Résumé :
Gatien, jeune homme un peu timide, a été initié aux plaisirs de l’amour physique par deux femmes plus âgées que lui : Alicia sa belle-maman, chez qui il loge avec ses deux sœurs, et Véronique, une amie d’Alicia, qui elle a un fils Jonathan, étudiant comme Gatien. Depuis, il continue son éducation en explorant toutes les possibilités du sexe. Il a d’abord eu recours aux services d’une prostituée. Puis, il fait l’amour avec Hélène une amie de sa sœur Maëlys qui lui raconte comment elle a été dépucelée à la campagne et qui lui parle de ses exploits au pensionnat d’où elle a été renvoyée. Après avoir tenté un début d’expérience homo, il retrouve sa belle-mère qui lui propose d’organiser une véritable orgie.
Un parfum… D’autrefois !
Dès le lendemain, il invita Jonathan son copain de fac et fils de Véronique à venir écouter les derniers tubes à la mode. Conformément au plan établi avec sa belle-mère, il avait l’intention d’amener son copain à participer à leurs ébats, puis à rester pour la petite fête qu’ils avaient décidé d’organiser. Pour bien amener son copain sur le terrain souhaité, il avait laissé sur sa table de nuit le fameux cahier noir dont il se servait lorsqu’il en était encore à se masturber après avoir maté sa belle-maman à poils dans la salle de bains. Le cahier contenant une bonne cinquantaine de photos, toutes plus pornographiques les unes que les autres. Les deux garçons se connaissaient suffisamment pour que Jonathan soit très à l’aise et c’est tout naturellement qu’il prit le cahier et l’ouvrit. À la vue d’une fille nue en train d’emboucher une verge fièrement dressée dont elle avait un mal fou à faire le tour avec la main, il s’enflamma instantanément.
« Merde alors, où as-tu déniché ça ? »
« Les photos ? Tu trouves ça dans le premier sex-shop venu ! »
« Je n’ai jamais osé y entrer. Tu pourrais m’en procurer ? »
« Je te donne le cahier entier, si tu veux ! Tu peux l’emmener ! »
« Hein ? Pourquoi ? Tu en as d’autres ? Celles-là ne t’intéressent plus ? Moi je veux bien mais… »
« Ne t’inquiète pas ! Je n’en ai plus besoin. Tu sais, quand on peut baiser une bonne chatte ou se faire faire une petite pipe pratiquement quand on veut, ça apaise drôlement les glandes. Du coup, on a nettement moins envie de se taper une queue en solitaire, en lorgnant des photos pornos ».
« Tu baises quand tu veux toi ? Tu as une nana ? C’est qui ? »
« Pas une nana ! Mais je baise avec plusieurs filles, oui ! Je ne te dirai pas de qui il s’agit, tu ne me croirais pas ! »
« Plusieurs ? Tu te fous de ma gueule, Gatien ! »
« Non, c’est vrai ! Je te le prouverai. Tu as déjà baisé avec une femme ? »
« Ben… Non ! Je voudrais bien trouver une copine, mais ce n’est pas facile. J’ai flirté par-ci par-là. Mais dire de proposer la botte, je n’ose pas ! J’ai peur de me prendre une veste ! Et puis les filles qui baisent, il n’y en a pas beaucoup… »
Ça c’est faux ! Ça dépend où tu cherches. Et ici, on a tout ce qu’il faut sous la main. Bon, attends, je reviens, je vais aux ch… En attendant, admire les photos si tu veux. Et retiens ce que je te dis : les femmes aussi aiment baiser. Il faut savoir profiter de l’occasion qui se présente. N’oublie jamais ça ! »
Gatien sortit et alla retrouver Alicia au salon.
« Ça y est ! Je l’ai chauffé avec mon cahier noir ! Dans deux minutes, tu peux aller le rejoindre. J’ai laissé la porte entrouverte pour que puisse le surveiller. Je pense qu’il ne va pas résister longtemps et qu’il va se branler. N’attends pas trop, il risque de décharger avant que tu arrives »
Dans la chambre, Jonathan feuilletait fébrilement le cahier. Son excitation montait à chaque photo. Bientôt, il n’y tint plus. Il s’allongea sur le lit, posa le cahier près de lui, sortit de son pantalon sa verge déjà dure et entama une masturbation frénétique.
‘’Tant pis, pensait-il. Gatien comprendra !’’
Qui Gatien pouvait-il bien se taper ? En plus il avait parlé de pipes. Ce n’est sans doute pas des débutantes. En tout cas lui, Jonathan, baiserait bien les filles de la maison, il les avait croisées et un peu côtoyées ? Pour lui, Maëlys ou Lana, peu importait, il n’était pas sectaire. Et même la belle-mère de Gatien, dont il avait reluqué furtivement les cuisses qu’il avait vues généreusement découvertes tout à l’heure, en passant dans le salon.
Il soupira. Pour l’instant il fallait se contenter de la « veuve paluche ».
Alicia l’observait par la porte entrebâillée. Elle l’avait vu libérer son sexe, et s’était délecté de le voir se masturber les yeux rivés sur les photos pornos. Excitée par ce qu’elle voyait, elle avait porté sa main entre ses cuisses, écartées le bord de son string pour se flatter légèrement le clitoris et s’assurer d’un doigt inquisiteur qu’elle avait bien commencé à mouiller. Elle était fascinée et s’attarda à contempler la scène. C’était pour elle très érotique de mater un jeune mec en train de se masturber.
‘’Il n’y va pas de main morte le petit salaud’’, se dit Alicia, en voyant Jonathan qui accélérait le rythme des coups de poignet.
Consciente de devoir se montrer avant qu’il n’éjacule, elle finit par ouvrir la porte et par pénétrer dans la chambre presque sans bruit.
Jonathan tout à ses photos et à sa masturbation ne prêta pas immédiatement attention à l’intrusion. Mais sentent venir l’éjaculation, il releva la tête et, à sa profonde stupeur, il vit Alicia. Elle s’était dévêtue, ne gardant qu’un minuscule string d’où s’échappaient quelques poils noirs et un soutien-gorge en dentelle transparente qui ne cachait rien de sa magnifique paire de seins, mais les soutenaient simplement. Ils étaient un peu lourds certes, mais généreux et veloutés à souhait.
La surprise et l’intensité de l’excitation firent que Jonathan perdit son contrôle. Une superbe giclée toute blanche s’échappa de sa verge et vint maculer son polo.
Alicia réagit aussitôt. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle fut sur le lit et sa bouche couvrit le gland avant qu’une deuxième goutte de sperme n’ait le temps de jaillir. L’essentiel étant assuré, elle écarta la main du jeune homme, qui abasourdi, se laissa faire. D’autant qu’Alicia lui caressait les couilles et passait consciencieusement sa langue sur les terminaisons nerveuses à la base du gland, augmentant notablement son plaisir. Les gouttes de sperme se succédèrent, rapides et violentes, mais elle ne cessa sa succion que lorsque la source fut tarie.
Enfin elle releva la tête.
« Gatien n’est pas là ? » demanda-t-elle sur un petit ton bien innocent.
Jonathan, ahuri, ne savait que répondre. Il ne songea même pas à refermer le cahier ou à cacher ses attributs. Il regardait la jeune femme, les yeux ronds, infiniment surpris, mais pas encore gêné. Alicia profita de cette sorte de stupeur pour parler avant qu’il ne réagisse.
« Ah ! Tu admires les photos pornos de Gatien. C’est très excitant, n’est-ce pas ? Je comprends que tu aies eu envie de te masturber avec ça. Dis donc, elle est pas mal, celle-là ?
« Qu… Qui ? » balbutia Jonathan rouge de confusion.
« Ta queue, mais pour l’instant elle débande. Attends, laisse-moi faire ! »
Cette fois Jonathan eut une réaction de gêne. Alicia ôta doucement les mains qui tentaient de cacher le sexe en pleine déroute. Elle le prit délicatement entre les siennes, découvrit le gland de sa gaine de peau, et commença à exciter les terminaisons nerveuses, des doigts et de la paume.
« On… On pourrait nous voir ! Je… Gatien va revenir et… Et il va m’engueuler ! »
« Gatien ? Il sera ravi »
« Ravi ?… Mais, je… Que je… »
« Que tu sois en train de faire des choses sur son lit avec moi ? Non, il ne sera pas choqué ! Même si lui aussi, il me baise, il n’est pas jaloux du tout. Et moi, j’ai envie de toi, jeune homme. À ton âge, ta belle queue doit pouvoir servir plusieurs fois de suite, non ? »
Alicia, en un tournemain, retira le pantalon et le slip déjà descendus à mi-mollets et fit rapidement passer le polo du jeune homme par-dessus sa tête, avant de s’attaquer à ses propres sous-vêtements. Soutien-gorge et string furent rapidement ôtés. Gêné, Jonathan n’osait pas regarder le corps nu à demi allongé sur le lit. Ce fut Alicia qui l’attira.
« Regarde-moi ! Ne suis-je pas belle ? N’as-tu pas envie de faire l’amour avec moi ? »
« Oh, si Madame, j’ai très envie », répondit Jonathan qui reprenait un peu de contenance.
« D’abord tu ne m’appelles pas Madame, mais Alicia, comme d’habitude. Ensuite, ne reste pas à ne rien faire, occupe-toi de moi. Mes seins meurent d’envie d’être caressés, et ma chatte aussi. Allez !… Oui c’est ça, embrasse bien les bouts. Mets ta main là, entre mes cuisses, caresses mon petit chat. Sur le clito, là, oui comme ça. Donne-moi ta bite, que je la tripote un peu. Je vais la faire bander tu vas voir.
« Hein, que c’est bon ? Tu aimes ! »
Jonathan ne répondait pas. Son souffle se faisait court. Ses mains avaient pris possession du corps d’Alicia, s’émerveillant de la chaleur de l’entrecuisse, de la douceur de la peau, des formes pleines et des seins arrogants. Malgré cela, Alicia dut mettre beaucoup de science et de douceur pour redonner de la vigueur au sexe du jeune homme qui s’obstinait à rester plutôt flasque. Ah, les inhibitions des hommes ! « la bandaison, papa, ça ne se commande pas » chantait Brassens. Alicia savait combien c’était vrai et quels trésors de patience, de douceur et de remise en confiance il fallait déployer pour arriver au miracle du sexe qui bande quand le cerveau se met à tourner au questionnement ou à l’émotion. Petit à petit, elle y parvint, usant de ses mains de sa langue, offrant ses trésors à l’exploration du jeune puceau. Par contre, la première inhibition passée, elle se rendit compte qu’il s’excitait trop vite, et qu’elle risquait une nouvelle éjaculation intempestive. Elle cessa donc d’astiquer la jeune verge toute neuve et attira Jonathan sur elle.
« Viens me baiser… Tu n’as jamais fait l’amour à une femme ? Tu sais au moins où tu dois la mettre ? Là ! Oui ! Attends, je vais te guider. Rassure-toi, encore une ou deux séances comme celle-ci et ta bite trouvera toute seule l’entrée du paradis. Là, ça y est. Enfonce-la maintenant… Ah, la bonne queue, je te sens bien ! Oui lime ! Lime-moi bien mon petit amant… Pas trop vite, sinon tu n’iras pas au bout »
Jonathan, obéissant commença à aller et venir lentement dans la grotte brûlante qui enserrait son membre. C’était une incroyable impression de douceur et de chaleur qui irradiait de son sexe à son ventre. Alicia lui fit empaumer un sein dont le téton se durcissait de désir. Elle lui fit glisser son autre main sous ses fesses rebondies. Puis elle se trémoussa sous lui. Creusant son ventre pour faire saillir son mot de Vénus et darder un peu plus son clitoris qu’elle aimait sentir écraser par le pubis de son partenaire. Répondant aux coups de boutoir, en lançant son bassin vers le pieu qui l’emmanchait pour mieux en profiter. Elle commentait toujours le match, excitant de plus en plus le garçon. Les oreilles de Jonathan étaient pleines de mots crus : « seins, cul, bite, con, chatte, vagin, pine »… Sa tête en feu réagissait à chacun des commentaires. Il ne sut comment cela lui arriva, mais d’un coup le plaisir lui brûla les reins. Il sentit sa verge se gonfler et brutalement sa semence jaillit hors de lui. Il se crispa, puis s’affala sur sa partenaire, anéanti, laissant couler sa semence par saccades dans le vagin si accueillant. Elle lui caressa gentiment la tête jusqu’à ce qu’il reprenne ses esprits.
« Alors ? Tu as bien joui ? Tu sais, tu éjacules beaucoup ! C’est bon ! J’en ai plein la chatte ! Tu as une belle queue et elle m’a fait du bien. On fera quelque chose de toi, si tu apprends à la domestiquer ! »
Ils se séparèrent. Alicia se leva et appela Gatien qui attendait derrière la porte.
« Gatien ? Viens mon chéri, viens me faire jouir ! Jonathan est allé un peu vite et je n’ai pas pu prendre complètement mon pied. Par contre sa bite m’a chauffé la chatte. Il faut que tu viennes éteindre cet incendie, mon chéri ! »
Gatien entra et se déshabilla en un clin d’oeil. Il regarda sa belle-maman, le sperme lui coulait entre les cuisses en longues traînées luisantes.
« Tu n’as peut-être pas joui, mais Jonathan a dû décharger un max. Tu as du sperme plein les cuisses. Tant mieux, je vais trouver une chatte bien soyeuse »
Il rejoignit sa maîtresse, la verge dressée vers le ciel, déjà prête.
« Tourne-toi, je vais te prendre en levrette. Oui, à genoux sur le bord du lit. Là, parfait ! »
Lorsque sa belle-maman fut installée, les fesses cambrées, la chatte entrouverte prête à l’hommage de son beau-fils, Gatien appela Jonathan qui le rejoignit, le sexe ballant.
« Regarde si ce n’est pas beau, une femme qui s’offre. Une femme avec le cul en l’air, prête à se faire enfiler comme une chienne. Regarde ! Elle a la fente et les cuisses pleines de ton sperme et elle en redemande »
« Mais… Tu… Tu baises avec elle depuis longtemps ? C’est ta seconde maman ! Elle connaît ta mère non ? »
« Et alors ? C’est une femme comme les autres, non ? Même si c’est la seconde épouse de mon père ! Tu l’as bien baisée, toi ! Si tu en avais l’occasion, tu ne baiserais pas avec ta mère ? Véronique est très belle, elle ne te fait pas envie ? »
« Oui, c’est vrai, elle est bandante… Mais c’est ma mère ?… Je ne peux pas baiser ma mère, c’est de l’inceste ! Oublie ça !… Enfin… Je ne… Ne sais pas ! Je n’y ai jamais pensé ! »
Puis, tout bas :
« Jonathan ta mère elle était là ! Je viens juste de baiser avec elle ! J’ai… J’ai tout… déchargé dans sa chatte tu sais… »
« Quoi ?… Ma mère est là et tu as osé la baiser ?… »
« Oh oui, et ce n’est pas la première fois, crois-moi ! »
« Bien, j’espère que tu n’es pas jaloux que j’ai baisé avec ta belle-mère ? Et… Ça ne te gêne pas de… Enfin de passer après moi ? »
« Jaloux ? Sûrement pas ! On baise c’est tout ! Il n’y a pas à avoir de jalousie pour ça. Quant à ton éjaculation, c’est toujours meilleur de mettre ta queue dans une chatte pleine de sperme. C’est plus doux, plus onctueux. Un vrai régal ! Mais on reparlera de tout ça plus tard. Pour l’instant laisse-moi fourrer cette magnifique salope ! »
Gatien abaissa son membre à l’horizontale et présenta le gland juste à l’entrée du vagin. Puis, lorsque le bout eut écarté les grandes lèvres et commencé à pénétrer le sexe de sa belle-maman, il la prit aux hanches et s’enfonça d’un violent coup de reins jusqu’à ce que ses testicules viennent frapper contre les poils du mont de Vénus. Sans attendre il se mit à baiser en donnant de grands coups de boutoir. Son membre s’enfonçait en entier dans la crevasse bien juteuse et son ventre s’écrasait contre les superbes fesses offertes. Puis il ressortait presque complètement, ne laissant que le bout de son gland dans l’antre d’amour pour mieux s’enfoncer à nouveau et pénétrer bien à fond. Alicia, la tête entre les bras, les seins oscillants au rythme imprimé par Gatien, sentait le foutre qui bouillonnait en elle, prêt à jaillir de sa chatte en chaleur.
Jonathan très intéressé regardait de tous ses yeux. Sous cette vision érotique son désir renaissait d’autant mieux, qu’Alicia avait repris son délire verbal.
« Oh oui, mon Gatien, baise-moi, baise-moi fort ! Vas-y, je sens que je vais jouir. Oui, oh ! Ma chatte est en feu et ta bonne queue l’emplit bien. Oh ! Mais mon chéri tu accélères tes coups de bite ? Oui, tape ! Tape ! Ça vient ! Ça y est ! Aaaaaaaaaaaaah ! »
Alicia, dans un râle de bête blessée, jouissait follement. Le sperme coulait à flots de son vagin qui palpitait, enserrant plus fort le sexe mâle dans ses chairs chaudes. Gatien de son côté faisait des efforts pour se retenir et ne pas éjaculer trop vite. Il avait l’intention de faire jouir sa belle-maman plusieurs fois avant de rendre les armes. Il subit donc l’avalanche de mouille sans broncher, mais sa verge était soumise à rude épreuve, par les mouvements du vagin en pleine jouissance. L’orgasme dura longtemps, la cyprine coula, abondante. Jonathan de plus en plus excité, avait les yeux rivés sur la verge admirablement raide et couverte de liquide luisant qui entrait et ressortait d’entre les lèvres du con toujours sur un rythme soutenu. Enfin, petit à petit, le calme revint sur le visage et dans le corps d’Alicia.
« Tu as bien joui ma salope ? Ta chatte est trempée. Jonathan bande à nouveau tu sais ! Rien qu’à regarder ton cul ! Tu vas en profiter ?… Jonathan, viens me remplacer dans cette cramouille ! Moi je vais aller me faire sucer. Tu vas voir, elle va bien me sucer ! Hein, que tu vas bien me sucer ? Je vais tout lui cracher dans la bouche ! Et elle va tout avaler ! Hein, tu aimes ça, avaler quand tu as bien pipé ? Hein ? »
Gatien donna encore quelques rapides coups de bite, puis se retira lentement, comme à regret, du vagin si accueillant. La chatte restait un peu béante, prête à recevoir un nouvel hommage. Alicia gémit :
« Vite, vite Jonathan, mets-la moi ! Mets-moi ta bite ! Vas-y ! C’est boooon! »
Jonathan venait de remplacer Gatien dans la chatte toute chaude et toute excitée de la baise de son copain. Sa verge était entrée d’un coup, glissant parfaitement dans les chairs bien lubrifiées par le foutre et les restes de son propre éjaculât. Gatien, de son côté, contourna le lit et vint présenter sa virilité à sa belle-maman. Elle ouvrit les lèvres en forme de O et les posa délicatement sur le bout tout congestionné. Le membre se redressa sous la douceur de la caresse, manquant de lui échapper. Elle ouvrit la bouche plus largement et le gland tout entier disparut entre les lèvres pulpeuses. Gatien ressentit une onde chaude courir le long de son sexe jusque dans ses reins. Qu’elles étaient bonnes ses lèvres qui savaient si bien insister sur les points sensibles. Qu’elle était mutine cette langue qui lui léchait la base du gland. Alicia était décidément très douée pour les fellations.
Alicia, emmanchée par les deux membres, rythmait sa succion en fonction des coups de boutoir de Jonathan. Elle ne pouvait plus exprimer verbalement ses sensations, mais elle jouissait intensément de se faire mettre par deux hommes si jeunes et si bien pourvus en attributs virils. La situation la stimulait au plus haut point. Se faire embrocher par deux jeunes verges lui donnait un sentiment puissant d’être une femelle complètement soumise aux désirs de fringants étalons. Cette sensation, jointe à l’action de leurs sexes sur ses muqueuses, fut rapidement efficace et elle eut un nouvel orgasme presque aussi violent que le premier. Ses fesses se tortillèrent avec fureur de manière à profiter au maximum de la bite de Jonathan. Elle n’en oubliait pas pour autant celle de Gatien, qu’elle continuait à masturber de ses lèvres chaudes, enduisant généreusement la colonne de chair de sa salive.
Jonathan était soumis à rude épreuve, et malgré le fait qu’il eut déjà éjaculé deux fois, sa jouissance revenait très vite. Il accompagnait chaque pénétration d’un rugissement. Il avait saisi Alicia aux fesses qu’il caressait rudement, appréciant la chair veloutée qui frissonnait d’excitation et de jouissance.
Car Alicia jouissait toujours. Son ventre semblait être un vaste réservoir de foutre. Ce jus d’amour coulait dans les poils pubiens de la chatte embrochée et sur les couilles du garçon. L’odeur s’en répandait dans la pièce, ajoutant à l’excitation des trois partenaires. Quand elle fut au bout de son orgasme, Alicia accéléra les mouvements de sa tête entraînant Jonathan à s’activer lui aussi. Le résultat ne se fit pas attendre et la belle vicieuse vit ses efforts récompensés. Les deux pines se gonflèrent en même temps. Les deux garçons se cambrèrent, grognèrent de plaisir, crispèrent leurs mains sur la croupe généreuse et sur la tête brune. Alicia était prête à recevoir les deux giclées. Elles arrivèrent ensemble, brûlantes, chaudes et épaisses. Le sperme de Jonathan frappa avec force le fond du vagin, celle de Gatien heurta le palais de la suceuse, puis coula sur sa langue.
Alicia était au comble du bonheur, un nouvel orgasme se déclencha. Son vagin se remplissait de bon sperme chaud, et dans sa bouche les giclées étaient rapides et consistantes. Mais trompée par son corps alangui par la jouissance, elle ne pouvait recueillir suffisamment vite le sperme de Gatien et de longues traînées s’écoulèrent à la commissure de ses lèvres, jusque sur son menton. Du côté occupé par Jonathan, d’autres gouttes visqueuses s’échappaient également de leur réservoir pour maculer ses cuisses et ses poils pubiens.
Anéanti de bonheur, notre ex-puceau s’était affalé sur le dos de la jeune femme et grognait de plaisir tandis que sa bite giclait toujours. Mais bientôt il débanda, la verge glissa hors du vagin et les dernières gouttes tombèrent sur le couvre-lit.
Il fallut plusieurs minutes pour que nos trois baiseurs reprennent leurs esprits. Radieuse, Alicia contempla ses jeunes amants.
« Bravo ! Vous m’avez drôlement fait jouir. J’ai la chatte bien graissée et la bouche tapissée de sperme. Mes petits salauds, vous êtes au point pour la grande fête, j’espère que vous serez en forme ».
« C’est quoi la grande fête ? » demanda innocemment Jonathan.
« Dès que possible, j’organise une fête. Et si tout se passe bien, ce sera une magnifique partie de cul. Une orgie quoi ! Une partouze ! Un baisage collectif ! » Ajouta-t-elle devant l’air ahuri du jeune homme. « Tu as compris ? »
« Oui, oui ! Je sais ce qu’est une partouze ! Vous allez en faire une ? »
« Ouais ! Dit Gatien. Et on compte sur toi ! »
« Vous m’invitez à participer ? Mais je n’ai jamais fait ça ! Et c’est quand ?… Ce sera le soir ? Ça finira tard ? »
« Ben oui ! On ne va pas faire ça en cinq minutes »
« Mais je dis quoi à ma mère ? Elle s’inquiète quand je rentre tard. Et en plus, mon père n’est pas là, elle va être encore plus inquiète. Vous êtes amies Alicia ! Difficile de dire que je viens chez vous et qu’elle n’est pas invitée, non ? »
« Véronique ta mère sera invitée, bien sûr. Elle ne supporterait pas de ne pas participer à une telle fête »
« Quoi ? Mais… Si c’est une partouze… Tu veux dire qu’elle aussi participerait ? Qu’elle b… Qu’elle baiserait avec nous ?… Je… Je ne pourrais jamais baiser devant elle ! Et elle ? Serait sans doute gênée que je sois là ? »
« Tu sais, dit Gatien, ta mère est comme ma belle-maman. Elle est très portée sur le sexe. Il n’y a pas si longtemps, je me la suis faite dans cette maison. Et c’est elle qui m’avait allumé ! Elle m’a carrément fait voir qu’elle ne portait pas de culotte sous sa minijupe en me mettant son superbe cul devant le nez, et après on a baisé. Belle-maman est venue nous rejoindre et nous avons fait une partie à trois. Comme aujourd’hui quoi ! Sauf qu’on avait un homme pour deux femmes. Mais tout ça c’est toujours pour avoir plus de plaisir en baisant. Plus on est de baiseurs plus on jouit »
Jonathan était abasourdi. Gatien avait couché avec sa mère aussi ?
« Le salaud ! Pensa Jonathan, il ne s’embête pas ! »
Mais Alicia lui souriait et le rassurait.
« Oui Jonathan, Véronique est comme moi. Nos maris ne nous font plus l’amour, malgré nos besoins et nos envies. Tu es à l’âge où on se fout des conventions. Dis-toi que ta mère est une femme qui, comme toutes les femmes d’aujourd’hui veut jouir de son corps. Exactement comme un homme. Et que tu as tout ce qu’il faut pour la combler. Alors oublie la différence d’âge, oublie l’interdit, le fait que c’est ta mère, elle n’attend que ça que tu fasses le premier pas, où est le problème s’il y a consentement de part et d’autre. Oublie son mari, ton père que tu vas ‘’faire cocu’’, si ça lui arrive, c’est qu’il l’a bien cherché. Et en plus, il s’en fiche, c’est sûr »
Jonathan était presque convaincu. Alicia l’attira contre elle et l’embrassa sur le coin des lèvres, presque chastement. Mais ce baiser innocent réveilla le désir du jeune homme qui le transforma en baiser brûlant qui chassa toutes ses angoisses.
« Vous avez raison, je viendrai. Je suppose qu’au début nous serons un peu gênés. Mais après… »
L’heure avait tourné, Jonathan quitta à regret ses amis et rentra à la maison, non sans avoir à nouveau embrassé langoureusement Alicia et profité de sa nudité pour caresser ses seins.
Véronique l’attendait et commençait à s’inquiéter, car elle n’était pas au courant des manœuvres d’Alicia. Dès qu’il pénétra dans l’appartement, elle se rasséréna.
« Tu rentres bien tard Jonathan ! Où étais-tu ? Je commençai à m’inquiéter! »
Jonathan contempla sa mère, se remémorant de ce que Gatien lui a raconté sur la façon dont elle l’avait aguiché. Elle était très belle et très sexy. Il comprenait que Gatien n’ait pas résisté à ses charmes. Ses cuisses légèrement ouvertes étaient admirables, bien qu’un peu fortes. Son corsage était plein à craquer. Soudain Jonathan eut envie de la voir nue, de la caresser des yeux et de ses mains…
« J’étais chez Gatien, nous avons écouté des disques et regardé des photos »
« Et ça a duré plus de trois heures ? » demanda sa mère qui connaissant Alicia, commençait à soupçonner qu’il ait pu se passer autre chose. En même temps, elle se demandait si dans ce cas, son fils oserait le lui avouer.
« C’est que… » Commença Jonathan très gêné.
« Quoi Jonathan ? Il s’est passé quelque chose ? »
‘’Et puis zut’’, se dit le jeune homme, si ma mère est aussi délurée qu’ils me l’ont décrite, elle ne doit pas être choquée si je lui dis la vérité.
« Ben voilà… Alicia est venue nous rejoindre et… »
‘’J’en étais sûre pensa Véronique. La salope n’a pas pu résister au plaisir de se taper un autre petit jeune tout neuf. Ça l’excite d’initier les jeunes ! La salope ! Elle profite de tout ! En plus deux jeunes comme eux ! Elle a du en prendre un max !’’
« Et quoi ? Vas-y raconte ! »
« Ben, on a fait l’amour quoi !… Et c’était vachement bien ! »
« Tu as couché avec Alicia ?… Et c’était la première fois, que tu couchais avec une femme ? »
« Ben oui ! Mais ça y est, c’est fait ! »
« Et c’était comment ? »
« Merveilleux ! Je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer !… C’est vrai que tu… C’est vrai que toi tu as fait l’amour avec Gatien ? »
« Oui c’est vrai ! Comme toi aujourd’hui avec Alicia. Ça te choque? »
« Pas tellement. Avant je la voyais comme une adulte. Pas de ma génération, quoi ! Plutôt comme ton amie. Aujourd’hui, pour moi, c’est une femme, c’est tout ! Et je suis vachement content d’avoir fait l’amour avec elle. Et puis, j’ai appris beaucoup de choses. Quand j’avais baisé la première fois Alicia, Gatien est venu nous rejoindre, et on a fait une partie à trois. Il l’a baisée, et puis elle l’a sucé pendant que je la prenais en levrette. Alors tu sais… »
« Et ça t’a choqué de faire l’amour à trois ? » demanda sa mère visiblement excitée ».
« Tout est allé très vite. Je n’ai pas eu le temps d’y penser. Maintenant je trouve ça naturel. Et c’était super ! Et je… Ils veulent faire une fête… une part… Une partouze comme dit Alicia qui veut que je participe. Et elle dit que tu… Que tu y seras aussi ! Ça ne te dérangera pas qu’on soit dans la même part… Ensemble à cette fête ? »
« Moi ? Personnellement pas du tout ! Mais toi ? Tu auras peut-être l’impression d’être surveillé ? Tu as peut-être vis-à-vis de moi la même impression que tu évoquais tout à l’heure au sujet d’Alicia. Que je ne sois pas de ta génération ! Une vieille quoi ! »
« Oh non ! Même si tu es ma mère, je te trouve très désirable ! Ça me fait comme pour Alicia ! »
« Tu veux dire que tu aurais aussi envie de faire l’amour avec ta propre mère ? »
« Euh ! Ben oui, si tu n’étais pas ma mère ! Mais peut-être que je te choque ? »
« Je ne sais pas Jonathan. J’ai en moi quelque chose qui dit non, parce que tu es mon fils »
« Maman ! Gatien fait bien l’amour avec Alicia, pourquoi pas nous ? »
« Jonathan, Alicia n’est que la belle-maman de Gatien, elle s’est remariée avec son père. Mais, après tout, s’était vraiment bon avec Gatien… Et ça pourrait bien me donner envie d’en faire autant avec toi. Je crois que c’est l’attrait des choses défendues. Peut-être aussi que d’éduquer un jeune homme me stimule. Ça me rappelle aussi mes premières fois. Je suis très « chaude » comme disent les hommes. Je suis comme ça depuis toute petite. C’est en partie parce que j’étais très portée sur le sexe que ton père m’a épousée. Mais il a changé ! Il ne m’a pas touchée depuis plus d’un an. Je crois que cette abstinence a augmenté ma perversité. Tu dois me juger très mal non ? »
« Pas du tout Maman ! C’est vrai que si on couchait ensemble, papa serait cocu. Mais au fait pourquoi il ne te touche plus ? »
« Je ne sais pas ! Je ne lui fais plus envie sans doute. J’ai supposé qu’il avait une maîtresse. Quelqu’un de très jeune sans doute. Les derniers temps, il trouvait mes seins trop généreux et ma chatte pas assez étroite… En tout cas, j’ai tenu presque un an. Et puis un jour, Alicia m’a proposé de faire l’amour avec Gatien avec qui elle venait de coucher la veille. Non seulement je me suis donné à son beau-fils mais aussi à Alicia car je suis devenue ce jour la une bisexuelle. Eh oui mon fils, maman aime aussi les femmes. Bref, j’en avais assez de cette situation. C’était la première fois depuis quinze ans que je restais chaste si longtemps. J’avais envie de baiser… J’avais envie de baiser à un point… J’ai sauté sur l’occasion, et j’ai énormément joui. »
« Tu as perdu ton pucelage très jeune? »
« Oui »
« Oh, Maman c’était comment ?
« Je veux bien, mais tout à l’heure, après le repas. Nous irons dans ta chambre à cause de la bonne. Pour l’instant viens dîner »
Deux heures plus tard, Jonathan, à demi allongé sur le lit, écoutait sa Maman qui, assise dans un fauteuil près du lit, racontait ses souvenirs de jeunesse.
À suivre….
MC
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