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Le parfum d’inceste d’Alicia et de Véronique Chapitre 7

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Résumé de la série précédente : Le parfum d’inceste d’Alicia
Gatien, jeune homme timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique par deux femmes plus âgées que lui. Comme il ne peut obtenir d’elles de quoi satisfaire entièrement sa libido, il décide d’avoir recours aux amours tarifées. En sortant il rencontre Hélène, une amie de sa sœur Maëlys qui lui raconte comment elle a été dépucelée à la campagne puis ses exploits au pensionnat d’où elle est renvoyée. Hélène après avoir trouvé du travail en tant que dactylo chez un notaire bisexuel eut quelques aventures avec son patron et un jeune clerc, se retrouva licenciée suite à la découverte par l’épouse du notaire lors d’une partie à trois se déroulant dans le bureau de l’étude notarial. Hélène raconta ses souvenirs à Gatien.

Un parfum… D’un autre temps !

Malgré ses multiples relations sexuelles avec sa belle-mère, son amie et Hélène, Gatien continua sa quête de la découverte des joies du sexe. Il décida d’aller voir un de ces films pornos qui, à cette époque, étaient projetés dans un certain nombre de salles spécialisées. Un peu handicapé par le noir assez dense de la salle, il commença par s’installer sur le premier siège venu, sur la dernière rangée.

Un peu tendu, notre jeune homme profitait peu du spectacle et demeurait hypersensible à tout environnement. Au-dessus de lui, il entendait des bruits de pas et de sièges. Intrigué, il se demanda ce qui pouvait bien motiver cette agitation au balcon. Les bruits continuant, il décida d’aller voir ce qui s’y passait. Arrivé en haut des escaliers, il s’installa de nouveau sur le premier siège venu et regarda autour de lui.

Le balcon était relativement petit et s’étendait à droite. Une dizaine d’hommes l’occupaient, disséminés en petits groupes. Il comprit immédiatement qu’il était dans un lieu de rencontre homo.

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Le groupe le plus proche de lui était composé de trois jeunes gens. Celui su milieu avait ôté son pantalon et exhibait une longue bite toute blanche que son voisin de gauche masturbait avec vigueur. Le branlé avait en main le sexe de son voisin de droite, qu’il caressait de haut en bas, tandis que ce dernier l’embrassait à pleine bouche. Un peu plus loin, un gars, cul nu, s’appuyait des avants bras sur le siège. Son partenaire avait enfoncé son dard dans l’anus offert et l’enculait avec vigueur. Un troisième groupe était plus confus et Gatien ne voyait qu’une tête qui montait et descendait, sans aucun doute occupé à tailler une pipe.

Gatien n’avait a priori aucune attirance particulière pour les hommes. Cependant il ressentait un trouble étrange. Les femmes suçaient bien, pourquoi pas les hommes ? Hélène se faisait bien enculer et y trouvait son compte de jouissance, il en est de même pour ma belle-mère et Véronique. Peut-être était-ce bon ? Il décida qu’il était prêt à faire des expériences de masturbations et de fellations qui, a priori, ne lui semblaient pas très risquées, mais qu’il refusait d’aller plus loin, les risques d’avoir mal lui semblant trop importants pour une simple expérience. Il n’attendit pas longtemps. Un homme vint s’asseoir à ses côtés, et sans attendre extirpa de sa braguette déjà ouverte un sexe de belle taille. Il le flatta quelques instants puis, sans un mot, il prit la main de Gatien et la posa dessus. Le cœur du jeune homme battit plus fort.

D’abord lentement, Gatien commença à masturber son voisin. Sa main montant et descendait régulièrement le long de sa colonne de chair. La peau était douce, la pine raide et chaude lui procurait une étrange sensation. Petit à petit son appréhension disparaissait. Il devenait de plus en plus hardi. Il se tourna vers l’inconnu pour être plus à l’aise. Ce dernier, la tête renversée sur le fauteuil, les yeux clos, se contentait de jouir de la caresse.

Gatien accéléra ses coups de poignets découvrant le gland turgescent d’un coup sec, puis le recouvrant de sa gaine de peau. Le souffle du masturbé se fit plus rapide. Gatien eut une pensée pour le pantalon qui allait être taché… Tant pis, c’était le problème de l’homme pas le sien !

Sentant son partenaire prêt à jouir, le garçon accéléra encore son allure, diminuant l’ampleur du mouvement au profit de la vitesse. D’un coup il sentit la veine se gonfler, et la première goutte gicla hors du méat et retomba sur ses doigts. Machinalement, comme s’il l’eut fait pour lui, Gatien, pour éviter qu’il y en ait partout, remonta sa main jusqu’au gland. La gaine de peau se referma sur le bout, et les gouttes suivantes ne jaillirent plus, mais formèrent une petite mare qui bientôt déborda et coula sur les doigts serrés autour de la verge. L’homme haletait à petits coups mais ne bougeait pas. Gatien sentit le volume du sexe décroître rapidement. Il le lâcha et il retomba mollement répandant le sperme sur le slip de l’homme. Celui-ci, reprenant ses esprits, remit le morceau de chair flasque encore gluant dans sa braguette.

« Merci » souffla-t-il simplement en quittant son siège.

Presque immédiatement, un autre homme prit la place laissée libre. Il n’avait plus de pantalon ni de slip, et sa verge assez longue battait entre ses cuisses. Gatien le regarda.

« Tu veux me sucer mon chéri ? Après je t’enculerai, d’accord ? »

« D’accord pour vous sucer, mais je ne veux pas me faire enculer ! »

paragraphe 2 candy

« Tant pis pour toi. Tu ne sais pas ce que tu rates ! Alors, vas-y, suce-moi la pine, et fait ça bien, parce que j’ai déjà éjaculé trois fois et ça ne viendra pas tout seul ! »

« Vous… Vous avez éjaculé comment ? En enculant un gars ? »

« Non, non ! Rassure-toi, j’ai eu deux fellations et une branlette ! Elle est propre ! »

Gatien prit la bite de l’homme dans sa main et la masturba durant quelque temps. L’engin commença à se redresser, sans s’allonger, bandochant légèrement. Après quelques hésitations, le garçon se pencha vers le bas-ventre nu. Ses lèvres se refermèrent sur le gland qui sentait le sperme. Il entreprit de faire tourner sa langue autour du gland, excitant les terminaisons nerveuses. Doucement, le membre se redressait sans prendre beaucoup de volume. Ce n’était pas désagréable, la peau douce et chaude lui plaisait. Lorsque la verge eut repris la station verticale, Gatien se mit à monter et à descendre le long de la hampe de chair, comme il l’avait vu faire par les femmes qui l’avaient sucé. Il accéléra son mouvement et le membre prit du volume. Il avait oublié l’homme pour se concentrer sur ce qu’il avait dans sa bouche.

Se référant toujours à ce que les femmes lui avaient fait, il mit sa main en conque, soupesa les lourdes couilles et le pressa légèrement. Puis il remonta ses lèvres à la base du gland, et, de sa main qu’il referma sur la colonne de chair, il se mit à le masturber. Longtemps il suça, branla, mais le plaisir de l’autre ne venait pas. Il allait se lever et partir, lorsque l’homme lui dit :

« Vas-y, pompe plus vite, ça vient. Suce ! Suce bien, oui, ça vient, ça vient ! »

En effet, il sentit la veine se gonfler et l’homme éjacula. La première giclée le surprit. Il avala et un goût prononcé envahit sa bouche. Ce n’était pas du tout le même goût que lorsqu’il avait fait l’expérience avec sa propre semence. Quelques gouttes suivirent, c’était chaud, plutôt liquide et la source se tarit très rapidement. Manifestement son compagnon était vidé.

Après cette dernière expérience, Gatien quitta la salle obscure sans répondre aux autres sollicitations. Il sortit du cinéma encore tout étourdi. L’air de la rue lui fit du bien, et il rentra directement chez lui, gardant dans la bouche le goût un peu âcre de l’inconnu.

Dans les jours qui suivirent, Gatien dut s’avouer qu’il se sentait sexuellement frustré. Son escapade dans le monde homo ne lui avait pas vraiment apporté de satisfaction, mais répondait simplement à sa curiosité. Par ailleurs les expériences diverses avec Hélène lui avaient plu, mais c’était sans comparaison avec ce qu’il avait expérimenté avec sa belle-mère et Véronique. Il devait s’avouer que ses rapports avec des femmes plus âgées lui manquaient. Que ce soit sa belle-mère Alicia ou avec son amie Véronique, elles lui avaient, l’une comme l’autre, fait partager une sexualité profonde et complexe dont le seul but était de faire vibrer au maximum leur corps qu’elles semblaient connaître si bien. Même les « petits défauts » de ces corps dont il raffolait, étaient pour lui des sources d’érotisme. Sans rejeter la fermeté des seins et du petit cul de Hélène, il préférait de beaucoup la générosité et la relative mollesse des appas des deux amies. Il regrettait la plasticité des fesses d’Alicia, si malléables et si douces sous ses doigts. Les petits plis à l’aine, à la taille ou sous les seins étaient autant d’endroits charmants qu’il adorait caresser du doigt ou de la pointe de la langue. La générosité d’un clitoris bien charnu l’excitait plus que la petitesse du bouton de rose de son amie qui, pourtant, faisait tout pour développer cette partie de son anatomie.

Tout cela manquait à notre jeune homme qui commençait à trouver que la présence inhabituellement longue du mari d’Alicia était un véritable fléau.

Un jour cependant, rentrant chez lui vers 16 heures, il constata qu’il n’y avait personne dans les pièces communes. Il savait Maëlys et Lana à l’extérieur, et les chambres étaient vides. Depuis quelques jours, Roger préparait un nouveau voyage et passait ses journées hors de la maison. Quant à Alicia, elle devait être sortie. Mais après s’être débarrassé de ses livres dans sa chambre, il entendit l’eau qui coulait dans la salle de bains. Un rapide coup d’oeil par le trou dans la cloison (qui séparait toujours sa chambre de la salle de bains) lui confirma que son amante de belle-mère prenait une douche. Sans réfléchir, il se précipita pour la rejoindre.

Le spectacle qui s’offrait à lui provoqua immédiatement une violente érection.

Alicia, le corps entièrement savonné, les jambes écartées, se masturbait d’une main et se caressait langoureusement les seins de l’autre. Elle avait fermé les robinets et ouvert la porte de la douche pour n’être pas gênée. Les yeux fermés, haletante, elle s’astiquait le clitoris et les grandes lèvres sur un rythme lent. Ses poils pubiens et l’ensemble de son sexe étaient couverts de savon, et les doigts glissaient aisément sur sa peau. Elle en profitait pour se les introduire profondément dans le vagin. Au bruit que fit Gatien en entrant, elle ouvrit les yeux et découvrit son beau-fils qui la contemplait, les yeux brillant et la braguette gonflée.

« Oh Gatien, mon chéri, tu es là ? Si tu savais comme c’est bon de se caresser avec du savon. Viens, mon chéri, nous sommes seuls. Mets quand même le verrou par prudence, puis déshabille-toi et viens me rejoindre. Tu vas en profiter aussi ! »

Gatien se hâta de se dévêtir. Nu, le sexe dur, orgueilleusement dressé, il entra dans la douche pour rejoindre sa belle-mère. Immédiatement il voulut profiter des trésors qui s’offraient à lui et ses mains cherchèrent à remplacer celles d’Alicia.

« Attends mon chéri, attends ! Je te savonnerais aussi, mais avant, laisse-moi jouir, je sens que ça vient et que ça va être très bon… Prends mes seins, mais laisse-moi faire avec ma chatte »

Gatien ne se fit pas prier et empauma les deux magnifiques jumeaux pour les caresser. La sensation était des plus agréables, ses doigts glissaient sur la peau qui était mille fois plus douce que d’habitude, et la chair se faisait souple pour lui échapper lorsqu’il la pressait en douceur.

Alicia, qui avait continué sa masturbation, ne tarda pas à jouir d’un superbe orgasme. Son corps fut secoué de spasmes violents. Elle s’accrocha de sa main libre aux épaules du jeune homme car ses jambes flageolantes ne l’auraient pas portée. Elle se mit aussi à mouiller abondamment, et sa cyprine coula sur ses cuisses, creusant deux petits sillons dans la couche de savon.

Elle parut un moment complètement absente et Gatien la soutint par le bras et sous les fesses pour éviter qu’elle ne tombe. Son râle de plaisir fut long et profond, et elle émergea, ses yeux gardèrent quelque temps ce flou que donne un plaisir intense.

Lorsqu’elle fut de nouveau lucide, Alicia se mit en devoir de savonner le corps de son jeune amant. En particulier son sexe et ses fesses. Puis lorsque la verge fut bien enduite, elle découvrit entièrement le gland qu’elle se mit à frotter avec insistance de la paume de la main bien enduite de savon. Changeant de mouvement, elle entoura le sexe de ses doigts en forme de fourreau et, sans trop serrer, masturba lentement le jeune homme, prenant bien soin de faire en sorte d’avoir le maximum de contact avec le gland bien gonflé. Rapidement Gatien eut des sensations intenses. C’était beaucoup plus fort qu’une masturbation normale. La sensation était aussi forte qu’avant une éjaculation et pourtant il ne semblait pas que son sperme soit prêt à gicler. C’était si intense que ses jambes flageolèrent. Il s’appuya de l’épaule contre le mur, lâchant un des deux seins qu’il continuait à caresser consciencieusement. Alicia tout en le masturbant l’embrassait à pleine bouche et lui pelotait les fesses. Petit à petit, elle progressait vers la raie, elle aussi enduite de savon. Elle n’eut donc aucune peine à introduire son majeur dans l’anus de Gatien qui sous la caresse, banda encore plus fort. Comme elle insistait, il sentit que ses testicules trop pleins allaient expulser sa semence hors de son corps :

« Ça vient, chérie, ça vient ! »

« Vas-y, mon Gatien ! Tu vas me donner ton sperme ! Viens, chéri ! Viens ! »

Lâchant les fesses du garçon, la belle-mère se mit dans le compas de ses jambes et, continuant à le masturber, surveilla l’arrivée des premières gouttes de semence. Lorsqu’elle vint, il crut défaillir tellement la jouissance était forte. La giclée était abondante, épaisse et violente. Alicia la dirigea vers son pubis. Les premières giclées de sperme se perdirent dans les poils pubiens où elles se mêlèrent au savon. Mais Alicia, trop sevrée d’amour, en voulait plus. Elle interrompit l’éjaculation en pressant le canal séminal au bas de la verge et se laissa glisser à genoux entre les jambes de son beau-fils. Puis elle prit le sexe dans sa bouche avant de libérer le canal et la semence gicla de nouveau, emplissant sa bouche avide. Alicia, tout en avalant le chaud liquide, passait sa langue sur la base du gland, augmentant sensiblement le plaisir du jeune homme. Malgré le goût prononcé du savon, elle se régala de boire cette liqueur qui lui avait tant manqué.

Ses coups de langue et l’excitation que le jeune homme éprouvait en retrouvant ce corps qu’il aimait tant firent qu’il ne débanda pas, montrant ainsi qu’il avait envie de poursuivre la séance avec elle.

« J’ai envie de baiser ! J’ai envie de mettre ma bite dans ta chatte ! »

« Oh ! Oui ! Viens, donne la moi ! »

La belle-mère, face à son beau-fils, écarta les jambes, et reçut avec bonheur le sexe qui la pénétra facilement, glissant dans la cyprine, le savon et le sperme qui avait coulé de ses poils jusqu’au milieu de ses grandes lèvres. Aussitôt Gatien, prenant les fesses offertes, se mit en devoir de la baiser à grands coups de queue. Le dos appuyé au mur de la douche, il devait faire un effort pour ne pas glisser, d’autant que rapidement, Alicia commença à jouir et s’accrocha à lui comme une naufragée à une bouée. Elle eut une série d’orgasmes consécutifs qui la secouèrent des pieds à la tête. En même temps, elle émettait un long feulement de plaisir qui disait mieux que tout combien elle jouissait.

Subjugué par la beauté de sa belle-mère en train de jouir, Gatien oublia quelque temps sa propre excitation, mais les mouvements convulsifs du vagin en pleine euphorie orgasmique, le frottement des tétons érigés contre sa poitrine, eurent tôt fait d’amener sa verge au bord de l’explosion. Il tenta de se retenir quelques secondes de plus, mais la sensation était trop forte. Après un grognement sourd, il éjacula violemment dans le vagin si chaud et si soyeux. Alicia redoubla ses gémissements pendant que Gatien se vidait en elle. Lorsque la dernière giclée fut éjectée, Gatien se laissa glisser le long du mur de la douche pour se retrouver assis sur le rebord du bac, les jambes pliées. Alicia suivit le mouvement et s’appuya des fesses sur les genoux levés de son beau-fils. Dans cette position son sexe entrouvert laissait s’échapper une longue coulée gluante qu’elle recueillit de ses doigts pour s’en barbouiller les seins insistant sur les mamelons encore dressés.

« Regarde chéri ! C’est très bon pour eux, tu sais ! Ça les raffermit »

« Que je suis content de te retrouver », dit Gatien.

« Moi aussi ! C’était bon tu sais ! J’en avais besoin. J’ai accumulé un de ces retards d’affection depuis que tu ne me baises plus ! »

« Ce n’est pas de ma faute. Moi aussi j’ai envie. Drôlement même »

« Oui je sais mon chéri, c’est à cause de ton père. Mais je pense qu’il va bientôt repartir. Il est en rendez-vous auprès de sa direction pour régler les derniers détails »

Le lendemain, il était 20 heures lorsque Gatien rentra à l’appartement. Le dîner était servi. Alicia, Maëlys, Lana et Hélène étaient déjà à table. Il s’installa à sa place et remarqua l’absence de Roger son père et mari d’Alicia.

« Papa n’est pas là ? » demanda-t-il.

« Non », répondit Alicia, avec une lueur dans son regard, « il est parti pour un mois à Bamako au Mali avec Paul. Le voyage a été décidé hier soir tard et ils sont partis en début d’après-midi ».

Gatien s’arrêta de manger, surpris. Son regard rencontra celui de Hélène puis celui de Maëlys. Elles lui sourirent, ironiques, puis se regardèrent d’un air complice. Cette garce de Hélène devait avoir tout raconté à Maëlys, et chacune savait à quoi s’en tenir. Car non seulement Alicia se trouvait de nouveau libre de ses faits et gestes, mais le dénommé Paul était le mari de Véronique, l’amie d’Alicia, celle qui l’avait si bien aguiché et qu’il avait baisée à couilles rabattues. Les deux maris travaillaient pour la même société et partaient parfois ensemble en mission. Dans le regard moqueur des filles, Gatien vit tout ce que cette nouvelle impliquait. Il allait pouvoir recommencer à baiser sa belle-mère et sans doute son amie Véronique, la somptueuse salope. Mais il avait aussi promis à Hélène de ne pas la laisser tomber… Quant à Maëlys et Lana, pourquoi pas ?

Chantal, la nouvelle bonne, desservait la table. Gatien la lorgna pendant qu’elle se penchait. Il n’avait pas encore pensé à elle, mais après tout elle devait être parfaitement comestible. La trentaine, plutôt bien faite, elle était toujours habillée assez court avec des décolletés qui, sans être vertigineux, n’en mettaient pas moins en valeur ses seins qui étaient superbes. Ce soir, sa robe noire moulait à merveille sa croupe un peu généreuse. Ça changeait de la précédente, qui était grande et sèche comme un coup de trique. Serait-elle accessible ? Pour le savoir, il convenait de se livrer à une tentative audacieuse. Alors qu’elle lui servait le dessert, Gatien, euphorique et profitant de ce que la conversation était animée, remonta doucement sa main le long des jambes de la bonne pour atteindre les fesses, qu’il frôla doucement. Chantal eut une légère réaction de surprise et serra quelque peu les fesses, mais elle continua son service et, se décontractant très vite, laissa Gatien explorer son joli petit cul qu’un string protégeait bien peu.

« Monsieur est satisfait ? » demanda-t-elle, espiègle.

« Oui merci », dit Gatien qui abandonna les rondeurs avec regret.

Puis en lui-même :

‘’Toi ma petite, tu seras sans doute la prochaine’’

Gatien, tout à ses pensées, ne suivait pas la conversation des femmes. Intérieurement il se moqua de lui-même. Il réagissait comme un étalon en train de faire l’inventaire de son troupeau de femelles. C’était tout à fait ridicule. D’un autre côté, il mesurait le changement qui s’était opéré en lui depuis le remariage de son père avec Alicia et sa soif d’amour physique y était pour beaucoup c’est vrai. Son regard sur les femmes avait changé. Éduqué par une mère très prude, il avait d’abord considéré l’élément féminin comme presque intouchable, en dehors d’une union officielle. Toutes celles qui « voulaient bien » étaient forcément des filles de mauvaise vie. À éviter comme le diable !

D’un autre côté Gatien avait des besoins physiques importants qu’il assouvissait en se masturbant très souvent. Lors de ces séances solitaires, il évoquait toujours des corps de femmes. Et puis il y avait Alicia sa belle-mère, son avis avait changé ! Il comprit que les femmes aussi avaient des envies et des besoins sexuels. Il était désormais bien décidé à en profiter pour autant de celles qui seraient consentantes. Après tout, il était le seul mâle de la maison non ?

Pour terminer sa revue, il évoqua sa plus jeune sœur, Lana. Mais il ne s’attarda pas sur son cas :

‘’Trop jeune, se dit-il, j’aime mieux les femmes plus âgées. Où les vraies salopes comme Hélène’’

Après le repas, il remonta dans sa chambre, et attendit Alicia qui ne manquerait pas de venir le voir. Elle arriva en effet au bout d’une demi-heure. Elle portait une robe de chambre qu’elle ôta immédiatement. Nue, Gatien la trouva plus belle que jamais. Elle vint le rejoindre sur le lit.

« Mon chéri, tu as entendu, nous sommes libres pour un mois. J’ai bien l’intention d’en profiter au maximum. Et comme Véronique est célibataire également, il faut que nous nous organisions. Mais d’abord, fais-moi l’amour, mon fils, car même si notre séance dans la douche hier était un régal, elle n’a pas comblé la frustration des trois semaines pendant lesquelles tu n’as pas mis ta bonne bite dans la chatte de ta Maman, et je suis en manque. Heureusement que nous faisons chambre à part avec Roger, car j’ai quand même pu me masturber le soir. Mais ça ne remplace pas une bonne queue.

« Tu n’as pas baisé pendant trois semaines ? Toi ? »

« Qu’est-ce que tu crois ?… Si ! Pour être honnête, une fois ! Mardi dernier, je me suis fait littéralement sauter, debout dans le salon. Mais c’était un livreur qui était pressé, et qui m’a laissée tomber au milieu d’un orgasme. J’ai dû encore une fois me finir à la main… C’était quand même mieux que mes masturbations solitaires, parce que j’avais du sperme plein la chatte, et que je m’en suis bien enduit le clitoris pour me branler avec. Alors viens me faire jouir comme doit vraiment jouir une femme »

Alicia, allongée sur le dos, écarta largement les cuisses, présentant sa crevasse rouge brûlante et toute mouillée à la concupiscence de son amant. Gatien, qui attendait cela depuis longtemps, n’eut besoin d’aucun secours pour bander. Il se jeta sur sa belle-mère. Son torse écrasa la poitrine rebondie, sa verge chercha un instant le passage menant à la terre des délices, et brutalement il s’enfonça en elle.

La cramouille d’Alicia était brûlante d’excitation ! Lorsque la pine juvénile la défonça, Alicia gémit de plaisir. Elle caressa convulsivement les fesses masculines, puis le prenant aux hanches, tenta de lui imprimer un mouvement accéléré pour qu’il la baise à fond. Ce dernier, trop excité, résista et attendit un moment avant de commencer son va-et-vient dans le vagin avide de baise. La queue complètement entrée dans la grotte d’amour, les couilles écrasées contre les fesses de sa partenaire, Gatien savourait la possession de cette splendide femelle.

« Vas-y, mon chéri ! Baise-moi ! Baise-moi ! Bourre-moi la chatte, je n’en peux plus, gémit Alicia qui se trémoussait sous son amant, en proie à une terrible envie de forniquer ».

« Oui, oui ! Mais attends un peu. Ta chatte est trop bonne, et si je commence à baiser, je vais décharger tout de suite. Embrasse-moi, ma chérie ! Tu es belle, tu sais !

« Tu aimes mon corps de femme, hein ? Ça t’excite, petit pervers ! »

Gatien lui ferma la bouche avec ses lèvres. Qu’elles étaient bonnes, douces, pulpeuses, et cette langue qui fouillait sa bouche, jouant avec la sienne… Alicia mettait toute sa science dans ce baiser. Et lentement Gatien commençait à limer. La verge juvénile entama sa danse d’amour, entrant et sortant de la fente en folie. Très vite, le corps d’Alicia se crispa, ses pieds s’appuyèrent fortement sur les reins de son amant. Ses doigts s’incrustèrent dans les reins musclés.

« Oh mon chéri, comme c’est bon ta queue dans ma chatte ! Je la sens bien ! Tu me limes à fond, tu me défonces ! Je … Aaaaaaaaah ! Je jouis. Tu sens comme je mouille ? Tu sens ? Ça me coule dans la raie. Ma mouille me lubrifie le cul. Tâte, tu vas voir ! Mets ton doigt là ! Oui, là, là, tu sens comme c’est gluant ? Mais… Mais tu me mets ton doigt dans le trou de mon cul ? Petit salaud, me sodomiser avec ton doigt, mais tu es un petit vicieux !… Non, ne l’enlève pas, au contraire, branle-moi le cul ça m’excite »

« Tu voudrais que je te foute ma bite dans ton cul somptueux ma chérie ? »

« Oh ! Que me proposes-tu ? Tu en as envie ? Peut-être, on verra. Je ne sais pas ! Je ne sais plus ! Tu es un salaud, je sens revenir le foutre. Salaud chéri, oui, baise-moi, accélère. Aaaaaaaah ! Je jouis… Et toi aussi, je sens que tu m’inondes de sperme. Vas-y, mon beau Gatien, éjacule, éjacule… Ça vient encore, je jouis, je jouiiiiiiiis »

Gatien venait lui aussi d’ouvrir ses écluses et son sperme coulait à flots dans le trou d’amour qu’il inonda. Alicia, au comble du bonheur, tremblait de tous ses membres et râlait de plaisir sans discontinuer. Gatien complètement abandonné sur le corps de sa maîtresse, enserrait un sein frémissant de sa main gauche, tandis que la droite restait coincée sous les fesses, l’index encore enfoncé dans l’anus légèrement dilaté et brûlant. Leurs deux corps battaient au rythme des coulées de leurs sécrétions intimes.

Lorsque enfin ils reprirent leurs sens, ils s’embrassèrent tendrement en se caressant doucement et, dans les bras l’un de l’autre, discutèrent.

« Gatien chéri tu es merveilleux, tu me fais jouir d’une manière incroyable. Tu sais que tu vas avoir du travail. Maintenant que ton père est en voyage, il va falloir me baiser tous les jours. J’ai trop souffert de ne pas pouvoir le faire avec toi pendant tout ce temps. Et toi, es-tu content de pouvoir à nouveau me baiser »

« Oh ! Oui, toi aussi tu m’as manqué. C’est avec toi que je jouis le mieux. Quoique avec Véronique, cela soit vachement bien aussi »

« Dis donc, petit cachottier. Si tu dis qu’avec moi c’est le mieux, c’est que tu en as baisé d’autres depuis notre partie avec Véronique ? Raconte-moi ! »

« Oui j’ai couché avec deux autres femmes. D’abord je me suis tapé une pute. Elle était très belle, mais c’était plutôt décevant. Et puis j’ai aussi baisé avec Hélène plusieurs fois »

« Hélène ? La copine de Maëlys ? »

« Oui, Hélène. Tu sais elle est drôlement délurée et très portée sur le sexe. Elle baise bien aussi »

« Comment c’est arrivé ? Raconte ! »

Gatien raconta son histoire avec Hélène dans tous ses détails, puis il lui conta aussi son expérience récente au cinéma. Alicia était plutôt étonnée, mais ne dit mot durant tout le récit. Manifestement, ce qui l’avait intéressée le plus, c’étaient les ébats de Hélène.

« Eh bien dis donc », commenta-t-elle à la fin. « Ce notaire, quel vicieux ! Se taper ses jeunes employés mâles et femelles, c’est un pervers ! Et le curé ! À qui se fier ? »

« Tu sais, tu es aussi vachement perverse, tu m’as bien dépucelé et éduqué ! Toi aussi tu te tapes des plus jeunes que toi et en plus tu es ma belle-mère ! Tu n’as pas grand-chose à leur envier ! »

« C’est vrai, tu as raison. Et les filles dans tout ça ? Maëlys, Lana ? Tu n’es pas tenté ? Même si ce sont tes sœurs ? »

« Je ne sais pas, je n’ai rien tenté. On n’a pas trop communiqué jusqu’à présent, bien qu’Hélène m’ait fait la promesse de m’aider à un rapprochement avec Maëlys. Tu sais que jusqu’à ce que tu m’éduques, j’étais très timide avec les filles. Peur de me planter ! »

« Mais tu aimerais aussi te les taper, petit salaud ? »

« Pourquoi pas ? Je les ai vues à poils dans la salle de bains. Elles sont superbes toutes les deux ? Pour ce qui est de Lana, je ne sais pas du tout qu’elle a vis-à-vis du sexe. Quant à Maëlys, Hélène me dit qu’elle est très portée sur la chose, mais… »

« Mais quoi ? »

« Mais belle-maman, ce sont mes sœurs, c’est de l’inceste ! »

« Si vraiment nous baisons comme des fous dans cette maison avec toi, Véronique et d’autres, il sera difficile de se cacher d’elles. Si elles pouvaient être associées d’une manière ou d’une autre, et qu’elles aussi participent à la libération sexuelle de cette maison, ça serait plus facile non ? »

« C’est vrai, tu as raison… Enfin nous verrons ! Pour l’instant il faudrait nous organiser pour les prochains jours. Je vais appeler Véronique. Je rêve d’une belle partie de cul avec elle, toi et moi, et pourquoi pas une de ces jeunes salopes, Hélène ou Maëlys… »

« Eh ! Doucement, je vais encore être le seul homme. Faudrait penser à en trouver d’autres ! »

« Il y a bien Jonathan, le fils de Véronique ! »

« Chaude comme elle est, mais avec son propre fils ? »

« Elle n’ose pas ! L’inceste, les conventions sociales ! Bref, blocage ! Mais Jonathan, tu le connais toi, tu ne peux pas lui en parler ? J’avoue que l’idée de se retrouver ensemble avec Véronique et chacune notre petit étudiant me séduit assez ! »

« C’est ça, je vais aller le trouver en disant : ‘’Tu sais Jonathan, je baise ta mère, et je t’invite à ce que tu la baises aussi’’. Ça met en cause Véronique, et je ne voudrais pas faire ce genre de révélation sans qu’elle soit d’accord. Tu t’imagines, si l’un des deux le prend mal ? Le malaise ! »

« Bon, alors il faut s’y prendre autrement. Monter un coup ! Ou alors il faudrait que tu trouves deux ou trois autres gars, mais c’est nettement plus délicat. Jonathan sera forcément discret, les autres… »

« Et pour Maëlys et Lana, que comptes-tu faire ? Dans leur cas, on ne peut pas choisir, ça marche ou ça ne marche pas !

« Écoute Gatien, tes sœurs, c’est ton problème ! Débrouille-toi pour les tester ! Fais-toi aider par Hélène ! Pour les garçons tu les amènes ici et je m’en charge »

« En fait il y a deux problèmes. Le premier c’est de savoir si je peux coucher avec elles. Ce n’est déjà pas évident. Mais s’il faut les faire partouzer, c’est une autre paire de manches. Pour Maëlys, Hélène dit qu’elle est portée sur le sexe. Mais Lana, reste un mystère total ! »

« Écoute, on ne se prend pas la tête. À chaque cas, on verra, mais d’une manière générale c’est toi les filles, moi les gars. Mais on s’assure avant de passer à la phase partenaires multiples, que la cible ne va pas crier au scandale. D’accord ? Mollo quand même »

« Donc, je me débrouille pour faire venir Maëlys dans ma chambre pour la baiser. Et si elle n’est pas contre, quand nous sommes en pleine action, tu viens nous rejoindre ? »

« Oui j’ai bien envie de la gougnotter, cette jeune salope. Je suis sûre qu’elle aime se faire enculer. Je voudrais la voir avec un gros gode enfoncé dans son petit trou du cul. Je demanderai aussi à Véronique son nouvel engin. Elle a acheté un gode et je voudrais bien l’essayer un peu. Je te baise déjà pourquoi pas les autres ? Et toi, je t’enculerai, petit salaud, ça t’apprendra à avoir de si belles fesses et à me baiser si bien ».

« Pas question, je n’aimerais pas ça du tout ! »

« Non, mais tu as bien sucé et branlé des inconnus dans un cinéma sordide. En attendant, nous avons beaucoup de choses à faire. On s’y met dès demain »

À suivre…

MC

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