...
Bi - Gay - Lesbien Fétiche - BDSM Histoires Taboues : Inceste et Zoophilie 2025 Inceste

Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 14 Final

Teste le sexe au téléphone avec une vraie femme chaude : Voir les profils des femmes disponibles  

Résumé :
À la suite de sa confession, Chantal ; la bonne de Véronique, avait quitté l’appartement pour profiter de sa journée de congé. Gatien avait voulu rejoindre le domicile d’Alicia. De nouveau en tête-à-tête, Jonathan avait alors sollicité sa mère Véronique pour qu’elle continue à lui relater les évènements consécutifs au mariage de son cousin Éric.

Le personnage qui domina la journée du samedi fut sans conteste, Lucie, la mère de Valérie. Obnubilée par mon cousin et taraudée par l’envie que j’avais de pouvoir accomplir mon ‘’vœu’’, j’avais carrément négligé les autres participants à la noce. Beaucoup ne méritaient rien de mieux d’ailleurs, mais Lucie était un cas à part. C’est vrai que la veille, elle s’était faite un peu discrète. Sans doute à la demande de sa fille… Ou plutôt de son gendre. Car sur le plan familial, le mariage d’Éric et Valérie c’était un peu l’alliance de la carpe et du lapin. Du côté du marié c’était très coincé, alors que du côté de la mariée, c’était la liberté des mœurs. Bien que ne connaissant pas sa belle-mère, qui vivait moitié en Suisse, moitié à Lyon et qu’il n’avait rencontré que la veille du mariage, il savait par Valérie qu’elle avait une totale liberté sur le plan sexuel. Riche et déjà deux fois veuve, elle consommait les hommes avec gourmandise et sans modération.
Craignant le clash, surtout avec sa mère, mon cousin avait chapitré sa future épouse qui avait elle-même fait la leçon à la sienne. Lucie s’était donc tenue très sagement durant les cérémonies et le repas. Elle était accompagnée d’un jeune homme d’un jeune homme d’une vingtaine d’années. Ce qui avait quand même choqué la mère d’Éric, qui n’en avait rien dit, mais qui affectait un air on ne peut plus pincé. Quant au père de mon cousin, il avait souri d’un air complice, sans non plus faire de commentaire. Le gigolo, lui, il était aux petits soins pour sa compagne. Mais je ne les vis jamais dans une attitude déplacée ou même équivoque.

Lucie avait 46 ans. Elle était superbe. Mince, bien pourvue en seins, haut plantés et fermes, les hanches rondes sans excès, brune aux yeux bleus. Bref quadra, mais plus que mettable par n’importe qui. Et avec ça, une morale on ne peut dire plus élastique ! La totale pour déclencher un truc tout à fait explosif ! La veille, elle avait mis un chapeau, style belle-mère à la noce, une robe assez stricte, et s’était très bien tenue. Le contrat avec sa fille étant respecté, le samedi elle se considérait comme libre. Et Lucie libre…
Déjà la tenue avait changé. Elle portait une robe légère, très ample qui arrivait aux genoux, mais décolletée au maximum, tant en profondeur qu’en largeur. Question de ça ; sa poitrine était bronzée. Elle se tenait très bien sans soutien-gorge, et faisait loucher tous les hommes présents, d’une famille comme de l’autre. En plus, lorsqu’elle se penchait un peu en avant (et elle trouvait souvent un prétexte pour le faire) de côté on voyait son sein entièrement nu, mamelon et téton compris. Tous les regards étaient tournés vers elle. Les hommes admiratifs chuchotant entre eux, les femmes aux commentaires acerbes et prêtes à lui arracher les yeux. Après avoir promené ses seins d’un groupe à l’autre, elle mit le comble à l’exhibitionnisme en s’asseyant dans l’herbe contre un arbre, genoux relevés contre sa poitrine, jupe couvrant sagement ses genoux. Sauf que les sept ou huit personnes qui étaient dans le champ de vision purent constater qu’elle ne portait pas de culotte, et qu’elle s’était taillé le minou en ticket de métro. Les plus proches avaient donc une vue imprenable sur le clitoris de la belle-mère. Cette exhibition dura peu de temps parce qu’Éric fut averti presque immédiatement par un de ses copains :

« Eh ! Eric ! Ta belle-mère, c’est un cas… Elle a l’air super ! Elle n’a pas de culotte et comme elle est assise, on voit son cul et sa moule. Ça va attirer du monde, c’est sûr ! Tu devrais voir ça ! »

Mon cousin dépêcha immédiatement son épouse pour rétablir la situation. Valérie, copine comme tout depuis la nuit passée, me demanda de l’accompagner et de rester discrètement à quelques mètres pour éloigner les éventuels importuns. La conversation mère fille fut tenue sur un ton assez bas mais virulent.

paragraphe 4 rose

« Maman ! Tu m’avais promis de te tenir tranquille, et tu montres tes fesses à tout le monde ? »

« Valérie, tu m’emmerdes ! C’est mortel ta noce ! Hier je me suis ennuyée à mourir. Mais bon, j’avais promis ! Finalement je suis allée me coucher avec Franck, il était à peine deux heures du matin. Je n’avais dansé qu’avec lui. Il m’a bien un peu baisée dans un coin de la piste de danse, juste un petit coup vite fait ! Du classique, quoi ! Rassure-toi ! Il faisait un noir d’encre, et personne ne nous a vus ! C’est bon ! On n’a même pas eu ce frisson-là ! Pas de quoi s’exciter ni pavoiser. Te dire si j’avais peu d’entrain, en rentrant à l’hôtel on s’est endormi tout de suite. On n’a rien fait ! Franck était soi-disant fatigué… Je crois d’ailleurs qu’il baisse de régime. C’est toujours comme ça. Au début c’est trois ou quatre fois par jour, et au bout de quelques mois, il faut supplier pour avoir droit à une petite gâterie vite fait. Va falloir que je le remplace ! Je vais le refiler à ma copine Célia ! Je lui refile toujours mes vieux coups. Elle aime le sexe calme et pas trop débridé. Franck lui ira très bien ! »

« Maman arrête ! Tiens-toi tranquille encore un jour, s’il te plaît ! Ensuite tu retournes à Lyon, tu pourras faire ce que tu voudras »

« Ma fille, je te l’ai déjà dit, tu m’emmerdes ! Déjà que pour une femme comme moi, avoir une fille de 25 ans, c’est à peine avouable. Mais bon, ça, j’assume ! Donc je viens à ton mariage. J’aurais très bien pu ne pas y mettre les pieds. Je me dis, OK, c’est ma fille, et puis on va s’amuser ! Résultat, j’ai l’interdiction de bouger le petit doigt, et quand je dis le petit doigt, imagines pour le reste… Je passe une soirée d’une monotonie… Ça ne m’est pas arrivé depuis la mort de ce pauvre Fabien ! Ça ne peut pas continuer comme ça. Un, je ne me suis pas déplacée pour rien. Deux, je veux des bons souvenirs du mariage de ma fille ! Des trucs qui sortent de l’ordinaire, quoi ! La vie est trop courte ! J’ai déjà 40 ans…

« 46, Maman, 46… »

« Oui ben raison de plus pour en profiter maintenant et au maximum. Je comprends que j’ai perdu plein de temps avec ton père et avec ce pauvre Fabien ! Tu devrais en profiter aussi, même si tu n’as pas mon âge ! Je t’ai toujours vue baiser avec tous les mecs qui te faisaient envie ! Tu vas te consacrer uniquement à Rodolphe, maintenant ? C’est vrai qu’il n’est pas mal ton mari… »

« Maman ! Tu ne veux quand même pas te taper mon mari ? »

« Et pourquoi pas ? Je t’ai connue plus délurée. En vacances, tu ne t’es pas privée de te faire baiser par des gigolos ? Je ne t’ai jamais rien dit. Mais tu à l’air d’avoir changé. Te marier d’abord ! Quelle idée ? Te contenter de ta nuit de noces avec ton mari ensuite ? J’ai du mal à reconnaître ma fille… »

« Ouais ben… Ma nuit de noces a été plus mouvementée que tu ne le crois ! » avoua Valérie excédée et sans réfléchir.

Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 14 Final
Nouveaux profils

« Ah bon ? Première nouvelle ! Tu veux bien raconter à ta Maman chérie ? Ça se fait le lendemain des noces qu’une jeune mariée confie ses secrets à sa mère, tu sais ? » dit Lucie sur un ton enjôleur.

« Ouais ! Quand c’est une fille qui arrive vierge au mariage et une mère qui ne cherche pas à savoir les détails les plus cochons par intérêt personnel et sexuel. On n’a rien de tout ça nous deux ! »

« Valérie, tu n’es pas correcte avec moi ! Tu veux que je sois très BCBG parce que ta belle famille est coincée. Bon, je fais tout ce qu’il faut. Et pendant ce temps, toi, de ton côté tu fais la foire pour ta nuit de noces. Et tu ne veux pas me raconter ? »

« Maman, ce n’est pas le moment… »

« Ah bon pourquoi ? On est là, toutes les deux en confidence. C’est le lendemain de la nuit de noces. Tu vois un meilleur moment ? Tu ne peux pas me dire que c’est de la pudeur ! Je t’ai vue baiser dans toutes les positions. Tu veux que j’aille demander à ton mari ? »

« Écoute, en deux mots, on était quatre pour la nuit, et ce matin on était six. Voilà ! »

« Oh les cochoooonnnns ! Avec qui ? »

« Euuuuh ! Si je te le dis, tu arrêtes tes questions ? »

« Allez Val, pas de chantage ! C’est qui ? Ils sont de la noce ? »

« Ben, moi j’ai dragué le garçon d’honneur, et Éric voulait baiser sa cousine. Et sans le savoir, on s’est retrouvé dans la suite chez Eugénie… »

« Chez Eugénie ? Tu veux dire Marguerite ma cousine ? Elle a toujours son boui-boui ? Alors, pendant que moi je jouais les mères vertueuses, vous passiez la nuit de noces dans le boui-boui à Eugénie avec la cousine de ton mari. Celle qui fait le guet là ? Avec sa microjupe et le décolleté qui fait loucher tous les mecs ? Quand je pense que tu m’as fait la leçon sur ma tenue ! Quand j’étais assise par terre, je voyais ses fesses ! Elle n’a pas de culotte non plus, et personne ne lui dit rien à elle ! Cousine de ton mari ? C’est de sa famille ça non ? Je croyais qu’ils étaient tous serrés du trou à part lui ? Et un garçon d’honneur… C’est lequel ? Attends… Le blondinet là-bas ? »

« Non pas celui-là ! »

« Alors un autre ? Ah je sais ! Celui qui t’a pris la jarretière. Ouais, je t’ai vue ! Il m’a semblé que tu étais tout émue. Il n’a pas dû s’arrêter en haut de la cuisse, et certainement que toi non plus tu n’avais pas de culotte, hein ? Il est bien ? »

« Monté comme un petit âne ! »

« Quoi ? Il y a ici un gars exceptionnel, et tu ne me dis rien ? Val, tu n’es pas sympa ! En plus tu le dragues et tu te le tapes en partie carrée pendant ta nuit de noces. Ton mari de son côté amène sa cousine, et moi je choque parce que je n’ai pas mis de culotte ? Où va-t-on, mon Dieu où va-t-on ? Pour les culottes, tu sais très bien que je n’en mets qu’exceptionnellement ! »

« Maman ! Mon mariage, c’est exceptionnel ! Et pour te répondre, je n’ai pas mis de culotte de toute la journée, uniquement pour exciter Éric ! »

« Valérie, fiche-moi la paix ! Hier je t’ai obéi, aujourd’hui les cérémonies officielles sont terminées ? Je te préviens, je m’amuse ! »

« Je ne peux pas t’en empêcher ! Mais sois discrète au moins »

Ça n’a pas traîné ! Lucie avait décidé de rattraper le temps perdu, elle est donc partie en chasse. Et pour commencer, elle jeta son dévolu sur le père d’Éric. Scénario catastrophe pour ceux qui souhaitaient que la noce soit la plus ‘’soft’’ possible. En fait la pruderie des parents de mon cousin venait essentiellement de la mère. Comme un certain nombre d’épouses, Sylvie, qui n’avait jamais été portée sur le sexe, avait considéré qu’une fois ménopausée, la sexualité était quelque chose d’inutile. À éviter au maximum ! Et le devoir conjugal ajusté au strict nécessaire. Jean-Pierre, son mari était donc réduit à la portion congrue. À 56 ans, même si certains hommes ont une baisse de régime, une fois par mois ce n’est pas beaucoup ! Alors, les plus hardis se révoltent, et lorsqu’une jeunette (séduite par la position sociale et le train de vie qui va avec) passe à portée et leur prouve qu’ils peuvent encore avoir une vie amoureuse, crac ! C’est divorce et remariage ! Et celle qui est laissée-pour-compte se plaint de ces salopes qui piquent les maris. Sans comprendre qu’elles sont fautives à 100 %. Et puis il y a ceux qui subissent l’épreuve en silence, ou presque, en trouvant les palliatifs : putes, films pornos, maîtresse, etc.

Mon tonton était de ceux-là ! Frustré, mais vigoureux, et prêt à compenser la monotonie de sa vie conjugale ! Lucie, avait bien remarqué les regards que le beau-père de sa fille ne cessait de lui jeter, (en plus, il était de ceux qui avaient vu, quand elle était assise dans l’herbe, qu’elle n’avait ‘’pas de lolotte’’). Elle avait donc compris qu’il était très émoustillé par sa plastique et sa tenue sexy et avait décidé de jeter son dévolu sur celui qui, à ses yeux était le symbole incontesté de la rigueur du mariage.

Petit aparté sur le sujet du : ‘’pas de lolotte’’. Si Lucie ne mettait, la plupart du temps, pas de sous-vêtement, c’était d’abord par confort et conviction personnelle. Elle trouvait les culottes inesthétiques, et les strings désagréables car toujours en train de se coincer dans la raie. Mais il y avait plus que ça. Comme toutes les femmes qui connaissent bien les hommes, elle savait parfaitement que c’était un fantasme des plus répandus parmi la gent masculine. Ils rêvaient de ça depuis qu’ils étaient tout petits. ‘’Voir sous les jupes des filles’’ comme chante Alain Souchon. Les jambes d’accord ! Mais c’est surtout par attrait de la foufounette, hein ? Et quand il y en a une qui ne met pas de culotte, alors là ! Ça excite tout ce petit monde, même si on la traite de salope… ça, c’est d’ailleurs surtout vrai chez les ados et les jeunes adultes. Après, on sait… On apprécie… Et même carrément, faut le dire, on en redemande… Ce n’est pas pour ce qu’on voit. Parce que les trois quarts du temps on ne voit rien ! Ou presque rien… Mais c’est l’idée qu’on s’en fait !

Bref, voilà Lucie en chasse ! En plus, le père d’Éric avait un attrait supplémentaire : il était double ! Eh oui, Jean-Pierre avait un frère jumeau, Jean-Marc ! Et ça, pour Lucie c’était un truc nouveau. Jamais elle ne s’était tapé des jumeaux. Ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Sauf sur deux points : ils n’avaient pas les mêmes vêtements, il était donc facile de les distinguer, et Jean-Marc était resté célibataire. Je crois que quand il avait vu avec qui son frère était marié, il avait jugé prudent de ne pas convoler. Mais pour Lucie, les différences n’avaient aucune importance, seuls les symboles comptaient. Et des symboles, il y en avait deux : le père du mari de sa fille et sa gémellité… Engager la conversation avec le père d’Éric fut facile. Quoi de plus naturel que les parents des jeunes mariés échangent des propos.
Je ne sais pas ce qu’ils se disaient, mais le tonton Jean-Pierre avait les yeux rivés dans le décolleté de Lucie et semblait bredouiller. Familièrement elle lui prit le bras et l’entraîna vers le lieu où son frère jumeau bavardait. Jean-Pierre l’interpella, et il vint rejoindre le couple. Tous trois entamèrent une promenade dans le parc de l’ancienne abbaye qui avait été louée pour l’occasion. Lucie entre les jumeaux appuyait chacun de ses seins contre le bras de ses compagnons. Le trouble s’accentua, et comme j’étais à proximité en train d’observer le manège, il me sembla bien que les pantalons de mes tontons étaient déformés par deux belles bosses. Et puis, d’un coup je vis Lucie trébucher. L’instant d’après, elle avait dans la main le talon qui venait de se détacher de sa chaussure droite. Était-ce un heureux hasard ? Le fit-elle exprès ? Je n’ai jamais su. En tout cas, si c’était fait exprès, c’était drôlement fortiche. Discussion :

« Vous ne pouvez pas rester comme ça. Il est juste décollé. J’ai ce qu’il faut à la maison pour le recoller. Ce n’est pas loin. Si vous voulez on y va… »

« Vous êtes sûrs que ça ne vous gêne pas ? »

« Non, non ! Pensez donc ! »

« Éric ! Ta belle-maman a cassé le talon de sa chaussure ! Je l’emmène à la maison pour réparer. On n’en a pas pour longtemps ! Et Jean-Marc vient avec moi ! »

Éric en grande conversation avec ses copains, nota à peine ce que lui disait son père. Ils partirent donc sans avoir vraiment attiré l’attention. Mais, l’absence se prolongea et bientôt, je vis ma tante Sylvie qui, allait de groupe en groupe en demandant si quelqu’un avait vu son mari. Prévoyant la catastrophe j’allai vite retrouver Valérie.

« Ta belle-mère cherche partout son mari ! Or ta mère a trouvé un prétexte pour emballer les jumeaux. J’ai peur du scandale, si tu vois ce que je veux dire ! »

« Oh ! La garce ! Ils sont où ? »

« Ben ils sont partis chez les parents d’Éric je pense ! »

« Véronique tu as une voiture ? Tu sais où c’est ? Emmène-moi, on y va ! »

On a fait la route à tombeau ouvert ? Notre chance a été que mon oncle a voulu réparer la chaussure à tout prix avant. Quand nous sommes arrivés, Lucie était en train de payer la réparation en nature. Ils étaient dans la chambre de jeune homme d’Éric. Ils devaient être pressés et croyaient bien ne pas être dérangés car la porte était restée ouverte. Les tontons étaient à poils. L’un d’eux lequel ? Je ne sais pas était allongé au bout du lit avec les jambes qui pendaient en dehors, et Lucie, nue également, s’était placée entre ses jambes, et maintenant la verge toute bandée entre ses seins qu’elle pressait et faisait monter et descendre le long de la tige dans une superbe cravate de notaire. Mon oncle était aussi bien pourvu que son fils, (ou que son neveu, allez savoir!) parce qu’elle était assez longue pour que sa partenaire puisse en même temps lui lécher le gland d’une langue experte. L’autre tonton la prenait en levrette à grands coups de queue. Mon premier mouvement fut de retenir Valérie pour que mon tonton Jean-Pierre puisse aller jusqu’au bout. Soit entre les nichons de la belle-mère Soit dans sa… Son… Je ne pouvais pas voir si le tonton qui tenait l’arrière la baisait ou la sodomisait. En tout cas c’était le père d’Éric qui avait louché comme un malade sur cette magnifique paire de seins depuis le matin ! Enfin, pour qui que ce soit, ça devait être quelque chose de se faire masturber le sexe dans le sillon séparant ces deux superbes globes tout de douceur et de velouté. Mais Valérie avait trop peur que Sylvie découvre le tableau :

« Maman ! Je t’avais demandé de rester tranquille ! »

Sur cette injonction Lucie tourna la tête, abandonnant le gland de mon tonton. Mais lui devait être super excité, car il ne put se retenir de décharger. Décidément c’était le week-end des giclées perdues. Il devait être en manque depuis longtemps le tonton en question, parce qu’il a éjaculé fort et longtemps. Les deux premières décharges se perdirent dans les cheveux de Lucie. Le temps qu’elle constate que c’était sa fille qui était là, et, magnifique de sang-froid, elle reprit la bite juteuse entre ses lèvres et s’appliqua à sucer pour augmenter le plaisir de son partenaire et recueillir la blanche semence dont elle semblait friande. Manifestement mon oncle ne s’était rendu compte de rien et jouissait comme cela ne lui était pas arrivé depuis bien longtemps peut-être. Celui qui était derrière était sourd lui aussi parce qu’il continuait à pilonner les fesses de la mère de Valérie avec une ardeur redoublée. Il ne tarda pas, lui aussi, à décharger en se plaquant le plus qu’il pouvait contre la croupe offerte. Celui qui avait inondé de sperme les seins de Lucie réalisa le premier que nous étions là ! Il tenta de se redresser écarlate.

« Je… Qu’est-ce que vous faites là ? Bredouilla-t-il rouge de confusion et tentant de cacher son sexe que Lucie avait lâché et qui se recroquevillait à la vitesse grand V ».

« Valérie tu as vraiment décidé de me gâcher la vie. Qu’est-ce que tu veux encore ? »

« Éviter un drame ! Sylvie cherche Jean-Pierre partout. Elle interroge tout le monde ! Et si elle apprend que vous êtes partis ensemble et venus ici, elle va débouler d’un instant à l’autre. Et si elle vous trouve dans cette position… »

L’autre tonton avait aussi réalisé ce qui se passait. Dans la confusion, il s’était retiré un peu vite du corps accueillant de Lucie, et sa verge détumescence, avait laissé couler un long filet gluant sur la descente de lit avant qu’il mette les mains en conque pour protéger son sexe de nos regards.

« Mais on ne faisait rien de mal, bredouillèrent dans un ensemble touchant et comique les jumeaux tout en enfilant maladroitement leurs slips ».

« Rien de mal ? Faudra lui expliquer ça, beau papa. C’est quoi votre excuse pour être ici tous les trois ? »

« Ben ! Lucie a cassé son talon, on est venu le réparer »

« Il est réparé ? »

« Ben oui ! »

« Alors on n’a pas une minute à perdre. Vous, les jumeaux, vous garder la chaussure et vous rentrez tranquillement. Mais seuls ! Toi Maman, finalement tu n’es pas allée avec eux, on passe en ville t’acheter une autre paire de chaussures et tu reviens avec nous. On dira que tu as voulu prendre deux précautions plutôt qu’une… »

« Tu parles d’un bazar ! »

J’ai donc embarqué Lucie et Valérie et nous sommes revenus à l’Abbaye après être passés en ville rechausser Lucie. Quand nous sommes arrivés, Sylvie était partie. Elle rencontra son mari et son beau-frère sur le chemin du retour. Les explications furent un peu chaudes pour cause d‘abandon de noces, mais le drame fut quand même évité.
Seule Lucie était frustrée. Elle nous fit une scène sur le chemin du retour.

« Alors on ne peut plus avoir de relations entre adultes consentants sans que les enfants s’en mêlent. J’en ai marre de ce mariage. Pourquoi m’avez-vous empêchée de baiser avec eux ? Ils ne demandaient que ça. Jean-Marc est célibataire, il fait ce qu’il veut ! Et la femme de Jean-Pierre ne s’occupe pas de lui, alors ! Je ne lui volais rien ! »

« Maman quand comprendras-tu que tout le monde n’a pas ma même morale que toi ? Il n’est pas vraiment d’usage que la mère de la mariée se tape l’oncle et le père du marié durant la fête du lendemain. En plus, du point de vue de Sylvie, même si elle n’a plus beaucoup de relations sexuelles avec son mari, si lui en a avec une autre, c’est qu’il la trompe. Alors imagine si c’est avec toi ? Tu pourris mes relations avec mes beaux-parents pour des années »

« Je m’en fiche ! D’autant que ce ne sont pas des anges ! Et que ton beau-père ne m’attend pas pour tromper sa femme. Les jumeaux ça en excite plus d’une. Alors c’est Jean-Marc qui rabat, et ils en profitent tous les deux presque à chaque fois. C’est ce qu’ils m’ont raconté sur la route en venant. Ils m’ont même dit qu’au début, sans que Sylvie le sache, Jean-Marc est venu plusieurs fois remplacer son frère dans le lit conjugal. Mais comme c’est un très mauvais coup, ils ont arrêté le manège »

« Ce n’est pas une raison Maman ! Ils font ce qu’ils veulent, mais moi je ne veux pas que le scandale arrive par toi ! Je suis ta fille, et l’épouse d’Éric, enfin ! »

« Écoute bébé, moi je suis en manque d’homme. J’ai tout juste eu le temps d’en profiter, mais c’était vite fait ! J’aime bien faire l’amour avec deux hommes. Mais avec des jumeaux je n’avais jamais essayé ! C’était l’occasion rêvée ! Tu sais qu’ils sont vraiment identiques ! Au début, ils sont venus côte à côte pour que je les suce un peu, j’ai comparé leurs bites : identiques ! C’était marrant ! Oh, tu sais, on n’a rien fait d’extraordinaire ! Ils ont voulu me prendre à deux, un devant, un derrière. Bon ! Tu sais que je n’aime pas beaucoup la sodomie, mais j’ai bien voulu quand même, parce qu’ils étaient jumeaux. Et c’est vrai que d’avoir deux queues identiques en moi, c’était émoustillant. Mais j’ai vite changé ! Je préférais la position dans laquelle vous nous avez trouvés. Quand je vais raconter ça à Célia… En tout cas, je n’ai jamais jeûné autant que depuis que je suis venue assister à ton mariage. J’ai juste eu le temps d’avoir deux petits orgasmes. Moi il me faut ma dose quotidienne, et jusque-là il n’y a pas le compte ! Cette fois, c’était bien parti pour, et puis vous êtes venues et vous avez tout gâché ! Valérie, si tu veux continuer à m’empêcher de me taper un homme, ça va mal finir !

« Il y a peut-être une solution dis-je doucement à Valérie. Emmenons ta mère ce soir au château »

« Qu’est-ce qu’il y a ce soir au château ? Et quel château ? Celui de Marguerite je parie ? Vous allez en partouze ce soir ? »

Valérie me jeta un œil noir.

« Elle est au courant maintenant ! Bon Maman, si on t’emmène ce soir au château, est-ce que tu peux rester sage jusque-là ! »

« C’est du chantage ! »

« À prendre ou à laisser ! On t’emmène ce soir à deux conditions. Un : tu ne dragues plus un seul mec, tu caches tes fesses, et tu restes sage jusque-là. Deux : tu promets d’appeler ta cousine Eugénie ou Madame la Duchesse et pas Marguerite !

« Mais c’est son vrai nom ! »

« Maman ? »

« Bon d’accord ! »

« Juré ? »

« Juré ! »

« Quand c’est juré, c’est juré, hein ? »

« Ouiii ! Là, tu es contente ? »

En rentrant Lucie a montré ses chaussures à tout le monde, et embrassé, pour les remercier de la réparation, les jumeaux quand ils sont revenus. Il y eut bien quelques esprits chagrins pour faire des commentaires sur celle qui faisait réparer sa chaussure et allait en acheter une autre paire, mais bon ! Tout s’est bien terminé. Voilà !

Jonathan très attentif au récit que lui faisait sa Maman, voulue connaître la suite :

« Et le soir vous êtes allés au château ? »

« Oui bien sûr ! Le soir venu nous nous sommes éclipsés en douce, les mariés, Philippe, Lucie Franck et moi nous sommes partis pour le château d’Eugénie et la nuit de noces partouze des cousins ».

« Eh bien raconte ! »

« Ce n’est pas bien raisonnable mon fils ! Cela fait une heure que je raconte ! Je n’ai pas arrêté depuis le départ de Gatien. Il est midi passé, on est encore à poil dans la cuisine au milieu des reliefs du petit déjeuner. On n’est pas lavés, j’ai des traces de sperme de partout. Dans une heure tu vas me crier que tu as faim »

« Pas une heure ? J’ai faim ! »

« Je ne fais pas de déjeuner ! C’est hors de question ! Écoute, on prend une douche et on va se trouver un resto dans le quartier. D’accord ? »

« D’accord ! Mais après tu me raconteras la partouze de noces ? »

« On verra, on verra. Viens te doucher »

Ils prirent leur douche ensemble, et s’amusèrent à se savonner l’un l’autre. Véronique enduisant de savon à deux mains le sexe de son fils et le masturbant ensuite entre ses jambes serrées. Tandis que Jonathan insistait d’une main sur les seins qui durcissaient de plaisir, et de l’autre il massait les fesses et la raie culière avec délectation. Véronique se frottait si bien la vulve et le clitoris sur la verge bien dure de son fils, qu’elle eut un nouvel orgasme. Le jeu aurait pu continuer, mais l’heure tournait et nos deux tourtereaux, après s’être vêtus légèrement, s’empressèrent d’aller se restaurer,

L’après déjeuner, la Maman et son fils n’arrêtèrent pas de faire l’amour en inaugurant chaque pièce de l’appartement. Désormais Jonathan avait le droit de dormir dans la chambre à coucher avec sa mère, jusqu’au retour de son mari.
Malgré la présence de son mari les relations sexuelles, ne cessèrent pas, bien au contraire elles s’amplifièrent même en se rendant ou en invitant Gatien et sa belle-maman Alicia.

Fin.

(Série écrite par Marie-Claude, en collaboration avec Véronique, Alicia, Éric, Gatien ainsi que Lucie et Franck. Merci à tous!)

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. paragraphe 4 rose post

1 commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Marre de la pub ?

Marre de la pub? tu as un gmail? Contacte nous

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Les autres regardent

Marie Lou téléphone rose

Marie Lou téléphone rose

Tel rose de Marie Lou

tel rose de marie lou