14) Premier contact !
Dimanche matin, le fils est de retour à la maison car il doit préparer ses examens et de nombreux livres sont restés chez ses parents. Durant le repas de midi, qu’il prend avec ses parents, je fais des efforts pour qu’il me remarque, mais c’est peine perdue, j’ai l’impression qu’il ne s’intéresse pas à moi. Pourtant ma tenue de soubrette est toujours aussi sexy, avec mon chemisier transparent qui laisse deviner mes seins qui ballottent et mes tétons qui pointent effrontément.
Ses parents partent en cours d’après midi et seront absents pour le reste de la journée. Nous nous retrouvons donc seuls dans la grande maison. Toujours aussi occupé par ses livres, Jérôme descend juste pour manger un sandwich, ce qui ne me laisse pas assez de temps pour réussir à faire connaissance.
Finalement en début de soirée, il semble qu’il a terminé ses rangements car il descend pour regarder la télé sur le grand écran du salon. Je décide donc de tenter le tout pour le tout. Je monte dans ma chambre pour retirer mes habits de service et enfiler à la place le porte-jarretelles, la paire de bas et la nuisette que ma patronne m’a offerts. Je m’observe dans la glace, je suis réellement très excitante, s’il n’y avait pas la vitre qui nous sépare, je sauterais sur mon reflet pour le caresser et l’embrasser.
Habillée ainsi, je retourne au salon. Jérôme est toujours là, assis à regarder une émission de variétés où des personnalités viennent présenter leur dernier livre, disque ou spectacle. Lorsqu’il me voit entrer, ses yeux écarquillés me confirment que ma tenue ne le laisse pas indifférent. Je trouve donc un prétexte pour justifier ma présence.
« Je n’ai plus rien à lire et la petite télé de ma chambre ne capte pas toutes les chaînes. Est-ce que je peux rester regarder la télé avec toi ? »
« Oui. Bien sûr. Installe-toi ».
J’ai comme l’impression qu’il n’en demandait pas autant. Il ne peut se retenir de m’observer du coin de l’oeil, espérant que ne me rende pas compte, mais en fait je ne regarde pas vraiment la télévision. Lui non plus, car il ne tarde pas à me parler à nouveau.
« Pfff ! Il n’y a vraiment rien d’intéressant ce soir. Je suis dans le même cas que toi. Je ne sais pas trop quoi faire ».
« On peut discuter, si tu veux. Ce serait l’occasion de faire connaissance ».
« Pourquoi pas… »
Il baisse alors le son de la télévision. J’ai l’impression qu’il n’attendait que cela. Nous parlons de nous à tour de rôle, chacun racontant à l’autre ses souvenirs d’enfance. Progressivement, notre conversation se fait plus intime, et il me questionne au sujet de mon travail.
« Et tu te plais ici ? »
« Oui, beaucoup ».
« Et les demandes de mes parents ? »
« Comment cela ? »
« Ne t’inquiète pas. Je sais très bien que mes parents ont une sexualité assez débridée. Tu peux m’en parler librement »
« En fait, au début, j’ai été assez surprise. Mais comme je suis ouverte à toute nouvelle expérience. J’ai accepté. Je pensais tout connaître en matière de sexe, mais en fait j’ai rapidement compris que je ne connaissais rien ».
« Tu as eu des rapports avec eux ? »
« Quelques caresses »
« Et avec ma sœur aussi ? »
« Oui, et plus que des caresses. En fait, il n’y a qu’avec toi que je n’ai rien fait »
Tout en me disant cela, je me tourne vers lui, je place une de mes jambes pliée sur le canapé, ce qui lui offre une vue imprenable sur ma chatte grande ouverte. Il me regarde avec envie tout en reprenant.
« Tu sais, je ne suis pas seul dans la vie »
« Oui ta sœur me l’a dit »
« Mais, ça ne t’arrive jamais d’avoir des rapports avec des filles ? »
« Si. Mais ça n’a jamais duré, je ne pouvais pas les satisfaire »
Je comprends qu’il a du mal à parler de son problème, alors je l’aide.
« Parce que tu n’arrivais pas à les pénétrer ? C’est ça ? »
Il me répond timidement tout en baissant les yeux. Honteux de son infirmité.
« Oui »
« Mais là, avec ton copain, tu as pourtant le même problème ? »
« Non, car en fait, il préfère me prendre par-derrière »
« Et toi, alors, comment tu jouis ? »
« Pas en éjaculant, en tout cas, d’ailleurs ça ne me fait pas beaucoup d’effet. Ce que je préfère, c’est me faire sodomiser »
Je demeure pensive. Malgré son petit zizi, je le trouve quand même très attirant et je serais ravie de pouvoir baiser avec lui.
« Je ne comprends pas pourquoi aucune fille n’a jamais voulu rester avec toi. Nous ne sommes quand même pas toutes obsédées par la bite, bien au contraire, la plupart des filles rêvent avant tout d’avoir des enfants, pas de se faire prendre par tous les trous plusieurs fois par jour ».
Ses yeux se baissent à nouveau et il me répond dans un souffle presque inaudible.
« Justement, même ça, je ne peux pas »
« Les enfants ? »
Il détourne alors pudiquement le regard avant de me répondre. Je sens des sanglots dans sa voix.
« Je suis stérile »
Ma respiration se bloque malgré moi. Mon visage se fige. Je viens de faire une bourde monumentale.
« Je suis désolée si j’avais su »
« Il n’y a pas de mal. Je préfère te le dire tout de suite, que tu ne te fasses pas des illusions ».
Il me regarde à nouveau tout en me souriant.
« Ce n’est pas grave. Fais comme si je n’avais rien dit. À quoi tu pensais ? »
« Je me disais que de toute façon, on peut toujours faire l’amour pour le plaisir. C’est aussi pour cela que j’ai mis cette tenue avant de descendre »
« Elle est superbe »
« C’est ta mère qui me l’a offerte »
« Ça ne m’étonne pas de sa part. Elle a beaucoup de goût pour cela. Elle met magnifiquement ton corps en valeur »
« Et le tissu de la nuisette est vraiment très doux. À peine je me caresse les seins que ça les fait pointer »
« C’est vrai ? »
« Essaye »
Après une telle invitation, Jérôme ne se fait pas prier plus longtemps et il se met à me caresser tendrement. Enfin ! J’attendais ce moment avec tant d’impatience que la caresse de ses doigts me provoque immédiatement une première jouissance.
Très doué pour les caresses, il réussit encore à me faire jouir à plusieurs reprises. Ses doigts parcourent mon corps sur toute la surface, déclenchant des flots de plaisir chaque fois qu’il me pince les tétons ou s’introduit dans ma chatte. Pour ma part, je m’applique pour lui prodiguer une fellation mémorable, avalant et suçant sa verge avec avidité, mais même en érection elle reste toute petite.
Malgré de nombreux efforts, je ne réussis pas à le faire jouir. Il s’efforce alors de me rassurer tout en continuant de me caresser.
« Ne t’inquiète pas. C’est toujours ainsi »
« Tu n’as jamais joui ? »
« En me masturbant, si. Mais ça fait longtemps. Ça prend trop de temps à venir, du coup je préfère jouir par la sodomie »
« Dommage, j’aurais bien aimé te faire jouir »
« Il pourrait y avoir un moyen »
« Lequel »
« Ça te dit un truc à trois avec mon copain ? »
« Plus rien ne m’étonne »
« Alors viens chez moi demain »
Notre conversation s’achève sur ces quelques mots. Nous continuons de nous caresser tendrement jusqu’à ce que la fatigue nous gagne. Mon intuition me laisse supposer de grandes possibilités avec Jérôme, mais lesquelles et comment y parvenir ?
15) Apéro sodo !
Lundi, c’est ma journée de repos. Le fils m’a invité à faire plus ample connaissance en allant prendre l’apéro dans l’appart qu’il loue avec son copain et ainsi faire connaissance avec lui. Je me demande bien quelle peut être la signification du mot connaissance dans la bouche de Jérôme, mais le mieux est de s’y préparer sérieusement.
Je demande des conseils à Charlotte qui se fait un devoir de me choisir une tenue adaptée. Ses placards regorgent de vêtements tous plus sexy les uns que les autres et elle me prête pour l’occasion un ensemble assez sobre en apparence mais qui cache des surprises. Je me retrouve donc vêtue d’une jupe noire assez stricte puisqu’elle m’arrive aux genoux et en haut d’un pull gris, opaque mais doté d’un décolleté assez profond. Par-dessous, je porte une guêpière noir sein nue et des bas assortis. Le décolleté du pull dévoile largement ma poitrine, il descend si bas que l’on peut même voir le haut de la guêpière lorsque je me penche en avant, et pourtant la guêpière ne me couvre pas les seins. Bien évidemment, si l’on se place à côté, c’est ma poitrine que l’on peut aisément voir par le décolleté.
Jérôme m’accompagne donc jusqu’à l’appartement qu’il partage avec son copain Mike. Je suis presque surprise de le voir habillé. Ce n’est que lorsque je retire mon manteau que je dévoile ma tenue. Le regard de Jérôme semble indiquer son intérêt pour moi, quant à Mike, son regard semble aussi se poser sur moi.
L’apéro est servi. Je m’assieds sur un fauteuil face aux deux garçons, qui se sont installés sur le canapé. Je laisse remonter ma jupe le long de mes cuisses légèrement entrouvertes pour leur laisser le temps de voir brièvement ma fente toute lisse avant de croiser les cuisses. Le haut de mes bas, orné de dentelle, se dévoile discrètement et ajoute encore de la sensualité à ma posture.
Nous discutons de tout et de rien tandis que Jérôme se charge de servir l’apéritif, j’ai l’impression de le voir dans le rôle de la soubrette à ma place. Chaque fois que je prends mon verre en main ou que je le repose, je dois décroiser les jambes, l’occasion de me dévoiler à nouveau à leurs yeux.
L’alcool aidant, l’ambiance se réchauffe progressivement. Les deux garçons commencent à se caresser mutuellement et s’embrassent tout en me regardant. Pour ma part, je me penche régulièrement en avant pour prendre des chips, dévoilant mon intimité à chaque fois. Leurs caresses se font de plus en plus appuyer, leurs mains parcourent leur corps, caressant leur poitrine, leur ventre et leur sexe. Soudain, Mike annonce qu’il fait assez chaud et que l’on pourrait se mettre à l’aise. Les deux garçons se déshabillent alors sans plus attendre, leurs sexes déjà bien gonflés se redressent en sortant de leurs slips. Je constate immédiatement que Mike est lui aussi intégralement épilé. Ils se rasseyent nus sur le canapé pour reprendre leurs attouchements comme si de rien n’était.
Leurs caresses ne tardent pas à se muer en masturbation réciproque. C’est trop bête de rester à les regarder sans rien faire, je remonte ma jupe et commence à me masturber tout en les regardant faire. Je finis par me décider à ôter mon pull et ma jupe, leur dévoilant ma lingerie raffinée. Ils me félicitent alors pour ma tenue et me demandent de continuer à me masturber en les regardant pour l’instant.
Ils se mettent alors en position de 69, Jérôme dessous et Mike dessus ? Ils me regardent régulièrement, tout en se suçant avec ardeur. La scène que je suis en train de vivre me rappelle la soirée de samedi. Après Gatien et Hugo, c’est la deuxième fois que je vois des mecs se sucer, même si je commence à m’y habituer cela reste toujours aussi excitant à regarder.
Ils ne cessent de me regarder, je me doute bien que c’est en raison de ma tenue, et la demande de Mike ne manque pas de me surprendre. En effet, très excité par ma lingerie, il me demande de la prêter à son amant. Je me déshabille donc complètement pour confier guêpière et bas à Jérôme qui les enfile immédiatement. Et je dois reconnaître que cela lui va plutôt bien, son sexe est petit qu’on le voit à peine, comme il est intégralement épilé on pourrait croire que c’est une jeune fille qui est face à moi.
Mike se place derrière Jérôme pendant qu’il se place à quatre pattes puis il s’introduit en lui sans plus attendre. C’est ainsi que je me retrouve à regarder le fils de mes patrons en train de se faire enculer sous mes yeux tandis que je me masturbe en les regardant faire. Quelques minutes plus tard, Mike finit par jouir, remplissant copieusement le cul de Jérôme qui gémit à son tour lorsqu’il sent le sperme se répandre en lui. Quant à Jérôme, il n’a pas éjaculé, ce qui confirme bien ce qu’il m’avait dit auparavant.
Cet intermède passé, nous reprenons la discussion tout en terminant de prendre l’apéro. Jérôme continue de porter la lingerie, il est si mignon ainsi habillé. Il se charge de faire le service dans cette tenue, comme une soubrette. Je ne peux pas résister au désir de lui caresser les fesses lorsqu’il me sert, ce que font régulièrement ses parents.
La discussion reprend pendant le repas. Je parle de mon parcours, de mon travail au service des parents de Jérôme.
Après quelques verres de rosé, je me sens des de plus en plus chaude. Les garçons aussi. Leurs sexes, qu’ils ne cessent de caresser tout en mangeant, ont déjà retrouvé de la vigueur. Nous n’attendons donc pas la fin du repas pour remettre ça. Cette fois-ci, ils se rapprochent de moi et se mettent à me caresser. Je n’attendais que cela, je me laisse donc faire avec plaisir. Jérôme me rend la lingerie que je m’empresse de remettre tandis qu’ils continuent de me tripoter partout. Leurs doigts me palpent les seins, triturent mes tétons, caressent mes fesses, s’insinuent dans ma fente. Pour des homos, je trouve qu’ils savent bien s’y prendre avec les femmes.
Je m’attends donc à ce que l’un des deux, a priori plutôt Mike, souhaite me pénétrer, j’ai même prévu des préservatifs à cet effet, mais celui-ci ayant une nette préférence pour la sodomie, il va insister pour me prendre par-derrière.
C’est la première fois que je me fais enculer, encore la découverte d’une nouvelle sensation. Pendant que je me fais pénétrer, Jérôme s’allonge sous moi pour me lécher la chatte, ce qui décuple mes sensations. Son mignon petit phallus est sous mes yeux, je me penche vers lui avec envie et me mets à le lécher goulûment. Malgré tous mes efforts, je ne parviendrai pas à le faire éjaculer.
Quant à Mike, qui continue de s’activer allègrement dans mon cul, il ne tarde pas à arriver au bord de la jouissance, il se retire alors de mes entrailles, ôte sa capote et dirige la verge sous moi, pour éjaculer en plein sur le visage de Jérôme. Nous nous rasseyons tous les trois sur le canapé et Jérôme se place au milieu pour que nous puissions bien lécher le sperme qui recouvre ses joues, puis nous nous embrassons joyeusement, nos langues se partageant le sperme de Mike.
Après le dessert, nous remettons ça une dernière fois. Cette fois-ci, c’est Jérôme qui se fait enculer par son partenaire pendant que je suis placée sous lui pour le sucer. C’est à nouveau un échec pour moi, il jouit par la sodomie avant que je parvienne à le faire éjaculer. Je suis aux premières loges lorsque Mike jouit, giclant généreusement dans le cul de son amant. Mais comme il souhaite me faire profiter aussi de son plaisir, il se retire à temps pour que je reçoive ses derniers jets de sperme sur mon visage et dans ma bouche. Épuisés par cette soirée intense, nous terminons assis sur le canapé, à nous embrasser et partager le sperme, mais cette fois-ci c’est moi qui suis au milieu et les deux garçons me caressent tendrement tout en léchant le sperme qui me recouvre.
16) Nouvelle tentative !
En fin de semaine, Jérôme revient à la maison, à nouveau pour rechercher des documents pour réviser ses examens. Ses parents décident alors de sortir pour la soirée, nous nous retrouvons donc seuls dans la grande maison. Serait-ce volontaire de leur part ?
Je lui demande alors tout naturellement ce qu’il souhaite manger ce soir, mais en fait cela le dérange de me demander de le servir. Il me propose alors, puisque nous sommes seuls, d’aller manger dans un restaurant du centre-ville. Je n’espérais pas une telle proposition, je vais tout faire le maximum pour qu’il s’intéresse à moi.
Je n’ai que quelques dizaines de minutes pour trouver la tenue qui le fera craquer. Je n’ai pas l’intention de mettre une culotte, mais par contre le porte-jarretelles et les bas offerts par sa mère me tentent bien. Je les enfile donc. Ma jupe de service n’est pas assez longue pour masquer la large bande de dentelle qui marque le haut des bas, je ressors donc la jupe noire un peu stricte que sa sœur m’a prêtée. Pour le haut je ne sais trop que mettre. Je fouille dans mes affaires personnelles et j’hésite quelque temps, essayant plusieurs tenues sans parvenir à me décider.
Est-ce que je mets un vêtement moulant, genre débardeur à petites bretelles, qui mettra en valeur ma poitrine et laissera visible la trace de mes tétons érigés. Ou bien je choisis un vêtement ample, on ne devine plus ma poitrine, mais ses mouvements permettent de deviner qu’elle est en liberté. Pour ma part, le vêtement ample est le plus agréable, car le tissu ne cesse de caresser le bout des seins, maintenant mes tétons en état d’excitation. Après le débardeur, j’essaye une chemise. Je défais quelques boutons pour laisser une vue sur ma poitrine par l’intermédiaire du décolleté. Ce n’est pas mal, mais pas très habillé.
Finalement, mon regard se porte sur la veste que m’a confiée ma patronne pour aller faire les courses. Je l’enfile sur ma poitrine nue. Le tissu me caresse la pointe des seins pour mon plus grand plaisir. M’observant dans la glace, je comprends mieux pourquoi ma patronne est si souvent habillée ainsi. Mais moi, je n’ai pas vu de boutons pour refermer la veste, elle est toujours entrouverte, dévoilant plus ou moins ma poitrine et même mon ventre. Je ne peux pas sortir ainsi, mais si je mettais un autre vêtement dessous, cela pourrait aller. Je ne vais quand même pas prendre mon chemisier de tous les jours. J’essaye à nouveau le débardeur et la chemise, sans être convaincue.
C’est alors que j’ai l’idée d’essayer la nuisette que m’a offerte ma patronne et qui est assortie au porte-jarretelles et aux bas. Je m’observe dans la glace, j’aime bien. Évidemment, la nuisette est transparente, pas question de retirer la veste au restaurant, mais sinon elle fait assez habiller. Ma petite poitrine n’est pas très visible sous le tissu, j’ai l’impression de porter un corsage tout ce qu’il y a de plus raisonnable.
C’est ainsi que je descends jusqu’au rez-de-chaussée où le fils m’attend depuis déjà quelques minutes. Son regard appuyé en dit long sur l’effet que lui fait ma petite tenue sexy. Nous nous rendons au restaurant à pied, il n’est pas bien loin.
Durant tout le repas, je sens son regard se porter sur ma poitrine. À plusieurs reprises, j’écarte suffisamment les bras pour lui permettre de voir les aréoles de mes seins. Il m’a déjà vu nue, mais j’ai bien l’impression que cela l’excite encore plus de voir ma poitrine au restaurant. Il ne résiste d’ailleurs pas longtemps à l’envie de me féliciter.
« Tu es très en beauté ce soir »
« Merci. Je tenais à te laisser un souvenir mémorable de cette soirée »
« Et tu t’habilles souvent comme cela ? »
« Depuis peu. Depuis que je suis au service de tes parents, j’ai pris l’habitude de ne plus porter de sous-vêtements et j’apprécie énormément cela ».
« Tu ne portes rien ? »
« Rien du tout. Tu veux vérifier ? »
Plutôt que de me répondre, Jérôme approche sa chaise de la mienne, passe sa main sur ma cuisse et remonte ma jupe jusqu’à atteindre mes lèvres toutes humides. Sans se soucier des autres clients, il introduit alors ses doigts dans ma chatte. Je ne parviens pas à étouffer le gémissement de plaisir que je ressens alors. Il ressort ses doigts mouillés et les porte à son nez pour les humer, puis à sa bouche pour les goûter.
« Tu m’as l’air bien excitée »
« Énormément »
« Avant de venir chez mes parents, t’arrivait-il de sortir aussi sans sous-vêtements ? »
« Non jamais »
« Et lorsque ton séjour se termine, tu vas repartir comme tu es venu ? »
« Jérôme, je partirais d’ici comme je suis ici sans soutien-gorge, sans culotte, je rangerais dans le placard, mes pantalons, et je ne porterais que des jupes et des robes, mes culottes, mes soutiens-gorge seront tout au fond d’un tiroir ne gardant que porte-jarretelles et des bas que je mettrais pour sortir au restaurant ou autres soirées ».
Le repas va se poursuivre sur le même ton, mais nous sommes obligés de rester sages à cause des autres clients. Sur le chemin du retour, je reconnais le parc où je me suis arrêtée le jour des courses, il est désert à cette heure tardive. Je ne résiste pas à l’envie d’y entrer et d’aller m’asseoir sur le banc. Je commence alors à me masturber tandis que Jérôme s’installe sur le banc qui lui fait face pour m’observer tout en se caressant. Ma veste glisse de mes épaules, dévoilant ma poitrine que je caresse d’une main tout en continuant à jouer avec ma chatte de l’autre main. Mon plaisir monte vite et je ne tarde pas à jouir sous le regard excité de Jérôme.
De retour à la maison, aussi excité l’un que l’autre, nous montons rapidement dans ma chambre, je n’ai qu’à retirer la jupe et la veste pour me retrouver en nuisette. Jérôme quant à lui, a déjà retiré ses vêtements, son petit sexe me plaît toujours autant, je ne sais toujours pas pourquoi. Je commence à le masturber alors que nous nous embrassons, je prends sa verge entre le pouce et l’index et commence à jouer avec tout en le caressant de l’autre main.
Rapidement, je m’agenouille face à lui et prends dans ma bouche ce petit zizi en érection grand comme mon petit doigt. C’est alors que je l’invite à s’allonger tandis que j’ouvre le tiroir de ma table de chevet. J’en sors le godemiché. Habitué à la sodomie, je n’ai aucun effort à faire pour l’introduire en lui. Ses gémissements me confirment qu’il apprécie énormément de se faire pénétrer. Je me mets alors à le sucer tout en le sodomisant avec le godemiché. S’il savait qu’il a été moulé sur la bite de son père, mais je préfère ne pas lui dire pour ne pas le perturber.
Mon but est alors de parvenir à le faire éjaculer. Pour cela, je dois précisément doser mes stimulations afin qu’il ne jouisse pas du cul avant d’avoir éjaculé. À force de patience et de volonté, je sens que je vais y parvenir. Son corps se crispe soudain, ses gémissements cessent, il vient de bloquer sa respiration, des tremblements le parcourent, son corps est tétanisé. Il crie soudain son plaisir tandis qu’il me gicle dans la bouche. Me remplissant la gorge de plusieurs jets puissants et abondants. Son sperme est crémeux et son goût fort agréable. Ses muscles se relâchent soudainement et il s’affale dans mon lit, épuisé par sa jouissance.
Après avoir fini de lui nettoyer le sexe, nous nous embrassons tendrement tout en discutant.
« Tu as aimé ? »
« Beaucoup. Tu sais, c’est la première fois que j’éjacule depuis au moins deux ans »
« Si longtemps »
« Oui. Et ma jouissance a été bien plus forte que d’habitude »
« L’accumulation de la sodomie avec la fellation, je pense »
« Certainement »
« Il faudra réessayer »
« Quand tu veux »
En fait, nous n’attendrons pas très longtemps pour remettre cela. Le désir ne tarde pas à remonter rapidement en nous. Cette fois-ci, c’est lui qui va se charger de me faire jouir avec sa langue et ses doigts, et il sait bien s’y prendre. Si bien qu’il parvient à me faire abondamment mouiller et me déclenche un orgasme foudroyant, je ne pensais même pas que cela était possible. J’ai l’impression d’avoir éjaculé. En effet, il ouvre la bouche tout en me souriant, elle est pleine du fruit de ma jouissance. Heureux, nous nous embrassons et partageons tendrement ma cyprine. Son goût acidulé est bien plus prononcé que d’habitude. Nous nous échangeons des mots doux portés par le bonheur que nous ressentons.
À suivre !!
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