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Le journal de Julie, jeune fille au pair Chapitre 8 Fin

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23) Derniers jours avant la rentrée !

Mon contrat se termine bientôt et j’ai l’impression que je n’aurai pas le temps de tout essayer avant la fin, alors que je redouble d’efforts. Lorsque mon patron rentre de son travail, je lui apporte un apéritif au bord de la piscine, que j’accompagne généralement d’une fellation. Selon son humeur il se termine dans ma bouche ou il me prend en levrette, soit dans la chatte, soit dans le cul. Ma patronne n’est pas jalouse car je la lèche avant qu’elle parte travailler, cela lui donne un coup de fouet pour tout le reste de la matinée.

Ce n’est que le vendredi soir que j’ai l’occasion de voir Jérôme. Dès que je le vois, mon cœur s’emballe et nous nous embrassons passionnément, même si j’ai sucé son père, ou léchée sa mère peut de temps avant et que j’ai encore un peu le goût de son sperme ou de la cyprine dans la bouche. Je passe ensuite la soirée avec lui avec l’accord de mes patrons. D’ailleurs j’ai l’impression qu’ils commencent à se douter de quelque chose.

D’ailleurs, dans la matinée du samedi, mes patrons profitent de ce qu’ils sont seuls à la maison avec moi pour que nous ayons une discussion ensemble. Ils ont bien compris que je sors avec leur fils. Cela ne leur pose pas de problème, ils préfèrent que leur fils soit bisexuel plutôt que juste homosexuel, cependant ils souhaitent me mettre en garde au sujet de la stérilité de leur fils. Comme je suis déjà au courant, cela les rassure, ce que je fais, je le fais en toute connaissance de cause. De toute façon, outre les sentiments, la taille de la bite n’est pas un critère prépondérant pour moi. Je leur confie aussi que notre relation n’est pas exclusive et que nous conservons nos libertés personnelles, ce qui me permet de goûter aussi à des bites plus conséquentes, comme celle de mon patron.

Ravis de mon choix et de ma façon d’entrevoir la relation avec leur fils, sans contrainte ni exclusivité, ils me proposent une petite partie à trois pour fêter cela. J’accepte immédiatement car j’apprécie toujours de recevoir un bon coup de bite de la part de mon patron. Après avoir en quelque sorte officialisé ma relation avec son fils, Éric ressent un plaisir particulier à baiser celle qui est presque sa belle-fille. Quant à Christine, j’ai l’impression qu’elle fait preuve de beaucoup d’attention à mon égard tandis que nous nous léchons mutuellement, elle joue avec mon clito comme elle ne l’a jamais fait et je lui rends la pareille tout en léchant la bite de son mari quand il ne la pénètre pas. Pour finir Éric jouit en moi et mes deux patrons terminent en me léchant la vulve à tour de rôle pour avaler le sperme qui s’en écoule.

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Samedi après-midi, c’est jardinage. Juste vêtu d’une blouse, je suis penchée en avant pour planter des fleurs. Éric qui passait par là ne peut se retenir d’admirer mon cul offert à son regard. Rapidement, je sens ses mains sur mes fesses. Offerte à ses caresses, puis carrément offerte à sa bite, je sens rapidement le plaisir monter en moi. C’est une bonne petite séance de baise rapide. Il ne tarde pas à me remplir le cul de sperme puis repart aussi discrètement qu’il était arrivé. Des fois j’ai vraiment l’impression de servir de trou à bites, mais j’aime bien. En plus il n’y a que mon patron qui se permet cela, aucun de ses invités n’oserait être aussi direct.

Le samedi soir, mes patrons reçoivent des amis. À cette occasion, ma tenue de service est changée. Elle est essentiellement composée d’un bustier seins nus en dentelle noire qui fait également office de porte-jarretelles. À cela s’ajoute une paire de bas noirs et un tablier de service blanc pas plus grand qu’un mouchoir Qui parvient à peine à cacher mon sexe puisque je ne porte pas de jupe.

Christine aussi s’est habillée d’un bustier seins nus avec des bas. Son sexe est bien visible car elle ne porte pas de tablier, contrairement à moi. Les invités arrivent bientôt. Aurélien et Annabella sont accompagnés d’un autre couple d’amis que j’ai déjà vu au camping. Les deux femmes sont également habillées en bustier, ce doit être le thème de la soirée.

Je suis maintenant parfaitement habituée à servir à table habillée dans une tenue sexy. Les invités me pelotent les fesses et insinuent leurs doigts le long de ma fente. J’y prends beaucoup de plaisir et je n’hésite pas à écarter les jambes et bouger un peu pour bien les sentirs me pénétrer la chatte.

Le repas touche à sa fin. Ma patronne me rejoint dans la cuisine car le dessert va être servi à même mon corps. Je me déshabille et m’allonge sur une table roulante, puis Christine dispose sur moi des fruits et des pâtisseries. Elle fait couler du miel, du coulis de fraise et du chocolat un peu partout, y compris sur ma vulve et décore mes seins de crème chantilly. Je suis ensuite servie en pâture aux convives qui apprécient visiblement la présentation du dessert. Tandis que certains lèchent le miel, le coulis et le chocolat qui me recouvrent, d’autres me sucent les seins pour finir les restes de chantilly. Les plus pervers prennent une banane, la pèlent et me l’introduisent dans la chatte avant de la manger avec délectation.

Le dessert n’est pas encore terminé qu’Aurélien se fait un plaisir de m’éjaculer dessus. Immédiatement, tous les convives, hommes comme femmes, se font le plaisir de me lécher pour goûter à son sperme. C’est ainsi que commence la partouze. Je n’ai même pas le temps de me laver que je me fais déjà pénétrer par l’ami de mon patron dont je ne connais toujours pas le prénom. Il semble apprécier que je colle de partout et ne cesse de me lécher pendant qu’il me pilonne ardemment avec sa grosse bite.

La soirée continuera ainsi jusqu’à deux heures du matin. Je me serai fait prendre par les trois hommes successivement, certains éjaculant dans ma chatte, d’autres dans ma bouche, probablement plusieurs fois de suite, je ne me souviens pas du tout.

Après une journée de dimanche plus tranquille, qui va me permettre de mes émotions, c’est avec joie que j’attends mon jour de repos du lundi. En effet, j’avais proposé à ma sœur de passé me voir et elle a accepté.

Je vais la chercher à la gare, elle arrive par le premier train du matin pour que nous puissions profiter de toute la journée pour nous amuser. La première chose qu’elle me dit après que nous nous sommes fait la bise, c’est qu’elle a aussi renoncé aux sous-vêtements. Je m’en rends immédiatement compte pour sa poitrine puisque l’on devine le bout de ses tétons à travers le tissu. Pour ce qui est de la culotte, je lui fais confiance.

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Comme elle ne sait pas trop comment s’habiller pour profiter au mieux de la situation, je lui propose de commencer par aller faire du shopping entre filles. Je commence à connaître les magasins de fringues de la ville et nous allons directement dans ceux qui sont les plus intéressants. C’est dans la cabine d’essayage que je peux constater qu’elle ne porte pas de culotte, en plus elle continue de se raser le sexe, elle m’excite avec sa chatte toute lisse, si je me laissais aller je la lécherais tout de suite, même si c’est ma sœur. Finalement, après avoir essayé la moitié du magasin juste pour le plaisir, nous repartons avec quelques débardeurs, un chemisier transparent, deux jupes fendues et des paires de bas noirs et des chairs ainsi que deux porte-jarretelles, ainsi que des paires de collants fins, que nous porterons sans sous-vêtements dessous dès qu’il commencera à faire froid.

J’entraîne ensuite Manon dans le sex-shop de la ville car je recherche aussi des collants ouverts. Je n’en ai pas trouvé dans les magasins classiques et c’est quand même bien plus pratique pour se faire prendre à volonté sans subir les inconvénients d’un collant classique, qu’il faut descendre aux genoux ou aux chevilles et qui finit inévitablement déformé si l’on veut écarter un peu les cuisses sans avoir à le retirer.

Je me rachète aussi un œuf vibrant et des boules de geisha puisque j’avais offert les miens à ma sœur. Je lui offre également un godemiché en lui proposant de choisir celui qu’elle veut, après en avoir tâté plusieurs modèles, elle en choisit un assez imposant. Je la traite de gourmande et lui demande si elle réalise bien la taille de l’engin, ajoutant qu’il faudra qu’elle l’utilise devant moi pour que je sois convaincue qu’elle s’en sert vraiment. Ceci ne semble pas l’impressionner car elle m’avoue s’être récemment introduite un concombre avec grand plaisir.

La matinée s’est déjà écoulée et nous nous rendons dans un petit restaurant tranquille pour détailler nos acquisitions. Je déballe l’œuf vibrant que je viens d’acheter tandis que Manon sort le sien de son sac. Nous nous les introduisons, puis nous échangeons nos télécommandes pour jouer avec. Nous ne sommes pas très discrètes, nos rires sont assez forts, mais qu’est-ce que c’est bon.

Après une balade en ville, nous nous rendons chez mes patrons dans l’espoir de profiter de la piscine. Malheureusement, ils ne sont pas partis comme prévu, ils sont même dans la piscine. Ma sœur les voit alors sortir de l’eau intégralement nus et peut alors constater qu’ils sont tous les deux épilés. C’est la première fois qu’elle voit un sexe d’homme tout lisse. Ils nous proposent tout naturellement de nous baigner aussi. Ma sœur est un peu gênée et elle se confie à moi :

« Même si tu m’as enlevé pas mal de tabous depuis mon anniversaire, je ne me suis encore jamais déshabillée devant des inconnus ».

« Ce ne sont pas des inconnus, ce sont mes patrons »

« Oui, mais ils vont immédiatement remarquer que je ne porte pas de sous-vêtements. Je vais passer pour une salope »

« Je t’assure, personne ne porte de sous-vêtements ici »

« Vraiment ? »

« Comment tu crois que j’ai pris l’habitude de ne plus en porter ? Et tu ne passeras pas pour une salope mais juste pour une personne bien dans sa peau. De toute façon, on voit déjà que tu ne portes pas de soutien-gorge »

Rassurée, ma sœur retire ses habits sous les regards concupiscents de mes patrons.

Après nous être baignées une bonne demi-heure, nous allons nous allonger sur des transats pour sécher. Manon devra repartir dans une heure et je n’ai même pas eu le temps de la caresser alors que j’en meurs d’envie depuis que nous avons essayé les vêtements ce matin. Je m’approche donc d’elle et commence à parcourir son corps de mes mains. Surprise, elle tressaille brièvement, ouvre les yeux et me regarde rassurée, puis elle remarque que mes patrons sont de l’autre côté de la piscine.

« Ce n’est pas que je ne veux pas, mais quand même pas devant tes patrons »

« Mais si, ne t’inquiète pas, ils sont d’accord »

« Tu es sûre ? »

« Certaine. Laisse-toi faire »

Et c’est ce qu’elle fait, elle s’abandonne totalement à mes caresses. Je ne tarde pas à peloter ses seins, ses tétons sont déjà tout durs, je joue avec, les faisant rouler entre mes doigts pour lui arracher des gémissements de plaisir. Une de mes mains se rapproche ensuite de son bas-ventre. Je laisse aller mes doigts le long de sa fente, elle est toute mouillée, j’y introduis un doigt, puis deux, c’est tout chaud à l’intérieur, elle est visiblement très excitée. C’est quand je commence à la masturber qu’elle resserre les cuisses, prise d’un moment de pudeur. Je l’invite à regarder de l’autre côté de la piscine, mes patrons se sont installés en position de 69, en train de se lécher mutuellement avec avidité tout en nous regardant par moments.

Manon cesse alors toute résistance, je la masturbe de plus en plus profondément, puis je m’installe sur elle et me mets à la lécher. Quelques minutes plus tard je sens enfin ses doigts s’introduire en moi puis sa langue. Nous nous léchons mutuellement sous les regards de mes patrons, la jouissance monte en nous, nos cris révèlent l’intensité du plaisir que nous venons de ressentir ensemble.

Le temps a passé vite, il est temps de repartir à la gare. Manon salue mes patrons avant de partir, ils viennent de jouir aussi et le menton de Christine est encore brillant du sperme qu’elle vient de recevoir dans la bouche, ce qui ne l’empêche pas de faire la bise à ma sœur.

Nous n’avons que le temps de retourner à la gare, j’embrasse ma sœur et la laisse partir à regret. Je suis déjà impatiente de la revoir, j’ai tant de choses à lui faire découvrir.

24) Épilogue !

Le dimanche suivant Jérôme et Mike me proposent une sortie à la plage avec eux. J’accepte bien évidemment, d’autant plus que cela va être pour moi l’occasion de clarifier la situation avant qu’elle ne devienne trop compliquée.

Le meilleur moment pour parler de tout cela étant celui où ils seront le plus décontractés, je leur propose de les enduire de crème solaire. La douceur du massage que je leur prodigue ne tarde pas à les plonger dans un état de bien-être assez prononcé, d’ailleurs leur sexe commence à se raidir sous l’effet de mes caresses. Je me place entre eux, nous sommes discrètement installés à l’ombre, je peux saisir leur bite pour les masturber tranquillement. C’est alors que je décide de m’expliquer.

Je révèle à Mike mes sentiments pour Jérôme. Je l’aime bien aussi, mais avec Jérôme c’est plus intense, c’est le grand amour, j’en suis sûre. Je ne veux pas les séparer, je suis prête à vivre avec les deux. Mike est très compréhensif, Jérôme lui en avait déjà parlé un peu. Cela ne me dérange pas car c’est purement sexuel entre eux. Peu de sentiments, surtout l’envie de baiser aussi souvent que possible. Un ménage à trois ne serait pas pour lui déplaire, tout le monde pourrait y trouver son compte.

C’est un grand soulagement pour moi. Finalement cela s’est plutôt bien passé. Je continue de les masturber puis je les prends en bouche et les suce avec avidité jusqu’à ce qu’ils éjaculent jusqu’au fond de ma gorge. Le reste de la journée va se passer plus calmement : baignade et bronzette, mais aussi exhibitions dans les dunes et partie à trois devant les voyeurs. Ceux-ci étaient très excités de voir une jeune femme se faire prendre par-devant et par-derrière par deux garçons, ils ne cessaient de se masturber frénétiquement jusqu’à temps que nous jouissions. Ce qui m’amuse, c’est qu’ils ont été bien moins excités lorsqu’ils ont vu Jérôme et Mike se placer tête-bêche pour sucer mutuellement leurs bites encore pleines de sperme.

Cette journée à la plage m’aura été fort bénéfique. Le compromis que nous avons rapidement trouvé m’a ouvert de nouvelles perspectives. Je vais paraître préoccupée pendant plusieurs jours, mais c’est parce qu’une idée m’est venue. Une idée folle, mais qui pourrait bien changer le cours des choses.

Le mardi suivant, je revois Jérôme et Mike. Je leur expose mon idée. Ils la trouvent insensée, mais aussi tellement cohérente, qu’ils se rendent à l’évidence et me confessent qu’en fait, ils la trouvent excellente.

Le lendemain, n’osant aborder directement le sujet avec mes patrons, j’en parle d’abord à Charlotte. Celle-ci, complètement emballée par mon idée, file immédiatement en parler à ses parents. Éric et Christine ne tardent pas à revenir, visiblement heureux de mon idée, ils m’embrassent et me serrent chaleureusement dans leurs bras tout en laissant échapper des larmes d’émotion.

Septembre approche. Les cours vont bientôt reprendre à la fac. Mon emploi saisonnier de jeune fille au pair va se terminer. Je devrais ressentir de la tristesse que tout ceci soit fini. Et pourtant… C’est une nouvelle vie qui va commencer pour moi. Les préparatifs vont bon train. Tout doit être fini pour fin octobre. Heureusement, nous avons une très belle arrière-saison et la cérémonie va pouvoir se dérouler sous un grand soleil.

En effet, en ce dernier dimanche d’octobre, je suis radieuse, debout aux côtés de Jérôme, dans la mairie, habillée dans une magnifique robe blanche faite de dentelle et de perles, une splendide robe de mariée que je suis si heureuse de porter.

Nous nous sommes dit oui. Pour le meilleur et pour le pire. Mes parents étaient émus, ceux de Jérôme encore plus, ils n’imaginaient pas que ce moment puisse être possible un jour. Nos témoins sont Mike et Charlotte. C’est grâce à eux que j’ai eu cette idée, cette petite idée de rien du tout, qui a tout résolu : que ce soit le père de Jérôme qui me fasse un enfant à sa place, ainsi la famille aura une descendance malgré sa stérilité, et qui plus est, les gènes paternels seront malgré tout transmis à la descendance. Pour moi, cela ne va pas changer grand-chose. Éric me baise déjà assez souvent, son fils le sait et cela ne le dérange pas.

J’observe l’assemblée qui nous entoure pour célébrer notre union. Mes beaux-parents sont en larmes. Charlotte et Mike, nos témoins sont très émus, je vois aussi Gatien et Hugo, les deux copains de Charlotte. Et un peu plus loin, je reconnais Aurélien et Annabella. Toutes ces personnes avec qui j’ai connu nombre d’émois ces derniers mois. Ma petite sœur Manon est là aussi, je repense aux tendres moments de plaisir que nous avons partagés ensemble. Je sais qu’elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge malgré sa jupe assez courte. Les autres personnes présentes ne savent pas la débouche de sexe que j’ai partagée avec toutes ces personnes, heureusement.

Si le reste de la journée s’est passé de façon assez conventionnelle. Le réveil des mariés à cinq heures du matin l’a été beaucoup moins. Charlotte, Mike, Gatien, Hugo et ma sœur Manon ont débarqué à moitié nus. Les deux filles ne portaient qu’une guêpière seins nus et des bas, quant aux garçons, ils portaient une magnifique érection, ils m’ont avoué par la suite avoir pris du Viagra pour l’occasion. Cela s’est immédiatement transformé en partouze, les trois garçons me prenant par tous les trous pendant que ma sœur suce mon chéri tout en se faisant lécher la chatte par Charlotte. Je vais ensuite m’occuper de mon chéri, après tout je suis sa femme, laissant ma petite sœur se faire prendre par-devant, par-derrière et dans la bouche par les trois mâles aux bites raides. Personne ne s’occupe de Charlotte mais elle en profite pour immortaliser cette orgie avec le caméscope de ses parents. Jérôme, très excité de la situation, parvient à jouir dans ma bouche. Pendant ce temps, je vois ma sœur se faire gicler dessus par trois pervers, et elle aime ça, car elle laisse sa bouche bien ouverte pour en recevoir une partie au fond de sa gorge tandis que le reste s’écoule sur ses joues, son cou et ses seins.

Ce grand moment solennel passé, la vie va reprendre son train-train quotidien. Enfin un train-train assez particulier, car en dehors de mes études à la fac, je vais partager ma vie avec Jérôme et Mike. Installés à trois, comme l’a fait Charlotte, ils me prennent tous les soirs par-devant et par-derrière, je suce Jérôme pendant que Mike m’encule. Ma chatte, je la réserve pour Éric, qui est le seul à avoir le droit de me féconder. Mike n’a pas le droit de jouir dans ma chatte, mais cela ne le dérange pas puisqu’il préfère la sodomie. Quant à Gatien et Hugo, ils respectent mon choix, et même si je les laisse me pénétrer aussi souvent qu’ils en ont envie, ils ont toujours ma courtoisie de se retirer à temps et terminent dans ma bouche qu’ils savent très accueillante.

Des fois, je me dis que ma chatte est pour Éric, mon cul pour Mike et ma bouche pour Jérôme. J’ai précieusement conservé le gode moulé sur la bite de mon patron. Je l’utilise souvent avec Mike et Jérôme. Pendant que l’un m’encule et que je suce l’autre, je m’introduis l’engin en latex dans la chatte. À ce moment, je m’imagine être prise simultanément par mon chéri, son père et son copain.

Quelquefois ma sœur nous rend visite. Comme elle a bien aimé se faire prendre par tous les trous lors de notre mariage, nous invitons aussi Gatien et Hugo, elle est toujours partante quand il y a trois mecs pour s’occuper d’elle.

Bien évidemment, je continue à avoir très régulièrement des rapports sexuels avec mes anciens patrons, en fait tous les week-ends. Bien évidemment, c’est pour l’insémination, mais aussi pour le plaisir, Jérôme le sait bien et il n’est pas jaloux. Pour lui, le plus important, c’est que je sois heureuse. De toute façon, Mike et Jérôme profitent de ce que je ne suis pas là pour se faire une soirée entre mecs qui se termine toujours en enculage. Pendant ce temps, je suis avec Éric et Christine, elle insiste toujours pour introduire elle-même le sexe de son mari dans ma chatte, très excitée à l’idée de participer ainsi à la conception de ses futurs petits-enfants.

Ne voulant pas sombrer dans la monotonie, je vais quelquefois remettre ma tenue de soubrette pour assurer le service du repas du samedi soir lorsque mes beaux-parents reçoivent des amis. Ce qui me permet de participer à leurs ébats, Jérôme le sait. Mais comme je suis fécondable, les invités n’ont droit qu’à ma bouche et mon cul, seul Éric a droit à ma chatte et il ne s’en prive pas, chaque fois qu’il est sur le point d’éjaculer, il quitte sa partenaire et vient me mettre sa bite dans ma chatte pour me remplir encore un peu plus de sperme.

Deux mois ont passé depuis le mariage. La neige tombe dans les rues de la ville tandis que les passants s’affairent en cette fin d’année. Je suis avec Christine, en train de faire les courses pour le réveillon du nouvel an, lorsque je comprends que j’aurais dû avoir mes règles pour Noël. Sans plus attendre, nous nous rendons dans une pharmacie pour acheter un test de grossesse. Nous allons ensuite dans le café le plus proche et je me rends immédiatement aux toilettes pendant que Christine commande deux chocolats chauds. Pas facile de faire pipi sur un bâtonnet grand comme un stylo, je m’en mets sur les mains mais je finis par y parvenir. Je patiente pendant cinq minutes le temps de me laver les mains, puis je rejoins Christine. À peine assise, impatiente je déballe le bout de plastique blanc. Deux traits bleus. Il est positif ! Je suis enceinte ! Folle de joie, Christine m’embrasse pleine bouche oubliant que nous sommes dans un lieu public. Nous nous mettons à pleurer de bonheur. Quel spectacle étonnant pour les autres clients du café.

Jérôme n’aurait jamais pu imaginer que cela puisse être possible un jour et pourtant il va être papa. Éric et Christine vont être grands-parents, eux aussi ne s’y attendaient plus. Je n’aurais jamais cru que ma vie puisse autant changer en si peu de temps. Six mois seulement se sont écoulés et ce n’est pas fini. Ce n’est que le début. Dans un peu moins de neuf mois, ce sera le plus beau jour de ma vie et une incroyable joie pour mon chéri.

FIN !

PS : Histoire rédigée par Julie avec l’aide de ma compagne Manon.

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3 Commentaires

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  • Tout d’abord je remercie Julie pour m’avoir mis comme acteur dans cette superbe série.
    Sinon j’ai adoré chaque chapitre j’ai éjaculé à chaque chapitre j’ai rien à redire c’est tout simplement parfaitement rédigé chaque passage sexuelle est très excitant alors bravo Julie pour cette merveilleuse histoire

  • Marie-Claude, Annie, Éric, Manon, Muriel et Damien vous adressent mon cher Éric toutes nos félicitations pour être devenu beau-père, père, et grand père, nos félicitations s’adressent aussi à Julie l’heureuse maman Julie. Et bravo à toi Julie pour cette série !

  • Merci à Julie de cette attention, et d’avoir finalisé son récit qui à dormi quelques temps dans son tiroir avec brio.

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