Partie 2 : L’Extase Partagée
La chambre était devenue un sanctuaire de luxure, les cris de plaisir d’Isabelle résonnant entre les murs, chaque pénétration d’Antoine la rapprochant d’un abîme de jouissance. Vincent, depuis son fauteuil, ne pouvait détacher ses yeux de cette scène, sa bite dure dans sa main, chaque gémissement de sa femme une musique à ses oreilles.
Antoine, maintenant en plein contrôle, fit se retourner Isabelle, la mettant à quatre pattes. Il caressa son cul, ses doigts trouvant son anus, le titillant, préparant ce qui allait suivre. Isabelle, entre peur et désir, regarda Vincent, cherchant son approbation. Vincent, avec un sourire qui en disait long, hocha la tête.
“Tu veux qu’il te prenne par-derrière ?” demanda Vincent, sa voix rauque de désir. Isabelle, dans un souffle, acquiesça. Antoine, sans plus attendre, cracha sur son anus pour le lubrifier, puis, doucement, il introduisit sa bite. Isabelle se crispa d’abord, mais la sensation nouvelle, cette plénitude, la fit gémir d’un plaisir différent, plus profond.
Vincent, voyant sa femme ainsi offerte, se leva, s’approchant d’eux. Il prit la tête d’Isabelle entre ses mains, guidant son visage vers sa bite. Isabelle, sans hésitation, l’ouvrit, prenant son mari dans sa bouche, suçant avec une férocité nouvelle, excitée par la double pénétration. Vincent, sentant la chaleur de sa bouche, gémit, chaque coup de langue d’Isabelle synchronisé avec les pénétrations d’Antoine.
La pièce était remplie de leurs sons, de la chair contre la chair, des gémissements, des grognements. Antoine, sentant l’orgasme monter, accéléra, ses mains fermement accrochées aux hanches d’Isabelle, la prenant avec force. Isabelle, entre les deux hommes, se sentait plus vivante, plus désirée que jamais, chaque poussée la poussant vers un nouvel orgasme.
Vincent, ne pouvant plus se contenir, jouit dans la bouche d’Isabelle, qui avala avidement, ses propres cris étouffés par la bite de son mari. Antoine, le sentant, explosa en elle, remplissant son cul de son sperme chaud, chaque jet un hommage à cette expérience inédite.
Ils s’effondrèrent tous les trois, haletants, dans un mélange de sueur et de satisfaction. Isabelle, allongée entre eux, sentait une libération, une acceptation de sa propre sexualité qu’elle n’avait jamais connue. Vincent, à côté d’elle, la caressait doucement, un sourire de contentement sur le visage. “Tu as été incroyable,” murmura-t-il, et Isabelle, dans un moment de vulnérabilité, répondit, “Je t’aime pour ça.”
Antoine, après quelques instants, se leva, se rhabillant avec une élégance qui contrastait avec la débauche qu’ils venaient de partager. “Je ne vous oublierai pas,” dit-il, avant de quitter la pièce, laissant derrière lui une trace de ce qu’ils venaient de découvrir ensemble.
Restés seuls, Vincent et Isabelle se regardèrent, une complicité nouvelle dans leurs yeux. Ils avaient franchi une ligne, non seulement dans leur mariage, mais dans leur propre compréhension du désir. Cette nuit avait ouvert une porte à des jeux sexuels qu’ils n’avaient jamais osé imaginer, et ils savaient tous les deux que ce n’était que le début.
Ils se blottirent l’un contre l’autre, leurs corps nus, encore trempés de sueur et de plaisir, dans la tranquillité de leur chambre redevenue silencieuse. La vie bourgeoise reprendrait demain, mais ce soir, ils avaient embrassé leur part la plus sombre, la plus désirante, et l’avaient trouvée belle.
Linda
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