Suite de la partie 8 Le contrôleur revint accompagner par 2 gendarmes et un médecin, J’ai entraperçu deux infirmiers avec un brancard sur roue attendre devant le wagon.
Le contrôleur guida les gendarmes à notre compartiment, Messieurs dames je vous demande de bien vouloir sortir un moment ! Merci ! La grand-mère non ne me laisser pas seule non ! Le grand-père demanda si madame (en désignant Brigitte ne peut pas rester) l’officier de police accepta tout en demandant à Brigitte de garder le secret de tout ce qu’elle va entendre. Seule Brigitte le grand-père et le médecin restait le second gendarme resta avec nous dans le couloir, Ce dernier dit au contrôleur que les deux suspects ont été emmener au poste de police pour interrogatoire. Pendant que la grand-mère était auscultée par le médecin Brigitte se tenait à ses côtés comme si c’était une infirmière, tandis que l’officier prenait la déposition du grand-père. Le gendarme qui était avec nous a dit au contrôleur que le témoin qui vous à aider lors de l’agression va recevoir une convocation pour apporter son témoignage, étant habitant de Bourg en Bresse. A l’issue le verdict était le suivant, la dame est très choquée mais refuse toute hospitalisation ici à Bourg son mari lui aussi estime que s’il y a lieu de l’hospitaliser il vaudrait mieux qu’elle le soit à l’hôpital à Belfort là où se trouve leur domicile. Aussi j’ai demandé à madame votre épouse de veiller sur elle et si possible à l’une d’entre vous en s’adressant à la mère et à sa fille de vous relayer. J’ai donné un ordre à votre épouse qu’elle n’hésite pas à appeler le contrôleur il vous donnera son numéro, Quant à nous nous occuperons de prévenir l’hôpital de Belfort qu’ils envois une ambulance. Contrôleur vous pouvez faire partir ce train, Merci !
Nous rejoignons nos places, Brigitte s’occupait de Marie (grand-mère) qui pleurait en répétant je ne veux pas aller à l’hôpital, le Eugène (le grand-père) essayait tout comme moi de la calmer, La mère et la fille avait changer de place et se trouvait maintenant en face de moi. Elle se calmait et en espérant qu’elle puisse dormir un peu cela me laissera le temps de faire connaissance avec les voisines. Nous n’avons pas pu faire connaissance encore je me présente Brigitte à vos côtés mon mari Philippe ! Enchantée moi je me prénomme Marie Claude je suis la maman de Muriel et nous sommes ravies de vous connaître, et voilà Marie et Eugène. Puis nous avons échanger nos destinations, Marie Claude et Muriel était de la région Mulhousienne, Marie et Eugène de Belfort et nous à la limite du département des Vosges et du Bas Rhin. Ce qui rappela Philippe qu’il doit prévenir Julie du retard du train.
Allô ! Allô papa, ça va ? Oui Julie, écoute-moi bien le train à 45 minutes de retard ce n’est pas la peine de te rendre à la gare à 23 h 30 nous arriveront que vers 0 h 15 si tout va bien, tu nous attendras comme convenu et fait attention à toi, papa je ne suis plus une gamine, bien bisous papa ! Et elle a raccrochée, Brigitte dit qu’a-t-elle d’habitude elle veut me parler ? Elle est peut-être fâchée à cause du retard ! A ce moment la Marie commence à se débattre à tel point que Eugène d’un côté moi de l’autre avait du mal à la maîtriser Marie Claude s’était levée pour nous aider. Pendant ces débats ma mini robe s’était troussée dénudant mon sexe, Marie dans sa crise de folie agrippa le haut de ma robe tira dessus et la déchira, Marie Claude est intervenue aider par Philippe lui ont tenu les bras. Ils ont réussi à la calmer et Marie Claude a pris le relai, Je me retrouvais à moitié nue un sein à l’air le zip arraché Muriel alla vite tirer les rideaux et me demanda si j’ai quelque chose à me mettre sur le dos ? Oui Muriel et Philippe descendais mon sac. Je suis obligée de remettre ce que je portais ce matin, Je retirais ma robe enfin de ce qui restait remis ma minijupe rouge et mon fin t-shirt blanc Tant pis si l’on voit mes tétons mon minou.
Philippe se proposa pour aller au wagon restaurant chercher quelques boissons fraîches, Très bonne idée chéri. Il demanda aux autres ce qu’elles voulaient boire et quitta le compartiment.
Marie Claude restait à coté de Marie, Muriel à mes côtés lorsque mon portable sonna, croyant tout d’abord que c’était Philippe qui avait oublié quelque chose, non c’était mon fils Damien, Allô ! Allô maman oui chéri je voulais juste savoir si tout va bien et ou vous êtes ? Je vais bien mon chéri et nous sommes, ne bouge pas je demandais à Muriel elle me dit après Lons le Saunier. Tu a entendu Damien ? Oui maman, mais vous avez du retard et bien une heure hé oui je te raconterais, Damien dit moi que ton départ est reporté ? Non maman (moment de silence) maman allô ne me dit pas que tu pleures à nouveau ? Elle ne répondait pas. Maman donne-moi papa, toujours pas de réponse, Muriel à ses côtés entendait qu’une voie d’homme insistait mais ne comprenait pas. Marie Claude demanda à Muriel que fait son mari il devrait déjà être de retour, puis dit à Muriel vient prend ma place. Marie Claude pris Brigitte dans ses bras et demanda, Allé Brigitte ressaisit toi dit moi ce qui te met dans cet état tout en caressant sa joue et lui séchant les larmes. Brusquement Philippe fit irruption dans le compartiment, Marie Claude voulait la laisser avec son mari mais Brigitte la retenait, Je viens de recevoir un coup de fil de Damien notre fils qui me demandait ce que maman a, je lui aie dit que je suis au wagon restaurant et que je cours la rejoindre. J’ai expliqué à Marie Claude qu’elle est très émotive à cause du départ de son fils et aussi le pourquoi de ce départ, Marie Claude dit à Brigitte tu n’es pas contente que ton fils ait eut cette promotion ? Si bien sûr mais c’est son absence qui me rend ainsi, allé Brigitte ne pleure pas il reviendra Paris N’est pas le bout du monde et il y a votre fille et ton mari tu ne seras pas seule ! Oui Marie Claude tu as raison, je suis conne…. Mais non ne dit pas cela, Marie Claude lui déposa alors un bisou sur sa bouche, bisous que Brigitte lui rendit en insistant et en cherchant avec sa langue celle de Marie Claude. Brigitte se retira en s’excusant de ce geste. Ne t’excuse pas Brigitte, j’ai beaucoup apprécié. Maman voyons ! s’écria Muriel.
Philippe en accourant avait poser les boissons sur la tablette, il dit servez-vous et excuser-moi de vous avoir fait attendre le contrôleur ma demander si tout va bien et ont à parler ensemble. Marie et Eugène était endormis et elle était calme depuis un moment. Marie Claude dit à Brigitte je vais te laisser seule avec ton mari si tu le veux ! Oui merci pour ton réconfort ! Ne dit rien allé on garde Marie pendant ce temps. Viens ma chérie on va faire un tour cela te changera les idées oui chéri je dois quand même aller aux toilettes. En passant devant les toilettes un coup d’œil devant un coup d’œil derrière, personne en vus je tirais Philippe à l’intérieur des WC troussa ma mini-jupe sur ma croupe releva mon t-shirt m’assis sur la cuvette baissa le short de Philippe branla sa queue et lui fit une fellation. Elle interrompit la fellation tout en branlant ma queue elle me dit : j’ai comme l’impression que Marie Claude est bi et tu as entendu la réaction de sa fille, Aurait-elle ensemble des relations saphiques ? Possible répondis Philippe tu n’as qu’à lui demander ! Tu en a de bien bonne, demande là toi-même ? Bref prend moi maintenant, Je me suis mise en position debout pencher en avant il s’est agenouiller m’a fait un cunnilingus puis s’est relever à placer sa verge à l’entrée de ma chatte et m’a baisé pendant un long moment, J’ai eu vite un orgasme, il a éjaculé en moi puis à remonter son short ma baisser ma mini et mon t-shirt. En sortant des toilettes pour retourner à notre place, Je me suis arrêtée me suis retourner face à Philippe a mis mes bras autour de son cou en me dressant sur la pointe des pieds ce qui a fait trousser ma mini dévoilant le rebond de mes fesses, nous nous sommes embrassés longuement et langoureusement à la vue de tous.
Nous avons rejoint notre place, j’avais remarqué que Marie Claude avait la robe relevée sur ses cuisses tout en parlant à sa fille, était ce intentionnelle, accidentelle je me posais la question. Dehors la nuit commençait à tomber. Le train s’arrêtait nous étions à Montbéliard, Marie Claude prochaine gare Belfort il va falloir réveiller Marie et Eugène, Le contrôleur va venir avant les ambulanciers vont venir les chercher. Cela retardera encore ? Non je ne pense pas car il y a 5 minutes d’arrêt de prévu, Me tournant vers Muriel et Marie Claude cette dernière avait toujours sa mini robe relevée et les cuisses légèrement écartées révélant bien que sa culotte était blanche, Philippe avait raison.
Le contrôleur fit son irruption dans le compartiment, C’est l’heure dans 10 minutes nous serons à Belfort. Marie Claude appela Marie et Je réveillai Eugène, Philippe aida le contrôleur à sortir les valises. Eugène tendit une enveloppe à Brigitte pour la dédommager pour sa robe déchirée. Philippe gardait les valises avant la sortie et à l’arrêt du train deux ambulancier ont aider Marie à sortir ils l’ont assise dans un fauteuil roulant et son partie direction l’hôpital.
Marie Claude dit que bientôt ce sera notre tour, toujours assise en face de moi Muriel en face de Philippe, J’ai dit à Philippe va tirer les rideaux chéris et ferme la porte, Pardon Marie Claude est ce que je peux éteindre la lumière, si vous ne voyez pas d’objection ? Non pas d’objection Philippe, j’allais vous le demander. Philippe revint vers moi m’enlaça, m’embrassa langoureusement, me caressait sous ma mini sous mon t-shirt. Ma main se faufilait dans son short trouvant son sexe que je pris dans ma main et sans le sortir le branla lentement. Quand soudain des gémissements se faisait entendre provenant de Muriel qui avait sa mini robe troussée sa main dans sa culotte se masturbant. Marie Claude elle retira sa culotte sortie de son sac à main un gode le porta à sa bouche le lécha, le suça, puis écartant ses cuisses se masturba avec sa main avant d’introduire son gode. Dans la pénombre je n’avais pas remarqué qu’elle utilisait un gode vibrant me rendant compte seulement au son du vibreur qu’elle venait de mettre en marche, ses deux mains pétrissaient ses seins qu’elle avait sortis de son soutient gorge. J’ai alors sucé Philippe tout en fouillant avec mes doigts mon vagin.
Quand tout d’un coup des chants, des rires venant du couloir interrompant nos ébats et à nous réajuster, Marie Claude remis ses seins dans son corsage retira son gode le remis dans son sac, rabaissa sa robe, se leva pour ses mettre à mes côtés . Les chants ayant cessé mais nous a refroidis n’osant plus continuer.
Marie Claude se s’assit à mes côtés posa sa main sur ma cuisse quand Muriel s’écria Maman tu as oublié ta culotte ! Pas grave Muriel met là moi dans mon sac ! Brigitte et Philippe j’ai une proposition à vous faire ! Oui nous t’écoutons ! Comme il se fait tard et si je vous invite à venir chez nous passer la nuit, et rentrer demain matin qu’en penser vous ? Marie Claude c’est gentil de ta part mais il y a notre fille qui nous attend à la gare ! Et je ne veux pas vous déranger ! Mais vous ne nous déranger pas ! Sa main toujours sur ma cuisse remontait lentement vers mon intimité, Chéri on accepte ou pas ? Oui d’accord j’appelle tout de suite Julie. La main de Marie Claude a atteint ma chatte et la caressait. Elle posa sa bouche sur la mienne et c’est elle qui cherchait ma langue cette fois ci, Marie Claude tu est vraiment certaine que nous ne te dérangeons pas ? Et ton mari ? Écoute si tu nous dérangeais je ne te l’aurais pas demandé ! Et pour le mari je n’en aie plus il est décédé d’un accident de moto il y a 5 ans ! Excuse-moi désolé, ! Tu ne pouvais pas savoir ! Tu ne t’es pas remariée ? Non Brigitte j’ai promis par amour à mon mari que s’il lui arrive quelque chose que je ne me marierais plus ! Mais alors ta vie sexuelle tu ne te contente pas que de masturbations, tu dois avoir un amant ? Excuse-moi si je suis indiscrète ! Non Brigitte mon amant c’est mon gode, et il y a Muriel ! Muriel? Mais c’est ta fille, ne me dit pas que tu couches avec ta fille ? Maman stp ! Oui Brigitte je suis amoureuse de ma fille! tu n’es pas choquée j’espère ! Non du tout Marie Claude et Muriel? Ma fille elle est bi, elle a un petit ami, elle s’entend bien avec lui ! Est-il au courant de votre liaison ? Non pas encore! Maman stp arrête ! Dit moi Marie Claude si tu avais un garçon à la place de ta fille ? Je ne sais pas Brigitte je pense que non ! Comme je t’ai dit j’ai promis de rester fidèle à mon mari ! Tu le fais avec ta fille alors si tu avais ton fils j’estime que tu ne serais pas infidèle vu que c’est son père !
Philippe intervient : ohé les pipelettes voilà Mulhouse, Philippe se précipita de descendre les valises et dès l’arrêt du train nous sommes descendu en nous dirigeant vers la sortie en prenant le passage souterrain, Brigitte et Marie Claude marchaient devant et Muriel et moi nous les suivions, Arriver à l’escalier j’ai demandé à Brigitte que je reste derrière elle collé vu la longueur de sa mini-jupe car derrière nous des jeunes qui n’étaient ici que pour jouer les voyeurs risquaient de nous importuner, Marie Claude ; minces j’ai oublié de remettre ma culotte, Brigitte répondit pas grave Marie Claude je n’en porte jamais ! J’ai remarqué, moi cela m’arrive de temps en temps à la maison ou alors en allant chercher du pain mais sinon je n’ai jamais osé aller plus loin. C’est pour toi alors une première tu l’a retiré dans le train et depuis tu es sans ! Mais là il fait nuit !
Leur voiture était garée sur le parking auto-train. Je chargeais les valises dans le coffre, Brigitte à l’avant avec Marie Claude et Muriel et moi à l’arrière. J’ai remarqué qu’à l’avant une main s’est posée sur la cuisse de Marie Claude s’insinuant sous sa robe. J’allais m’assoupir lorsque j’ai senti une main effleurer la mienne, cette main ne pouvant qu’appartenir à Muriel. Pensant d’abord à un effleurement accidentel je n’avais rien entrepris jusqu’au moment où cette main revint se poser cette fois ci sur le haut de ma cuisse, puis elle est remontée sur mon sexe qui s’est mis à bander. J’ai sorti ma grosse queue elle l’a prise dans sa main la branlait, puis défie sa ceinture de sécurité elle se pencha et l’engloutis profondément au fond de sa gorge. Brigitte s’est rendue compte de suite elle a mis sa main sur sa chatte pour se caresser tout en laissant l’autre main sur la chatte de Marie Claude qui gémissait depuis un moment à dit à Brigitte d’arrêter de peur d’avoir un accident. Nous arrivons à destination elle gara la voiture dans la cour alors que Muriel me suçait encore. Muriel arrête continuer à l’intérieur, Muriel me remonta le short en sortant j’ai demandé si je pouvais laisser une valise dans le coffre j’ai pris le sac à Brigitte ma trousse de toilette, j’ai aidé Muriel à prendre leurs valises et nous sommes entré. Marie Claude nous installa dans le salon et nous demanda ce que nous désirons boire. Elle demanda à Muriel de servir en attendant qu’elle remet tout en ordre. Tu as besoin d’aide Marie Claude ? Non merci Brigitte j’arrive !
Le final à suivre !
Brigitte et Philippe
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