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Le journal de Julie, jeune fille au pair Chapitre 2

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4) Premier service !

Je retourne jusqu’à ma chambre, espérant quand même ne pas croiser mon patron en cours de route. L’heure du repas approche, je ne veux pas être en retard. L’avantage avec ma tenue minimaliste, c’est que je peux m’habiller rapidement. Le temps de boutonner mon chemisier, enfiler la jupe et nouer mon tablier et je suis prête. Une minute plus tard, je redescends au rez-de-chaussée. L’air entre sous ma jupe et caresse mon sexe tout nu tandis que le tissu de mon chemisier transparent ne cesse de caresser mes seins. Toutes ces stimulations font effrontément pointer mes tétons, je suis certaine que cela se remarque à dix mètres et cela m’embarrasse quelque peu.

Mon patron ne tarde pas à arriver, il a tombé la veste mais ne s’est pas changé, au contraire de ma patronne, qui s’est vêtue d’un peignoir de soie noir, magnifiquement assorti à ses cheveux bruns. Je devine la pointe de ses seins sous le tissu et je n’ai donc aucun doute sur le fait qu’elle est nue dessous. Peu de temps après, c’est au tour de leur fille de pénétrer dans la salle à manger. Elle aussi s’est changée, elle porte maintenant un débardeur qui moule délicieusement sa poitrine et une jupe ample qui descend jusqu’aux genoux.

Il est 19 h 30, je commence le service sans plus attendre. Durant tout le repas, je n’arrête pas de me sentir regardée par tous, surtout mes seins. Lorsque je me penche en avant pour servir les plats, ils ballottent et tendent le tissu, ce qui les rend encore plus visibles. En plus, avec la caresse du tissu, mes tétons ne cessent de pointer avec provocation. Cette situation finit malgré tout par devenir assez excitante, j’apprécie vraiment d’être le centre d’intérêt. Je me sens belle et désirable.

La table rangée et la vaisselle lavée, mon service est maintenant terminé. Je remonte jusqu’à ma chambre assez épuisée de cette première journée. Je ferme immédiatement ma porte, mes mains se portent immédiatement sur mes seins. Mes tétons toujours aussi durs, mais je peux maintenant les toucher. Quel plaisir de les caresser, cela fait maintenant deux heures que je suis excitée et je peux enfin me faire plaisir. Mes mains s’aventurent aussi sous ma jupe. Je découvre avec plaisir l’avantage de ne pas porter de culotte, mon sexe est immédiatement accessible. Et en plus il est tout doux, intégralement rasé. Quel bonheur de pouvoir me caresser enfin.

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Sans prendre le temps de me déshabiller, mais est-ce nécessaire vu le peu de vêtements que je porte, je m’allonge sur le lit, la jupe relevée, je me masturbe d’une main tandis que je me caresse les seins de l’autre. Mes tétons sont toujours aussi durs, ils finissent même par en être douloureux, mais totalement surexcitée, je ne résiste pas à l’envie de les faire rouler entre mes doigts. Je ne tarde pas à jouir. Une jouissance si intense que des picotements traversent tout mon corps et que des étoiles envahissent mon regard.

Je reste alors plusieurs minutes allongée à reprendre mes esprits. Lorsque je me relève enfin, c’est pour me déshabiller. Je sors un pyjama de ma valise, après avoir porté pendant plusieurs heures une tenue somme toute assez sexy, mon pyjama en coton me paraît complètement ridicule. Je ne sais pas ce que j’ai, mais je regrette presque de ne pas avoir emporté une nuisette dans mes bagages.

Je sors aussi un paquet de mouchoirs et ouvre le tiroir de la table de chevet pour le ranger dedans. Le tiroir n’est pas vide, il y a deux boîtes dedans. La plus petite est à l’évidence un paquet de préservatifs. Je l’ouvre par curiosité. Il y en a douze, le paquet est donc neuf. Est-il là par hasard ? Un oubli d’une précédente jeune fille ? Ou bien a-t-il été placé ici à mon intention par mes patrons ? Je les range et ouvre avec curiosité l’autre boîte, toute en longueur. J’en sors un godemiché en latex, également neuf, puisque encore dans son emballage de cellophane. Curieuse de le prendre en main, je le déballe. La texture est vraiment réaliste. Le membre, d’une belle dimension, me fait envie, je baisse mon pantalon de pyjama, m’allonge à nouveau et commence à me l’introduire dans la chatte. C’est alors que je mets le contact par accident, il s’agit d’un gode vibrant, je peux même régler sa vitesse au moyen d’une molette. Mon plaisir monte assez vite et je jouis pour la deuxième fois de la soirée pour mon plus grand plaisir.

Finalement, assez épuisée par mes deux jouissances consécutives, je ne tarde pas à m’endormir, non sans m’être débarrassée de mon pyjama, il fait assez chaud et finalement je ressens bien plus de plaisir à dormir nue, la peau caressée par les draps.

5) Douche matinale !

Le lendemain matin, mon réveil peine à me réveiller. C’est, encore somnolente que je me traîne toute nue jusqu’à la salle de bains. Je suis même tellement dans les nuages que je ne m’aperçois pas qu’elle est occupée, mais la porte n’était pas fermée à clé. L’eau coule dans la douche, je comprends alors que mon patron est en train de se laver. Il vient de remarquer ma présence, mais cela ne semble nullement le gêner, malgré la large porte de douche entièrement transparente. Je commence à reculer pour quitter la salle de bains et c’est alors que je heurte sa femme qui vient d’entrer à son tour. Je me retourne, elle est nue aussi, elle s’avance et referme la porte derrière elle, toujours sans la verrouiller.

« Tu attends pour prendre ta douche ? »

« Oui »

« La douche est assez grande pour nous trois. Viens donc ».

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Christine ouvre la porte et m’invite à y pénétrer d’un geste doux et autoritaire à la fois. La cabine fait près de deux mètres de large. Il y a trois colonnes de douche indépendantes, ainsi que des jets hydromassants. Son mari est en train de se rincer. Je ne peux m’empêcher de le mater discrètement, profitant qu’il a les yeux fermés à cause de l’eau qui coule sur son visage. Ce qui me surprend le plus, c’est que lui aussi a le sexe intégralement épilé. Quelle drôle de famille. Ce sexe d’homme tout lisse me fascine, un peu trop d’ailleurs, car je comprends un peu tard qu’il a rouvert les yeux. Il me regarde avec complaisance, J’ai l’impression qu’il apprécie que je mate son sexe.

Je commence alors à me laver, histoire de penser à autre chose. Mon patron quitte alors la douche et ne tarde pas à quitter la salle de bains tandis que sa fille vient d’y entrer. Elle pénètre immédiatement dans la douche et commence à se laver à côté de moi tandis que sa mère en sort. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons seules dans la salle de bains. Charlotte s’approche alors de moi et commence à me caresser sans hésitation tout en me parlant.

« Je n’ai pas cessé de penser à toi, hier soir. J’ai même dû me masturber pour me calmer et réussir à m’endormir ».

Je lui réponds très spontanément tout en lui rendant ses caresses.

« Moi aussi. Je n’ai pas arrêté d’être excitée, même pendant le repas ».

« À cause de ta tenue ? »

« Je pense que oui. Je me suis masturbée dès que j’ai pu être seule. Et puis encore une autre fois plus tard. Au fait, j’ai trouvé un godemiché dans la table de nuit, c’est normal ? »

« Je crois que oui. Demande à ma mère, elle te donnera des précisions ».

L’excitation nous gagne, nous cessons alors de discuter tout en continuant de nous caresser mutuellement. Nos mains descendent progressivement jusqu’à notre intimité. Je commence à caresser les lèvres de Charlotte pendant qu’elle se met à introduire ses doigts entre les miennes. L’excitation nous gagne de plus en plus, je lui introduis trois doigts tandis qu’elle fait de même. Nous nous masturbons mutuellement avec frénésie. Notre plaisir monte encore. Nous ne tardons pas à jouir ensemble tandis que ma partenaire se permet de déposer tendrement un baiser sur mes lèvres.

Lavée et séchée, je retourne jusqu’à ma chambre. Je sors de l’armoire un chemisier et une jupe. Je viens à peine de le boutonner que l’envie de me caresser les seins monte en moi. Cette tenue provocante m’excite de plus en plus. Je dois cependant refréner mes pulsions car mon service va commencer.

Je descends alors au rez-de-chaussée pour prendre mon petit déjeuner. Après avoir placé les bols dans le lave-vaisselle, je nettoie la table et je range la cuisine. C’est alors que ma patronne entre dans la pièce, elle s’adresse à moi avant de partir travailler, me donnant quelques directives pour la matinée. Elle termine par une question plus intime.

« Alors, tu as trouvé la petite surprise dans le tiroir de ta table de nuit ? »

« Euh… Oui »

« Tu l’as essayée ? »

Je me sens assez gênée de cette question très directe, mais je m’efforce d’y répondre objectivement.

« Oui »

« Et tu l’as appréciée ? »

Là, la question devient vraiment très intime.

« Oui »

« Eh bien figure toi, que c’est un modèle réalisé à seulement trente exemplaires. C’est une fabrication artisanale. Le modèle a été moulé directement sur le sexe de mon mari ».

La décontraction avec laquelle elle me dit cela me déstabilise quelque peu. Je comprends soudain que je me suis laissé pénétrer par une copie de la bite de mon patron.
Comme je ne dis rien, elle reprend la conversation sans plus attendre.

« En fait, c’est un peu comme si tu avais fait l’amour avec mon mari. Puisque tu l’as apprécié, cela me fait plaisir aussi ».

Elle me quitte alors me laissant dans l’expectative. Que dois-je comprendre de tout ceci ?

6) Repas et sieste !

Charlotte est partie chez son copain pour le reste du week-end. Je me retrouve donc seule avec ses parents. Une légère appréhension m’envahit, mais finalement le repas se passe normalement, je commence même à m’habituer à ma tenue. Encore quelques jours ainsi, et je n’y ferai peut-être même plus attention.

Après le repas, mes patrons vont s’allonger sur le canapé du salon pour regarder la télé. Pendant ce temps-là, je remplis le lave-vaisselle, nettoie la table et passe un coup de balai dans la cuisine et la salle à manger. C’est alors que je commence à entendre des gémissements. Je m’approche de la porte du salon. Celle-ci est restée entrebâillée, je peux donc facilement voir ce qui s’y passe. Une curiosité malsaine me gagne, je regarde discrètement. Mon patron est en train de prendre ma patronne en levrette sur le canapé. Je les regarde, excitée, l’envie de me masturber monte en moi. Ma tenue me le permettant facilement, je n’hésite pas bien longtemps et je commence à me caresser la fente et le clitoris tout en continuant à les regarder faire.

Attendait-il ce moment ou n’étais-je pas assez discrète ? En tout cas, Éric remarque immédiatement que je les observe. Alors je viens d’effectuer un mouvement de recul dans l’espoir de passer inaperçue, je l’entends qui m’appelle.

« Julie, ne t’en va pas. Puisque tu nous regardais, entre donc, tu nous verras mieux ».

Je pénètre alors dans le salon, je sens que mes joues deviennent rouges. Il me fait alors signe de m’asseoir sur un des sièges qui font face au canapé. Je m’exécute tandis que mes patrons reprennent leur coït sous mes yeux. Au bout de quelques instants, il s’adresse à nouveau à moi.

« À ce que je sache, tu étais en train de te caresser tout en nous regardant. Tu peux continuer, n’hésite pas ».

Malgré sa voix très douce, cette proposition sonne comme un ordre. Mais après tout, pourquoi ne pas continuer de me caresser tout en les regardant faire. Je reprends donc ma masturbation. Rapidement l’excitation monte en moi et mon clitoris ne me suffit plus, je m’introduis deux doigts dans la chatte, quel plaisir de se caresser devant un tel spectacle. Ma patronne gémit de plus en plus fort, son mari aussi. Tout en faisant l’amour, ils me regardent régulièrement et me sourient. Je sais qu’ils matent ma chatte, cela m’excite encore plus et je m’introduis un troisième doigt tout en gémissant à mon tour. Je me caresse aussi les seins à travers mon chemisier. Mes tétons sont durs. À chacune de mes caresses, des ondes de plaisir traversent mon corps. Je les pince, je les fais rouler entre mes doigts, tout en continuant de me masturber de mon autre main.

Soudain, Éric se met à gémir plus fort. Il est en train de jouir. Christine aussi crie son plaisir. Il se retire alors d’elle. Je peux enfin voir son sexe en érection. Une bien belle bite, la même que celle qui est dans ma table de nuit. Quand je pense que je me la suis introduite hier soir, le trouble monte en moi. Il s’assied pour se remettre de ses émotions. Christine s’approche alors de son mari, se penche vers sa bite encore bien raide et se met à la lécher avec application pour la nettoyer amoureusement. Moi je continue de les regarder faire tout en me masturbant, et c’est à ce moment que je jouis à mon tour. Incapables de retenir mes cris de plaisir, mes patrons me regardent avec complaisance tandis que des spasmes secouent mon corps.

Le reste de la journée sera plus disons, normal, si je puis dire. Peut-être veulent-ils m’épargner de nouvelles émotions. Ils partent enfin d’après-midi, me laissant seule pour la soirée. Ma patronne a revêtu une longue robe de soirée moulante. Comme à son habitude, elle ne porte pas de sous-vêtements. Ses seins sont sublimement moulés par sa tenue et ses tétons pointent avec arrogance.

Me voici donc seule pour la soirée. Après avoir mangé, je ne sais trop que faire. Il n’y a rien d’intéressant à la télé. Je monte donc dans ma chambre. Je retire mon tablier et m’allonge sur le lit, toujours vêtue de mon chemisier et de ma jupe. L’envie est trop forte, j’ouvre le tiroir de la table de chevet et en sors le godemiché. Je le prends en main et le caresse. Curieuse sensation, maintenant que je sais qu’il a été moulé sur le sexe de mon patron, c’est un peu comme si je le caressais. Je le porte à ma bouche et commence à le sucer. Il a un goût un peu amer. C’est logique. Je me suis masturbée avec hier et je n’ai pas eu l’occasion de le nettoyer ensuite, c’est donc le goût de ma chatte, c’est un peu comme si je léchais le sexe.

Finalement, je m’introduis le membre de latex et me masturbe avec jusqu’à la jouissance. Je ressors l’engin de mon entrejambe, il est couvert de mouille. Curieuse de comparer le goût de la mouille fraîche avec celui de la mouille séchée, je le lèche à nouveau. Je préfère ce goût. Évidemment, en séchant, mon jus intime s’est concentré, et son goût est donc plus fort. Il est encore très tôt, je sors un livre de mes bagages et commence ma lecture. Malgré tout, je ne suis pas calmée et je me masturberai encore deux fois dans la soirée avec le sexe du patron.

7) Au bord de la piscine !

Le temps est magnifique dimanche. Pendant que je suis en train de faire le ménage du rez-de-chaussée, mes patrons sont allongés au bord de la piscine pour profiter du soleil de cet après-midi radieux.

Au bout d’une demi-heure, ils m’appellent. Ils se sont allongés côte à côte sur des transats. Bien évidemment, ils sont totalement nus, mais je commence à m’y habituer. Ce qui me surprend le plus, c’est que Christine me demande de la recouvrir de crème solaire. Heureusement pour moi, elle se retourne, je n’aurai donc qu’à lui enduire le dos, les fesses et les jambes. Je prends alors le flacon de crème solaire, j’en fais couler dans le creux de ma main et commence à l’enduire de haut en bas. Je me sens soulagée lorsque je suis arrivée à ses pieds, mais cela sera très bref, Éric me demandant alors de lui enduire le dos à son tour. Je m’exécute de bonne grâce, d’autant plus que c’est l’occasion pour moi de parcourir ses fesses qui sont parfaitement épilées tout comme le reste de son corps. Pour la deuxième fois, un soulagement me parcourt une fois mon travail terminé, mais à nouveau, celui-ci sera de courte durée. Christine se retourne et me demande de terminer l’application de crème solaire.

Elle s’est allongée devant moi, son corps bronzé offert à mes caresses. Je m’efforce de reprendre mes esprits et commence à la recouvrir de crème , non sans me poser quelques questions. Dans quel ordre vais-je le faire ? En attendant de trouver la réponse, je commence déjà par ses épaules. Dois-je palper ses seins ? Et ses tétons, je fais quoi avec ? Finalement, je m’efforce de passer rapidement dessus, puis je fais le ventre avant de passer directement à ses pieds. Tandis que je remonte le long de ses jambes, je vois son sexe qui se rapproche inexorablement de moi, même si en fait, c’est moi qui m’en rapproche. Je reprends de la crème, je parcours son pubis d’une main. Mes doigts se rapprochent de sa fente tandis qu’elle écarte légèrement les cuisses. Pourquoi ? Est-ce un signe ? Je ne sais pas. Je parcours les plis de ses cuisses, reviens rapidement sur sa fente. Voilà c’est terminé.

Je ne sais pas si elle en espérait plus de ma part. Après m’être occupée de ma patronne, je m’attends au pire. Son mari se place justement sur le dos, comme pour m’inviter à m’occuper de lui, d’ailleurs la façon dont il me regarde ne me laisse aucun doute à ce sujet. Il ne me demande rien, mais je me sens obligée de m’occuper de lui. Je refais une nouvelle fois le tour des transats pour passer de son côté. Un frisson me parcourt tandis que je contemple le corps intégralement épilé de mon patron. Je respire profondément et fais couler de la crème. Comme pour sa femme, je commence par les épaules, puis je descends jusqu’à sa taille. Je peux déjà profiter du contact de ses pectoraux, mais je sais aussi qu’autre chose m’attend plus bas. Je passe alors à ses pieds et je remonte lentement tout en observant avec intérêt son magnifique sexe tout lisse. J’ai l’impression qu’il a grossi depuis que j’ai commencé à m’occuper de lui.

Je viens de finir ses cuisses, j’enduis son pubis, son épilation est parfaite, il a dû se faire épiler au laser. Je ressens un vif plaisir à caresser une peau aussi douce. Mes mains se dirigent inexorablement vers son membre viril. J’ai l’impression qu’il a encore grossi. Mes doigts s’approchent, le survolent. Je le prends en main. Des picotements parcourent mon corps. J’ai l’impression qu’il continue à grossir entre mes doigts. J’effectue quelques mouvements pour répartir la crème. Cela suffit pour que son sexe se redresse pour de bon. J’en profite alors pour lui enduire aussi les bourses, l’absence de poils me permet de me rendre compte de la douceur incroyable de la peau à cet endroit. Je n’avais jamais pu remarquer cela avec les garçons que j’ai déjà fréquentés puisqu’ils ne se rasaient pas le sexe.

La grosse bite en érection de Éric m’impressionne. Je la caresserais volontiers encore, mais le puis-je ? Je le regarde, son regard me semble favorable. Quant à Christine, elle acquiesce de la tête lorsque nos regards se croisent. Je reprends donc en main la bite de mon patron et je commence quelques mouvements d’aller-retour. Après avoir joué avec la reproduction en latex, je peux maintenant profiter du modèle original. Visiblement, cela lui plaît. Je sens son sexe durcir encore et grossir un peu plus tandis qu’il laisse échapper un soupir lascif. Tandis que je me demande s’il est raisonnable que je continue, sa femme change de position, se penche, approche son visage à quelques centimètres du sexe de son mari et ouvre la bouche, visiblement prête à recevoir son sperme au fond de sa gorge. Enhardie, je continue alors mes mouvements, branlant sans vergogne mon patron tout en lui massant les couilles de mon autre main. Cela lui fait visiblement de l’effet, il gémit de plus en plus fort, ses mouvements deviennent désordonnés. Je sens soudain son gros sexe tressaillir entre mes doigts tandis qu’il pousse un long gémissement. C’est alors qu’il éjacule copieusement dans la bouche grande ouverte de sa femme.

Lorsqu’il a fini de jouir, Christine se rapproche de lui et l’embrasse langoureusement, la bouche encore pleine de sperme. Sous mes yeux ébahis, sans vergogne ni pudeur, mon patron goûte à sa semence avec envie. Il me semble même qu’il se délecte de son sperme. C’est la première fois que je vois un homme avaler sa liqueur intime. J’en suis assez troublée. Je comprends alors que je tiens encore sa bite en main. Elle commence à se ramollir. Je la lâche. Mes patrons continuent à s’embrasser avec fougue tout en se caressant. Ils semblent très amoureux. Je préfère les laisser seuls et je rentre à la maison terminer mon ménage.

Le spectacle pervers auquel j’ai participé continue de m’obséder tout le reste de la journée. Je ne cesserai de me caresser les seins et la chatte en y repensant chaque fois que j’aurai un instant de libre. Des images restent gravées dans mon esprit et je ferme les yeux pour les revoir tout en me masturbant. Le sexe lisse de mon patron en érection. La peau toute douce de ses couilles. La branlette que je lui ai prodiguée avec application. Sa femme qui se fait éjaculer dans sa bouche tandis que je me charge de diriger le jet au fond de sa gorge. Son propre sperme qu’il avale avec plaisir.

8) Le fils de famille !

Dimanche en fin d’après midi, Charlotte est de retour, mais pas seulement. Un charmant jeune homme l’accompagne. Je suppose immédiatement que c’est son petit ami, mais en fait pas du tout. Il s’agit de son frère Jérôme, je le trouve très beau avec son physique athlétique, ses cheveux bruns, sa peau bronzée et ses beaux yeux bleu clair. Il nous quitte rapidement, à mon grand regret. Charlotte en profite pour m’embrasser tout en me caressant les seins. Décidément, la mère et la fille ont les mêmes pulsions. Elle me propose ensuite de prendre une douche avec elle, ce que j’accepte sans hésiter.

C’est en entrant dans la salle de bains que je réalise qu’elle est déjà occupée par Jérôme. Je me demande si Charlotte l’a fait exprès, mais je ne vais pas m’en plaindre, je vais pouvoir contempler en détail son corps. Nous pénétrons tout juste dans la vaste cabine de douche que je suis déjà en train de parcourir de mon regard son corps musclé et intégralement bronzé. C’est alors que je remarque le seul point qui fait défaut dans son physique de rêve : il en a une toute petite. Ce n’est même pas une petite bite, c’est carrément un petit zizi, il est de la même taille que mon petit doigt. Ses testicules semblent inexistants. J’ai l’impression de voir un sexe d’enfant, d’autant plus que lui aussi est intégralement épilé, c’est décidément une habitude dans cette famille. Ceci dit, son sexe est si petit que s’il gardait ces poils pubiens, on le verrait plus du tout.

Tandis que Charlotte me savonne, je continue à l’observer. Lui aussi me regarde régulièrement, peut-être que je ne le laisse pas indifférent. Je ne sais rien de lui, mais la douche n’est pas forcément l’endroit idéal pour entamer une conversation. Il ne tarde pas à nous quitter, nous laissant alors, sa sœur et moi, libres de nous caresser tendrement.

Charlotte attend qu’il ait quitté la salle de bains pour m’interroger.

« Alors comment tu le trouves ? »

« Pas très causant »

« C’est normal, il est très timide. C’est à cause de son physique »

« Pourtant il est très mignon »

« Oui, mais il y a quelque chose qui le complexe. Tu as bien dû le remarquer »

« En effet, il en a une toute petite. Quel âge a-t-il ? »

« 22 ans, comme moi. Nous sommes jumeaux »

« Je n’avais jamais vu un sexe aussi petit »

« C’est incroyable, hein ? Ça le gêne tellement qu’il n’ose même pas sortir avec des filles. Alors il sort avec des garçons »

« C’est dommage, il est quand même très attirant »

« Mais toi aussi, tu es très attirante »

Tout en lui disant cela, elle m’introduit deux doigts dans la chatte. Je lui rends immédiatement la pareille et nous terminons notre douche en nous masturbant mutuellement tout en nous caressant et nous embrassant.

Après cet intermède agréable, c’est à regret que je retourne jusqu’à ma chambre pour me rhabiller. Même si ma tenue de travail n’est pas particulièrement encombrante, je serais bien rester nue allongée sur mon lit. Il me faut encore préparer le repas du soir puis effectuer le service. Ce soir, les deux enfants mangent avec leurs parents. Je m’efforce d’effectuer impeccablement mon service même si ma tenue me préoccupe. Depuis quelques jours que je suis au service de Éric et Christine, je me suis habituée à ce chemisier transparent qui dévoile sans pudeur mes seins en liberté, mais cette fois-ci, leurs deux enfants sont là aussi. Pourtant, personne ne semble faire de cas de ma tenue, comme s’il était normal pour eux que je sois habillée aussi sexy, d’ailleurs Christine et Charlotte sont elles aussi vêtues de chemisettes légères qui dévoilent discrètement leur poitrine en liberté. En fait, j’ai bien l’impression d’être la seule à être gênée par cette situation. Le seul qui fasse attention à moi est Jérôme, je sais qu’il regarde régulièrement ma poitrine chaque fois que je ne l’observe pas. Peut-être que je l’intéresse.

Ce n’est qu’après le repas, une fois la vaisselle faite et la cuisine nettoyée, que mon service se termine enfin. Je monte dans ma chambre, impatiente de me faire plaisir, je m’allonge immédiatement sur mon lit sans prendre le temps de me déshabiller. Je n’ai qu’à remonter ma jupe pour me faire plaisir. Tandis que je me masturbe d’une main, je me caresse la poitrine de l’autre. Toutes les images de cette incroyable journée ne cessent de repasser dans mon esprit, le sexe en érection de mon patron, la branlette que je lui prodigue, l’éjaculation dans la bouche de sa femme, le partage de son sperme. Mais plus que tout, c’est leur fils et son mignon petit zizi, qui m’obsède le plus. Je ne retrouverai finalement le calme qu’après m’être masturbée frénétiquement avec mes doigts et la bite en latex de mon patron. Trois jouissances successives seront nécessaires pour m’apaiser et me permettre de trouver enfin le sommeil.

À Suivre !!

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  • Excellente suite! Merci c’est génial on s’y croirait

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