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Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 3

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Résumé :

Gatien, jeune homme timide, a été initié par sa belle-mère Alicia aux plaisirs du sexe. Cette dernière décide de mettre son amie Véronique dans la confidence. Les deux femmes montent un scénario pour que Véronique puisse profiter des talents de Gatien. Au moment crucial, Alicia vient rejoindre son amie et son beau-fils.

Gatien, surpris comme un gamin pris en faute, eut un réflexe pour se retirer d’entre les seins de Véronique. Mais celle-ci n’avait pas envie que la séance se termine si tôt. Aussi le retint-elle en lui prenant solidement les fesses à deux mains.

« Non mon chéri, laisse-moi encore jouir de ta bite qui gicle entre mes seins… Alicia, arrête tes simagrées ! Viens nous rejoindre !… Tu avais raison, il est formidable. Il m’a fait jouir comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps. De plus il est endurant comme personne il m’a fait jouir comme une reine, et il n’a déchargé que lorsque je le lui ai permis. Il devait d’ailleurs avoir les couilles bien pleines car c’est particulièrement abondant. Tu veux en profiter ? Regarde mes seins, ils sont couverts du sperme de ton fils. Tu en veux ? Tiens lèche-moi ! »

Alicia n’hésita pas. En une seconde elle dégrafa sa jupe et envoya valser son chemisier. N’ayant ni culotte, ni soutien-gorge, elle était nue et se précipita sur Véronique qui s’était allongée près de Gatien. Se couchant sur le corps de son amie elle se mit à faire courir sa langue sur les seins ronds et pleins pour recueillir les traces gluantes qui maculaient la chair tendre et chaude.

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De son côté Gatien, le premier moment de panique passé, avait cru deviner aux propos de sa blonde amante que les deux femmes étaient complices. Il se remémora rapidement la scène de séduction très poussée que Véronique avait entreprise à son égard pour se conforter dans l’idée que tout était calculé d’avance. Loin de le choquer, cette constatation vint renforcer dans son esprit l’image de magnifique salope (au sens sexuel du terme) qu’il avait de sa belle-mère. Il en conclut par extension que ce devait être le cas pour toutes les femmes de cet âge, puisque son amie Véronique semblait bâtie sur le même modèle. Sans hésitation, il décida d’essayer d’en profiter au maximum. Et ceci dès à présent.

Très intéressé par le spectacle qui se déroulait sous mes yeux, il s’installa sur le côté pour mieux voir les deux corps emmêlés. Le contraste était étonnant. Alicia dont les cheveux et la toison secrète étaient noirs comme le jais avait un corps doré, bronzé à souhait. Bien que sa poitrine et ses fesses soient bien pleines, l’ensemble de son corps donnait une impression de sveltesse très harmonieuse.
Véronique elle, était blonde de chevelure et de poils, et son corps était d’une blancheur de lait. Sa poitrine et ses fesses plus volumineuses et plus rondes que celles de son amie, et son ventre légèrement arrondi semblait accueillant et chaud.

Sous les caresses d’Alicia, son amie n’avait pas tardé à sentir renaître un désir qui semblait ne jamais devoir être assouvi complètement. Elle cambra la poitrine sous les coups de langue qui, après avoir asséché le sperme du jeune homme, s’attardaient maintenant sur les tétons. De plus, Alicia commençait à se servir de ses mains. Ses doigts descendirent en pianotant sur le ventre doux. Elle atteignit le pubis, fourragea quelques instants dans la toison courte et encore humide de la salive de Gatien, puis brusquement elle pinça le clitoris gorgé de sang dont l’extrémité frémissait déjà d’impatience. Véronique reçut comme une décharge électrique, ses cuisses s’ouvrirent largement offrant à la convoitise de son amie, sa chatte brûlante.

« Oh Alicia, branle-moi ma chérie, branle mon clitoris, après tu me mettras ta langue, tu me suceras. Huuuuum ! Je suis déjà prête à jouir… Hummmm ! Pour quelqu’un qui prétend ne pas priser particulièrement l’amour entre femmes, tu es douée. Oui vas-y, branle ! Branle, c’est bon… »

Gatien très attentif voyait le doigt de sa belle-mère entrer pour ce mouiller entrer pour se mouiller dans la crevasse secrète avant de revenir masser en cadence le bourgeon de chair du clitoris qui, gorgé de sang, se dressait fièrement sous la caresse. Il nota avec intérêt qu’Alicia changeait parfois de tactique. Deux de ses doigts s’introduisaient entre les lèvres et pénétraient dans le vagin pour agir comme une verge en entrant et sortant régulièrement, tandis que de la paume caressait le clitoris, car elle savait fort bien que son amie était aussi vaginale que clitoridienne.

Cette séance de masturbation dura quelques minutes, puis Véronique réclama la langue de son amie.
Alicia se plaça alors sur elle, en position de 69, présentant du même coup son sexe bien excité à la langue agile de sa partenaire. Elle même enfouit sa tête entre les cuisses ouvertes et sans attendre plaqua ses lèvres pulpeuses contres celles du vagin déjà ouvertes. Sa langue dardée pénétra dans l’ouverture et se mit à fouiller avec agilité, recueillant avec délice les premières gouttes de cyprine que son action faisait naître. Comme Alicia avait la langue assez longue Véronique eut l’impression d’être pénétrée par une bite, petite certes mais très agile. De son côté elle avait d’abord happé le clitoris entre ses lèvres et le suçait avec application favorisant l’afflux de sang qui venait gonfler les chairs tendres.

Gatien, en bon élève, appréciait le gougnotage des deux femmes, notant au passage leurs gestes et leurs attitudes. Son désir, stimulé par cette vision érotique renaissait à vue d’oeil, et sa verge bandait à nouveau, bien dressée contre son ventre. Les exhortations de Véronique, qui semblait aimer commenter crûment les évènements, avaient cessé car il lui était difficile de parler et de sucer ou de lécher en même temps, mais son visage trahissait une grande excitation. Lui-même commençait à être submergé de désir, et l’envie de se mêler aux ébats des deux femmes se faisait de plus en plus forte.
Mû par un instinct de perversion et confiant dans les qualités de salope que lui avait montrées la blonde amie de sa belle-mère, il se pencha à son oreille pour lui faire part de son attention :

« Madame, pendant que Maman vous suce, j’ai envie de la prendre en levrette comme vous dites. J’ai terriblement envie de b… De lui mettre ma b… Enfin… De lui rendre hommage. Pourriez-vous s’il vous plaît lui remonter les fesses pour me faciliter les choses ? »

Véronique acquiesça d’un signe de tête. Gatien vint se mettre à genoux au-dessus du visage de Véronique. Lorsqu’il fut prêt elle cessa de fouiller la chatte et sollicita son amie pour qu’elle remonte les fesses et se mettre sut les genoux. Dès que sa mère fut en position, Gatien introduisit sa bite et la pénétra d’un coup de reins brutal.
Sous le coup Alicia se tendit comme un arc et abandonna un instant la motte blonde.

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« Ah ! Le petit salaud, il me l’a mis d’un coup ! Il me remplit bien la chatte ! Oui, vas-y mon fils, pine moi fort !… »

Puis s’adressant à Véronique :

« Tu te rends compte de la chance que tu as ma gouine ? Voir mon fils en train de me labourer la chatte… Tu dois avoir une vue imprenable sur ses couilles bien gonflées et prêtes à me décharger de bonnes giclées de sperme dans mon ventre ? Tu dois voir son mandrin qui coulisse bien dans mon con ?

« Oui je vois tout ça, et vous êtes de beaux salauds tous les deux. Ça me plaît !… Mais continue à me sucer le clitoris, et tiens-toi prête à boire ma cyprine car je sens que je vais jouir. Oui, vas-y, ouiiiii, aaah ! C’est bon, j’ai le feu à la chatte. Je vois bien la bite de Gatien qui te baise. Qu’est-ce qu’il te met le petit salaud ! Vas-y Gatien, c’est une salope ta belle-mère, bourre-la bien, elle aime ça…

Aaaaah ! Ça y est, je jouis… Je jouiiiis… Ah! Les salauds, me donner un tel spectacle, c’est cochon… Je jute, je jouis… Je n’en peux plus ! »

En effet Véronique, vaincue par les coups de langue de son amie et la vue du baisage intense juste au-dessus d’elle, venait de rendre les armes. De sa chatte une abondante liqueur vaginale s’écoulait qu’Alicia recueillait précieusement avec la langue pour s’en délecter. Véronique comme à son habitude mouillait abondamment et sa jouissance dura longtemps. Elle commençait à s’estomper lorsque Alicia, dont le vagin recevait toujours les coups de bite de son beau-fils, sentit venir l’orgasme. Il fut brutal et violent, le foutre coula, abondant épais et chaud. Il gicla hors de sa cavité vaginale sous les coups de piston du jeune homme, arrosa ses couilles, coula sur la bourse bien gonflée, puis quelques gouttes commencèrent à tomber sur le visage de Véronique.

Presque immédiatement Gatien, dont la verge était stimulée par les mouvements de contraction du vagin en pleine éjaculation, sentit venir la décharge. Brutalement sa verge se mit à tressauter, la petite bouche du gland s’ouvrit pour cracher la première giclée de sperme, frappant la matrice avec force. Gatien presque tétanisé par la jouissance, continua néanmoins à limer le vagin brûlant, augmentant le plaisir de sa belle-mère, et faisant gicler plus fort les gouttes des jutes mêlées qui tombaient presque goutte à goutte maintenant sur le visage et dans la bouche de Véronique.

Alicia au comble du bonheur, criait des mots les plus crus pour s’exciter davantage :

« Je jouiiiis !… Je jouiiiis !… AAaah ! Mon con jute sans arrêt… Le salaud, il me pistonne… Tiens, tiens ma chatte te branle la queue… Je sens la jute qui gicle, j’en ai plein les fesses… AAaah ! Cette bite qui gicle aussi… AAaah ! La bonne giclée, c’est booooon ! Je dois en avoir partout… Bien graissée… Tu la graisses bien ta mère petit cochon !… Véronique ma salope, tu jouis ?

Véronique en effet, stimulée par les mots obscènes de son amie, par les grognements rauques de Gatien et par les sécrétions qui lui barbouillaient le visage, s’était masturbée rapidement pour compenser l’inaction d’Alicia trop occupée à profiter de sa jouissance et de l’éjaculation de son beau-fils. En quelques coups de poignet elle eut un nouvel orgasme qui la fit se tendre comme un arc et qui, épuisant ses dernières forces, la laissa sans réaction. D’ailleurs ses compagnons étaient aussi à bout de résistance et le trio s’affala sur le lit, encore emmêlé. Ils restèrent quelques minutes immobiles, brûlants, gluants de sécrétions et le cœur battant encore au rythme de leurs orgasmes.

Plus tard, après avoir récupéré et s’être repouponnées, Véronique et Alicia, revenues au salon prenaient le thé dans une tenue décente. Enfin en apparence, car elles étaient toujours sans culotte et sans soutien-gorge.

« Tu sais ma chérie », disait Véronique, « c’était merveilleux. Je n’avais pas baisé depuis de longs mois, et ton Gatien a été sublime. Quel as ! Tu vois, quand j’ai joui, la réalité a été encore supérieure à mes souvenirs. Pourtant Dieu sait que j’ai fantasmé sur le sujet… Quant à toi tu es absolument excellente dans le rôle de brouteuse de minou. J’ai peine à croire que c’est un rôle de composition.
J’ai surtout pratiqué ce genre de sport au pensionnat, mais tu es parmi les plus douées que j’ai essayé. Je suis prête à recommencer quand vous le voudrez »

« Oui, pour moi aussi c’était merveilleux et j’ai vraiment beaucoup joui. Mais je ne pense pas que nous puissions continuer tranquillement à faire nos petites parties à trois à intervalles réguliers. Et puis, je ne le souhaite pas. Il va nous falloir faire preuve d’imagination »

« Ah bon pourquoi ? Ce n’est pas bien ce que nous avons fait ? Et nos séances de gougnotage ? »

« Je ne parle pas de nous deux, je commence à y prendre goût et nous pourrons toujours continuer à nous aimer, mais pour te répondre à ta première question, cela dépend ce que tu appelles bien !… Ce n’est pas la question bien ou pas bien. Le problème c’est de ne pas tomber dans la routine, et cela peut venir vite. Pour Gatien d’abord ! Il est jeune, très jeune ! Or il faut arriver à ce qu’il baise avec nous sans passion amoureuse, ce n’est déjà pas simple. Mais de plus, il faut aussi qu’il ne se lasse pas, sinon il trouvera facilement une fille de son âge qui lui résoudra tous ses problèmes à la fois… Et puis c’est important pour nous aussi. En ce qui me concerne, je t’avoue que j’ai envie de nouveautés en matière de partenaires comme en matière de sexe »

« Dis comme ça le programme paraît alléchant, mais tu penses à quoi ? »

« J’ai pas mal d’idées, tu verras. Pourquoi ne pas continuer à initier des jeunes par exemple ? Il semble que nous sommes douées non ? »

« Oh oui ! Moi je suis d’accord, c’est sympa ! En plus il a une de ces vitalités… Ton Gatien c’est vraiment quelqu’un. Bien monté, délicat et très endurant pour un jeune »

« C’est vrai qu’il est doué. Mais il a encore un problème, il est timide comme une jeune fille. Il te baise, mais il t’appelle ‘’Madame’’. Et je suis sûre que, même s’il en crève d’envie, il ne fera jamais le premier pas. Or moi j’aimerais bien qu’il me prenne à la hussarde, qu’il me force un peu tu vois ? Style viril. Macho quoi ! J’aimerais qu’il se conduise en mec qui veut à tout prix jouir de moi sans trop s’occuper si je ne suis pas consentante ou pas… Mais je suis sûre qu’il est trop timide et trop bien éduqué pour nous violer. Même si c’est un viol consenti »

« Tu crois ? Même si on l’excite bien ? Tu sais, quand je lui ai montré mes fesses, il est venu me mettre la main au cul ».

« Oui, mais à la moindre parole, au moindre geste de ta part pour le repousser, il aurait immédiatement abandonné le terrain. Tiens ! Je te propose un jeu, dans les jours qui viennent, on l’aguiche à mort, et on refuse toute privauté. Qu’en penses-tu ? »

« Oui, ça peut être amusant. Mais s’il se comporte comme tu le penses, nous ne sommes pas près de baiser… »

« Deux ou trois jours c’est tout ! Pour son éducation… »

« Si tu veux, mais moi je ne le sens pas bien ton truc… On va perdre deux ou trois jours, c’est tout !… Enfin si tu y tiens »

Dans les jours qui suivirent, Gatien n’eut plus l’occasion ni de baiser sa belle-mère, ni de se livrer à des ébats sexuels en compagnie de sa blonde amie. Malheureusement pour sa tranquillité, s’il ne pouvait plus assouvir ses désirs avec ces deux belles salopes, elles ne se privaient pas de maintenir son excitation au maximum. Chaque fois qu’elles le pouvaient, elles dévoilaient, comme par inadvertance, leur joli cul toujours sans culotte ou une admirable paire de seins au sillon profond et aux pointes bien dardées. Toujours par inadvertance, elles caressaient en passant sa verge à travers son jean, surtout lorsque celle-ci était déjà bien bandée, excitée par ce que le jeune homme venait de mater. Gatien, toujours aussi timide malgré son intimité avec les deux femmes, tentait bien de les prendre dans ses bras pour obtenir plus, mais elles se dérobaient ou le repoussaient carrément. Le pauvre garçon ne savait plus que penser, mais il n’osait toujours pas les forcer.

Frustré, il avait repris ses observations par le trou dans le mur de la salle de bains. Alicia qui se doutait de ce qu’il faisait, ne se privait pas de se masturber le minou avec application, de se lécher les doigts mouillés de cyprine, et même de servir du manche de la brosse à cheveux comme un godemiché. De savoir son beau-fils en train de la mater derrière le mur l’excitait au plus haut point, et elle jouissait vraiment sur ses doigts ou sur le manche en bois de la brosse.

Si Gatien avait été un peu plus assuré, il aurait forcé la porte de la salle de bains au plus fort de l’excitation de sa belle-mère qui aurait alors cessé son petit jeu cruel et cédé avec délices aux assauts de son grand fils. Au lieu de cela Gatien restait dans sa chambre n’ayant d’autre ressource que de se masturber à grands coups de poignet.

Il eut également l’occasion de voir ses sœurs nues. Plus sages qu’Alicia, Maëlys et Lana ne se masturbaient pas, mais leurs corps jeunes et pleins, leurs seins fièrement dressés, leurs petites fesses bien découplées ajoutaient à ses envies et à sa frustration.

Bientôt ces branlettes rapides ne lui suffirent plus. Mais contrairement à ce que les deux perverses avaient supposé, il ne se décida pas à les forcer, encore moins à les violer. En flânant dans la ville, plus ou moins en quête d’une bonne fortune, il lui vint à l’idée que l’idéal dans son cas était de s’adresser aux professionnelles.

À suivre…

MC

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