !
Je viens de finir de tout ranger lorsque l’on frappe à nouveau à la porte. Cette fois-ci j’ai le temps de dire d’entrer. Un nouveau visage se présente dans l’embrasure. La jeune brunette qui vient d’entrer dans ma chambre est la fille de mes patrons, elle se prénomme Charlotte. Elle vient de finir sa journée de cours, après avoir discuté de diverses choses, elle me demande tout naturellement si je sais prodiguer des massages.
Comme cela m’est arrivé et que personne ne s’est jamais plaint, je lui réponds par l’affirmative. Elle retire immédiatement son t-shirt, elle ne porte pas de soutien-gorge, comme sa mère. Elle a de tout petits seins, mais ce qui m’étonne le plus, ce sont ses grosses aréoles foncées et ses tétons qui pointent effrontément. Rien que de les voir, cela me donne envie de les sucer, pourtant je n’ai jamais fait cela avec une autre femme. Sans plus attendre, elle s’allonge sur mon lit. Je commence donc par lui masser les omoplates, la colonne vertébrale, les épaules. Apparemment, ce que je fais lui plaît car je la sens se détendre progressivement.
Au bout de quelques minutes, alors que je suis sur le point de cesser, elle me demande de descendre jusqu’aux reins. Pour y parvenir, je fais glisser la fermeture éclair qui maintient sa jupe fermée, me dévoilant alors ses magnifiques fesses rebondies. Je constate alors qu’elle ne porte pas de culotte. Je marque alors un temps d’arrêt sous l’effet de la surprise, elle devait s’y attendre et entame immédiatement la conversation sur le sujet.
« Ça te surprend que je ne porte pas de culotte ? ».
« Oui, un peu ».
« C’est une question d’habitude. Je me sens mieux comme cela. Maman non plus n’en met pas. C’est un style de vie chez nous, tu ne le savais pas ? »
« Non, mais je comprends mieux pourquoi je n’ai pas de culotte dans ma tenue ».
Tout en discutant, j’ai repris mon massage, m’occupant avec application de ses reins. Satisfaite, la jeune femme se relève et quitte mon lit. Sa jupe tombe alors au sol, révélant impudiquement son sexe totalement lisse. Alors que je me relève à mon tour, elle s’approche de moi, totalement nue, et passe ses mains autour de ma taille, je me laisse faire, ma respiration s’accélère, je sens que mes tétons se durcissent. Elle laisse alors remonter ses mains lentement et langoureusement jusqu’à atteindre mes seins. Elle se met alors à les caresser tendrement avec admiration.
« Tu as de beaux seins, tu sais ? »
« Ta mère me l’a dit aussi ».
« Elle a bon goût. Elle t’a caressé les seins ? »
Je suis surprise d’une telle question mais je m’efforce d’y répondre aussi naturellement que possible.
« Non ».
« Je peux ? »
« Je peux aussi ? »
« Bien sûr ».
Une telle invitation ne se refuse pas, d’autant plus que j’ai envie de lui peloter la poitrine depuis que je l’ai vue. Ses tétons sont en train de durcir sous l’effet de mes caresses. Pendant ce temps, elle a déboutonné mon chemisier, et après les avoir palpés à son tour, elle se met à me lécher et me mordiller les seins. Mes tétons deviennent de plus en plus durs tandis que je sens des picotements m’envahir.
Elle retourne alors s’allonger sur mon lit, mais cette fois sur le dos. Je reprends donc mon massage, mais cette fois-ci je m’occupe de sa poitrine, la caressant langoureusement avec application. Comme je me suis placée à côté d’elle, les jambes écartées, pour prodiguer mon massage, elle profite de ce que je suis à sa merci pour soulever ma jupette et mater sans discrétion mon entrejambe offert à son regard. Ce qu’elle me dit alors me déstabilise encore un peu plus.
« Tu ne te rases pas le sexe ? »
« Ben non. Pour quoi faire ? »
« Pour le plaisir que ça procure. Tu n’as jamais essayé ? »
« Ben non »
« Alors c’est l’occasion d’essayer »
« Pour quoi faire ? »
« Parce que c’est mieux. Et puis aussi parce que tôt ou tard mes parents te demanderont de le faire. Ici, tout le monde le fait. Alors, autant que ce soit moi qui t’aide à le faire ».
« Tu veux m’aider à me raser le sexe? »
« Ben oui. Ce sera plus facile avec tous tes poils. En plus, je sais où sont rangés les ciseaux et la tondeuse. Ce sera plus pratique ».
Résignée, j’ôte mes vêtements et je me laisse guider jusqu’à la salle de bains. C’est une vaste pièce, dotée d’une baignoire d’angle balnéo et d’une grande douche avec jets hydromassants. Pendant que Charlotte est en train de sortir les outils nécessaires, elle m’invite à m’asseoir dans le coin de la baignoire. Je me retrouve donc les cuisses écartées, dévoilant sans pudeur mon intimité à une jeune femme que je ne connaissais même pas il y a une demi-heure. Sans plus attendre, elle met sa tondeuse en marche et se met à couper grossièrement toute ma toison pubienne. Lorsque ceci est terminé, elle me confie la bombe de mousse à raser pour que je me charge de l’étaler. Ceci fait, elle prend le rasoir en main et commence à me raser le sexe, d’abord le pubis, puis les lèvres. Lorsqu’elle à enfin terminer, elle fait couler la douche, mes poils pubiens tout blonds s’écoulent au fond de la baignoire. Je regarde mon sexe, il est dorénavant totalement nu, je me sens encore plus impudique.
Charlotte, qui est face à moi, a elle aussi les cuisses écartées, son sexe lisse s’offre à mon regard. Je ne peux m’empêcher de l’interroger.
« Mais pourquoi il faut que je me rase le sexe ?
« Déjà parce que c’est plus esthétique, ensuite parce que c’est plus hygiénique, et enfin parce que c’est tellement plus agréable ».
Joignant le geste à la parole , elle porte la main sur sa fente et commence à se caresser, m’invitant à faire de même. Je me caresse aussi, face à elle, et c’est vrai que je ressens immédiatement un immense plaisir à parcourir mes lèvres dorénavant toutes douces.
« Et toi, ça fait longtemps ? »
« Oui. Ça m’est venu tout naturellement. À la puberté, je n’ai pas compris pourquoi j’avais des poils qui poussaient sur mon pubis alors que maman n’en avait pas. Je lui ai posé la question et elle m’a simplement expliqué qu’elle s’était fait épiler définitivement au laser. J’ai rapidement eu envie de faire pareil, mais ce n’était pas possible avant mes 16 ans. L’été arrivait et je ne m’imaginais pas faire du naturisme avec un sexe poilu, alors je me suis rasée en attendant.
« Tu t’es rasé le sexe si jeune ? »
« Je n’étais pas la seule à le faire, j’ai pu le constater au camping et ça m’a confortée dans mon choix. Maintenant que je suis épilée au laser, je n’ai plus à m’en occuper. En plus, comme je ne porte pas de culotte, c’est plus direct que si j’avais gardé mes poils bruns.
« Et tu ne portes jamais de culotte ? »
« Il m’arrive quand même d’en mettre avec certains pantalons, surtout les jeans, mais c’est surtout parce que c’est encore moins agréable sans culotte. De toute façon, je préfère porter des jupes ou des robes. Déjà, que je n’ai jamais porté de soutien-gorge, j’ai aussi perdu l’habitude de mettre une culotte, déjà que je n’en mettais pas à la maison. Lorsque j’ai compris que maman n’en mettait jamais, j’ai naturellement fait pareil et elle m’a laissé faire.
« Tu n’as jamais mis de soutien-gorge ? »
« Pour quoi faire, tu as vu ma poitrine ? Je n’ai pratiquement pas de seins. Je pratique la natation depuis l’âge de mes 6 ans et le karaté depuis que j’ai 12 ans. J’ai développé mes muscles plutôt que ma poitrine ».
« C’est donc pour ça… »
« Et puis aussi un peu d’hérédité, je pense. Si ma mère avait des gros seins, je pense que j’en aurais aussi. Mais je préfère être comme je suis, c’est plus pratique pour le sport. En plus, au karaté, je ne mets pas de soutien-gorge sous mon kimono, je n’en ai pas besoin, et cela déconcentre mes adversaires ».
« Tu ne mets pas de culotte non plus ? »
« Bien sûr que non. Ce n’est pas comme pour la natation. Là, je suis obligée de mettre un maillot de bain, qu’est-ce que c’est pénible, d’autant plus que je n’en mets pas le reste du temps. Quel bonheur de faire du naturisme, tu en as déjà fait ? »
« Non »
« Tu vas voir, c’est super »
« Tu penses que je vais en faire ? »
« Avec mes parents, c’est certain »
« Bon »
Pour terminer, Charlotte sort une serviette du placard. Plutôt que de me la donner, elle préfère m’essuyer elle-même. Ses mains parcourent langoureusement mon corps. Pour finir, n’y tenant plus, elle laisse tomber la serviette et me caresse les seins, les pétrissant tendrement avant de se mettre à me sucer les tétons tout en me masturbant d’une main. Elle quitte alors la salle de bains, me laissant reprendre lentement mes esprits.
Quelques minutes ont passé durant lesquelles mon esprit enfiévré a fait le point sur les évènements sensuels de ces dernières heures. Calmée, je quitte la salle de bains, nue. C’est alors que je croise ma patronne, toujours vêtue de son tailleur. J’en suis surprise et gênée, j’essaye même maladroitement de masquer mon intimité au moyen de mes mains, mais sans succès. Elle prend alors la parole tout en me souriant.
« Ne t’en fais pas, nous aussi, nous allons nus à la salle de bains ».
Puis elle contemple mon pubis dorénavant tout lisse.
« Je vois que tu t’épiles, c’est très bien ».
« En fait, c’est votre fille qui m’a dit de le faire ».
« Elle a bien fait. C’est mieux ainsi ».
À suivre !!
Julie
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Excellent vivement la suite! Merci Julie de ce trèèèèèèès bon moment