17) Soirée entre amis !
Samedi soir, les enfants sont partis, je suis à nouveau seule avec mes patrons, mais pas pour très longtemps. Ils ont invité des amis pour la soirée et m’ont prévenue que je devais m’attendre à des situations assez chaudes. Cela ne me surprend guère, je commence même à y être habituée.
Pour l’occasion, Christine me demande de modifier légèrement ma tenue, elle me confie donc une nouvelle jupe et une paire de bas noirs. Je monte dans ma chambre me changer. Après avoir retiré ma jupe, je commence par enfiler les bas. Ils sont autofixant, montent à mi-cuisses et sont ornés d’une large bande de dentelle. Je les trouve très beaux et ne peux résister à l’envie de m’admirer dans la glace. Je suis vraiment très sexy, vêtue juste de mon chemisier transparent et de ces bas, même carrément indécente. Je me saisis ensuite de la jupe, noire comme d’habitude. Elle est bien plus courte que ma jupe habituelle, qui n’arrive pourtant qu’à mi-cuisses. En effet, c’est une minijupe, celle-ci ne cache rien de mes cuisses car elle descend à peine plus bas que mes fesses. Je m’observe à nouveau dans la glace, je me tourne pour observer mes fesses et voir ce que cela donne lorsque je m’incline en avant. J’aurai vraiment intérêt à faire attention à ma position car il suffit que je me penche un peu pour que je dévoile mes fesses, voire ma fente si je vais plus loin. Ceci dit, c’est peut-être ce que recherchent mes patrons, que je sois exhibée aux yeux de leurs invités. Finalement, à bien y réfléchir, c’est une situation assez excitante, je pourrais même en jouer et en jouir.
Je me regarde à nouveau de face. Bien évidemment, les bas ne montent pas assez haut pour être recouverts par ma jupe, la dentelle est bien visible et la peau de mes cuisses aussi, ce qui je l’avoue, me plaît énormément. Je devrais redescendre immédiatement pour reprendre mon service, mais je ne résiste pas à l’envie de me caresser tout en m’admirant dans la glace. Je prends une chaise que je place face à la glace pour voir. Dès que je m’assieds, ma minijupe remonte encore un peu plus, si j’écarte, même très peu, les cuisses, mes lèvres toutes lisses se dévoilent en toute impudeur. L’envie est trop forte, je m’introduis trois doigts dans mon intimité déjà toute détrempée, ce qui a pour effet de le faire jouir immédiatement. Reprenant mes esprits, je m’essuie avec application afin de ne pas tacher ma tenue, j’enfile mon tablier et je descends reprendre mon service.
L’interphone sonne, ce sont les invités. Je déverrouille le portail, ils seront là dans quelques instants. Lorsque l’on frappe à la porte, je me dois d’aller ouvrir. C’est la première fois que je dois accueillir des invités depuis que je suis au service d’Éric et Christine. Un couple entre alors, l’homme et la femme me dévisagent sans grande discrétion tout en me saluant poliment. Vêtue de mon chemisier transparent, d’une minijupe et de bas, je me sens plutôt mal à l’aise devant ces deux inconnus qui ne se gênent guère pour mater mes seins et mes cuisses tandis que je les invite à pénétrer dans la maison. Mon patron, qui vient de prendre sa douche, arrive nu pour accueillir ses amis. Il les salue le plus naturellement du monde, ce qui a pour effet de me rendre plus sereine car leurs regards se détachent enfin de moi. Il embrasse la femme, celle-ci en profite pour le masturber brièvement, je ne m’étonne plus de rien. Les deux hommes se serrent ensuite la main, et l’invité prend aussi la bite d’Éric en main pour quelques allers-retours masturbatoires. Là je suis un peu plus surprise, la soirée commence fort. Éric se charge alors des présentations, les invités se prénomment Aurélien et Annabella et sont de vieux amis.
Son prénom me fait supposer qu’elle est d’origine italienne, ce que sa chevelure brune et son physique opulent semblent confirmer, car elle vient de retirer son manteau, dévoilant sans gêne un corps aux formes superbes et généreuses. Elle n’est vêtue que d’un porte-jarretelles, une paire de bas et un soutien-gorge à demi-bonnets qui peine à maintenir en place une poitrine terriblement imposante. À vue d’oeil, je pense qu’elle fait au moins du 105D, peut-être même plus. Je ne peux m’empêcher de mater ses seins tellement ils me font envie. Ses cuisses pulpeuses et ses hanches galbées attirent également mon regard. Cela m’inquiète un peu, je suis de plus en plus attirée par les femmes, serais-je en train de changer de bord ? Sa tenue de dentelle noire est magnifiquement assortie à sa chevelure brune aux boucles ondulées. Son pubis est tout lisse, je m’en doutais un peu, et je parierais volontiers que son mari est aussi intégralement épilé.
C’est alors que ma patronne arrive et me tire de ma rêverie, elle est habillée à peu près de la même façon, bas et porte-jarretelles, sauf que, bien entendu, elle ne porte pas de soutien-gorge, comme à son habitude. Sa tenue de dentelle blanche contraste avec celle de son amie. Je ne peux résister au plaisir de les admirer tandis qu’elles se caressent mutuellement la poitrine tout en s’embrassant sur la bouche pour se dire bonjour.
Je retourne alors terminer de préparer le repas. Quelques minutes plus tard ma patronne m’appelle. Je me dirige vers le salon où je la trouve en train de se faire lécher la chatte par son amie, cela me paraît presque naturel. Christine me demande d’aller servir du whisky aux hommes, qui sont allés dehors. Tandis que je pose sur un plateau le flacon d’alcool et deux verres, je me demande pourquoi Éric n’est pas venu lui-même me demander de le servir.
C’est en sortant que je comprends pourquoi. Les deux hommes sont occupés, eux aussi. Ils sont au bord de la piscine, allongés sur des matelas, nus, placés tête bêche, en train de se sucer mutuellement avec application. Pourquoi pas après tout, je commence à avoir l’habitude de voir des mecs se sucer. Je n’ai pas le temps de profiter longtemps du spectacle qu’ils m’offrent, ils jouissent lorsque j’arrive à leur niveau. Satisfaits du plaisir qu’ils viennent de partager, ils s’allongent sur le dos en attendant que je les serve. Comme je m’en doutais, Aurélien est intégralement épilé. Son sexe, encore en érection, est de fort belles dimensions et est luisant de sperme. C’est lorsque je leur confie leurs verres et qu’ils me remercient, que je constate qu’ils ont encore du sperme dans la bouche, ce qui ne les empêche pas de déguster tranquillement leur verre de whisky single malt douze ans d’âge. Les deux hommes m’avouent alors avoir découvert depuis quelques années que le goût du sperme se mariait idéalement avec les arômes de certains whiskies. Dorénavant, à chaque fois qu’ils se voient, c’est de cette façon qu’ils aiment prendre l’apéritif, enfin si les circonstances le permettent.
Je retourne alors au salon pour y ranger la bouteille de whisky. Les deux femmes sont toujours sur le canapé, elles sont maintenant en position de 69. Ma patronne, qui est dessous, lèche avec frénésie son invitée, celle-ci y prend visiblement beaucoup de plaisir, elle ne cesse de s’agiter et ses gros nichons, libérés de leur carcan de dentelle, s’agitent allègrement au rythme de ses mouvements. Je ne peux résister à l’envie de mater cette grosse poitrine qui me captive. Annabella s’en rend rapidement compte et elle m’invite alors à me joindre à elles. Sans plus attendre, je me place face à cette belle brune et le mets à lui peloter les seins sans retenue tout en triturant ses tétons. Ses gémissements m’incitent à aller plus loin, je m’approche de sa poitrine pour lui sucer les tétons, elle gémit encore plus fort tout en prenant ma tête entre ses mains pour me plaquer vigoureusement contre sa poitrine.
Tout aussi excitées les unes que les autres, nous finissons par changer de position. Annabella s’allonge sur le dos et pelote frénétiquement ses gros nichons tandis que je suis en train de lui lécher la chatte avec application. Quant à ma patronne, elle s’est placée sous moi et se charge de me lécher aussi. Finalement, nous changeons une dernière fois de position pour nous placer en triangle sur le tapis du salon, toujours vêtu, je n’ai qu’à remonter un peu ma minijupe pour offrir ma chatte à la langue experte de Annabella tandis que je lèche ma patronne avec application. Chacune se chargeant de donner du plaisir à une autre, le plaisir monte rapidement en nous et nous ne tardons pas à jouir presque ensemble. Tandis que nous reprenons nos esprits, nous remarquons soudain que les deux hommes sont en train de nous regarder tout en se caressant mutuellement.
Je retourne alors à la cuisine pour finir de préparer le repas, un peu confuse, j’espère que rien n’a brûlé entre-temps. Durant toute la durée du dîner, je sens des mains passer sous ma minijupe, des mains d’hommes comme des mains de femmes, de mes patrons comme de leurs invités. Tous vont me peloter les fesses ou insinuer quelques doigts le long de ma fente. Je suis le centre d’intérêt, tous me regardent et cela m’excite terriblement, je sens que mes tétons sont particulièrement durs et je mouille de plus en plus. Les deux hommes sont restés nus à table, les deux femmes ont conservé leurs bas et leur porte-jarretelles. Malgré ma tenue plus que légère, je suis encore celle qui est la plus habillée.
Après le repas, mes patrons me confient leur caméscope afin que je filme la soirée. Cela commence très doucement, les deux couples se caressent côte à côte dans le salon. Ensuite les deux femmes sucent leurs maris tandis que ceux-ci s’embrassent, puis elles échangent leurs partenaires et reprennent de plus belle. Les deux couples montent ensuite dans la chambre de mes patrons, le lit est suffisamment grand pour accueillir tout le monde. Éric s’allonge pour que Annabella se place sur lui en position de 69. Il lui lèche la moule tout en tripotant frénétiquement ses gros nichons que se balancent. De leur côté, Christine et son invité font de même. Au bout de quelque temps, changement de position, les deux hommes s’offrent un petit plaisir mutuel tandis que les femmes se masturbent tout en les regardant faire. Plusieurs autres positions s’enchaînent jusqu’à la jouissance des deux hommes, chacun éjaculant dans la femme de l’autre, bien évidemment. Pour terminer, les deux couples se reforment, les hommes s’allongent et leurs femmes se placent sur eux en position de 69. Chaque homme lèche alors avec avidité le sperme qui s’écoule lentement du sexe de sa femme, donc le sperme de l’autre. Pendant ce temps, leurs femmes achèvent de leur nettoyer la bite, couverte d’un mélange de sperme et de cyprine.
Épuisés, ils restent allongés sur le lit tandis que je me charge d’aller chercher quelques boissons fraîches. Lorsque je remonte, Éric a déjà branché le caméscope sur le grand écran présent dans leur chambre. Tandis que la vidéo commence, il m’invite à m’asseoir au bord du lit pour profiter du spectacle. Les deux femmes ne tardent pas à s’installer de chaque côté pour me caresser délicatement tout en admirant leurs prouesses filmées. Leurs attouchements se font de plus en plus précis, elles me palpent les tétons tout en introduisant simultanément leurs doigts dans ma vulve brûlante de désir et détrempée par l’excitation. Pendant ce temps-là, dans la vidéo, les deux hommes sont en train de se sucer mutuellement avec ardeur, c’est à ce moment précis que ma jouissance éclate. Une jouissance intense et bruyante, qui inonde de cyprine les doigts de mes amantes.
Heureuse d’avoir pu jouir à mon tour, j’attends la fin de la vidéo pour prendre congé. Mes patrons m’apprennent alors que leurs invités resteront dormir ici. Vont-ils réellement dormir ou bien vont-ils continuer à partouzer ? Je ne le sais pas, je suis assez épuisée et c’est avec satisfaction que je retrouve mon lit dans lequel je ne tarde pas à m’endormir.
18) Récréation !
Le dimanche matin, les deux femmes vont faire une partie de tennis sur le terrain privé situé au fond du jardin. Ma patronne est juste vêtue d’un débardeur moulant et d’une jupette de tennis, ça m’étonnerait qu’elle porte une culotte, elle n’en a pas. Quant à son invitée, sa tenue est un peu différente en raison de sa poitrine hors-norme. Elle a dû prendre un soutien-gorge renforcé spécial sport que l’on voit aisément à travers la chemisette en tulle transparent dont elle n’a fermé que les deux boutons du bas, offrant ainsi un décolleté très sexy à mon regard. Je les observe avec désir tandis qu’elles s’éloignent, leur jupette flotte au rythme de leurs pas. Même si je ne vois rien de particulier, cela m’excite déjà. D’ailleurs, je parierais volontiers que la grande brune ne porte pas de culotte non plus. Je me retrouve seule dans la maison, les deux hommes sont aussi allés dehors, mais beaucoup moins actifs que leurs femmes, ils se sont allongés au bord de la piscine, profitant des rayons du soleil pour parfaire leur bronzage intégral.
Les deux femmes m’ont demandé de leur apporter des boissons en cours de partie. C’est avec impatience que j’attends le moment où je pourrai enfin les rejoindre pour les voir jouer. Je ne suis pas déçue lorsque j’arrive sur le court, apportant de l’eau et des jus de fruits. Les jupettes de tennis, vraiment très courtes, ne cachent vraiment rien de leur intimité. Chaque fois qu’elles lèvent les bras en l’air, par exemple pour le service, je peux admirer leur fente toute lisse pour mon plus grand plaisir. Je pense qu’elles se doutent que je les mate et qu’elles apprécient cela car elles continuent à jouer un certain temps alors que je me suis assise pour les regarder.
Christine commence par boire de l’eau à même la bouteille. Elle n’hésite pas, pour se rafraîchir, à en faire couler sur son visage et son cou. L’eau se répand sur son débardeur, qui en devient transparent, la fraîcheur faisant alors pointer ses tétons. Sa partenaire se rafraîchit à son tour, mouillant copieusement sa chemisette, déjà assez transparente, on ne la voit plus lorsqu’elle se colle à sa peau merveilleusement bronzée.
Elles retournent alors terminer leur partie, et c’est avec regret que je dois les quitter, car c’est maintenant au tour des hommes d’être ravitaillés. Lorsque je pose la bouteille de whisky sur le plateau, l’étiquette « pure malt » me rappelle la scène de la veille et les explications de mon patron. Je suis donc plutôt surprise lorsque j’arrive à la piscine, qu’ils ne soient pas déjà en train de se sucer mutuellement. Mais cette fois-ci, Éric me demande de lui enduire le dos de crème solaire. J’adore caresser le corps de mon patron, c’est donc avec un grand plaisir que je prends donc le flacon et fais couler de la crème dans le creux de mes mains. Je le tartine du cou aux chevilles tout comme je l’ai déjà fait la semaine dernière sous le regard de son ami.
Il me demande alors de faire de même à Aurélien, qui est allongé sur le ventre à côté de lui. Je recommence donc l’opération avec application. Lorsque j’ai terminé de m’occuper de son dos, il se place sur le ventre pour que je continue. Chouette, je vais pouvoir tripoter une nouvelle bite, me dis-je. Cependant, je m’efforce de ne pas aller trop vite en besogne afin de faire durer un peu le plaisir. Tout comme je l’ai déjà fait avec mon patron, je descends de son cou jusqu’à sa taille, puis je repars des pieds vers le haut. Mon patron est en train de me regarder faire tandis que mes mains remontent le long des cuisses de son invité. Je suis maintenant à la hauteur de son sexe. J’en fais le tour, sa peau est aussi douce et lisse que celle de mon patron. Je laisse encore quelques instants s’écouler, le désir monte en moi, j’ai de plus en plus envie de me saisir de cette grosse bite déjà bien gonflée.
Lorsque je la prends enfin en main, je la sens immédiatement grossir encore un peu plus entre mes doigts. Il ne me faut que quelques allers-retours pour rendre sa verge toute raide. Je me laisse alors aller à mon désir en continuant à le masturber allègrement. C’est alors que mon patron se penche vers son ami tout comme sa femme l’a fait avec lui la semaine dernière. Je sais ce qu’il attend de moi, je vais m’efforcer de faire pour le mieux. Le comportement de son ami me permet de deviner que sa jouissance est proche. Je ralentis mes mouvements, prends ses testicules en main pour les caresser, quelques instants s’écoulent encore, et puis je sens le membre de chair trembler entre mes doigts, signe que le jet de sperme arrive. Je me charge alors d’orienter correctement la grosse bite que j’ai entre les mains pour que les giclées de sperme aillent directement dans la bouche grande ouverte de mon patron. Et celui-ci apprécie visiblement puisqu’il se masturbe frénétiquement tandis que les jets de sperme se répandent sur son visage et jusqu’au fond de sa gorge. Lorsque je lâche le sexe que j’ai entre les mains, c’est pour faire le tour et me saisir de la verge de mon patron avant même qu’il ne me le demande. Visiblement satisfait de mon initiative, il me sourit tandis que le sperme s’écoule sur son visage.
C’est alors que, pendant que je suis pleinement concentrée sur la masturbation que je prodigue, je sens des doigts s’insinuer sous ma minijupe et remonter jusqu’à ma fente. Mon patron est en train de me mettre des doigts. Je mouille déjà alors qu’il vient à peine de commencer et j’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je sens rapidement le plaisir monter en moi tandis que ses doigts me pénètrent de plus en plus vite. Malgré tout, je dois rester concentrée car je sens que sa jouissance proche. Son ami s’est rapproché, prêt à tout recevoir lui aussi dans sa bouche, et cela ne tarde pas. Les jets de sperme se mettent à fuser jusqu’au fond de la gorge d’Aurélien, mais aussi sur son menton, ses joues, son front. Je regarde ces deux hommes couverts de sperme, cela m’excite terriblement et je jouis à mon tour tandis qu’ils s’embrassent voluptueusement. J’ai du sperme sur ma main, je ne sais pas de qui, peut-être des deux. Je le lèche sans hésiter tandis qu’ils me regardent faire.
Pendant ce temps-là, leurs femmes ont eu le temps de finir leur partie de tennis. Elles sont déjà au bord de la piscine et me regardaient faire tout en retirant le peu de vêtements qu’elles portent. La grande brune pousse même un soupir de soulagement lorsqu’elle retire son volumineux soutien-gorge de sport, je la comprends. Même si ma petite poitrine m’a déjà complexée à plusieurs reprises, je ne l’échangerai pas contre une aussi grosse, je serais obligée de porter un soutien-gorge en permanence, et maintenant que j’ai pris l’habitude de ne plus en porter, je ne sais pas si je pourrais revenir en arrière. Maintenant nues, les deux femmes font couler l’eau de la douche de plein air placée au bord de la piscine et commencent à se laver tout en se caressant mutuellement. Visiblement excitées, elles continuent en se masturbant sous les regards de leurs maris qui sirotent tranquillement leur whisky aromatisé au sperme.
Pour servir le repas du midi, mes patrons m’ont demandé de changer de tenue sans plus de précision. J’ai carte blanche. Je monte dans ma chambre, perplexe. Que vais-je pouvoir mettre de différent ? Je regarde les étagères de mon armoire. Il est hors de question que je prenne mes anciens habits, je n’en ai pas le droit, et en plus je serais vraiment ridicule. Comme je ne vais quand même pas prendre une nuisette pour le service, j’opte pour une paire de bas chairs et un porte-jarretelles. Je remets aussi mon petit tablier, je m’observe dans le miroir et je remonte un peu pour dévoiler un peu ma fente. C’est ainsi habillé, les seins à l’air, que je redescends à la salle à manger. Les convives qui sont restés nus, me félicitent chaleureusement pour ma tenue osée. Pendant le repas, je sens régulièrement des mains sur mes fesses ou sur les cuisses. Les hommes allant mêmes jusqu’à insinuer leurs doigts dans ma fente toute mouillée.
C’est au moment du dessert que je renverse par maladresse le dessert d’Aurélien. La part de tarte tombe à côté de l’assiette, bascule sur le bord de la table, arrive sur son ventre et glisse entre ses cuisses. Je suis confuse et très gênée. Mes patrons m’incitent alors à me faire pardonner à leur façon, en nettoyant tout, mais sans les mains. Je passe donc sous la table et commence à le lécher. Une fois que j’ai fini d’ôter tous les fragments de tarte, l’envie me vient de continuer. Je prends alors son sexe en bouche et commence à le sucer, le membre de chair se met immédiatement à durcir, preuve indéniable qu’il apprécie ce traitement. Mon patron me dit alors que si je continue ainsi, il faudra que je m’occupe de tout le monde pour qu’il n’y ait pas de jaloux. J’acquiesce tout en continuant de sucer son ami. Ma fellation ne tarde pas à porter ses fruits, car je sens le sperme s’écouler dans ma bouche. Je change alors de place et me mets à sucer mon patron tandis qu’il est en train de manger son dessert. Je ne tarde pas à le faire jouir à son tour et c’est dans la bouche dégoulinante de sperme que je m’approche des deux femmes pour les lécher à tour de rôle jusqu’à ce qu’elles jouissent. Lorsque je ressors de dessous la table, j’ai le visage couvert de sperme, les convives me félicitent pour ma prestation.
Après le café, le repas finit en partouze. Je filme à nouveau les ébats des deux couples, mais cette fois-ci, je participe aussi et c’est alors moi qui suis filmée. Quant à mon patron, il se fait sodomiser par Aurélien. Par la suite, les hommes me gratifient d’une double pénétration. Placée en levrette, j’ai mon patron dans la bouche tandis que son ami me prend en levrette. Pour terminer, je m’allonge entre les deux hommes qui se masturbent et se terminent en me giclant sur la poitrine, le visage et le reste du corps. Les femmes se joignent alors à leurs maris et tous me lèchent pour nettoyer tout ce sperme qui recouvre mon corps.
À suivre !!
Wow quel chapitre j’ai kiffé je l’ai relu plusieurs fois et éjaculer beaucoup