Partie 1 : La Tentation Bourgeoise
Vincent, 50 ans, vivait dans un monde de façade bourgeoise, où les soirées étaient remplies de vin et de conversations polies. Mais ce soir, il allait plonger dans son fantasme ultime : le candaulisme. Sa femme, Isabelle, partageait sa curiosité, bien que sa peur soit palpable. Ils avaient planifié avec soin, attendant l’arrivée d’Antoine, un homme découvert sur des forums secrets, réputé pour sa virilité.
Leur maison, un symbole de leur réussite, était transformée en un temple du désir : draps de soie sur le lit, bougies éclairant des ombres érotiques. Vincent, avec une assurance nouvelle, versa du champagne pour tous. Isabelle, dans une robe qui révélait ses formes mûres, tremblait d’anticipation, son esprit tourmenté par l’idée de se donner devant son mari.
Antoine, un homme aux épaules larges et au regard profond, entra comme un prédateur dans sa tanière. “Vous êtes splendide,” dit-il à Isabelle, sa voix comme une caresse. Vincent, observant, sentit sa bite durcir à l’idée de ce qui allait suivre. Il toucha Isabelle, sa main sur sa cuisse, lui murmurant, “Je veux te voir jouir, te voir prise par lui.”
La tension montait, les mots devenaient superflus. Antoine, sans hâte, commença à défaire les boutons de la robe d’Isabelle, chaque ouverture dévoilant un peu plus de sa peau. Ses mains, expertes, trouvèrent ses seins, les malaxant, pinçant ses tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent sous ses doigts. Isabelle, malgré sa peur, gémit, son corps répondant à ces nouvelles sensations.
Vincent, le cœur battant, les guida vers la chambre, Isabelle presque nue, ses courbes offertes. Antoine fit allonger Isabelle sur le lit, ses jambes écartées, sa chatte déjà humide, prête. Vincent, s’asseyant pour mieux voir, se masturbait, son regard fixé sur l’intimité de sa femme offerte à un autre.
Antoine, avec une précision qui montrait son expérience, lécha Isabelle, sa langue jouant avec son clitoris, chaque coup la faisant se cambrer de plaisir. Elle gémissait, ses yeux cherchant ceux de Vincent, y trouvant un mélange de fierté et de désir. Antoine, sans attendre, guida sa bite vers elle, la pénétrant doucement, chaque centimètre une exploration nouvelle pour Isabelle.
Elle haleta, la sensation de cette bite différente de celle de Vincent la faisant vibrer. Antoine commença à bouger, ses hanches poussant avec force, Isabelle répondant à chaque coup, ses hanches se soulevant pour rencontrer les siennes. Ses gémissements étaient maintenant des cris de plaisir, la peur oubliée, remplacée par une libération sexuelle qu’elle n’avait jamais connue.
Vincent, se masturbant plus frénétiquement, voyait sa femme sous un nouveau jour, une lionne dans sa luxure. Isabelle, les yeux dans ceux de Vincent, jouissait, chaque orgasme un hommage à leur nouvelle aventure. Antoine, sentant son propre orgasme monter, accéléra, chaque coup de reins un hommage à cette nouvelle union de désirs.
Mais cette nuit ne faisait que commencer, car Vincent et Isabelle allaient découvrir que le candaulisme était une porte ouverte à des plaisirs inexplorés, des désirs qu’ils étaient prêts à embrasser pleinement.
Linda
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