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Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 4

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Résumé :

Gatien jeune homme timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique par deux femmes plus âgées que lui.
Comme il ne peut obtenir d’elle de quoi satisfaire entièrement sa libido, il décide d’avoir recours aux amours tarifées.

Un zeste de parfum

Gatien se dirigea vers le quartier ‘’chaud’’. La rue qu’il emprunta était garnie de sex-shops et autres peep-shows. C’est là que se tenaient habituellement les prostituées. Dans une petite rue transversale, il trouva ce qu’il cherchait. Les filles étaient nombreuses, alignées le long des façades elles attendaient le client ? Brunes, blondes, minces, bien en chair ou carrément mafflues, il y en avait pour tous les goûts. Le choix de Gatien se porta sur une fille aux cheveux noirs, aux yeux verts, dont le corsage était généreusement rempli. Les longues jambes, nues dans les bottes de cuir, l’attirèrent également. Il hésita quelque temps puis, le cœur battant la chamade, il s’approcha de la prostituée. En quelques mots ils furent d’accord sur le prix. La fille se dirigea vers une entrée toute proche. Il la suivit dans l’escalier, fasciné par les longues jambes gainées de cuir blanc, et tout en haut l’amorce d’une culotte rouge qui apparaissait au gré du balancement de la minijupe. Il paya la chambre en échange de quoi la fille reçut une serviette. Quelques minutes plus tard, ils étaient tous les deux dans une chambre minable dont le lit avait reçu bien des assauts. Des miroirs sur chaque mur devaient refléter l’image du couple en train de baiser.

« Déshabille-toi mon trésor, ensuite tu viendras que je lave ta zigounette… C’est la première fois que tu montes avec une fille ? Tu n’as pas l’air d’avoir l’habitude »

paragraphe 4 ia porn

« Oui c’est la première fois Madame… »

« Tu es majeur au moins ? Je ne veux pas d’ennuis… »

« Oui Madame, je suis majeur »

« Tu es puceau ? »

« Nnnnon ! »

« Tu n’as pas l’air bien sûr »

« Si, si. C’est seulement qu’il n’y a pas longtemps… Mais je l’ai fait plusieurs fois »

« Avec qui ? Ta petite amie ?… Viens que je te la nettoie… Viens là… »

« Non ! Non »

paragraphe 2 candy

« Avec qui ? Une jeune ? Une vieille ?… Oh ! Eh bien je m’en fous garde tes secrets… Viens sur le lit que je te fasse bander avant de te mettre ton petit manteau ».

« C’est un secret, je n’ai pas le droit de le dire… »

« Ça ne fait rien ! Concentre-toi, je ne vais pas te branler jusqu’à demain non plus… Là c’est mieux ! »

Gatien sous la caresse de la fille commençait à avoir une érection plus qu’honorable.

« Tu veux que je te suce ta petite queue mon trésor ? »

« Oui Madame », répondit Gatien un peu vexé. « Vous… Vous la trouvez petite ? Parce que Véronique disait que j’étais ‘’bien monté’’… C’est son expression »

La fille cessa un instant de lécher le sexe du jeune homme.

« C’est qui Véronique ? C’est avec elle que tu as baisée ? » demanda la pute en riant.

« Ben oui ! C’est une amie de ma mère !… » Je ne voulais pas le dire, mais… « Et puis vous ne la connaissez pas ! » dit Gatien en essayant de se justifier.

« Et c’est arrivé comment de dépucelage ? »

« C’est Véronique quand elle est venue à la maison, elle m’a aguiché… Enfin je crois parce qu’elle n’avait pas de culotte et qu’elle a tout fait pour me faire voir ses fesses et son sexe. Elle est très chaude comme on dit. Enfin elle aime ça quoi !… Elle me dit que je suis ‘’un bon coup’’ et que je suis ‘’bien monté’’. Elle ment ? »

« Non mon trésor, elle ne ment pas. En tout cas si c’est vrai ton histoire… C’est bien ce que j’ai toujours pensé, le vice n’est pas chez nous mais chez les bourges. Dépuceler le fils de son amie… »

« Et encore pensait Gatien, tu ne connais pas toute l’aventure… »

« Enfin, ce n’est pas tout, on ne va pas y passer la nuit. Viens que je te suce. Montre-moi que tu es un homme et ce que tu sais faire »

La fille s’empara à nouveau du sexe qui avait légèrement baissé la tête et se mit à le sucer avec un art consommé. Sa langue agile courait sur la hampe de chair jusqu’aux bourses puis revenait vers le gland qui disparaissait alors dans la bouche chaude. La fille noyait de salive toute la verge qu’elle s’enfonçait ensuite jusqu’au gosier, frottant la chair violacée contre son palais. Ses cheveux croulant autour de son visage balayaient le ventre du jeune homme, créant des ondes de frissons qui partaient en cercles concentriques pour se répandre dans tout son corps.
Gatien avait empaumé un sein ferme et jouait avec un mamelon qui bandait doucement. Sa bite était maintenant au comble de l’excitation et la pipe que pratiquait la pute commençait à l’échauffer plus que sérieusement.

« Madame arrêtez s’il vous plaît, sinon je vais décharger avant d’avoir pu vous faire jouir ».

La fille abandonna la verge bien raide après l’avoir couverte rapidement d’un préservatif et se plaça à genoux au-dessus du corps de Gatien.

« Ah ! Parce que tu veux me faire jouir petit ? »

« Ben oui ! Véronique dit qu’un homme, un vrai, devrait toujours faire attention à faire jouir sa partenaire avant lui… Je vais essayer »

« C’est bien ! Tu as raison de suivre ce conseil… Attends »

Prestement elle mit deux doigts dans sa bouche, les mouilla de salive et les porta entre ses cuisses pour humidifier l’entrée du vagin. Puis elle prit le sexe mâle, le redressa jusqu’à ce qu’il touche la fente et doucement s’abaissa dessus. Lentement la queue de Gatien pénétra dans cet antre chaud, mais qui lui semblait nettement moins soyeux, car moins bien lubrifié, que ceux qu’il avait investis jusqu’alors. La fille s’anima, montant et descendant sur un rythme lent au début.
Gatien l’attira contre lui et se mit à lui peloter les seins d’une main tandis que de l’autre il caressait une fesse à la peau de velours. Après quelques minutes de ce traitement la fille se mit à gémir et à simuler un début de plaisir.

« Ah ! Petit salaud, tu as une bonne queue, elle remplie bien ma chatte. Je sens que je vais jouir… Ça vient… Oh c’est bon ! C’est merveilleux ! »

Gatien stimulé par ces mots grivois se mit à bouger sous la fille, forçant sa queue dans le fond du vagin. Bientôt ses couilles trop pleines sollicitèrent sa verge, et le plaisir commença à s’annoncer. La pute sentant la fin arriver accéléra son allure. L’éjaculation vint d’un coup, et Gatien ressentit à nouveau avec un immense plaisir son sperme jaillir dans le ventre d’une femme.

« Bon sang que c’est bon de juter dans une chatte », pensait-il.

Dommage que la fille soit si froide. Gatien s’était bien rendu compte que sa jouissance était simulée, de plus elle avait stoppé ses gémissements dès que lui-même avait joui. Elle se retira et presque aussitôt ôta le préservatif, plein de liqueur blanche, de la verge a demi-débandée.

« Ça y est ! Alors c’était bon petit homme ? »

Quelques minutes plus tard il descendait l’escalier lentement. L’expérience n’avait pas été fameuse. Bien sûr il avait joui dans un sexe de femme, mais la fille n’avait pas participé. Or Gatien, avec le peu d’expérience qu’il avait, se rendait compte que faire l’amour était bien plus agréable lorsque le plaisir était partagé que lorsqu’il ne l’était pas. Finalement la seule différence avec ses plaisirs solitaires c’était le contact de la peau de la fille. C’était tout à la fois agréable et frustrant.

Il commença à redescendre la rue, et tout à coup resta figé sur place. Il venait de reconnaître la fille qui sortait d’un peep-show. C’était Hélène, une amie d’enfance de sa sœur aînée qui partageait souvent les repas de la famille et même la chambre de Maëlys. Il s’approcha d’elle sans se faire voir et lui tapa sur l’épaule. Elle se retourna.

« Gatien mais… Qu’est-ce que tu fais là ? »

« Moi ? Rien ! Je me balade. Et toi ? Ce n’est pas un quartier pour toi ici »

« Pour toi non plus dis donc ! Tu fréquentes les prostituées ou les sex-shops ? »

« Pourquoi ça t’intéresse ? »

« Ben, ouais ! J’aimerais savoir… »

« Et toi tu veux me raconter ce que tu fiches ici !… C’est quand même plus normal de voir des mecs que des nanas dans le coin… Hormis les professionnelles bien sûr »

« Écoutes Gatien, je ne peux pas t’expliquer ça ici !… Il faut que tu me promettes de ne rien dire. Ni à tes sœurs, ni à ta mère, et… Dès que je peux je te promets de tout te raconter… Tiens ! Dès que je couche chez toi, je viendrais te voir dans ta chambre. D’accord ? »

« OK ma coquine. Ne te fais pas de soucis, je ne te trahirai pas. Mais je suis impatient de savoir ton secret, alors ne tarde pas trop… »

« Moi aussi je voudrais savoir le tien ? On échangera hein ? D’accord ? »

En s’éloignant les pensées se bousculaient dans sa tête. Sans savoir ce qu’Hélène faisait là, il devinait qu’elle n’était pas innocente. Était-il possible d’avoir côtoyé pendant si longtemps cette fille si bien foutue sans voir ses perversions ou son attirance pour le sexe.
Comment et pourquoi en si peu de temps il avait découvert que plusieurs des femmes qu’il côtoyait quotidiennement étaient de belles salopes alors qu’il les croyait prudes et innocentes ?

Deux jours plus tard, vers 23 heures, Gatien allongé sur son lit en petite tenue, relisaient les notes prises en cours dans l’après-midi. Il commençait à saturer lorsque deux coups discrets furent frappés à la porte. Presque immédiatement Hélène se glissa dans la chambre.

« Tourne la clé, lui dit Gatien, nous serons plus tranquilles »

Hélène s’exécuta puis vint s’asseoir sur le rebord du lit aux côtés du jeune homme à demi allongé. Elle était simplement vêtue d’un peignoir léger qui semblait avoir la fâcheuse particularité de glisser sur les cuisses veloutées de sa propriétaire. Gatien la regarda un instant admiratif, puis posa sa main sur la cuisse offerte commençant à la masser doucement.

« Alors Hélène chérie fait le trottoir ? C’est une nouveauté, on n’avait pas ça encore dans la famille… Enfin tu es presque dans la famille. Raconte »

« Le trottoir ? Je ne fais pas le trottoir ! »

« Tu faisais quoi alors ? Tu sortais de la messe ? »

« Tu sais Gatien, je ne sais pas si tu es à même de comprendre. Tu as toujours été un peu couvé et protégé de la vie par… »

« Ne t’en occupe pas ! J’en connais plus que tu ne crois. Mais je ne savais pas que maître S… Envoyait ses clercs racoler les clients dans les quartiers chauds »

« Il y a 6 mois que je ne travaille plus à l’étude du notaire. J’ai été renvoyée. Je n’ai rien dit à personne, surtout pas à mes parents ! Seulement à Maëlys, et sans donner de détails, mais pour qu’elle m’héberge un peu plus souvent. Alors il a bien fallu que je me débrouille. C’est une copine qui m’a donné le tuyau du peep-show… »

« C’est ça ton truc ? Tu te fous à poils devant des mecs qui matent derrière une glace ? Mais dis donc, tu dois bien avoir des séances particulières avec massages intimes et tout et tout. Tu as appris ça où ? Moi qui te croyais vierge ?

« Oh non ! Je ne le suis plus. Pas depuis longtemps note bien. Mais par contre, j’ai eu un sacré professeur. Il m’a appris des tas de choses sur le sexe… »

« Oh ! Hélène, s’il te plaît ! Raconte-moi comment ça, c’est passé pour toi les premières fois. Ça m’intéresse »

« Hummmm ! Je ne sais pas si je dois… Mais maintenant que j’ai commencé… Par contre c’est à charge de revanche. Toi aussi tu me raconteras tes premières expériences, hein ? »

« On verra… Je ne sais pas, parce que pour moi, c’est un secret !… Et si je te le disais tu serais bien surprise… Mais vas-y racontes »

« Tu es bien mystérieux… Enfin, tu as de la chance, ça me plaît de raconter… Et bien voilà !

‘’Il y a deux ans mon père, voyant mes résultats scolaires, décida de me mettre en pension chez les sœurs à quelques kilomètres de Nancy. Et en attendant la rentrée, mes parents m’envoyèrent en vacances dans le village d’où est originaire la famille, à la campagne chez Émile et Marthe. Ce sont des gens que mes parents connaissent. Je n’ai jamais bien su s’ils étaient des cousins éloignés ou de simples amis. Là-bas, c’est la cambrousse totale. Il n’y a strictement rien à faire. Je passais donc mes journées avec Armand le fils de la maison qui avait à peu près mon âge, mais qui n’était pas très futé et qui, parce que je venais de la ville me considérait comme une princesse. De mon côté je n’avais pas une grande expérience des hommes. Au début de mon adolescence j’avais eu une expérience plutôt désastreuse avec un gars de mon âge qui m’avait dépucelée en me faisant très mal. Depuis je savais que les garçons s’intéressaient très sérieusement à mon corps et j’avais eu quelques flirts avec des copains qui avaient peloté mes seins et qui m’avaient embrassé maladroitement, mais dès qu’ils mettaient leur main dans ma culotte, je serrais les cuisses, ce qui en avait éloigné plus d’un. Par contre je savais parfaitement me donner du plaisir toute seule, et j’aimais bien ça’’

En chahutant avec Armand dans les champs, je constatais chaque jour que lorsqu’il frôlait mon corsage ou que ses yeux découvraient mes cuisses largement découvertes ou ma culotte, il était comme les autres, excité par mes appâts. Il devenait tout rouge et une bosse se formait dans son short. Un jour, je l’entraînai dans la grange à foin et je lui proposai de nous déshabiller tous les deux. Il accepta et bientôt nous fûmes nus, l’un devant l’autre.

Armand était plutôt gauche et ne savait pas comment se comporter. Je pris l’initiative en lui faisant toucher mes seins puis ma toison pubienne. Sa caresse fut légère et je me mis à frissonner de tout mon corps. Doucement je pris sa verge dans ma main et je la caressai. Elle n’était pas très grosse, mais la peau était douce et je pris plaisir à la serrer doucement tandis que je la sentais palpiter comme un petit oiseau. Tu te doutes bien qu’il ne fallut pas bien longtemps pour qu’elle devienne bien raide. Armand de son côté s’attardait sur mes seins et n’osait pas remettre ses mains sur ma chatte. Je le guidai à nouveau, l’obligeant à enfoncer un doigt dans ma vulve. Il se mit alors à jouer avec mon clitoris tandis que de mon côté je lui caressais le gland avec insistance. Je découvris que la gaine de peau coulissait et par jeu je couvrais et découvrais le bout de sa queue, reproduisant tant bien que mal les gestes de masturbation masculine. Excité comme il l’était, cela ne dura pas ? Je sentis sa bite tressauter dans ma main. Sur le devant la veine se gonfla, et tandis que son visage se crispait, le sperme gicla violemment. Comme nous étions l’un près de l’autre, la jute aspergea mon ventre et coula en longues traînées jusqu’à ma toison. J’étais ravie ! Le sexe ne me faisait plus peur. C’était doux, et pas du tout violent comme la première fois ? Je faisais vraiment connaissance avec la semence mâle. Son odeur poivrée frappa mes narines. Ça sentait rudement bon ! Armand anéanti s’affala dans le foin et sa queue reprit une taille normale. Je m’allongeai près de lui et je me masturbai sans qu’il ose intervenir. En quelques coups de poignet j’atteignis un orgasme tel qu’il me fit presque perdre connaissance.

Ce fut notre première expérience. Nous recommençâmes souvent, mais je ne permis jamais qu’Armand me baisât. Au fil de nos jeux nous avons varié les façons de faire, mais toujours je prenais un vrai plaisir à voir gicler son sperme. Un jour je l’ai même dégusté. Le goût était un peu fort mais pas désagréable du tout.
Ce même jour Marthe, la mère de Armand, était allé au marché et quand nous sortîmes de la grange le père, Émile, m’appela. Il m’emmena dans sa chambre et me dit qu’il nous avait vu faire des cochonneries avec Armand, que j’étais une petite vicieuse, et qu’il devait me punir. Surprise au début par le ton, je décidais par pure perversion de jouer le jeu au lieu de me rebiffer et de lui dire de se mêler de ses affaires. Pour faire bonne mesure, je fondis en larmes ? Il était si impressionnant Émile.

« Ôtes ta culotte » dit-il « et lève ta jupe que je te flanque une bonne fessée »

« À mon âge, me fesser ? » dis-je en commençant à me révolter.

« Tu te conduis comme une gamine, tu dois avoir une punition de gamine…

Je faillis faire demi-tour, mais en quelques secondes je compris qu’il était tout excité. À voir sa braguette, il devait bander comme un cerf. J’avais en face de moi un homme, un vrai, et je ne sus que c’était lui qui allait me guérir de mes frustrations de jeune fille. J’étais un peu honteuse, mais émoustillée par la situation. Je fis comme si je ne pouvais opposer aucune résistance et lentement je m’exécutai. Il m’allongea sur ses genoux et se mit à claquer mon cul nu. Même si je suis assez ronde du postérieur, les premiers coups me firent très mal, et je n’eus pas trop à me forcer pour verser quelques larmes. Mais petit à petit, je commençais à y prendre du plaisir, et je me mis à gémir. Mes fesses me brûlaient, mais je sentais une douce chaleur envahir mon ventre et mon intimité. Bientôt Émile s’en aperçut.

« Petite salope on dirait que je te fais jouir… Tu m’excites… C’est vrai que tu as un beau cul ! Fais voir le reste ! Déshabille-toi »

J’étais dans un état second, proche de l’orgasme. Toujours dans mon personnage, je ne discutai pas et quittai ma robe ? Je n’avais pas de soutien-gorge. Il jura :

« Foutre quel beau petit con que tu as ! Tes nichons sont superbes. Ça donne envie de les toucher »

« Oh oui Émile ! Oh oui », m’écriais-je d’une petite voix.

Il ne se fit pas prier et m’allongeant sur le lit, il me caressa de ses mains calleuses. Puis il se mit à parcourir mon corps à coups de langue, frottant son menton à la barbe dure sur ma peau tendre. J’en avais des frissons partout. Il se mit nu lui aussi. Sa bite était grosse, dure et noueuse, pas comme celle de son fils, une vraie bite d’homme ! Il me la mit dans la main, et je la trouvais merveilleuse.

« Branle-moi petite cochonne, branle ma bite » me dit-il.

« Mais je ne sais pas ! Que faut-il faire ? » dis-je hypocritement.

« Comment tu ne sais pas ? Et qu’est-ce que tu faisais à Armand tout à l’heure ? »

Sans insister je me mis à faire coulisser la peau sur le gland avec application. Lui me caressait la chatte et frottait mon clito avec insistance. Je trouvais ça bon et je le lui dis.

« Tu vas voir, je vais y mettre mon gros dard, ça va encore être meilleur. Écarte les cuisses… Plus que ça… Attends j’arrive ! »

Il s’allongea sur moi, présenta le bout de sa queue à l’entrée de ma fente et s’introduit dedans. Au début ce fut facile, car j’étais bien humide à cet endroit. Puis il s’arrêta gêné par l’étroitesse de ma petite chatte à demi-vierge. Mais presque aussitôt il poussa un grand coup et je ne ressentis qu’une légère douleur. Alors il enfonça sa queue jusqu’à la garde et se mit à limer avec force, faisant entrer et sortir le pieu de chair qui m’empalait la chatte. Je le sentais bien. Il était rudement monté l’Émile, tu sais. Ses couilles énormes, bien gonflées de sperme venaient taper sur mon petit cul. Il m’avait pris les fesses d’une main et son doigt titillait mon anus tandis que de l’autre il caressait un sein. Je sentais une forte chaleur m’envahir. Il me disait des mots obscènes :

« Petite femme, je te baise. Tu sens ma pine bourrer ta chatte. Quelle salope ! Tu es de la race que je préfère, celle qui aime le cul… Et la bite des vrais hommes. Je sens que tu vas jouir. Ton foutre va couler sur ma bite et sur mes couilles. Ouiiii… Tu jutes bien, c’est bon : »

J’avais en effet un orgasme géant. Je n’avais jamais joui de la bite d’un homme auparavant, et je me libérais sans doute de toutes les frustrations accumulées depuis mon dépucelage. Je me tordais de plaisir sous le corps d’Émile qui, bien que résistant, eu du mal à contenir sa propre jouissance. Mais presque immédiatement après la fin de mon orgasme, il se retira de ma chatte et tenant sa queue à l’horizontale au-dessus de mon ventre, il se masturba quelques secondes et soudain il éjacula. Je vis sortir par la petite bouche de sa bite de longues giclées de sperme qui retombait sur mon ventre. Deux ou trois plus violentes que les autres, qui atteignirent même mes seins. Finalement les dernières gouttes vinrent mouiller ma toison. Émile avait les yeux fermés et le visage crispé par la jouissance. Il soufflait très fort et serrait sa verge qui restait bandée.

« Oh quel pied ! J’imagine ce que ça aurait été si j’avais pu éjaculer dans ton petit con… Mais il ne faut pas faire de bêtise hein ? » ajouta-t-il en essuyant son gland dans mes poils.

« Tu veux te laver ? »

« Non, non ! C’était trop bon, je la garde » dis-je en étalant le sperme sur ma peau.

« Mais tu es une petite salope », dit-il l’oeil égrillard. « Qui t’a donné le goût du jus de corps d’homme? »

« Personne… Enfin, sauf celui d’Armand auquel j’ai goûté. Mais c’est la première fois que je baise vraiment »

« Dis donc tu n’étais pas vierge ? » dit Émile un peu offusqué.

« Non, je l’avais fait seulement une fois avant. Mais j’ai eu très mal alors… Cette fois-ci c’était bon… »

« Tu as aimé ma queue ? Eh bien on recommencera quand tu voudras ! »

En fait on n’a pas recommencé souvent. Parce qu’il fallait d’abord que Marthe soit absente. Mais aussi parce qu’Armand, qui nous avait vus dès la première fois, exigeait sa part contre son silence. Plus question de le satisfaire juste avec une branlette. Il voulait aussi me baiser. Après le père qui me faisait jouir comme une folle, je devais subir les assauts maladroits du fils qui ne me faisait rien du tout. Souvent d’ailleurs, il était tellement excité de nous avoir regardés qu’il déchargeait presque aussitôt après avoir introduit sa petite queue dans mon vagin. Je détestais ces séances frustrantes qui m’ôtaient tout le plaisir que j’avais de faire l’amour avec Émile. Par contre lui devait le savoir, et ça ne lui déplaisait sans doute pas que son héritier boive au même calice que lui. J’avais été obligée d’aller dare-dare au bourg voisin pour avoir la pilule car si le père se préoccupait des conséquences et savait se retirer à temps, le fils était incapable de se contrôler. Je dois dire cependant que je me pliais très volontiers à cette petite contrainte car elle me permettait aussi de recevoir les giclées puissantes de la grosse bite d’Émile dans mon ventre. C’était un délice, et même si j’avais déjà joui plusieurs fois, chaque fois qu’il éjaculait en moi, j’avais un nouvel orgasme. Au total, je ne l’ai fait que quatre fois avec Émile. Mais en quatre fois il m’a tout appris. Aussi bien les meilleures positions que les caresses et les manières de faire jouir. Il m’a appris à bien sucer un homme, à le branler, à le faire jouir. Il m’a montré aussi comment jouir en me faisant lécher la chatte. Moi qui aimais déjà beaucoup le sperme, il m’a fait aimer le boire, l’avaler comme une liqueur… Bref tout quoi… Sauf une chose. Il n’a jamais voulu m’enculer. Il avait peur de me faire mal. Je suis très serrée de ce côté-là et il était vraiment trop gros pour moi.

« Voilà, Gatien !… Oh mais dit donc tu as vu l’heure ? Il est temps que je m’en aille. Maëlys va s’inquiéter et se demander où je suis »

« Attends-tu ne peux pas me laisser comme ça ! Tu m’as complètement excité avec ton récit, fais quelque chose » dit Gatien en sortant sa bite bien bandée de son pantalon de pyjama.

Tout le temps qu’avait duré le récit d’Hélène, il lui avait caressé la cuisse, remontant jusqu’à l’aine où il avait fourragé dans la toison sans vraiment aller plus loin, de peur que la fille ne s’arrête de raconter. Celle-ci semblait perdue dans ses souvenirs, et si une certaine excitation s’était manifestée à leur évocation, elle n’avait pas vraiment prêté attention à Gatien.
Revenue sur terre, elle se rendit compte immédiatement de l’excitation du jeune homme.

« Oh ! Gatien… »

« Comment tu la trouves ? » demanda le garçon en exhibant son braquemart.

« Pas mal ! Ce n’est pas celle d’Émile, mais c’est pas mal… »

« Hélène. On baise ? Je n’en peux plus moi… »

« Non Gatien, pas ce soir. Une autre fois je te le promets, mais là il est trop tard… »

« Pendant que tu discutes on perd son temps, viens »

« Non attends ! Je n’aime pas baiser à la va-vite, mais je vais faire quelque chose pour toi »

Hélène se penchant alors sur le ventre de Gatien prit sa verge en bouche et se mit à lui administrer une magnifique fellation. Il ne lui fallut qu’une minute pour arriver au résultat. Lorsque le jeune homme déchargea, elle ne se retira pas, et avala toute la sauce, léchant le gland pour enlever jusqu’à la dernière goutte de sperme.

« Voilà mon chéri ! Tu es content ? »

« C’était merveilleux ! Tu suces comme une déesse », dit Gatien qui avait magnifiquement joui dans cette bouche si chaude à la langue si agile. « Tu t’en vas ? Tu reviendras ? Tu n’as pas fini de me raconter. En particulier ce que tu fais dans ce peep-show… »

« Je reviendrai Gatien, pour ça, mais aussi pour que tu me racontes tes expériences à toi… Et puis aussi pour faire l’amour avec toi comme je te l’ai promis… Je tiens toujours mes promesses !

À suivre…
MC

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