Résumé :
Gatien, jeune homme timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique par deux femmes plus âgées que lui. Comme il ne peut obtenir d’elles de quoi satisfaire entièrement sa libido, il décide d’avoir recours aux amours tarifées. En sortant il rencontre Hélène, une amie de sa sœur Maëlys qui lui raconte comment elle a été dépucelée à la campagne. Hélène continue à raconter ses souvenirs.
Gatien poursuit sa quête érotique ! Partie 1
Gatien n’eut pas longtemps à attendre pour voir revenir Hélène. La jeune fille ressentait un trouble étrange à l’idée de raconter ses souvenirs amoureux. Perverse, elle avait pris du plaisir à vivre des aventures assez corsées. Les raconter lui procurait une nouvelle sensation, d’autant qu’elle était tout à fait consciente de l’effet qu’elle produisait sur le jeune frère de sa copine. Mais ce soir-là, lorsqu’elle fut entrée dans la chambre de Gatien, ce dernier lui demanda immédiatement de s’allonger sur le lit et d’ouvrir le peignoir qu’elle avait mis pour traverser le couloir.
« Tu veux me voir nue pendant que je raconte ? »
« Non, je veux qu’on baise avant ! La dernière fois, après on n’a pas eu le temps ! »
« Oui mais ce soir je ne suis pas pressée du tout ! »
« Eh bien on baisera avant et après ! Allez Hélène soit sympa ! »
Hélène s’exécuta de bonne grâce, ravie de l’insistance du jeune homme et contente de faire l’amour. Elle avait un corps merveilleux. Ses cuisses pleines et dorées encadraient un joli minet châtain clair qui laissait dépasser un clitoris de bonne longueur.
« Tu veux qu’on fasse un 69 avant ? » demanda-t-elle.
« Non je suis trop excité ! Je risque de t’éjaculer dans ta bouche »
« Ça ne me dérange pas tu sais ! »
« Je sais. Tu m’as sucé à fond la dernière fois, mais c’est dans ta chatte que je veux jouir ! C’est ça qui me manque, une bonne chatte bien tapissée de mouille ! »
Hélène s’allongea, releva largement les cuisses et écarta elle-même l’entrée de son sexe. Gatien admira un instant le vagin offert, dans lequel il allait plonger avec délices, puis il s’allongea sur la fille sans guider sa queue. Il oscilla ses hanches pour trouver l’orifice, le gland hésita un instant , puis d’un seul coup, s’enfonça profondément, arrachant un gémissement de bien-être à sa partenaire. Tandis que Gatien commençait son va-et-vient, Hélène ferma les yeux en savourant.
« Oh Gatien ! C’est bon ta queue tu sais. Elle emplit ma chatte. Je la sens bien à chaque fois que tu la rentres. Tes couilles tapent sur mes fesses. Vas-y, accélère ! Ah ! C’est super, ça vient chéri, ça vient ma jouissance ! Ma cyprine va gicler… Ouiiiii… »
En quelques minutes Gatien avait réussi à faire jouir Hélène qui devait déjà être bien excitée en arrivant. Elle se tordait sous lui, gémissante et brûlante. Son plaisir était si fort que des larmes coulèrent le long de ses joues stimulées par cet orgasme, Gatien ne fut pas long à se lâcher lui aussi. Son sperme inonda la chatte palpitante, augmentant le plaisir de la jeune fille. Lorsque le plaisir fut apaisé, Gatien se redressa sur les genoux entre les jambes toujours écartées de son amante. Son sexe, luisant ce sperme et de mouille, conservait une certaine raideur. Il regardait le sperme qui coulait lentement du sexe encore ouvert de la jeune fille, se perdant dans la raie des fesses. Ni l’un ni l’autre n’avait envie de faire disparaître les traces de leur jouissance, et Hélène prit un malin plaisir à recueillir un peu de jute en s’introduisant un doigt, puis à le porter à sa bouche pour le sucer avec un air gourmand.
« Allez, maintenant racontes la suite ! » dit Gatien.
Voilà ! Comme je te l’ai raconté la fois précédente, c’est Émile qui m’a tout appris sur le sexe et qui m’en a donné le goût. J’adorais sa bite énorme et j’avais vachement pris goût au sperme. Mais quand les vacances furent terminées, il fallut rentrer à Nancy. Plus d’Émile ! J’ai repris mes masturbations solitaires, mais elles paraissaient bien fades. En septembre je suis rentrée au pensionnat où je me suis liée d’amitié avec Laura. Très vite nous sommes devenues intimes. Je lui confiais mes expériences avec Émile et ma frustration de ne plus pouvoir sentir sa grosse queue en moi. Elle m’avoua de son côté qu’elle avait été dépucelée par un palefrenier de son père dans un box d’écurie, et qu’elle en avait gardé un souvenir ému. Pour nous consoler nous eûmes recours aux pratiques lesbiennes. Le soir elle venait me rejoindre dans mon lit. Et là nous nous faisions mutuellement jouir en nous broutant le minou ou en nous astiquant notre petit bouton. Laura masturbait à merveille et pouvait me donner des orgasmes plusieurs fois de suite. Elle léchait aussi très bien et il m’est arrivé souvent de jouir plusieurs fois de suite par l’action de sa langue. Nous avions même fauché des cierges à la chapelle pour nous en servir de godemichés. Mais ce n’est pas ce que je préfère, le contact de la peau c’est quand même mieux. Un soir Laura arriva toute excitée dans mon box, elle avait trouvé quelque chose de nouveau :
« Écoutes », me dit-elle ! « Aujourd’hui je suis allée chez l’Abbé pour chercher des livres pour la sœur Marie Jacques. Il m’a fait asseoir en attendant. Je ne sais pas ce qui m’a prise, mais j’ai relevé ma jupe jusqu’à mi-cuisses et j’ai posé mon pied sur le barreau de la chaise. Comme il était à genoux par terre pour chercher dans le fond de l’armoire, en se retournant il a eu une vision sensationnelle sur mes cuisses et sur ma petite culotte. Il est devenu rouge pivoine mais il n’a rien dit. Je me suis levée et je me suis approchée de lui :
« Je peux vous aider Monsieur l’Abbé ? »
« Oui » me dit-il. « Je n’ai pas trouvé en bas. Tiens cherche là-haut! »
Je ne me suis pas fait prier et je me suis perchée sur un tabouret. Je me penchais bien en avant en m’appuyant sur la bibliothèque pour faire saillir ma croupe. J’ai jeté un coup d’oeil sous mon bras et j’ai vu qu’il s’était baissé et regardait sous ma jupe. En descendant j’ai fait semblant de trébucher, et il m’a retenue dans ses bras. Mon sein était dans sa main comme par enchantement et ma hanche appuyée contre lui me faisait deviner que sa pine était bien raide sous sa soutane. Je suis restée un moment sans bouger, et puis lentement je le suis dégagée.
« Excusez-moi Monsieur l’Abbé je dois retourner en cours… Mais je reviendrai… »
« Pour les livres ? »
« Non j’aimerais bien parler avec vous ! » Et je me suis sauvée.
« Tu t’attaques à l’abbé maintenant ? Mais il a un ventre de chanoine et au moins la quarantaine »
« Et alors ? Il a 45 ans ! À cet âge-là un homme est en pleine forme : c’est l’époque du démon de midi. Et de plus, c’est le seul homme qui vit entre ces quatre murs. À part le jardinier mais qui est encore plus vieux. Alors j’ai pensé que se lécher le minou c’était bien, mais que ça ne valait pas un bon coup de queue. Tu veux en profiter ? Toute seule j’ai un peu peur, mais avec toi, je ferais n’importe quoi. On va le voir sous un prétexte quelconque, et on se le fait, d’accord ? »
« Après tout, tu as raison ! Ce dont j’ai besoin c’est une bonne bite dans ma fente ! Qu’importe à qui elle appartient ! Émile n’était pas beau ni jeune non plus, et pourtant j’ai vachement joui avec lui ».
C’est donc ce que nous avons fait ! Un jeudi après-midi nous avons demandé la permission de voir l’Abbé pour qu’il nous éclaire sur un point de théologie. Je crois que nous avions choisi St Augustin. Cela nous fut accordé sans discussion. Le reste du pensionnat partit en promenade, et nous nous sommes retrouvées toutes les deux chez l’abbé, assises bien sagement sur des prie-dieu.
« Alors mes enfants qu’est-ce que cette histoire ! St Augustin vous préoccupe ?
« C’est que… Dit, Laura. En fait nous aimerions vous parler d’abord d’un autre problème, Monsieur l’Abbé ! D’un problème de jeunes filles… »
« Je vous écoute mes filles ! Si je peux vous être utile ! »
« Voilà mon Père ! Depuis un mois environ, Hélène et moi nous nous donnons mutuellement des caresses qui nous rendent toute bizarre et nous font un bien divin ! Est-ce un péché grave ? »
« Je… Cela dépend ma fille… Cela dépend de ce que vous faites. Précisez ! Racontez ! Comment ça se passe… Qu’est-ce que vous faites ? »
L’Abbé était devenu rouge comme une pivoine et se tortillait sur sa chaise.
« Eh bien voilà mon Père. Le soir nous nous retrouvons dans le même lit, et nous nous caressons mutuellement.
« Précisez, précisez ! Quelles parties du corps ? »
« Monsieur l’Abbé, je n’ose pas ! Les mots sont crus vous savez… »
« Cela ne fait rien. Un prêtre peut tout entendre. Dites-moi tout ! Il m’est impossible de juger si je ne sais pas ce que vous faites exactement ».
« Eh bien nous nous caressons les seins jusqu’à ce que les mamelons soient bien durs. Et puis nous nous caressons entre les cuisses, là où nous avons des poils. On insiste bien sur notre petit bourgeon de chair. Vous savez ? On appelle ça le clitoris. Eh bien quand on insiste il durcit ! Si c’était une bite, on dirait qu’il bande. Et puis nous nous mettons les doigts dans la fente et ça nous fait devenir tout humide… Ou alors nous nous léchons mutuellement le petit bouton et la petite fente, en nous mettant tête-bêche jusqu’à ce que nous ayons du plaisir. Et puis vraiment quand nous pensons trop au sexe d’un homme, nous utilisons des cierges pour nous remplir notre petite chatte, mais ça nous laisse sur notre faim car rien ne peut remplacer une vraie bite, hein Monsieur l’Abbé ?
L’Abbé était devenu apoplectique.
« Je… Huuuuum… Et toi Hélène, qu’as-tu à me dire ? »
« Moi ? Rien de plus ! Je me doute que vous trouvez que c’est mal. Mais je dois dire pour ma défense qu’elle a un si beau petit cul… Et si doux au toucher… Regardez Monsieur l’Abbé, après vous pourrez mieux juger… »
Je fis lever Laura et je la fis tourner sur elle-même pour présenter son dos au prêtre. Puis je relevai sa jupe de pensionnaire et je baissai sa culotte à mi-cuisses. L’Abbé était violet !
« Touchez, Monsieur l’Abbé ! Touchez ! Si vous ne touchez pas vous ne pouvez pas vous rendre compte de la force de la tentation ».
Complètement subjugué par la vision de rêve l’homme avança la main légèrement pliée en forme de coupe jusqu’à la croupe offerte. Perverse, mon amie avait écarté les cuisses malgré la culotte qui l’entravait, ce qui fait que l’Abbé eut les petites fesses dans la paume, mais que ses doigts furent immédiatement en contact avec la belle chatte toute chaude. Laura, se pencha en avant et tortilla langoureusement des fesses. Maintenant l’Abbé s’enhardissait et s’échauffait en caressant à pleine main les fesses, la raie culière et le sexe offert. Je le vis même introduire son majeur dans la fente de Laura qui devait, à son habitude, se lubrifier rapidement.
« Oh ! Monsieur l’Abbé, gémit Laura. Continuez, vous aussi vous me faites du bien. Votre doigt là… »
« C’est vrai qu’elles sont belles et douces tes fesses. Mais celles de ton amie, comment sont-elles ? » demanda soudain l’Abbé qui s’enhardissait de plus en plus.
« Aussi douces. Mais il faut que vous puissiez comparer ! Nous allons nous mettre nues, vous pourrez mieux apprécier » En un tournemain nous étions nues. Je m’avançai vers l’Abbé.
« Tenez jugez vous-même ! Mettez vos doigts dans ma chatte, vous verrez que je suis une vicieuse, c’est déjà tout trempé de cyprine. Et mes seins sont durs… Monsieur l’Abbé devrait goûter mon minet avec la bouche, ça serait mieux »
Je le pris par la main et l’attirai sur le divan où je m’allongeai cuisses ouvertes ? Il s’assit près de moi et se penchant, le brouta la motte à grands coups de langue rapeuse. Pendant ce temps, Laura déboutonnait la soutane et sortait d’un caleçon rapiécé une grosse bite noueuse et bien bandée et deux couilles qui semblaient bien lourdes et bien pleines.
« Oooooooh ! Monsieur l’Abbé ! La bite que vous avez là ! Mais c’est le glaive de Dieu… Attendez, il y a une goutte qui perle au bout. Il ne faut pas la perdre. Laisser moi m’en occuper »
Sans attendre Laura passa une langue mutine sur le bout du vit du curé et recueillit la perle de liquide. Puis elle emboucha complètement le gland et se mit en devoir de lui tailler une belle pipe. Il gémit et me mordit légèrement le clitoris. Il semblait apprécier l’action de mon amie et tendait son ventre vers son visage, enfonçant son engin assez loin pour faire hoqueter Laura qui commençait à étouffer. Pour lui venir en aide et surtout parce que j’avais vraiment envie d’essayer ce gros mandrin dans ma petite chatte, je me redressai et dit :
« Mon jeune con brûle Monsieur l’Abbé ! J’ai besoin d’une bonne pine pour l’apaiser ! Allongez-vous s’il vous plaît ! » Il s’exécuta et je me mis tout de suite à cheval au-dessus de son bassin. Laura d’une main experte dirigea le bout turgescent de sa grosse queue vers l’entrée de mon petit minet. Dès que je sentis qu’il était en place je m’assis et m’empalai carrément dessus. L’Abbé plaça ses mains sur mes hanches et m’aida à monter et descendre le long de sa colonne de chair. Vicieuse, Laura avait mis sa main entre nos deux corps et pelotait les couilles de mon amant en même temps que mon cul et mon clitoris, dans le but d’augmenter notre plaisir.
« Ah ! Monsieur l’Abbé, je l’ai déjà dit, quelle bonne queue que vous avez ! Elle remplit bien ma chatte. Ah ! Le salaud, il me fait jouir avec son gros vit. Je baise un curé, c’est dément »
« Oui, petite salope ! Toi aussi tu me fais jouir ! Tu baises déjà rudement bien ! Tu tortilles du cul comme une pute, et ton foutre coule sur ma bite. Et ta copine qui nous fourre sa langue dans les parties génitales chaque fois qu’elle le peut. Vous êtes rudement vicieuses pour votre âge ! Je n’ai pas mieux quand je vais au bordel »
« Oh oui, nous sommes vicieuses hein l’Abbé ? Alors profites-en, tu vas éjaculer dans mon jeune con presque neuf, vieux cochon ! Baiser des jeunes filles quand on est curé, vous n’avez pas honte? »
« Non, je n’ai pas honte ! Curé oui, mais homme aussi. Je ne vous ai pas forcés ? C’est vous qui êtes venus me chercher, non ? Et puis c’est bon de baiser ! Un trou c’est un trou, et le tien est tout chaud et tout gluant de mouille et je vais décharger dedans ! Mais tu jouis, petite salope ! Tu jouis ! Je sens ton foutre chaud qui recommence à gicler et ton petit con se serre sur ma bite. Attends, moi aussi je vais éjaculer. Tiens, tiens salope, je te pistonne pendant que tu jouis. Aaaah ! La jute ! Ma jute qui vient ! C’est ce que tu voulais hein petite vicieuse ! Aaaah ! Bon Dieu comme c’est bon ! Tu sens mes giclées de sperme dans ta petite chatte ?
Je ne pus répondre, anéantie par le plaisir. L’Abbé sous moi donnait de violents coups de cul, et sa verge lâchait des flots de sperme qui me frappaient la matrice. Mais sur un coup de reins plus violent, sa verge qui mollissait dérapa de mon vagin trop bien graissé, et la giclée s’échappa dans la raie de mes fesses. Aussitôt Laura qui n’attendait que ça, et qui était idéalement placée, s’empara de la pine du prêtre. Elle l’engloutit et suça avec frénésie, avalant les dernières gouttes qui s’échappaient encore du méat. Je roulais de côté et me mis sur le dos. Mon vagin dans le mouvement commença à expulser le sperme qui coula entre mes fesses en une longue traînée gluante pour tomber sur le couvre-lit rapé. Laura, pendant ce temps continuait à sucer le gland tout juteux de l’Abbé. Celui-ci sans doute stimulé par notre jeunesse, ne mit que quelques minutes à retrouver une belle érection.
« À moi maintenant Monsieur l’Abbé ! » elle s’allongea sur le lit, cuisses écartées dans une position hautement impudique, étalant sa chatte aux yeux de l’homme qui se jeta sur elle, dirigea son gland vers sa cible et la pénétra avec un « han » de bûcheron. Laura gémit :
« Bon sang l’Abbé, vous me percez d’outre en outre aurait dit mon arrière-grand-mère. D’un seul coup vous avez embroché mon petit chat si délicat ! Faites-vous de même avec les bonnes sœurs ? Hein ? Avouez que vous en besognez une de temps à autre ? »
L’Abbé qui limait violemment mon amie tout en lui pelotant les seins, hoqueta :
« Trop vieille ! Elles ne sont que deux à avoir moins de soixante ans, et elles ont dû servir dans un bousbir à légionnaires car elles ont des cons comme des portes de grange ».
« L’Abbé, comme vous parlez de ces femmes qui vous rendent un signalé service ! Vous êtes méprisants et injustes ! Vous les trouvez indignes de votre virilité ? N’empêche que vous leur mettez le petit Jésus… Ou plutôt le gros Jésus, dans la crèche, cochon ! Mais si elles sont si larges, ça doit te changer alors mon petit con bien serré, hein l’Abbé ? »
« Ah oui alors ! »
Cela dura quelques minutes, puis Laura se mit à jouir comme une folle. Elle avait orgasme sur orgasme. Moi je les contemplais en me massant le clitoris. Enfin l’Abbé déchargea dans la chatte de Laura avec tant de force qu’il faillit s’évanouir de plaisir. Nous avons gardé l’une comme l’autre le sperme de l’Abbé dans nos chattes ? Une bonne partie vint tacher notre petite culotte, mais le soir lorsque nous nous sommes retrouvées, notre 69 presque traditionnel avait un fort goût de jus de sperme car nos chattes étaient encore engluées. J’avoue que j’ai pris goût au sperme en léchant le puits d’amour de ma copine encore plein des sécrétions séminales de l’Abbé.
Pour ce jour-là ce fut tout. Mais tout le reste de l’année, deux fois par mois nous sommes retournées chez lui, et nous avons recommencé nos ébats. Mais un jour, un peu avant la fin des classes, la Mère Supérieure nous surprit, et nous fûmes renvoyées toutes les deux. Mon père, plus ou moins averti par le pensionnat de mon indiscipline et de la propension à aimer particulièrement le vice, décida alors de me faire travailler, et je me retrouvai chez maître S….
« Bon, ça suffit pour l’instant, dit Gatien. Tu m’as encore mis dans un bel état avec tes histoires. Tu as vraiment le diable au corps, dirait grand-mère ; te faire baiser par un curé ! Ça doit être un bien gros péché ! J’en bande très fort ! Et même si tu m’as fait déjà jouir ce soir, je commence à avoir un peu mal aux couilles tellement elles sont pleines. Allez, maintenant il faut vider ce que tu as si bien rempli. Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de te prendre en levrette.
« Avec plaisir ! Moi aussi a m’a excitée de raconter mes souvenirs ! »
Hélène s’exécuta et présenta son magnifique cul de pouliche et son sexe déjà trempé de cyprine au jeune homme. Celui-ci commença par caresser les jolies petites fesses en titillant le petit anneau brun qui lui sembla bien souple.
‘’Tiens’’, se dit-il, il faudra que j’essaye de l’enculer, ça doit être bon aussi. Puis il pelota la motte dans tous ses détails avant d’introduire deux doigts dans sa fente. Il les fit aller et venir pendant un moment, puis les porta à sa bouche pour les lécher.
« Baise-moi Gatien ! Baise-moi ! Tu m’as promis ta queue ! Vas-y je n’en peux plus ! Oh ! Oui, je sens le gland qui est au bord ! Oui, pousses, ça rentre, ça m’emplit le vagin ! Vas-y lime, maintenant. Là, c’est bien vas-y ! »
Gatien, tenant Hélène aux hanches avançait et reculait, entrant à chaque poussée sa queue jusqu’à la garde dans le vagin de sa partenaire. Son bas-ventre butait à chaque coup de queue sur les fesses charnues. Il s’allongea sur le dos de la jeune fille, et s’empara des seins qui ballottaient au rythme de la copulation. Le con de Hélène était si juteux que le sexe de Gatien glissait hors de la gaine de peau à chaque fois qu’il reculait un peu trop loin. Chaque poussée vers l’avant provoquait un petit bruit obscène qui excitait les jeunes gens. Bientôt Hélène, qui était naturellement prompte à jouir, se mit à gémir, commentant en termes crus l’arrivée de son orgasme.
« Gatien mon chéri, ça vient ma jouissance ! Oui, vas-y, pistonne-moi la chatte. Oui, c’est bon ! Elle est bonne ta queue ! Je jouis ! Tu sens mes seins qui durcissent ! Je vais jouir, mais retiens-toi mon amour, je veux te sucer après et boire tout ton sperme… Ça y est, je jouiiiii ! Baise-moi, baise-moi, je te dis ! Plus fort ! Ouiiii ! »
Le garçon, admirablement continent malgré l’excitation que lui procurait la chatte en folie, continuait ses allées et venues dans la moule qui mouillait terriblement. Hélène jouissait sans retenue, son corps tout entier participait à l’orgasme. Enfin la tempête s’apaisa, et la jeune fille fut en mesure de tenir ses promesses.
« Viens mon chéri ! Maintenant que tu m’as bien fait jouir, c’est à mon tour. Je vais te sucer la queue et tu vas bien jouir dans ma bouche. Couche-toi sur le lit pour que je sois bien à l’aise pour te pomper le nœud ! »
Gatien s’exécuta. Il présentait à la voracité de Hélène son membre bien raide qui battait déjà convulsivement la mesure prête à éjaculer. Elle prit ce pieu de chair en bouche et ses lèvres l’entourèrent avec douceur, tandis que sa main caressait doucement les glandes gonflées prêtes à éjecter leur épaisse semence. Gatien ne voulait pas rester inactif. Il se mit donc à caresser la chatte et le cul qu’Hélène lui offrait en écartant largement les jambes tournées vers lui. Hélène pratiquait une véritable copulation avec le sexe du jeune homme. Elle s’enfonçait la verge jusqu’à ce que le gland touche le fond de son gosier, puis elle remontait jusqu’au gland qu’elle gratifiait de petits coups de langue à chaque passe. Elle fut bientôt récompensée de ses efforts. La verge se mit à remuer, battant au rythme du sang qui affluait un peu plus. La veine se gonfla et une giclée de sperme frappa le fond de sa gorge avec force. Hélène remonta précipitamment, ne gardant que le bout entre ses lèvres, de manière à laisser suffisamment de place pour conserver le maximum de sperme en bouche. Les gouttes chaudes et épaisses se succédaient sur un rythme accéléré, et Hélène due déglutir et en avaler une bonne partie. Malgré ses lèvres closes, sa bouche était trop pleine et un peu de sperme coula à chaque commissure vers son menton. En dépit de la difficulté qu’il y avait à garder la bouche pleine de sperme, Hélène ne se privait pas de passer sa langue sur la base du gland de son amant afin d’augmenter son plaisir. Enfin l’éjaculation ralentit, les giclées se firent moins violentes, puis cessèrent. Hélène put savourer la semence mâle qu’elle avait en bouche avant de l’avaler par petites doses.
Quelques minutes plus tard, Gatien reprit ses esprits sous le regard amoureux de sa compagne.
« Alors mon Gatien chéri, tu as bien joui ? Ton éjaculation était vachement bonne tu sais ? »
« Tu en as encore sur la joue. Viens que je te nettoie »
Gatien embrassant tendrement celle qui venait de lui donner tant de plaisir, et lécha d’une langue amoureuse le sperme qui maculait la joue.
« Allez, maintenant termine ton histoire ! »
À suivre…
MC
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