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Bi - Gay - Lesbien Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Le journal de Julie, jeune fille au pair Chapitre 6

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19) Week-end camping !

La semaine suivante, mes patrons m’annoncent que nous allons passer le week-end à la mer. Je m’attendais à ce qu’ils prennent une suite à l’hôtel ou qu’ils louent une belle villa, mais en réalité nous nous rendons dans un simple camping. Malgré tout, il ne s’agit pas d’un camping comme les autres, j’aurais dû m’en douter, c’est un camping naturiste. C’est assez surprenant, la première fois que l’on y va, de découvrir un lieu où tout le monde se balade nu sans que cela n’étonne quiconque.

À peine arrivés, Éric et Christine sont impatients de se déshabiller. C’est sur la terrasse du chalet qu’ils ont loué qu’ils retirent leurs vêtements, m’invitant à faire de même. Je suis maintenant assez habituée à la nudité et je n’ai aucune difficulté à les accompagner dans le camping. Mes patrons y retrouvent de nombreux amis qu’ils saluent chaleureusement. Je reconnais immédiatement Aurélien et Annabella. Comme nous sommes dans un camping naturiste, la belle Italienne ne porte pas de soutien-gorge, ses gros nichons se baladent en liberté et nombreux sont les hommes, et aussi les femmes, à admirer avec plus ou moins de discrétion cette merveilleuse poitrine.

Maintenant que je connais un peu mes patrons, cela ne m’étonne pas trop qu’ils pratiquent le naturisme. Par contre je me demande si tous les amis qu’ils ont croisés dans le camp sont aussi intimes qu’Aurélien et Annabella, bref s’ils ont aussi des rapports sexuels ensemble. Cela ferait du monde. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas ici qu’ils se suceront mutuellement au bord de la piscine tout en prenant leur apéro ; il y a ici des familles, des enfants, et certainement aussi des naturistes qui ne sont pas libertins.

À bien y regarder, si je puis dire, j’ai l’impression que les naturistes se répartissent en deux groupes : ceux qui s’épilent le sexe et ceux qui restent naturels, et j’ai l’impression que les vrais naturistes plutôt sont ceux qui gardent leurs poils. Donc, comme le point commun aux amis de mes patrons, est qu’ils sont tous intégralement épilés, hommes comme femmes, je les place plutôt du côté des naturistes libertins. Même si ce n’est pas forcément un signe de ralliement, c’est malgré tout un indice fort.

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De retour au chalet loué par mes patrons, je peux enfin en découvrir l’intérieur. Confortable et spacieux, avec une cuisine toute équipée et un salon doté d’un canapé confortable et d’une télévision grand écran. Par contre il n’y a qu’une seule grande chambre avec deux lits doubles et le cabinet de toilette est assez exigu. De toute façon, Christine m’assure que nous n’aurons pas à utiliser le cabinet de toilette car les blocs sanitaires du camping sont bien plus spacieux et conviviaux. Quant à la chambre unique, elle me dit que c’est également pour des raisons de convivialité, car il y a aussi des chalets deux chambres. J’acquiesce tout en me disant que convivialité rime certainement avec sexualité dans l’esprit de ma patronne.

Tandis que je suis en train de ranger les vêtements que je sors des bagages, je tombe sur un godemiché au fond de la valise. Christine qui n’est pas loin de moi, prend immédiatement la parole :

« J’en emporte toujours un avec moi, ça peut toujours servir quand on est seule »

Je lui réponds alors spontanément sans réellement mesurer la portée de mes propos :

« Oui, c’est vrai. J’utilise souvent celui que vous m’avez laissé »

« Celui qui est moulé sur le sexe de mon mari ? Et ça te dirait d’essayer l’original ? »

« Je ne voudrais pas abuser »

« Mais non, pas du tout. Au contraire. Ça me ferait grand plaisir »

Sans plus attendre, et avant que je n’aie eu le temps de changer d’avis, Christine va chercher son mari. Lorsqu’il arrive dans la chambre son sexe est déjà en train de se redresser. Sans plus attendre, il me pénètre avec douceur, effectuant de lents va-et-vient tout en me caressant. Il sait s’y prendre avec les femmes, sa bite est bien raide et il sait merveilleusement s’en servir, c’est vraiment dommage que son fils ne soit pas monté comme lui. Pendant ce temps, Christine nous regarde faire tout en se masturbant. J’avais déjà sucé mon patron la dernière fois, mais cette fois-ci il me pénètre et c’est largement meilleur.

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Ses coups de bite font rapidement monter mon plaisir et je finis par jouir tout en pensant à son fils. Sentant sa jouissance imminente, il se retire de moi et termine en éjaculant sur moi. Ses giclées de sperme s’étendent de mon nombril à mon menton, couvrant généreusement mes seins. Christine se joint alors à nous et lèche le sperme de son mari tout en me caressant. Ce pervers d’Éric ne résiste pas à la tentation de venir lui aussi lécher son sperme. Mes patrons terminent en s’embrassant amoureusement tout en caressant mon corps couvert de semence.

Le reste de l’après-midi s’écoule plus calmement. Nous allons à la piscine du camping pour nous baigner et bronzer. Nous y retrouvons Aurélien et Annabella. Allongée sur un transat, les yeux cachés derrière mes lunettes de soleil, je mate les autres baigneurs et baigneuses tandis que je me fais mater moi aussi.

L’après-midi se termine, nous sommes de retour au chalet. Annabella et Aurélien arrivent peu de temps après pour prendre l’apéro avec nous.

À peine sont-ils ensemble qu’Éric et Aurélien commencent à se masturber mutuellement tout en se caressant. Éric semble obligé de se justifier :

« J’en ai eu envie tout l’après-midi, mais au bord de la piscine, ce n’est pas possible ».

Ce que confirme son ami Aurélien :

« Moi aussi, je n’arrêtais pas d’y penser »

« Tu prends un whisky ? »

« Bien sûr »

Cela semble être un signal entre les deux hommes. Ils vont directement s’allonger sur le lit et se placent en position de 69 pour se sucer mutuellement avec tendresse sous le regard bienveillant de leurs femmes.
Alors qu’il est en train de lécher avec application la bite bien raide de son ami, Éric lui fait tout naturellement une proposition étonnante :

« Ça fait longtemps que tu ne m’as pas pénétré »

« C’est vrai. Tu en as envie ? »

« Ça me plairait bien, j’aime bien te sentir en moi »

« D’accord. À charge de revanche, tu m’enculeras plus tard »

« Bien entendu »

Annabella, qui suivait la scène avec intérêt, de charge alors d’apporter un préservatif à son mari, elle le déroule avec soin sur sa bite toute raide. Pendant ce temps-là Christine applique du gel lubrifiant sur l’anus de son mari, n’hésitant pas à y introduire un doigt pour le préparer à la sodomie. J’assiste alors à une nouvelle scène de sexe entre hommes. Ils savent s’y prendre, les bougres et leur coït auraient même tendance à m’exciter. Éric s’est d’abord placé à quatre pattes et Aurélien le prend par les hanches pour le pénétrer en levrette. Par la suite, son plaisir montant, Éric se redresse pour que son ami puisse lui caresser les pectoraux tout en l’enculant. Finalement, lorsque Aurélien sent qu’il est au bord de la jouissance, il se retire de son ami et ôte son préservatif. Les deux hommes se replacent en position de 69 pour le plaisir de s’éjaculer dans la bouche afin de pouvoir enfin déguster les verres de Whisky que je leur ai préparés.

Après le repas, la soirée va se prolonger par une partie de cartes. Rapidement les gages sexuels se mettent en place pour les perdants et cela finit bien évidemment en partouze. Après avoir commencé en filmant leurs ébats, je vais finir par y participer aussi pour mon plus grand plaisir.

Le lendemain, nous nous rendons à la plage, une plage naturiste bien évidemment. Pour y aller, Christine ne m’a confié qu’une robe en tulle légèrement transparente. Elle insiste pour que je la porte sans rien dessous.

« Pas besoin de mettre un maillot puisque nous allons nous mettre nus à la plage… » me dit-elle.

Après m’être habillée, je m’observe dans le miroir de la chambre, je devine mon corps à travers le tissu léger, mes seins sont nettement visibles, ma fente se laisse même deviner. En fait j’ai l’impression d’être nue malgré cette robe, mais puisque nous allons directement à la plage, cela peut aller. Quant à Christine, elle s’est vêtue d’une robe qui descend à mi-cuisses et lui laisse le dos et les flancs complètement nus jusqu’aux fesses. Seule une bande de tissu léger masque sa poitrine et est maintenue en place par une cordelette passant derrière son cou. Bien entendu, elle ne porte rien dessous, comme d’habitude. Quant à Éric, il a mis une chemise en lin et un pantalon ample également en lin sans rien dessous.

En fait, nous n’allons pas directement à la plage, mes patrons veulent d’abord faire un tour en ville. Je ne sais pas s’ils l’ont fait exprès pour me mettre à l’épreuve et me faire ressentir de nouvelles sensations, mais je sens bien les regards des hommes et aussi des femmes qui ne peuvent se retenir de mater mon corps à peine voilé par le tissu léger. Éric aussi ne cesse d’en profiter pour me mater autant qu’il peut, quelquefois je sens ses mains caresser mes fesses, celle de Christine aussi. Je me laisse faire avec plaisir, j’aime bien être caressée, même en public.

Nous reprenons ensuite le chemin de la plage. Après nous êtres garés et avoir marché pendant quelques centaines de mètres nous finissons par arriver sur l’étendue sableuse. Ici tout le monde est nu, il y a quelques semaines cela m’aurait intimidée, maintenant cela me semble tout à fait naturel. Plutôt que de nous installer sur la plage, mes patrons prennent la direction de la dune. Nous nous y installons au milieu des arbustes. Mes patrons me demandent de me placer entre eux. Des hommes nus passent régulièrement, la plupart ralentissent tout en nous regardant, certains ont leur bite toute raide. C’est la première fois que je me dénude devant autant d’inconnus. Je sais que je les excite et j’aime cela.

Je m’absente alors car j’ai besoin de satisfaire un besoin pressant. Je pense que le stress engendré par cette situation malsaine y est aussi pour quelque chose. En circulant parmi les arbustes, je découvre d’autres couples qui s’exhibent aussi. Il y a aussi quelques gays et même un couple de lesbiennes. Tous se caressent sans se soucier de tous les voyeurs qui circulent le sexe en érection et qui n’hésitent pas à se branler dès qu’il y a quelque chose à voir. Certains en sont même à un stade plus avancé, un couple fait l’amour, deux gays sont en train de se sucer mutuellement. Après avoir enfin trouvé un coin tranquille pour uriner, je retourne tranquillement vers là où nous sommes installés, tout en croisant quelques mecs la bite en l’air sans réellement y faire attention. Je découvre alors mes patrons en train de se caresser mutuellement tandis que plusieurs voyeurs sont en train de les observer tout en se masturbant. Finalement, après ce que je viens de voir, cela me paraît presque naturel. Me voyant de retour, ils s’écartent pour que je puisse reprendre ma place entre eux.

Éric me demande alors de lui étaler de la crème solaire, ce que je vais faire de bonne grâce car j’adore prendre en main son sexe tout doux. Les voyeurs sont restés, ils me regardaient faire avec un vif intérêt. Après m’être occupée de son dos, il se retourne me donnant enfin l’accès à l’objet de mon désir. Comme d’habitude, je commence par les épaules et descends lentement jusqu’au ventre. Arrivée à la limite du pubis, je repars des pieds et remonte les cuisses jusqu’à enfin atteindre son sexe déjà redressé. Je le prends en main et le masturbe vigoureusement tandis qu’il m’introduit ses doigts dans ma chatte. Éric, déjà très excité, ne tarde pas à jouir. Son sperme se répand copieusement sur son ventre, je termine donc en étalant consciencieusement son jus intime sur son buste imberbe.

C’est ensuite au tour de Christine de me solliciter pour la crème solaire. C’est avec les mains encore couvertes du sperme de son mari que je commence à lui enduire le dos. Elle se retourne ensuite et je parcours son corps de la même façon que son mari, terminant par sa vulve dans laquelle j’introduis mes doigts tout en jouant avec son clitoris et ses seins. Ces sollicitations ne vont pas tarder à la faire jouir. C’est alors que je remarque qu’il y a encore plus de voyeurs que tout à l’heure. Ils regardent avec intérêt le spectacle que nous leur offrons.

Mes patrons me proposent alors de m’enduire de crème solaire à mon tour. Je me place donc sur le ventre et ils commencent à s’occuper de moi. Ce massage à quatre mains est réellement très agréable. Je déconnecte et me mets à rêver tranquillement. Lorsqu’ils me demandent de me retourner, je le fais sans hésiter, et je continue à me laisser faire, les yeux mi-clos, profitant avec plaisir du moment présent. Leurs mains parcourent mon corps, mes seins, ma fente. Je ne sais pas qui m’introduit des doigts, mais c’est très agréable.

C’est lorsque j’ouvre les yeux que je prends conscience de la réalité. Cinq hommes sont face à moi, juste dans l’axe de ma vulve, à quelques mètres, et se masturbent frénétiquement tout en me regardant. Ma pudeur instinctive reprend subitement le dessus. Gênée par cette situation, je ne peux résister à l’envie de remonter et resserrer mes jambes pour cacher mon intimité à ces pervers. Mes patrons me prennent alors chacune un genou et m’écartent les cuisses avec douceur et fermeté, m’exhibant sans pudeur aux regards de la bande de pervers qui me fait face. Ils recommencent aussi à introduire leurs doigts dans ma chatte pour me masturber simultanément tout en me pelotant les seins. Finalement je cède, car je commence à ressentir du plaisir à être ainsi exhibée comme un objet. D’ailleurs, je ne tarde pas à jouir, criant mon plaisir sans retenue, tandis que les voyeurs éjaculent à tour de rôle.

Le reste de la journée se passe sur le même rythme. Je vais prendre du plaisir à me masturber devant les voyeurs, comptant à chaque fois combien se sont arrêtés et combien ont éjaculé. Je vais aussi retourner plusieurs fois voir les autres couples faisant la voyeuse à mon tour. Je crois à chaque fois des hommes la bite en érection qui ne passe qu’à quelques centimètres de moi, c’est assez impressionnant d’être entourée d’autant de sexes dressés. Mais ce que j’ai le plus adoré, c’est quand les deux gays qui faisaient un 69 ont éjaculé en même temps, avalant goulûment le sperme qui se déversait dans leur bouche.

Finalement, ce week-end se termine bien trop vite à mon goût. J’aurais aimé pouvoir en profiter bien plus longtemps. Je repense à tout cela pendant que nous rentrons à la maison. J’apprécie de voir des hommes se faire gicler dans la bouche. Je pense que cela remet à sa place le sexe prétendument fort. Je pense que si tous les hommes pratiquaient la fellation et avalaient, ce serait un grand pas vers une égalité des sexes.

20) Petits plaisirs simples !

Jérôme me manque ? Cela ne fait que trois jours, mais cela me semble bien long. Je me demande bien ce qui peut m’attirer vers un garçon qui a une si petite bite alors que depuis plus d’un mois je goûte sans retenue aux plaisirs du sexe, alternant sans vergogne de nombreuses bites dans tous mes trous.

C’est mon jour de congé, je profite d’être en ville pour oser me rendre dans un sex-shop, probablement le seul de cette petite ville de province. Je n’ai jamais fréquenté ce genre d’établissement, c’est donc avec une certaine surprise que je découvre les lieux. Je suis épatée par la variété des gadgets disponibles et carrément étonnée par la dimension de certains engins. Finalement, je ressors de la boutique avec des boules de geisha et un œuf vibrant télécommandé. Curieuse, je ne tarde pas à déballer les boules de geisha, j’en ai déjà entendu parler à plusieurs reprises mais je n’avais jamais eu l’occasion d’en essayer. L’avantage de ne pas porter de sous-vêtements, c’est qu’il ne me faut que quelques instants pour me les introduire dans le vagin, celui-ci étant déjà tout lubrifié par l’excitation. L’inconvénient, c’est que si elles ressortent malencontreusement, il n’y aura rien pour les empêcher de tomber au sol, j’espère bien que cela ne se produira pas. En tout cas, dès mes premiers pas, je ressens le plaisir intense procuré par les petites boules.

Plus je marche et plus je ressens du plaisir, je me balade en ville juste pour profiter des sensations que m’offrent les boules. J’observe les gens autour de moi. Je n’y avais jamais vraiment fait attention jusqu’à présent, mais en été, de nombreuses femmes ne portent pas de soutien-gorge sous leurs vêtements, je vois leurs seins bouger sous le tissu et leurs tétons qui pointent. L’excitation monte en moi, renforcée par l’effet des boules de geisha.

Du coup, je pars faire d’autres magasins à la recherche de nouvelles tenues pour sortir, celles présentes dans mes bagages me paraissant maintenant bien trop sages. J’essaie donc des vêtements plus ou moins sexy, je ne sais trop que choisir, tout me fait envie. Mon choix se porte sur un haut à bretelles, le tissu est assez léger pour que les aréoles de mes seins se devinent à travers, j’aime bien. Je prends aussi une robe faite dans le même tissu transparent, mon corps se dévoile délicieusement lorsque la lumière vient de derrière. J’ai aussi trouvé une chemise également dans le même tissu léger. J’ai eu beaucoup de mal à en trouver une sans poches au niveau des seins mais je voulais vraiment que mes tétons puissent se voir à travers le tissu. Contrairement aux hauts à bretelles, qui sont moulants, la chemise est assez ample et je peux pleinement profiter des sensations agréables procurées par la caresse du tissu à chacun de mes mouvements. J’ai aussi pris un pull, a priori ce n’est pas une tenue très sexy, mais celui-ci a retenu mon attention. Blanc et très fin, il laisse légèrement deviner ma poitrine, mais surtout il est échancré, ce qui fait que dès que je me penche en avant, il est très facile de voir mes seins par l’encolure.

Je me rends ensuite dans un magasin de lingerie pour y essayer des bas. Finalement, j’en ressors avec une guêpière et des bas. Je sais bien que chez mes patrons, la guêpière me sera plus utile qu’un pull à col roulé.

Comme il me reste encore du temps libre avant de rentrer, j’en profite pour remplacer les boules de geisha par l’œuf vibrant. Grâce à la petite télécommande, je peux le mettre en route ou l’arrêter à volonté. Il est totalement silencieux et me procure d’agréables sensations. Attablée à la terrasse d’un bistrot, je m’amuse à essayer les divers programmes de l’appareil. J’ai bien du mal à rester discrète mais l’envie est trop forte.

Dans le courant de la semaine, mes patrons me proposent, à titre de prime, une séance chez l’esthéticienne pour profiter d’une épilation intégrale et définitive. Je ne vais pas hésiter bien longtemps, je connais le prix assez élevé d’une telle intervention et je pourrai enfin cesser de me raser plusieurs fois par semaine.

Le vendredi soir Jérôme et son ami Mike me proposent de passer la soirée avec eux, ce que mes patrons acceptent de bonne grâce. Ils semblent plutôt rassurés que leur fils s’intéresse enfin aux filles. Follement heureuse de pouvoir revoir Jérôme, je m’efforce de choisir une tenue aussi sexy que possible. Mon choix se porte sur le haut à bretelles que j’ai acheté lundi et une petite jupe mi-cuisses. La jupe paraît un peu sage mais je ne me sens pas encore prête pour sortir en ville en minijupe sans culotte dessous, j’ai encore un peu peur que l’on voie ma fente, cela me dérange moins que l’on devine mes seins, c’est plus fréquent. Me voilà donc prête pour sortir, je prends mon sac à main et vérifie son contenu. Les boules de geisha attirent mon attention, je me les introduis dans la vulve, me voici fin prête. J’ai choisi de faire le trajet à pied, j’ai bien fait car les petites boules ne vont cesser de m’exciter tout au long du parcours. Je suis toute mouillée lorsque j’arrive dans le bar du centre-ville où ils m’ont donné rendez-vous. Ils sont déjà attablés et je les embrasse à pleine bouche l’un après l’autre sous les regards intrigués de certains clients.

De jeunes artistes se produisent le week-end. Nous nous asseyons donc côte à côte sur une banquette pour mieux profiter du concert et les deux garçons pour mieux profiter de ma chatte. La table masque leurs gestes, ce qui leur permet de me tripoter en permanence. Leurs doigts s’insinuent entre mes cuisses, caressent ma fente, s’introduisant dans mon intimité. C’est alors qu’ils découvrent la présence des boules de geisha, ce qui augmente leur excitation et aussi la mienne. Ils voudraient bien aussi me caresser les seins, mais ce n’est pas assez discret. Par contre, ils n’hésitent pas à remonter ma jupe, allant jusqu’à dévoiler mon intimité au serveur qui passait à ce moment-là. Même si je trouve qu’ils ont un peu abusé, j’ai ressenti tellement de plaisir à être ainsi exhibée que je ne leur en veux pas. Ils vont continuer en s’amusant à enlever puis remettre mes boules de geisha. Ces deux cochons vont même réussir à me faire jouir deux fois au cours de la soirée, n’hésitant pas à exhiber à nouveau ma fente toute lisse dès qu’un client un peu curieux passe près de nous tout en jetant un regard intéressé vers mon entrejambe.

Lorsque nous sortons du bar, ils ne résistent pas à l’envie de passer leurs mains sous ma jupe pour me peloter les fesses. Dès que personne ne nous observe, ils vont même à me caresser les seins par-dessus et par-dessous mon débardeur, l’un devant et l’autre derrière. Ils jouent aussi avec mes tétons, les faisant rouler entre leurs doigts, prenant un malin plaisir à les faire pointer à travers le fin tissu de mon débardeur.

La soirée se termine évidemment dans leur appartement. Excités comme ils sont, ils bandent déjà, même si la bite de Jérôme est ridiculement plus petite que celle de Mike. Après nous être caressés, léchés et sucés mutuellement, je me laisse prendre en levrette par Mike qui s’affaire dans mon petit trou. Pendant ce temps, Jérôme se place face à moi pour que je le suce tout en me confiant un godemiché. Il s’allonge alors sur le dos et je me charge de le sodomiser avec l’engin de latex tout en le suçant en même temps. La soirée se finit en apothéose lorsqu’ils me prennent simultanément. Mike pénétrant mon cul tandis que Jérôme s’installe confortablement dans ma bouche. Après m’avoir fait bien jouir, c’est à leur tour de se faire plaisir et ils me remplissent les entrailles et la gorge de leur bon sperme onctueux. Mike suce ensuite la bite de son copain pour goûter à son sperme tandis que Jérôme fait de même en m’embrassant.

Cette soirée va marquer le début d’un week-end mémorable puisque le samedi soir, c’est avec mes patrons que je vais passer la soirée. Christine adore voir son mari offrir du plaisir à d’autres femmes et leur remplir le sexe et la bouche de sperme. C’est donc durant cette soirée très chaude qu’Éric va m’offrir la pénétration vaginale que je n’ai pas pu avoir avec son fils, qui en a une trop petite, ni avec Mike, qui préfère la sodomie.

Tandis que je suis allongée, Éric me pénètre avec fougue et sa femme me pelote les seins tout en les suçant. Je me laisse faire, totalement offerte au plaisir que je reçois, jusqu’à temps de ressentir de puissants jets de sperme s’écouler dans ma vulve. Je rouvre alors les yeux et vois Éric ressortir son sexe luisant de sperme et de mouille. Après avoir joui en moi, il se place entre mes cuisses et se met à lécher avec avidité son sperme qui commence à s’écouler de mes lèvres. Il est rapidement rejoint par sa femme. Je les observe avec intérêt, c’est une impression curieuse de voir mes deux patrons affairés à me lécher la chatte avec application. C’est ensuite moi qui me charge de nettoyer la bite de mon patron du sperme qui reste encore dessus. Il a un goût bizarre. C’est logique, car il est mélangé avec ma cyprine, ce qui rend le goût un peu plus amer.

Pour terminer en beauté ce week-end de sexe, dimanche après-midi, Charlotte, Gatien et Hugo nous rendent visite. Décidés à profiter de la piscine, ils ne tardent pas à se mettre nus pour aller plonger dans l’eau tandis que mes patrons décident de partir faire une marche dans la campagne pour nous laisser tranquilles. Christine me confie qu’ils adorent faire l’amour en pleine nature, et c’est aussi pour cela qu’il est bien plus pratique de ne pas porter de culotte. Elle est ainsi toujours disponible pour recevoir un bon coup de bite, quel que soit l’endroit, dès qu’elle ou son mari en ont envie.

Charlotte, qui est en train de se faire caresser dans l’eau par ses copains, me propose alors de les rejoindre. Je n’hésite pas longtemps, retirant rapidement ma tenue pour plonger dans l’eau. Nous commençons alors à nous caresser tous les quatre. Très excités, nous sortons de la piscine et continuons à nous caresser sur les transats, nous sommes les seuls dans la maison, autant en profiter. Rapidement, les caresses se transforment en léchouilles. Je me retrouve en position de 69 avec un des garçons, puis avec l’autre. Nous alternons régulièrement les positions et je finis par ne plus savoir qui je suce ou qui me lèche.

Pour terminer, Charlotte se fait prendre en levrette, je me glisse sous elle pour que nous nous léchions mutuellement les seins tandis que je me fais prendre en même temps. Les deux garçons ne tardent pas à jouir en nous. Très excitées, nous nous plaçons en 69 pour lécher avec application nos fentes dégoulinantes de sperme. Je repense à ses parents qui me l’ont fait la veille. Pendant de temps, les deux garçons font de même pour se nettoyer la bite. Je trouve attendrissant de les voir jouer aux pédés, Charlotte aussi, alors nous allons les caresser et les masturber tandis qu’ils conservent leur position tête-bêche. Ils ne tardent pas à bander à nouveau, très excitées, nous continuons à les masturber tout en nous caressant. Ils ne tardent pas à jouir une deuxième fois, nous nous chargeons, Charlotte et moi, de bien orienter leur bite pour que chacun gicle bien dans la bouche de l’autre. C’est tellement excitant et pervers de voir un homme jouir dans la bouche d’un autre, je ne me lasserais pas de ce spectacle. Les deux garçons, enfin rassasiés, se rasseyent et terminent en s’embrassant pour échanger leur sperme, puis nous embrassent pour le partager avec nous.

Le temps est passé très vite, trop vite. Mes patrons semblent être déjà de retour, ils arrivent juste quand nous avons fini. Quelle synchronisation ! Ou bien étaient-ils en train d’attendre que nous ayons fini tout en nous regardant discrètement ? Mes partenaires retournent dans la piscine pour se nettoyer. Quant à moi, je me rhabille comme je peux. Le sperme est en train de sécher sur mon corps, le tissu colle un peu à ma peau, heureusement ma tenue est si légère qu’elle n’est pas bien difficile à remettre.

À suivre !!

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