...
Bi - Gay - Lesbien Fétiche - BDSM Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025 Inceste

Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 10

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Résumé :
Jonathan continue d’écouter les souvenirs sexuels de jeunesse de sa mère après son premier rapport incestueux.

Même si Mademoiselle Solange avait fait craquer mon hymen, ce n’était pas un véritable dépucelage. C’était comme si cela s’était produit de façon fortuite ou accidentelle. Il paraît que ça arrive systématiquement aux filles qui pratiquent le grand écart, en gym par exemple.
Dans ma tête j’étais encore vierge.
Comme je te l’ai dit, j’avais choisi depuis longtemps celui qui devait me rendre femme. C’est pourquoi je n’avais jamais consenti à me laisser pénétrer par un sexe masculin, même en me livrant à des jeux sexuels poussés.
Ma patience fut enfin récompensée. Et même si les circonstances furent tout à fait rocambolesques, j’en ai gardé, crois-moi, un excellent souvenir.

Comme je te l’ai dit, mon cousin Éric avait été le compagnon principal de mes jeux pervers pendant ma petite enfance. Nous ne faisions rien de bien important, bien sûr, mais il aimait bien mettre ses doigts dans ma petite fente et il me demandait toujours de caresser son sexe qu’il appelait ‘’sa quéquette’’.

Encore une fois c’est un souvenir qui m’émeut toujours, même avant qu’il n’ait des poils (signe que nous attendions tous et qui marquait, sans que nous le sachions vraiment, le passage à la maturité sexuelle), et son sexe se raidissait quand je le prenais dans ma main. Il ne bandait pas vraiment, mais sa quéquette s’allongeait, se redressait, et devenait assez dure quand même. Surtout quand je passais mes doigts sur le bout, autour du petit gland.

Une année, il me montra un nouveau jeu.
Il se coucha sur moi et frotta son sexe contre ma fente. Il avait dû voir faire des adultes, mais pas suffisamment pour tout comprendre. Il ne chercha pas à me pénétrer, mais le frottement de sa petite bite contre mon petit clito me procura une sensation de bien-être intense, et je lui réclamais souvent de le faire. Nous disions que nous faisions l’amour.

paragraphe 4 rose

Puis, pendant deux ou trois ans, je ne l’ai pas revu. Quand nous nous sommes retrouvés, il était devenu un bel adolescent. Hélas ! Moi je n’étais encore qu’une gamine ! Mes seins commençaient à bourgeonner mais, à la fourche de mes cuisses, il n’y avait toujours pas l’ombre d’un poil.
Quand nous fûmes seuls, je lui proposai de reprendre nos jeux. Il semblait gêné. Après quelques hésitations il fut d’accord pour que nous nous montrions ce que nous avions dans nos culottes. Je fus vraiment surprise de la transformation qui s’était opérée en lui. D’abord, il y avait des poils.

Quelle chance il avait !
Le prestige que je lui attribuai d’emblée était à la hauteur de l’idée que je m’en faisais. Mais de plus sa ‘’quéquette’’ était devenue une vraie belle bite qui quand je la pris dans la main, se dressa fièrement, dure et grosse. Cette fois, il bandait vraiment.
Je lui demandais de venir sur moi pour le frotter sur ma fente, comme autrefois, mais il refusa. Il me dit qu’il ne fallait pas. Que maintenant son sexe était trop gros en comparaison du mien et qu’il risquait de me faire mal. J’étais très déçue et j’avais envie de pleurer :

« Tu ne m’aimes plus. Tu as bien changé. Avant tu voulais toujours jouer avec moi. J’étais ta préférée. Et maintenant… Tu ne veux plus faire l’amour avec moi »

J’éclatai en sanglots. Il tenta de me consoler.

« Mais non, Véronique ! Je t’aime toujours autant. Mais tu vois, il y a maintenant des choses que l’on ne peut plus faire ensemble. Il faut attendre que tu grandisses »

« Pourquoi ? »

« Parce que, moi, j’ai changé. Je suis devenu un homme ! Tu as vu ce que c’est devenu ma ‘’quéquette’’ comme on l’appelait ? »

« Oh oui, elle est drôlement plus grosse maintenant ! »

« On appelle ça une ‘’bite’’. Les garçons disent aussi une ‘’queue’’. Mais ce n’est pas la seule différence avec avant. Maintenant, quand on la caresse comme ça, au bout d’un moment il y a un liquide blanc qui sort au bout. On appelle ça : du sperme. Il faut faire attention parce que ça fait des enfants »

Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 10
Nouveaux profils

« Tu as peur de me faire un bébé ? »

« Non, tu es trop petite, mais j’ai peur de te dépuceler »

« C’est quoi, dépuceler ? »

« C’est faire entrer ma ‘’bite’’ dans le petit trou là, en bas de ta fente. Pour les filles, la première fois ça fait très mal, et puis, après, tu n’es plus pareille. Tu n’es plus ‘’vierge’’. Tu es dépucelée, quoi !… Après ça, mettre notre ‘’bite’’ dans leur fente, ça fait aussi du bien aux filles, paraît-il. Comme pour les garçons quand ils ‘’éjaculent’’. C’est ça, faire vraiment l’amour, il faut que tu sois une vraie femme, avec des seins et des poils et tout… »

« Alors il faut que tu me promettes que quand j’aurai des poils et que je serai une vraie femme, c’est toi qui le feras… Comment tu dis ? Ah oui : ‘’me dépuceler’’. Hein ? D’accord ? Pour qu’à moi aussi ça me fasse du bien comme quand tu… Éjacule ? C’est comme ça qu’on dit ? »

« Oui, ma petite Véronique. C’est ça ! Promis !

« Jure ! »

« Je jure de te dépuceler, ma petite chérie ! Croix de bois, croix de fer, si je meurs je vais en enfer ! »

« Est-ce que je peux quand même caresser ta ‘’bite’’ ? »

« Si tu veux. Tiens, fais comme ça »

En fait, il me montra comment le masturber !
Je m’appliquai à reproduire le mouvement de va-et-vient qu’il m’avait montré. Il ne fallut pas longtemps, même avec mon inexpérience, pour qu’il soit prêt à exploser.

« Arrête, Véronique, ça vient ! »

Je n’aurais arrêté mes caresses pour rien au monde.

« Arrête, je te dis ! Je vais gicler ! Je… »

Pour gicler, ça a giclé !
Je regardai, émerveillée, les longues gouttes de sperme jaillir de sa pine. Je n’étais pas dans la trajectoire et le liquide tout blanc se perdit dans le foin de la grange où nous étions cachés. Mais les dernières gouttes coulèrent sur ma main. Ce fut mon premier contact avec le sperme et je trouvais ça extraordinaire. J’ai porté ma main à mes lèvres pour la lécher, mais mon cousin m’en a empêché.

« Non, Véronique, c’est sale ! »

Ce n’était pas sale du tout. J’en ai léché et avalé des quantités depuis. J’adore ça, comme tu l’as vu toi-même. Mais, à l’époque je ne savais pas, alors j’ai obéi. Par contre, je ne me suis pas essuyé la main, et ça a séché. Pendant trois jours je ne me suis pas lavée à cet endroit pour garder ce merveilleux cadeau qu’il m’avait fait.

« C’est ça, du sperme ? »

« Oui, c’est ça ! »

« Si tu mets ta ‘’bite’’ dans ma fente, est-ce que ça giclera comme ça dans moi ? »

« Ben oui ! Puisque je te dis que c’est comme ça qu’on fait des bébés ! »

« Oui, mais pour faire des bébés il faut avoir des poils et tout… »

« Ben oui ! »

« Donc, maintenant, ça ne risque rien ! » dis-je, têtue. « Je ne peux pas avoir de bébé ? Alors pourquoi tu ne veux pas essayer avec moi ? Tu ne m’aimes plus ? »

« Mais si, je t’aime très fort ! Mais ça ne se fait pas ! Et puis ta fente est trop petite, et puis… Et puis tu m’ennuies avec tes questions. Tu comprendras plus tard ! Je ne peux pas t’expliquer, c’est comme ça ! »

« Mais tu as promis de me dépuceler quand j’aurais des poils ! Tu as juré ! »

« C’est d’accord, j’ai promis ! Dans 3 ou 4 ans, d’accord ? »

Ce fut notre dernière rencontre intime cette année-là.
Inutile de dire qu’après ça je guettais avec encore plus d’impatience l’apparition de ma toison et le développement de mes seins. Mais pour des raisons qui n’ont aucun intérêt, nous n’avons plus eu l’occasion de nous voir. Et un jour j’ai eu des poils et des seins sans que mon cousin soit là pour le constater. Comme je te l’ai raconté avant, j’ai continué à pratiquer des jeux à caractère sexuel en refusant qu’un homme ne me prenne pour conserver intacte cette promesse faite dans la grange.

Enfin, alors que j’avais atteint mes 18 ans, je fus invitée, comme toute la famille, pour le mariage d’Éric. C’est avec beaucoup d’émotion que je le revis. L’adolescent était devenu un homme. Il était beau et mon cœur battait très fort quand nous nous sommes chastement embrassés.

« Véronique ! Qu’est-ce que tu as changé… » dit-il en me dévorant des yeux. « Tu es très belle, ma cousine ! »

Je rougis. Je savais bien que mon corps plaisait aux hommes, mais, venant de sa part, le compliment me faisait fondre. D’autant plus que j’avais vu son regard me détailler et s’attarder sur mes formes rondes et fermes. Il faut dire que j’avais un décolleté qui découvrait mes seins à la limite de ce qui est possible de faire sans qu’un faux mouvement ne fasse apparaître un téton par inadvertance. Comme je n’avais pas besoin de soutien-gorge, je n’en avais pas mis, et avec mon décolleté cela se voyait, car il descendait assez bas pour laisser nu la totalité du sillon qui sépare mes seins. Pour le bas, j’avais mis une minijupe plissée qui faisait ressortir mes rondeurs culières et un string et, lorsque je bougeais un peu trop, le pli de mes fesses apparaissait fugitivement en haut de mes cuisses. J’étais sexy en diable, à l’extrême limite du ‘’pousse-au-viol’’. D’ailleurs certains ‘’tontons’’ découvraient un soudain intérêt pour la jeunesse. Enfin la mienne en tout cas ! Mais ils avaient tendance à ne pas me regarder dans les yeux, à loucher plutôt sur mes nénés. Par contre, les autres femmes me lançaient des regards furibonds que la sollicitude de leurs bonshommes. Mais elles pouvaient être rassurées, ce n’était pas leur mec que je visais.

La noce se déroula normalement, sans que j’aie d’autre contact direct et privé avec Éric. Il me présenta sa femme :

« Valérie, Véronique, ma cousine. Véronique, Valérie, ma femme désormais »

La mariée me sourit mécaniquement, mais ne prêta aucune attention à ma tenue sexy.
Pendant tout le repas, mon cousin ne cessa de me regarder à la dérobée, mais sa femme ne trouva rien à redire car elle-même était très occupée à rire et chahuter avec les garçons d’honneur. L’un d’eux semblait d’ailleurs lui plaire particulièrement.
Je m’étais mêlée à une bande de jeunes, cousins cousines et autres copains, et nous nous amusions bruyamment.
Après le repas, on dansa, et je fis quelques slows avec un jeune gars de mon âge qui me serrait de près depuis le début de la soirée, et qui profita de la pénombre pour me caresser les seins et peloter assez maladroitement mes fesses.

Mais j’étais préoccupée par bien autre chose.
La vue de mon cousin, tout beau dans son costume de marié, m’avait émoustillée. Je revivais notre dernier tête-à-tête intime. Je revoyais son sexe en train d’expulser sa semence, et je me remémorais sa promesse de me faire perdre ma virginité. Sans y croire totalement, je souhaitais que cette rencontre soit l’occasion, pour mon cousin, de tenir sa promesse de me faire devenir une vraie femme. J’en avais marre en effet de devoir protéger ainsi ma ‘’virginité’’. D’abord parce que j’avais souvent droit à des colères de la part de certains de mes flirts qui me traitaient d’allumeuse. Certains se contentaient de ma main, de ma bouche ou même de mes seins, mais pas tous. D’autres avaient tenté de détourner le problème en essayant de m’enculer. Mais j’avais aussi refusé cette éventualité, car je pensais qu’étant donné la proximité des deux endroits, je n’étais pas sûre du tout que dans le feu de l’action mon berlingot y passe également. D’autant que je connaissais ma faiblesse de caractère lorsque mon corps était en pleine jouissance. C’était aussi la raison pour laquelle ma résolution devenait de moins en moins tenable. Je sentais bien qu’il me fallait ou devenir nonne (et encore!) ou sacrifier mon rêve si je ne profitais pas de cette heureuse circonstance pour obtenir que mon cousin me baise enfin, même si c’était le jour de ses noces.

Vers minuit j’eus le bonheur de pouvoir danser avec lui. Comme la piste était fort sombre et que nous avions l’un comme l’autre pas mal bu, il n’y eut aucune gêne entre nous. J’écrasais mes seins contre sa poitrine et mon pubis contre sa braguette. Il me caressa immédiatement les fesses, allant même jusqu’à suivre le sillon de ma raie d’un doigt inquisiteur.
L’ensemble dut lui faire de l’effet, car je sentis son érection se développer contre mon ventre.

« Tu n’as pas honte de bander pour une fille trop jeune pour toi ? » lui murmurai-je à l’oreille.

« Trop jeune avec le corps que tu as ? Et puis, tu es majeure maintenant. Non je n’ai pas honte, ma chère cousine. Tu es sacrément bandante, tu sais. Et j’ai très envie de toi. Il faut absolument que nous nous revoyions après la noce. Mais pourquoi parles-tu de notre différence d’âge ? »

« Souviens-toi, la dernière fois que nous avons joué ensemble. Tu n’as pas voulu de moi parce que j’étais trop jeune pour toi ? Tu te rappelles ? On a toujours la même différence d’âge, non ? »

« Véronique ! Tu es injuste de dire ça ! Enfin, tu te rends bien compte maintenant que j’avais raison. Tu étais encore une gamine, et moi j’étais pubère »

« Et bien monté déjà ! »

« Tu vois bien ! On ne pouvait plus jouer comme des gamins et je ne pouvais pas te considérer comme une adolescente. On ne peut pas plaisanter avec ça ! D’ailleurs, je me souviens très bien que tu m’as caressé jusqu’à ce que je jouisse, non ? »

« C’est vrai ! Et j’en ai un souvenir ému. Admettons que j’étais trop jeune pour certaines choses ! Mais tu m’avais fait une promesse ! »

« Une promesse ? Laquelle? »

« Que tu me prendrais mon pucelage ! »

« Oui, mais comme on ne s’est pas revus, je n’ai pas pu tenir ma promesse… Et comme la question ne se pose plus maintenant… »

« Détrompe-toi ! Je me suis consciencieusement préservée pour toi »

« Quoi ? Tu veux dire que tu es restée vierge depuis toutes ces années pour que ce soit moi qui te déflore ? Tu n’exagères pas un peu, dis ? »

« Aucun homme ne m’a pénétrée jusqu’à ce jour, mon cher. Et crois-moi, ça devient de plus en plus difficile de le conserver, mon berlingot. Et frustrant aussi ! C’est une véritable infirmité !

« Tu ne vas pas me dire que tu n’as pas eu de flirt jusqu’à aujourd’hui ? »

« Je ne te dis pas ça ! Mais aucun homme ne m’a pénétrée. J’ai toujours traité le problème autrement. À la main, tiens ! J’avais appris avec toi, comme tu le rappelais si bien ! Pour la branlette, une vraie petite fée, ta cousine. Mais maintenant ça suffit, c’est totalement intenable ! À 14 ans, tu peux justifier ! À 16, passe encore ! Mais à 18 ans ! Tu es forcément une salope d’allumeuse ! Et puis, j’ai envie moi aussi de connaître le grand frisson. Alors tu es prié de faire vite. Je pense qu’aujourd’hui, c’est la limite ultime. C’est un bon jour pour que le perde, non ? Tu n’es pas de mon avis ? »

« Mais, Véronique, c’est le jour de mon mariage… Je t’ai dit que je souhaitais te revoir après la noce. On a une vieille complicité sur le plan sexe toi et moi, non ? J’ai vraiment envie de faire l’amour avec toi. La preuve, tu me fais bander très fort. J’en ai presque mal, tellement elle est dure »-

« C’est vrai » dis-je en prenant sa queue dans ma main à travers le tissu. Elle doit être plus grosse que lorsque je l’ai fait gicler dans la grange. « Raison de plus pour que tu me la mettes… Et vite »

« Dès demain si tu veux. Mais aujourd’hui, c’est impossible! »

« Ah bon, pourquoi ? Une promesse est une promesse ! Tu ne peux pas me laisser comme ça, non ? Ça va devenir une infirmité ! Alors j’ai décidé : c’est aujourd’hui que je le perds, un point c’est tout. Ou bien c’est toi qui t’en charges, ou je trouve quelqu’un d’autre. Les candidats ne manqueront pas »

« Bon, d’accord ! Tu te fais dépuceler ce soir, et puis on se revoit dans les jours qui viennent. Tu seras débarrassée de ton ‘’infirmité’’ comme tu dis, et tu verras comme on fera formidablement bien l’amour ».

« Non ! Si ce n’est pas toi qui me déflores, je ne te revois plus jamais ! Tu entends ? Jamais ! »

« C’est nul ! »

« À prendre ou à laisser ! »

« Oui mais ma femme ? »

« Elle n’est plus vierge, elle ?… Si ?… Je suppose même qu’il y a moins de deux jours que tu l’as encore baisée ? C’était quand la dernière fois ? »

« Euh… Ce matin ! »

« Alors tu vois bien ! Elle n’est ni vierge, ni en manque, elle ! Tu as promis mon vieux, tu assumes. Et puis, un jour de mariage, c’est un jour de dépucelage. Ta femme n’a plus les moyens ? Pas grave, je la remplace ! »

« Tu parles, la vierge déflorée durant la nuit de noces, ça n’existe plus ! Mais, Véronique, baiser avec une autre cette nuit-là, ça ne se fait pas ! Que vont dire les autres ? »

« Ça c’est sûr qu’il vaut mieux qu’ils le sachent, couillons ! Débrouille-toi, sinon c’est moi qui agis. »

« Et ma femme ? Elle ne va pas me tenir la chandelle ! Même si elle n’est pas vierge, elle a droit à une nuit de noces quand même, non ? »

« Ta femme ! Ta femme ! Et moi ?… Remarque, tu as le choix, tu peux aussi te taper les deux. Question d’organisation… Mais je te préviens, il n’est pas question que tu te contentes de me sauter à la va-vite dans un coin. Je veux le grand jeu !… Ou alors, on trouve quelqu’un pour te remplacer »

« Pour te sauter ? D’accord ! Mais on se revoit quand même après ! »

« Mais non, idiot, pas pour moi , pour ta femme ! »

« Hein ? »

« Tu crois que c’est impossible ? Qu’elle tient trop à toi pour se laisser faire ? »

J’étais sûre du contraire, car j’avais vu la mariée danser avec le garçon d’honneur qui lui faisait du rentre-dedans depuis le début de la soirée. Malgré la pénombre quasi totale, j’avais bien vu qu’ils étaient en train de flirter un maximum. Déjà, au moment de la jarretière, c’était lui qui l’avait emportée. Or au lieu de la mettre juste au-dessus du genou, elle l’avait placée en haut de sa cuisse, ce qui aurait normalement nécessité de relever la robe très haut et de dévoiler sa culotte à toute l’assistance pour que la récupération se fasse au grand jour. Aussi, sous le prétexte de ne pas choquer les enfants, c’est sous la robe relevée aux genoux seulement que le beau jeune homme était allé chercher son trophée. La manœuvre avait pris un peu plus de temps qu’il n’en fallait normalement, au prétexte du travail en aveugle. Et il m’avait alors bien semblé que la jeune femme frémissait de plaisir.

« Ben ! Je n’en suis pas sûr !… Tu sais Valérie et moi… C’est un peu spécial. On s’est rencontré il y a un an… dans une boîte à partouze… Tu sais ce que c’est ton ‘’infirmité’’ ?… On s’est tout de suite plu. Et on s’aime vraiment ! C’est pour ça qu’on se marie ! On s’entend à merveille sur tous les plans. Ce n’est pas qu’une histoire de cul entre nous… Mais le cul compte beaucoup aussi. Valérie a de gros besoins et, pour elle, sexe et sentiments sont deux choses distinctes. Elle a été éduquée comme ça, alors ! Moi, ça m’arrange, parce que je ne me vois pas baiser avec une seule femme quand il y en a tant qui me font envie.
On continue à aller ensemble dans des partouzes, parce qu’en principe on est plus ou moins d’accord pour ne pas baiser chacun de son côté. Mais moi, sans lui dire, j’ai aussi des aventures sans elle. Je ne peux quand même pas amener toutes les filles qui me plaisent dans des boîtes échangistes. Et je ferme un peu les yeux, mais je suis sûr qu’elle fait pareil. Elle aussi a des aventures de son côté. Je le sais et je l’accepte. Mais bon, c’est idiot, mais aujourd’hui, c’est spécial. J’avais pensé que le jour de notre mariage, on pouvait respecter la tradition ! C’est pour ça que je te dis que je suis prêt à coucher avec toi à partir de demain, quand tu veux, mais ce soir ça m’ennuie vraiment ! »

« À mon avis, que tu le veuilles ou non, elle va baiser avec un autre de soir. Tu n’as pas vu le manège avec le garçon d’honneur ? »

« Philippe ? Oui, je sais, il lui a tapé dans l’oeil ce matin à la messe. Mais j’ose espérer qu’elle attendra quelques jours quand même ! »

« Pas sûr ! Pas sûr ! Déjà à la jarretière… Tu as vu à la jarretière ? »

« Non l’oncle Albert m’avait pris à part pour que je ne sache plus quelle bêtise. Que s’est-il passé ? »

« Elle a placé la jarretière très haut. Alors, par pudeur, prétendue, elle n’a pas remonté sa robe jusqu’à la dévoiler. Et son chevalier servant a dû aller la chercher en aveugle. On n’a rien vu de précis, mais il ne lui a certainement pas tripoté que la cuisse ».

« Oh ! La salope ! Ce matin elle m’a dit : ‘’Je n’ai pas mis de culotte, c’est pour t’exciter’’ ! »

« Je comprends pourquoi elle avait l’air contente et émue ! Après en dansant, ils ont dû flirter tant et plus… Et là, ça fait un moment que je ne les ai pas vus »

« C’est vrai qu’elle n’est plus là… Et puis merde ! Qu’elle se fasse Philippe ce soir ou un autre jour… Un peu plus tôt ou un peu plus tard… De toute façon, si elle a envie de ce gars-là, elle se le tapera alors… Et puis tu m’excites trop avec tes seins à l’air et ton petit cul qui remue !… C’est d’accord ma cousine, on s’éclipse et je te fais femme comme tu en as rêvé depuis des années. Comme ça, je ne serai pas tout seul à être cocu le soir de mes noces ! »

J’étais au comble du bonheur : mon Éric avait enfin accepté de me dépuceler, le soir même de son mariage en plus ! Il voulait bien baiser avec moi, sa cousine qui avait gardé sa virginité intacte (enfin presque) jusqu’à 18 ans. Et ça simplement parce que, quelques années auparavant, elle avait rêvé de faire l’amour avec lui ! Quel bonheur ! Quelle revanche !
Je ne regrettais rien de ce que j’avais enduré comme insultes ou rebuffades de la part des garçons que je faisais jouir sans jamais leur céder ma chatte.

Éric fit croire qu’ils avaient décidé de s’en aller séparément pour que personne ne les suive. Il partit donc seul en voiture et je le retrouvai plus loin. Il m’expliqua qu’une solution de rechange avait été prévue pour le cas où le lieu de leur chambre nuptiale serait découvert. C’est dans cet abri secret qu’il me proposait de m’emmener pour me faire femme.

C’était un bel hôtel style petit château perdu dans la campagne, dans lequel il me dit avoir loué une suite. À cette heure, les propriétaires étaient couchés, mais il avait les clés.
Nous fîmes le moins de bruit possible pour ne pas les réveiller. Je croyais que mon cousin voulait surtout éviter de leur fournir des explications sur le changement de mariée. Ce qui, mais je ne le savais pas, ne les aurait pas forcément choqués. Je te dirai pourquoi par la suite.
Enfin, nous arrivâmes sans encombre et sans bruit dans le salon attenant à la chambre. La tension ressentie pendant notre progression dans l’hôtel, la peur d’être découverts ajoutèrent sans aucun doute à mon excitation qui était déjà très forte car, durant le voyage en voiture, nous avions bien entamé les préliminaires.
Conduisant d’une main, il m’avait longuement caressé la chatte, introduisant ses doigts dans mon vagin trempé de mouille, massant mon clito avec art, au point de me faire jouir dans ses doigts.
Puis, au risque d’un accident, c’est moi qui, après avoir sorti sa bite toute bandée, lui avais prouvé mes talents de fellatrice. Je m’étais acharnée à le chauffer un maximum, mais sans jamais l’amener à éjaculer, car je voulais garder sa semence pour ma chatte !
Sans compter que jouir en conduisant aurait pu nous amener à provoquer un accident, même si Éric conduisait prudemment pendant tout le temps où je lui prodiguais ma caresse buccale.

Bref, nous étions tous les deux totalement chauds et impatients de ‘’conclure’’.

Aussi, dès la porte d’entrée refermée sans bruit, je me précipitai pour dégrafer le pantalon et baisser le boxer découvrant le sexe triomphant de mon cousin qui se jeta sur moi. Ma minijupe n’était pas un obstacle, et le string fut écarté sans problème pour offrir ma petite chatte à sa concupiscence.
Appuyée contre le mur, je subis avec délice l’assaut de mon bel amant qui n’eut aucune peine à faire entrer sa queue dans mon intimité.

Enfin ! Quel bonheur !

Cela faisait huit ans que j’attendais ce moment. Depuis que j’avais vu sa magnifique queue cracher son sperme dans le foin de la grange !

J’eus la présence d’esprit de crier un ‘’Aïe’’ un peu sonore, bien que je n’eusse rien senti, évidemment. Il fallait bien que je gomme un peu les dégâts qu’avait commis cette salope de Mademoiselle Solange.
J’eus l’impression que, tout à son excitation, mon cousin faisait à peine attention à ce détail. Il me prit d’ailleurs instantanément les fesses à deux mains et se mit à me baiser avec ardeur.

Dieu ! Qu’elle est bonne cette bite dans ma petite chatte presque vierge. C’était vivant, c’était chaud. Rien à voir avec le gode de la surveillante. Il ne fallut pas longtemps avant que je ne ressente les prémices d’un orgasme dévastateur.

Mais, tout à coup, des cris de plaisir poussés par une femme se firent entendre, tout proches.

« Oh oui ! Vas-y, baise-moi ! Ne t’arrête pas. J’aime ta queue ! Je jouis, oh ! C’est bon ! »

Mon cousin mit quelques secondes à comprendre que ces paroles enflammées venaient de la chambre contiguë, et que c’était la voix de sa femme.

« Merde ! Valérie ! Qu’est-ce qu’elle fout là ? »

« Foutre est bien le mot. Qu’est-ce qu’elle fout là ? Elle a eu la même idée que toi, gros malin ! »

« Ah la salope ! Viens, on y va ! » dit-il en se retirant, à mon grand regret, de mon vagin.

Il me prit par la main pour m’entraîner dans la pièce à côté.
Dans les secondes qui suivirent, nous apparaissons dans l’encadrement de la porte de la chambre. Mon cousin était en pans de chemise, la bite encore bandée et toute luisante de foutre. Mon string en lambeaux laissait voir largement ma chatte, mes seins étaient nus, ma minijupe et mon chemisier gisaient dans le salon.

Sur le lit, la mariée, qui avait gardé sa robe de cérémonie, était troussée jusqu’à la taille, et le garçon d’honneur, nu, à part ses chaussettes, était plantée jusqu’à la garde entre les cuisses ouvertes à 180 degrés. Tous deux nous regardèrent bouche bée pendant quelques secondes.

« Valérie ! Salope ! Tu n’as pas honte ? Le jour de notre mariage ! »

À suivre…

MC

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rose post

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou