Résumé :
Gatien, jeune homme timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique par deux femmes plus âgées que lui. Comme il ne peut obtenir d’elles de quoi satisfaire entièrement sa libido, il décide d’avoir recours aux amours tarifées. En sortant il rencontre Hélène, une amie de sa sœur Maëlys qui lui raconte comment elle a été dépucelée à la campagne puis ses exploits au pensionnat d’où elle est renvoyée. Hélène continue à raconter ses souvenirs.
Gatien poursuit sa quête érotique ! Partie 2
Chez Maître Arthur j’ai commencé à travailler comme dactylo. Dès le début je vis que je ne laissais pas mon patron insensible. Il louchait sur mes cuisses chaque fois qu’il pouvait et me demandait souvent de me pencher, pour lire par exemple, afin de pouvoir plonger son regard dans mon décolleté et reluquer mes seins. Il faut dire que je ne faisais rien pour le dissuader, au contraire. Je ne mettais pas de soutien-gorge pour que mes seins jouent librement sous mon chemisier et que l’on puisse deviner le disque un peu plus sombre de mes mamelons dans la transparence. Comme je suis assez sensible des tétons, le frottement du tissu avait tendance à les faire se dresser. Ça marque suffisamment le tissu pour que personne ne puisse ignorer que je n’ai pas de soutien-gorge. Pour le bas, je mettais toujours des jupes assez courtes et amples pour qu’elles puissent danser autour de mes hanches. Au gré de mes mouvements je savais qu’on voyait le haut de mes cuisses et même parfois mes fesses.
Un soir il me demande de rester après l’heure. Lorsque tous furent partis, il m’appela près de lui, et là, sans attendre, il glissa sa main sous ma jupe. Depuis le pensionnat, où je faisais ça par provocation, il m’arrivait fréquemment de ne pas porter de petite culotte. C’était le cas ce jour-là ! La main de mon patron commença par peloter la partie charnue de mes fesses, et ses doigts se glissèrent sans obstacle dans ma raie pour chatouiller avec insistance mon petit trou le plus intime. En tout cas c’est comme ça que ma mère le définissait. Je pensais qu’il en profiterait pour me tripoter la chatte, mais il n’en fit rien, ce qui me surprit un peu. Émile et l’Abbé n’avaient pas dédaigné mon anus, mais ils s’étaient surtout régalés de ma chatte.
« Mais Hélène, tu n’as pas de petite culotte? »
« Non Maître, je n’en porte plus depuis le pensionnat. J’aime me sentir libre sous ma jupe »
« Voyez-vous ça ! Petite vicieuse, tu m’excites ! Quel joli cul ! J’aurais bien envie de te faire des choses. Mais je ne veux pas te forcer ! Je ne veux pas d’ennuis. Si ça ne te plaît pas, dis-le de suite »
« Oh ! Maître, je vous en prie je ne demande que ça ! J’aime faire des choses comme vous dites et je crois que je suis faite pour ça ! Mais je ne suis pas sûre de vous plaire »
« Montre-moi tes fesses »
Sans hésitation j’appuyai mes coudes sur le bureau pour cambrer mon cul que je mis à nu en relevant ma jupe.
« Quel joli postérieur ! J’ai bien envie de t’enculer ma petite ! »
« Mais je n’ai jamais fait ça ! Ça doit faire trop mal ! Votre sexe doit être très gros ! »
En disant ça, j’avais jeté un coup d’oeil sur la bite de mon patron. Elle était assez longue, mais finalement pas très grosse, ce qui limitait les risques. Mais je savais déjà qu’un homme est très fier lorsqu’on lui dit qu’il a un gros sexe.
« Tu n’as jamais eu de bite dans le cul ? Raison de plus pour essayer ! Dis le notaire. Un cul vierge quel régal ! Je vais me faire un plaisir de te dépuceler de ce côté. En plus tu ne risques pas de conséquence fâcheuse par ce trou-là. Ne te fais pas de souci, je vais prendre quelques ménagements bien que j’aie drôlement envie de te forcer à sec ! »
Tirant un tube du tiroir de son bureau, il s’enduisit la verge d’une pommade incolore, puis il vint vers moi. À sa demande j’écartais les fesses de mes deux mains, présentant mon anus à sa verge tendue. Je sentis le gland se poser à l’orifice sur lequel il pesa sans ménagement. Mes chairs après une courte résistance s’écartèrent pour laisser entrer le gland turgescent. J’eus un peu mal mais pas trop. Puis d’un coup je sentis sa longue queue entrer en moi.
« Branle-toi, dit-il. Ça anesthésie la douleur »
Je trouvai l’idée excellente, et je massai mon bouton de chair. Effectivement la douleur s’atténua. Derrière moi, mon patron s’animait et s’excitait très vite.
« Ah la petite salope, je t’encule pendant que tu te branles petite cochonne ! C’est bon ton petit trou tu sais ! Il est bien serré sur ma queue ! Quel superbe cul tu as ! »
Ce fut rapide, il ne se retint pas et éjacula tout son sperme dans mes intérieurs. Je n’avais pris aucun plaisir à cet accouplement, mais il me glissa un gros billet dans la main quand je me fus réajustée. Aussi lorsqu’il me fit de nouvelles propositions, j’acceptai sans hésiter. Cette complicité continua ? Deux ou trois fois par semaine il sollicitait ma pastille et m’en foutait plein le cul. Jamais il ne m’a baisée régulièrement, jamais il ne touchait à ma chatte. Mais petit à petit je prenais plaisir à me faire enculer. Après une dizaine de séances, je me mis à jouir presque comme si je me faisais baiser par-devant…
« Eh oui Gatien, il faut reconnaître que je suis une vraie pouffiasse bien vicieuse. C’est bien ce qu’on dit d’une femme qui jouit de tous les trous ? »
« Tu n’es pas une pouffiasse ! Tu aimes le sexe sous toutes ses formes c’est tout ! Pourquoi ce serait il permit pour un homme et pas pour une femme ?
« Tu as raison ! Mais tout le monde ne pense pas comme toi. Un homme qui aime enculer une femme c’est normal, une femme qui aime se faire enculer et qui en jouit, c’est une salope ! Enfin… »
« Continue Hélène, continue, ça me plaît ton histoire ! »
Le notaire ne me faisait pas rester chaque soir, mais seulement un jour sur deux environ. Il y avait dans l’étude un jeune clerc très mignon, et je m’aperçus bientôt que c’était lui qui restait plus tard lorsque mon patron ne me le demandait pas. Un soir, je me suis cachée dans les toilettes pour les espionner et j’ai vu Maître S… Qui se servait du cul de son clerc comme il se servait du mien. Le jeune homme était accoudé au bureau à la même place que moi lorsque c’était mon tour de service, et notre patron faisait entrer et sortir sa longue queue dans les fesses offertes. La seule différence, c’était que le gars bandait ferme et que son amant le branlait en l’enculant. Le mignon semblait apprécier le traitement car je le vis bientôt éjaculer avec force, projetant de longues giclées blanchâtres contre la paroi du bureau le long de laquelle elles commencèrent à couler.
« Ah le petit salaud ! Tu décharges hein ! C’est bon ma grosse bite dans ton petit cul hein ! C’est ça qui te fait jouir hein ? Tiens ! Tiens je décharge aussi ! Oh c’est bon ! Que c’est bon ! »
J’étais émoustillée par la scène et j’avais commencé à me caresser le minou, mais j’ai dû m’interrompre pour ne pas être surprise. Je n’étais pas jalouse du jeune clerc, au contraire ! Mais j’étais curieuse de cette forme de sexualité un peu nouvelle pour moi. Je savais que certains hommes s’enculaient, mais je n’en avais jamais vu en action. Les voir me faisait envie. J’eus bientôt l’occasion d’y participer de près. Nous ne parlions pas beaucoup avec mon patron, mais un soir, après qu’il eut vidé ses couilles dans mon anus, il m’annonça tout de go :
« Demain je veux que tu restes aussi le soir. Mais tu ne seras pas seule ! J’ai invité quelqu’un d’autre. On fera des choses tous les trois. J’ai envie de changement ! Ça te dit ? Si tu es d’accord, je compte sur toi pour participer pleinement ! »
Le lendemain soir je ne fus pas surprise de voir le jeune clerc lorsque je rentrais dans le bureau du patron. Il était déjà en train de sucer la longue verge pour la faire bander. Mon patron me demanda de me mettre en position, accoudée sur le bureau, jupe relevée haut sur mon dos, les fesses bien à l’air. Il vint jusqu’à moi sans que le clerc n’arrête de lui sucer le gland qui passa directement de la bouche du jeune homme dans mon cul. Il m’encula ainsi durant quelques minutes pendant que le clerc lui caressait les couilles et la raie. Puis il fit mettre ce dernier près de moi dans la même position, et il passa rapidement de mes fesses à celle du jeune homme qu’il encula avec encore plus d’ardeur. Il prit immédiatement en main la bite qui bandait déjà et se mit à la masturber. Sans cesser d’enculer, il nous donna ses ordres.
« Tiens Christophe ! Tu m’as dit que tu n’avais jamais baisé une femme. C’est le moment de faire ton expérience ! Hélène, viens devant lui et débrouilles toi pour qu’il puisse mettre sa bite dans ton sexe pendant que je continue à l’enculer ».
Ce ne fut pas simple, parce qu’immédiatement le clerc débanda, sans doute par peur, ou parce qu’il était un homo convaincu. Sans me démonter, je le pris entre mes lèvres et je lui taillais une pipe aussi appuyée que possible. Le notaire continuait à l’enculer et à lui caresser les couilles.
« Tu débandes petit salaud ? C’est bien Hélène, suce-le bien, vas-y ! »
Enfin sa vigueur revint. Je me dépêchai de me mettre en position. À moitié assise sur le bureau, une jambe levée haut je réussis après deux ou trois tentatives entrecoupées de branlettes rapides à ce que sa bite entre dans ma chatte. Régler nos mouvements ne fut pas simple, mais finalement nous y parvînmes. Petit à petit le clerc prit goût à la douceur de ma moule, et commença à donner des signes d’excitation manifeste. Comme je voulais à tout prix être la première à jouir, j’avais mis ma main entre nous et je me branlais le bouton pendant qu’il me baisait. Avec ce traitement mon orgasme vint assez vite, et je le mouillai abondamment en criant mon plaisir. Je ne sais pas si cette sensation sans doute nouvelle pour lui, y fut pour quelque chose, mais il ne fallut pas longtemps pour que le clerc manifeste les prémices de la jouissance. Mais mon patron intervint :
« Non Christophe, tu n’éjacules pas dedans, mais sur son ventre, s’il te plaît ! Je veux voir ton sperme étalé sur son corps »
En disant cela, il le tira vers l’arrière, et la bite du jeune homme qui malgré l’ordre du notaire, avait commencé à décharger, sortit de mon vagin et envoya le reste de ses giclées sur mon ventre et dans les poils de ma chatte. À peine avait-il lâché la dernière giclée que le notaire retirait sa bite des fesses du clerc. Il le poussa de côté, et vint se branler sur un rythme rapide entre mes jambes. Il frotta le bout de son sexe sur mon pubis maculé de sperme du jeune clerc et ne tarda pas lui aussi à jouir. Sa longue queue se mit à décharger du sperme à flots. Dirigeant les jets, il fit en sorte de mêler ses sécrétions à celle de son jeune amant sur mon ventre et ma toison en rugissant de plaisir.
Il avait encore sa bite en main lorsque sa femme est entrée dans le bureau.
« Bravo mon ami ! Vous progressez dans la perversion. Vous passez des jeunes femmes au couple mâle et femelle. Je connaissais vos tendances bisexuelles, mais il me semble que, plus ça va, plus vous êtes attiré vers le masculin. Bien que par ailleurs vous ayez forcé ce jeune éphèbe à s’accoupler avec votre jeune dactylo. C’est un bon point ! Mais pourquoi donc l’empêcher de s’épancher dans ce jeune vagin ? Pour mêler votre semence à la sienne ? Vous êtes romantiques mon cher »
L’épouse du notaire avait l’air sévère d’une institutrice en retraite. Blonde aux yeux bleus, le corps mince et nerveux ; elle avait une silhouette parfaite malgré sa cinquantaine bien sonnée. Elle parlait d’un ton sec et son mari baissait l’oreille comme un collégien pris en faute.
« Ainsi vous faites le soir dans votre bureau des orgies de sexe pendant que je vous attends. Et vous avez le culot de me dire en rentrant que vous êtes trop fatigué pour m’honorer ! Eh bien je vais vous dire ce que nous allons faire. Vos deux partenaires vont devoir puiser dans leurs réserves. Ils sont jeunes et devraient parvenir à me donner le plaisir que vous me refusez. Vous vous contenterez de regarder. Tâcher de les motiver pour qu’ils soient à la hauteur ! »
Je croyais rêver, mais ce n’était pas le cas. La femme du notaire se mit nue en un clin d’oeil. Elle avait un corps superbe pour son âge. Des seins pas trop gros mais qui se tenaient bien. Un ventre plat et des fesses sans cellulite. Sa toison étaient coupée très court et son sexe était barré d’un gros clitoris larde et long. Elle alla s’allonger sur le canapé au fond du bureau et continua à nous donner des instructions :
« Mademoiselle venez ici. Vous allez employer votre langue et vos lèvres pour que mon sexe soit bien excité. Si vous vous y prenez bien, je devrais avoir un superbe orgasme. Vous mon ami, vous allez prendre en bouche le sexe de ce galopin et lui rendre forme acceptable afin qu’il soit prêt à me l’introduire dès que j’aurais joui sous les coups de langue de Mademoiselle. Ne protestez pas ! Si vous n’avez jamais sucé de verge, c’est le moment de vous y mettre. Dépêchez-vous, je m’impatiente! »
À genoux sur le tapis au pied du canapé, je plongeai mon visage entre les cuisses largement ouvertes de la virago. Je commençais par prendre son gros clitoris entre mes lèvres pour le sucer comme une petite bite. Puis sortant ma langue je lui léchai consciencieusement la fente et sa grosse excroissance de chair. Elle devait être clitoridienne, car elle se tendit comme un arc et maintint à deux mains ma tête entre ses cuisses.
« Ah ! C’est bon petite ! Tu me lèches bien ! Alors mon ami ? Votre jeune éphèbe bande-t-il ? Continuez mon ami, continuez ! Sucez-lui, le gland, il doit aimer ça ! Au besoin mettez-lui un doigt dans le cul pour le stimuler… Oh oui, ça vient ! Je vais jouir ! Oui continue sur le bout du clitoris. Là ! Ouiiiiii… »
Elle éjaculait presque comme un homme. Une bonne giclée de mouille me barbouilla les lèvres et coula sur mon menton. Ce n’était pas désagréable du tout, juste un peu abondant.
« Huuuummm ! J’ai eu un orgasme géant vous savez mon ami. Où en êtes-vous ? C’est encore mou ça. J’ai besoin de quelque chose de plus raide. Activez-vous mon ami, activez-vous ! En attendant vous, mettez-vous en position de 69 au-dessus de moi et continuez à m’honorer de votre langue ».
Je m’exécutai et elle commença à me brouter le minou. Elle devait toujours avoir un œil sur les deux hommes, car bientôt elle me fit mettre à genoux au-dessus d’elle sans cesser de la gougnotter.
« Cessez mon ami, cessez ! Il bande maintenant et si vous continuez vous allez le faire éjaculer. Amenez-le ici en continuant à le branler pour entretenir sa forme, qu’il vienne enculer la demoiselle qui me chevauche ».
Moyennant quelques réglages de positions, nous y parvînmes. Bientôt, tout en continuant à brouter la femme du notaire, je me faisais enculer par le jeune clerc que ce soir avait le privilège de me prendre par-devant et par-derrière.
« Ah, je les vois bien ! Sa jolie chatte et les couilles du clerc qui battent sur mes fesses. Petits salauds, vous aimez ça non ? Non, mon ami ne vous préparez pas à enculer ce petit salaud, vous êtes condamné à faire le voyeur ! Branlez-vous si vous voulez, je vous le permets »
Nous continuâmes sur ce mode pendant quelques minutes, et je finis par avoir un violent orgasme.
« Voyez-vous ça la petite cochonne ! Elle jouit même en se faisant enculer par un jeune pédé… Retirez-vous jeune homme ! Je ne veux pas que vous éjaculiez dans son cul ! Elle a déjà eu sa ration. Faites le tour et venez me baiser, pas m’enculer hein ? Me baiser ! Vous, ma fille, redressez-vous et mettez-moi votre sexe tout baveux contre ma bouche »
Nous fûmes bientôt dans la nouvelle position. Le clerc et moi face à face au-dessus de notre maîtresse. Lui le sexe planté sous le gros clitoris, moi tortillant des fesses pour barbouiller le visage de la dame de ma mouille. Elle eut bientôt un nouvel orgasme qui la secoua des pieds à la tête. Elle me fit un peu mal en me mordant les grandes lèvres. Le jeune clerc continuant à s’activer, elle en eut un deuxième puis un troisième. Enfin il manifesta les signes annonciateurs d’une bonne décharge et la femme du notaire le tint fermement par les hanches pour qu’il lui envoie tout son sperme au plus profond de son vagin.
« Oh ! C’est bon, c’est bon de recevoir de bonnes giclées de sperme ! Voyez mon ami, je me rattrape de tout ce que vous n’avez pas voulu me donner depuis plusieurs mois. Je vais tout garder en moi et le savourer le plus longtemps possible »
Aussitôt que le jeune homme eut retiré sa bite déjà flasque de sa fente, elle mit sa main entre ses cuisses pour éviter que le sperme ne coule hors d’elle et s’empressa de remettre sa culotte.
Ce qui s’est passé ensuite entre le notaire et son épouse, je ne l’ai jamais su. Le lendemain j’étais licenciée ainsi que le jeune clerc que je n’ai jamais revu.
Je n’ai rien dit à personne. Comment expliquer ça à mes parents. Il fallait que je me débrouille seule, je n’avais pas le choix. Heureusement j’ai trouvé refuge chez vous pour le logement. Pour le travail, c’était moins simple. J’ai pensé faire le trottoir, mais ça m’a paru compliqué. Et puis j’ai eu peur des proxénètes. J’ai vu une annonce pour un peep-show et j’y suis allée. Voilà ! Je danse à poils devant des hommes qui se branlent. Je ne les vois pas mais ça m’excite quand même. De temps en temps il y en a un qui paye pour une séance particulière, mais là aussi ça se limite à lui faire une branlette. Les plus hardis me foutent les doigts dans la chatte, mais c’est tout ! Ça paye bien et c’est cool ! La seule chose qui me gêne, c’est que ça n’a rien à voir avec le sexe que j’aime. Et finalement nos rencontres nocturnes me font un bien immense et me redonnent la joie de baiser et de faire des trucs cochons. Merci Gatien !
« Eh bien ma petite… Bravo ! Quelqu’un d’autre que moi sait tout ça? »
« Maëlys sait tout ! »
« Maëlys ? Et qu’en dit-elle ? »
« Que j’ai raison de profiter de la vie et du sexe ! Elle te surprendrait tu sais ! Par contre elle dit que je ferais bien de changer de boulot ! D’autant plus que ta mère ne sait rien ! Si elle apprenait ce que je fais, elle voudrait sans doute que je quitte cette maison, et je serais dans la panade ».
« Oh ! Maman ? Ça m’étonnerait qu’elle prenne ça au tragique ! Tu m’as raconté comment tu as été dépucelée ? Eh bien à mon tour. Tu vas être surprise » Il y a un peu plus de…
Et Gatien raconta comment sa belle-mère l’avait initié à l’amour. Hélène était plus que surprise. Elle n’imaginait pas que la belle-mère puisse avoir dépucelé son beau-fils.
« Eh bien vous semblez être une, sacré famille ! Ce ne sont pas mes affaires et je me garderai bien de te donner des détails, mais tu parlais de Maëlys tout à l’heure ? Je peux te dire qu’elle aussi est vicieuse et portée sur le sexe que moi… Et ton père là-dedans ? »
« Mon père n’est jamais là, et s’il y a une vie sexuelle, c’est tout à fait en dehors de la famille ! Et Lana ? »
« Lana, je ne sais pas ! Elle est très indépendante et ne parle jamais de ses affaires. Mais pourquoi tu demandes ça ? Ça t’intéresse tes sœurs ? »
« Pourquoi pas ? Je baiserais bien avec elles. Avec Maëlys surtout ! Si tu dis qu’elle aussi est portée sur le sexe, ça doit pouvoir se faire non ? »
« Attends ! Je ne t’ai rien dit ! Et puis, entre aimer le sexe et faire l’amour en famille, il y a un monde. Maëlys et Lana sont tes sœurs quand même ! »
« Et alors ! Je me tape bien ma mère ! »
« Ta belle-mère ! Ce n’est pas pareil, vous n’avez aucun lien de parenté par le sang ! »
« Les interdits sur les liens de sang, c’est pour éviter la consanguinité de la descendance. Si on ne fait que baiser, je ne vois pas où est le problème »
« Je ne te suffis pas ?
« C’est très bien avec toi Hélène, mais je veux découvrir plein de choses sur le sexe. Tiens, je ne suis pas homo, mais ton histoire de clerc de notaire m’a vachement intéressé ».
« Bon ! D’accord ! Si tu as besoin de mon aide pour baiser avec Maëlys, je t’aiderai mais il faut me promettre de continuer à me baiser ».
« Mais bien sûr mon cœur… Comment pourrais-je me passer d’un aussi joli chaton !
Comme promis, Hélène va aider Gatien à avoir une première relation sexuelle avec sa sœur Maëlys, tout en tenant sa promesse de continuer à baiser Hélène, dès son retour au domicile. Gatien était aux anges, il imaginait déjà pouvoir joindre aux ébats Lana sa seconde sœur mais Hélène lui demanda d’attendre car elle est trop jeune.
Gatien impatient de rentrer à domicile, il ne lui restait qu’une semaine avant de retrouver le domicile familial, fantasmait de pouvoir organiser des orgies en famille. Il essaya de tuer le temps par des masturbations et quelques baises avec Hélène.
À suivre…
MC
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