Un parfum d’autrefois !
Résumé :
Deux heures plus tard, Jonathan, à demi allongé sur le lit écoutait sa mère qui, assise dans un fauteuil près du lit, racontait ses souvenirs de jeunesse.
« Voilà ! Tu sais que je suis née près de Besançon. J’y ai passé toute mon enfance, et mon adolescence. Lorsque j’avais dans les neuf ou dix ans, je fus entraînée par des cousins et cousines un peu plus âgés que moi à participer à des petits jeux coquins entre garçon et filles. C’était tout simplement ce que les grands appellent communément du ‘’touche-pipi’’. J’y avais rapidement pris goût. Et si j’étais la plus petite, j’étais souvent la première à proposer de jouer au docteur ou à tout autre jeu qui nous amenait à ôter nos culottes et à nous tripoter. Mais à cet âge, les jeux ne peuvent pas être très variés et certains, lorsque leur curiosité avait été satisfaite, se lassèrent. Petit à petit, une sélection s’opéra donc dans mes complices de jeux coquins, et je finis par avoir une relation particulière avec mon cousin Éric. Il avait trois ou quatre ans de plus que moi et, bien sûr, il connaissait des tas de choses que j’ignorais. Il avait observé plusieurs fois des couples de jeunes gens qui flirtaient de façon plus ou moins poussée et tentait de les imiter avec moi. J’étais fière d’avoir des jeux ‘’d’amour’’ avec lui. On s’embrassait sur la bouche, on se mettait la main dans la culotte. Il caressait ma petite fente et j’avais plaisir à prendre en main sa ‘’quéquette’’ qui, à chaque fois devenait un peu dure et se dressait à l’horizontale, ce qui me ravissait. Bref, nous imitions autant que faire se pouvait les ‘’grands’’.
Je n’étais pas sortie de l’enfance quand nous nous sommes perdus de vue pour de nombreuses années. Comme il était mon idole, tout impubère que j’étais, je lui avais fait promettre que ce serait lui qui me déflorerait. Et j’étais tout à fait décidée à respecter ce pacte. Je te dirai plus tard dans quelles circonstances je pris cette résolution. Je veux d’abord te raconter mon adolescence au pensionnat.
En grandissant, je guettais, comme toutes les filles je crois, les transformations de mon corps : les poils qui apparaissent, le développement de mes seins. Seront-ils gros ou petits ? Quelle angoisse ! Et puis la puberté est venue, et la transformation s’est complétée. À ma grande satisfaction, j’héritai d’une poitrine assez opulente, ce qui changea le regard des garçons sur mon corps. J’eus bientôt de nombreuses sollicitations de leur part. Et comme j’étais toujours attirée par les jeux de sexe, mais que je voulais à tout prix garder ma virginité pour mon Éric, je devins très experte en masturbations et en fellations. Je n’ignorais rien de l’anatomie intime des garçons, ni de la manière de les exciter et de les faire éjaculer.
J’étais aussi experte en masturbation féminine. Pour moi-même d’abord, mais aussi pour faire jouir les autres filles. Mon expérience s’étendait à tout ce qu’on peut prodiguer comme plaisir en utilisant mes mains, mes lèvres, ma langue ou même mes seins à une fille ou à un garçon. Le week-end, je me laissais volontiers entraîner dans une cave ou un grenier par un garçon que je masturbais, ou que je suçais s’il était propre et gentil, jusqu’à ce qu’il éjacule tout son sperme. Je lui laissais aussi le choix de gicler entre mes doigts, sur mon ventre ou sur mes seins. Jusqu’au jour où je découvris le plaisir d’avaler le sperme.
L’expérimentation eut lieu avec le plus timide des garçons du quartier. Les autres s’étaient depuis longtemps donné le mot, et j’avais plus de sollicitations que d’envies. Par ailleurs ils me respectaient et, lorsque je disais non, aucun n’insistait ni ne me forçait à faire quoi que ce soit. Mais celui-là m’intriguait. Il ne me regardait jamais en face et il évitait de me parler. Je réussis quand même un soir à l’entraîner dans un grenier. Ce fut moi qui pris l’initiative de l’embrasser sur la bouche. Baiser qu’il me rendit à peine. Il restait les bras le long du corps, apparemment tétanisé. Ne voyant aucune caresse venir, j’ouvris son pantalon. Et là ! Miracle ! Je découvris une bonne grosse bite toute dure. J’eus à peine le temps de la prendre dans ma bouche qu’il éjaculait. Surprise, je fis ce que je ne faisais pas jusque-là, j’avalai. Et j’y trouvais un grand plaisir. Ce qui fait que par la suite, j’eus tendance à boire le sperme de mes partenaires plutôt que de le recevoir sur telle partie de mon corps. Ceci dit, je découvris aussi que le goût en était différent suivant les garçons, et je choisissais de boire ceux dont le goût me plaisait.
La semaine j’étais pensionnaire dans un lycée privé de filles. Nous étions quelques-unes à nous rendre la nuit dans les lits des autres, et nos caresses mutuelles nous donnaient souvent des orgasmes qui nous faisaient défaillir.
Ma complice la plus assidue de ces jeux se prénommait Caroline. Un jeudi après-midi nous avions déclaré, Caroline et moi, que nous étions indisposées et que nous avions mal au ventre. C’était le moyen radical pour être envoyées se reposer au dortoir, au lieu d’avoir à subir l’étude et la promenade. Nous croyant seule comme d’habitude, nous avons immédiatement commencé à nous faire du bien. Ma partenaire me fit d’abord jouir en m’astiquant le clitoris avec ses doigts. Puis elle se servit de sa langue pour me tirer une nouvelle coulée de cyprine. Pour la remercier, à mon tour, je lui léchai la chatte. Nous avions une telle maîtrise de ce genre d’exercice, et Caroline était si chaude, qu’en quelques coups de langue bien placés, elle commençait déjà à gémir de plaisir. J’insistai un peu sur son bourgeon de chair que je savais très sensible. Il était d’ailleurs relativement développé pour son âge et pointait fièrement son insolent bout du nez hors de sa fente. Ma léchouille, même rapide, fut suffisante pour la faire jouir sans retenue. Elle se tordait sous mes coups de langue, et m’inonda la bouche et le menton de sa mouille. Elle aimait rudement ça, tu sais, et je me souviens très bien qu’elle se pelotait les seins pendant que je lui grignotais la moule. Son orgasme terminé, je me redressai, la bouche barbouillée de foutre.
Caroline était encore pâmée quand je sentis une présence. Mademoiselle Solange, une surveillante, nous observait, à quelques mètres. Je me troublai ! Sans un mot, mais avec un geste impérieux, elle m’ordonna de la suivre. Sans discuter, j’enfilai rapidement la robe de chambre que j’avais posée sur le lit, et je la suivis, certaine d’être punie et probablement renvoyée. Au bout d’un couloir, elle me fit entrer dans sa propre chambre.
Mademoiselle Solange était la plus sévère des surveillantes. Elle avait un visage dur. Ses lunettes à grosse monture et ses cheveux tirés en un chignon strict rehaussaient son air revêche.
« Alors, Véronique, on fait des cochonneries avec son amie ? Vous n’avez pas honte ? Vous touchez le sexe et vous lécher les parties les plus honteuses de votre anatomie ! Et ceci entre filles en plus ! Vous avez encore le menton maculé de sécrétions dégoûtantes. C’est un péché mortel ! Un mot de moi à la Mère supérieure, et vous êtes immédiatement renvoyée, vous le savez ? »
« Oui, Mademoiselle », balbutiai-je plutôt troublée.
« Il y a longtemps que vous vous livrez à ce petit jeu ?… Allons répondez ! »
« Avec Caroline ?… Depuis deux mois seulement… Je vous jure que c’est vrai ! »
« Oui mais avant, c’était avec d’autres, n’est ce pas ? Vous aimez faire des saletés avec vos camarades, hein, petite vicieuse ? Peut-être même avez-vous eu des relations du même genre avec des garçons ? Répondez ! Vous avez peur que je vous dénonce ? Rassurez-vous si vous me dites tout, je saurai en tenir compte. Mais je veux que vous répondiez à ma question ! »
« Oui, Mademoiselle », dis-je, un peu enhardie par ses paroles. « Avec Caroline c’est… C’est très bon ! Avec les autres filles aussi… Mais avec les garçons, on s’est juste un peu touchés. C’est tout ! »
« Tu es vierge alors ?… C’est sûr ?… C’est bien ! Pour ce qui est de faire l’amour avec des filles, je vous pardonne… Et… Je te comprends, » dit-elle, abandonnant le vouvoiement. « Ça m’a excitée de vous voir vous lécher la fente avec Caroline… Tu sais, moi aussi j’aime ça… Tu voudrais bien avec moi ? Je t’apprendrai des choses »
J’étais complètement abasourdie par la proposition de la sévère Mademoiselle Solange. Je n’y avais jamais réfléchi auparavant. Pour moi il était évident que c’était une vieille fille qui devait être asexuée et complètement étrangère à tout ce qui pouvait toucher à l’amour physique. Or elle proposait à une pensionnaire d’avoir une relation homosexuelle. C’était incroyable ! Mais mes états d’âme furent de courte durée. Je n’avais pas le choix et elle le savait, la garce ! Et puis finalement, ça ne me déplaisait pas. Aussi je répondis avec juste ce qu’il faut d’enthousiasme, mais en gardant les yeux baissés.
« Oh oui, Mademoiselle. Je veux bien ! »
« Va dire à ton amie que tu ne restes pas près d’elle et rejoins-moi, que je goûte à ta petite chatte. Mais attention, hein ! Si tu dis un mot de ceci, je préviens la directrice, compris ? »
Je retournai près de Caroline et je trouvai un prétexte quelconque. Pendant cet intermède, je pensais à ce que nous allions faire. Passablement excitée par la situation, je revins près de la vieille fille. Elle s’était entièrement déshabillée pendant mon absence. Elle ferma la porte à clé et me débarrassa de ma robe de chambre. Elle contempla longuement mon corps nu, détaillant les courbes et les endroits intimes. Le contraste entre nous était frappant. J’étais bien formée, ma poitrine était orgueilleuse et pleine, mes hanches en amphore et mon cul bien rebondi. Elle, par contre, était du genre garçon manqué. Ses fesses étaient petites et musclées, ses épaules plutôt carrées et ses petits seins étaient agrémentés d’aréoles fort brunes, avec de petits tétons. Difficile de lui donner un âge. Cinquante-cinq ans peut-être ? Je n’ai jamais su.
Sans un mot, elle m’attira sur le lit. Elle se mit sur le dos, écarta largement les cuisses et me fit comprendre que je devais me mettre sur elle dans la position du 69. Je m’exécutai. Son clitoris était long et raide. Une vraie petite bite ! Je m’en emparai et me mis à le sucer et à l’agacer férocement avec la pointe de ma langue. Elle, de son côté, s’occupait de ma chatte. Elle était experte, et la langue qui fouillait ma vulve m’arrachait des gémissements de plaisir.
Notre 69 dura longtemps et nous avons joui plusieurs fois avec intensité. Mais après une heure de jeux érotiques, nous avons dû nous séparer. Par la suite, nous nous sommes retrouvées assez régulièrement. Puis un jour Mademoiselle Solange me dit ;
« Je vais te dépuceler, Véronique. Il vaut mieux que ce soit moi qui te le fasse, car les hommes ne savent pas faire ça correctement. J’ai là un godemiché, et c’est moi qui vais prendre ta virginité. Ça m’excite de te déflorer ! Ensuite toi aussi tu pourras me posséder »
Je ne répondis rien, car avec elle je n’osais jamais protester. Pourtant j’avais des sentiments mitigés sur le sujet. D’un côté, je m’imaginais que j’allais enfin connaître les joies que procure la pénétration par un sexe masculin. Bien sûr il serait factice, mais je ne savais pas s’il y avait une grande différence. De l’autre, j’étais un peu chagrinée, toujours à cause de ma promesse et à cette volonté de me faire dépuceler par Éric dont j’étais toujours amoureuse.
Mais comme je l’ai dit, je n’osais jamais discuter les ordres de Mademoiselle Solange. D’ailleurs, avant que j’aie pu réfléchir complètement à la situation, elle avait sorti l’engin. Il était long, gros et tout noir. C’était la reproduction parfaite d’un sexe d’homme. Ça ressemblait aux trucs que j’avais vus entre les cuisses des camarades de mon immeuble. Sauf qu’il était nettement plus gros et plus long, tout noir, et bien dur. J’avais un peu peur de recevoir ça dans ma petite chatte, mais Mademoiselle Solange me rassura.
L’engin était pourvu de lanières de cuir, et je la vis ceindre le gode et l’attacher, sur elle à l’aide de ces lanières. Elle enduisit ensuite la tige d’un gel destiné à faciliter l’intromission, et s’agenouilla entre mes cuisses qu’elle écarta largement. J’avoue que, dans la demi-pénombre de la chambre, elle ressemblait à un homme. Elle s’allongea sur moi, puis guidant le sexe factice, elle le présenta à l’entrée de mon vagin. Je haletai, un peu d’excitation, mais surtout de peur, lorsque je sentis le gland pénétrer entre mes lèvres basses. Elles étaient déjà bien enduites du foutre que les caresses de ma partenaire avaient fait couler et, le gel aidant, il n’y eut aucune résistance.
La surveillante poussait doucement. Tendue à l’extrême, je sentais cette grosse chose entrer en moi et m’emplir le vagin. Puis vint une espèce de picotement qui me fit me raidir, mais le sexe factice poursuivit son chemin. Un grand déchirement se produisit alors dans mon ventre, et j’eus très mal. Mais Mademoiselle Solange, une fois l’obstacle franchi, continua son introduction jusqu’à ce que nos pubis se touchent. Puis elle se mit à aller et à venir, faisant entrer et sortir la grosse tige noire dans mon sexe.
Sur sa recommandation, je glissai ma main entre nous et j’entamai des mouvements de masturbation sur le haut de mon clitoris. Avec cette thérapie, petit à petit la douleur disparut et fit place à un doux engourdissement. Elle m’encourageait d’une voix rauque, débitant les obscénités qui, elle le savait, m’excitaient. Bientôt mon bas-ventre se contracta, mes seins devinrent durs, et je gémis de plaisir lorsque la première giclée de cyprine jaillit de ma chatte en feu. La surveillante continuait à limer sans relâche, et je jouissais comme je ne l’avais jamais fait.
Et puis d’un coup elle s’arrêta de limer et se tortilla contre moi. Elle se cambra. Le gode entra encore plus profond, m’arrachant un nouveau gémissement. Elle cria, et je compris qu’elle aussi jouissait. C’était une vraie gouine, et de m’avoir baisée l’avait fort excitée. De plus la lanière de cuir qui passait entre ses cuisses devait frotter sur son clitoris qui était l’endroit le plus érogène de son anatomie. Cette branlette improvisée semblait l’avoir achevée et maintenant elle mouillait abondamment en me pétrissant durement les seins. Je…
Véronique interrompit son récit car son fils Jonathan, trop excité par ce qu’elle racontait, avait ouvert son pantalon. Il avait sorti sa pine bien raide, et s’était mis à se branler avec vigueur.
« Jonathan, tu te masturbes ? Ce sont mes souvenirs qui t’excitent ? »
« Oh oui Maman ! Je n’en peux plus ! Il faut que je fasse quelque chose. Même si j’ai déjà déchargé deux fois avec Alicia, j’ai encore envie de baiser. C’est de ta faute Maman ! Me raconter que tu as été déflorée par une gouine équipée d’un gode noir, c’est indigne ! Je m’imagine… Tu es une belle salope aussi, Maman »
« Oui mon fils tu as sans doute raison… D’ailleurs, moi aussi ça m’excite de te raconter mes souvenirs, et aussi de te voir caresser ta belle queue… Que tu te branles… Huuuum ! Petit salaud !… Attends ! Moi aussi , je vais me masturber. On va le faire ensemble » dit Véronique en relevant sa minijupe.
Comme elle a l’habitude de ne plus porter de culotte depuis des décennies ou très rarement, Jonathan ébloui, découvrit la magnifique chatte blonde de sa mère.
« Tu n’as pas de culotte ? Oh ! Maman ! »
« Tu ne t’en rends compte que maintenant Jonathan ? Tu n’es pas très observateur ! Pourtant avec mes jupes et robes mini cela devrait attirer ton attention, c’est ce que font la totalité des hommes ; parfois même les femmes de zyeuter sous les jupes des femmes pour savoir si elles en portent une ou pas ».
« À vrai dire, non je n’ai jamais fait attention vraiment à ce que tu portes comme sous-vêtement, peut-être une fois quand tu as étendu le linge ou j’ai remarqué un ou deux soutiens-gorge mais aucune culotte ».
« Tu vois ta Maman aime être libre sous ses jupes, j’aime sentir l’air frais frôler mon sexe, j’aime exciter les hommes qui se posent des questions en porte-t-elle ou pas ? »
L’excitation de Jonathan augmenta d’un cran, de savoir que sa mère ne porte depuis longtemps plus de culotte, accéléra instinctivement sa masturbation. Sa maman, plaqua sa main entre ses cuisses largement ouvertes et se mit à se frotter le bouton et à introduire ses doigts entre ses lèvres basses déjà bien trempées de la liqueur qui avait coulé de son sexe. Jonathan, subjugué par cette vision pornographique, accéléra encore ses coups de poignet. Véronique, tout en continuant à s’astiquer le clitoris, glissa une main dans son corsage qu’elle ouvrit pour découvrir ses seins lourds et pulpeux. Elle écarta rapidement les demi-bonnets de son soutien-gorge, faisant jaillir ses tétons aux aréoles blondes.
« Oh Jonathan, qu’elle est belle ta bite, elle est plus belle que celle de ton père ! Je la vois qui gonfle… Tu vas éjaculer, petit salaud ! Tu vas éjaculer… Ça y est ! Ça vient ! Elle gicle !… Tu jouis ! C’est superbe ! Ah ! J’aime ça, voir gicler le sperme d’une belle bite qui en plus est celle de mon fils ! »
Jonathan était en pleine éjaculation. Il tenait sa verge à la verticale et le sperme jaillissait de la petite bouche au sommet du gland comme d’une fontaine, retombant en longues gouttes sur son ventre et sur ses cuisses. Véronique, très excitée par la vue de son fils en train de jouir, continuait sa masturbation. Elle se frottait toujours le bouton et se pelotait les seins de l’autre main. De temps en temps, ses doigts pénétraient dans son vagin pour y cueillir quelques gouttes de cyprine dont elle s’enduisait le clitoris bien gonflé. Alors que les dernières gouttes de sperme s’écoulaient du méat de Jonathan, sa mère atteignit l’orgasme. Ce fut violent, tant l’excitation de se masturber en face de son fils avait été grande.
Bien que l’émotion ait été intense, en particulier durant la dernière phase de leur duo de masturbation, la mère et son fils retrouvèrent petit à petit leurs esprits. Ce fut Jonathan qui reprit le dialogue :
« Tout ce que tu me racontes Maman m’excite beaucoup, tu sais… Je… Je ne sais pas si je peux te dire ça, mais… Je me suis souvent masturbé en pensant à ton corps »
« Oh ! Pauvre petit chéri ! Je ne me doutais pas que tu pensais à moi de cette façon-là. Pour moi, j’étais trop âgée pour t’intéresser. Je suis flattée que tu me trouves désirable et que tu te caresses en pensant à mon corps… Qu’est-ce qui t’explique le plus ? »
« Ben ! Tout ! Tout quoi ! Ton… cul, tes seins, tes cuisses, ta… Ta chatte. Enfin ce que j’imaginais dans ma tête quoi ! Parce que je n’avais eu que des visions quelque peu fugitives. Mais… Je… Je ne sais pas…. Tu es après tout ma mère et cela s’appelle de l’inceste, c’est ça qui m’intrigue ! »
« Jonathan, au diable l’inceste, je suis ta mère, d’accord, mais crois-tu que je t’aurais raconté dans les détails mes souvenirs d’enfance ? Tu crois que j’aurais accepté que tu te masturbes devant moi ? Tu crois que je t’aurais montré que je ne porte pas de culotte ? Et tu crois que je me serais masturbée devant toi ? »
« Oui, Maman tu as raison, je t’aime »
« Ben voilà, revenons au dialogue, est-ce que tu vois est aussi beau que dans ton imagination ? »
« C’est beaucoup mieux ! Qu’est-ce que c’est beau ! »
« Merci, Jonathan. Tu es gentil ! »
« Oui, mais maintenant j’ai très envie de faire l’amour avec toi. Avant je pensais que c’était un rêve inaccessible de faire l’amour avec ma mère. Mais depuis que j’ai baisé avec Alicia, je ne pense qu’à ça ! Tu voudras bien, Maman ?… En plus, ça simplifierait le problème pour la fête d’Alicia.
« Je… C’est d’accord, mon fils »
« Maman tu es merveilleuse ! Je t’adore. Quand est-ce qu’on le fait ?… Tu veux bien maintenant ? »
Véronique éclata de rire.
« Tu es infatigable ! Écoute, malgré tout j’ai encore une certaine gêne… Si nous faisons l’amour, il faut que ça vienne naturellement quoi ! Qu’on soit bien excités tous les deux ! »
« Mais moi je suis super excité ! »
En effet, miracle de la jeunesse, la verge de Jonathan encore luisante de sperme, commençait à relever la tête à la simple perspective de baiser sa mère.
« Tu… tu crois que tu vas y arriver ? Même après tout ce que tu as déjà joui ? Parce qu’en plus, ça sera la première fois pour toi, non ? Il ne faut surtout ne pas rater ça ! »
« J’ai envie de toi, Maman ! Je veux que tu me fasses connaître l’amour, le vrai ! S’il te plaît… En plus, comme j’ai déjà déchargé une fois, je risque moins que ça parte tout de suite. Il paraît que c’est souvent le cas la première fois si on est impatient et très excité !… Et c’est mon cas ! »
« Bon d’accord ! Tu as de ces arguments ! Attends un peu ! »
« Mais tu veux peut-être que j’aille me laver ? J’ai le ventre et la queue pleins de sperme »
« Non, non ! Surtout pas, mon chéri. Ne bouge pas ! Ou plutôt enlève ton pantalon pendant que je finis de me déshabiller »
Véronique se débarrassa rapidement de sa minijupe, de son chemisier et se son soutien-gorge à balconnets pour apparaître magnifiquement nue. Aussitôt, elle s’assit sur le rebord du lit près du corps dénudé de son fils. Prenant la verge à demi bandée entre ses doigts pour la redresser complètement, elle se pencha de manière qu’elle vienne se loger entre les globes laiteux de ses seins. Puis elle se pencha en avant et entrepris de lécher la petite mare de sperme qui s’était formée autour du nombril.
Incrédule, Jonathan, qui contemplait sa mère avec ravissement, gémit de bonheur et d’excitation. Les cheveux blonds caressaient son ventre, créant des ondes nerveuses qui parcouraient son corps agité de tremblements convulsifs. Sa queue, enserrée entre ces deux seins si chauds et si doux, se redressa d’un coup, dure et tendue ! S’il n’avait pas eu plusieurs éjaculations, elle aurait aussitôt craché sa semence.
« Maman !… Maman !… Je… J’ai envie ! Je bande fort ! Ça fait presque mal tellement c’est fort !… Quand je suis comme ça, il faut que je me masturbe ! Je ne peux pas résister !… Je… Donne-moi ta chatte s’il te plaît ! Donne ! »
Mais sa mère, excitée par le goût et l’odeur du jeune sperme, ne voulait pas être privée de son plaisir d’en profiter jusqu’au bout.
« Attends, chéri ! Attends que je goûte ta belle queue avec ma bouche avant de la mettre dans ma chatte. Sois patient ! »
La verge de Jonathan passa directement du sillon mammaire à la bouche pulpeuse et aux lèvres charnues de sa maman qui, sans attendre, passa sa langue agile tout autour du gland et le long de la tige de chair afin de recueillir les gouttes de sperme qui n’avaient pas été essuyées par ses seins. Sous la caresse, Jonathan eut l’impression que son membre ô combien viril, grossissait encore.
« Oh ! Que c’est bon ! »
« Ta bite aussi est bonne ! Dit Véronique qui avait terminé son nettoyage ! « Tu as l’air d’aimer les pipes ? C’est la première fois qu’on te suce, mon chéri ? »
« Oui ! C’est super ! Continue ! »
« Ah ! Faut choisir mon fils ! Ou bien on baise, ou bien je te suce. Je ne peux pas faire les d’eux »
« On baise alors ! »
« Ne bouge pas, mon chéri ! Laisse-moi faire ! »
Véronique enjamba rapidement son fils. Elle prit en mains le membre tout raide qu’elle dirigea vers l’entrée de son vagin trempé de mouille. Lorsque le gland fut littéralement englouti entre les grandes lèvres de son sexe, elle abaissa lentement ses hanches, profitant au maximum de la divine sensation que lui procurait cette lente introduction. Jonathan crut défaillir de bonheur ! C’était ça, faire l’amour ? C’était bien plus merveilleux que ce qu’il avait imaginé.
Agenouillée de part et d’autre du corps tendu vers elle, appuyée sur ses bras tendus, Véronique commença une lente chevauchée sur le sexe dressé. Elle bougeait lentement de droite et de gauche, guidant la pointe du gland gorgé de sang dans les moindres recoins de sa grotte d’amour.
« Caresse mes nichons ! »
Jonathan empauma les deux seins qui dansaient doucement au-dessus de lui, et les malaxa doucement.
« Plus fort, chéri ! Pince-moi les bouts ! »
Jonathan s’exécuta. Avec précaution d’abord, puis plus violemment en entendant sa mère gémir de plus en plus fort et en voyant son visage se crisper sous l’effet de la jouissance.
« Oh ! Oui ! Oh ! Oui ! Oh c’est bon ! Chéri ! Chéri ! Chéri ! Ouiiii ! Je jouis, mon fils ! C’est boooon ! »
Sous l’action de la bite qui la fouillait au plus profond et des dures caresses sur les tétons, Véronique venait de se laisser aller à son premier orgasme. Subjugué, son fils regardait avec ravissement le plaisir l’envahir. Tout le corps de sa mère était tendu et palpitait sur le pieu de chair qui la clouait au plaisir. Les parois de son vagin se serraient convulsivement autour du sexe dur. Elle secouait la tête de droite à gauche, faisant flotter ses cheveux blonds au rythme de l’onde de plaisir qui la submergeait. Il sembla à Jonathan que l’orgasme n’en finissait pas.
Enfin Véronique sembla sortir de son nirvana. Lentement elle reprit sa chevauchée. Lentement ! Très lentement ! Toujours avec des mouvements latéraux pour mieux frotter ses muqueuses sur la pointe de chair. Jonathan avait repris ses caresses sur les globes veloutés et les mamelons érigés. Doux et légers d’abord, ses doigts se firent durs au fur et à mesure que sa maman accélérait sa chevauchée. Celle-ci devint cavalcade car Véronique, contrairement à la première fois voulait faire jouir son fils en même temps qu’elle. Ce frottement rapide et intense sur la jeune verge fut rapidement couronné de succès. À peine Jonathan eut-il le temps de sentir monter sa jouissance que sa semence gicla violemment hors du méat pour frapper la matrice et inonder le sexe de sa Maman. Cette sensation entraîna un nouvel orgasme chez Véronique qui s’affala sur le torse juvénile, sur lequel elle écrasa ses seins aux tétons durcis par le plaisir. Un baiser tendre et profond les unit.
Il leur fallut quelques minutes pour reprendre leurs esprits. La verge de Jonathan avait fini par se recroqueviller et sortir de l’antre du plaisir. Le sperme avait commencé à suinter d’entre les grandes lèvres et à se répandre dans les toisons des deux amants. Puis Véronique avait basculé sur le lit près de son fils.
« Alors, mon chéri ? Est-ce que tu as aimé faire l’amour ? »
« Merveilleux ! C’est bien mieux que ce que m’avaient raconté les copains ! »
« Pourquoi ? Qu’est-ce qu’ils t’ont raconté ? »
« Ben ! En fait ils disent que ça va vite, quoi ! Tu entres, tu limes, et puis ça vient et tu décharges, quoi ! Enfin, il y en a qui disent qu’il faut attendre que la fille jouisse, mais j’aurais jamais pensé que c’était si merveilleux de voir et de sentir une femme jouir… Et puis que ce soit toi qui sois dessus, c’était… C’était merveilleux, quoi ! »
« Tant mieux chéri ! C’est important que tu aies compris dès la première fois que faire l’amour ce n’est pas uniquement décharger ton sperme le plus vite possible. Je t’apprendrai plein de choses ? Tu verras, c’est encore plus merveilleux que tu ne penses »
« Tu veux qu’on aille se laver ? »
« Sûrement pas ! Je veux garder ton sperme en moi et sur ma peau… Et en profiter ! On est bien là, non ? Tu ne trouves pas ? »
Véronique s’était blottie comme une petite fille la tête sur l’épaule de son fils.
« Et si tu continuais à me raconter tes expériences ? Tu m’as raconté comment tu as perdu ton pucelage, mais tu ne m’as pas dit si ta Mademoiselle Solange avait voulu à son tour que tu la baises avec ce gros godemiché. Et puis, moi je croyais que tu allais me raconter ta première expérience avec un homme. Raconte! »
« Je veux bien ! D’autant plus que ça s’est passé dans des conditions peu banales. Mais avant je veux répondre à ta première interrogation : oui ; j’ai moi aussi porté la prothèse »
Quand son orgasme fut épuisé, Mademoiselle Solange me dit :
« À toi maintenant ! »
Elle défit les lanières, et se chargea de fixer la bite factice qui bientôt pointa fièrement à la fourche de mes cuisses. Je voyais mon reflet dans une glace, et je fus un instant fascinée. L’effet était différent de ce que cette prothèse provoquait lorsqu’il était ajusté sur le corps de la surveillante. Moi j’avais des formes de femme, et cette bite dressée combinée à la grosseur de mes seins me donnait une impression d’être hybride. Pendant que je me contemplais, elle s’était mise à quatre pattes sur le bord du lit.
« Allez, mets-la moi », dit-elle brutalement.
Je me plaçai entre ses jambes, et j’abaissai le gode pour présenter le gland à l’entrée de son vagin.
« Non ! Pas là ! Dans le cul ! Encule-moi, comme un mec ! »
Elle devait avoir l’habitude d’utiliser cet engin de cette manière, car bien qu’elle soit plutôt étroite des hanches, son anus ne fit aucune difficulté pour l’engloutir. Pendant que je faisais aller et venir le gode entre ses fesses, elle ne cessa de se masturber. Elle finit par jouir intensément.
Elle m’expliqua, peu de temps avant la fin de l’année scolaire, qu’elle avait été violée par un homme et que, depuis, elle ne pouvait plus supporter un sexe masculin, même factice, dans sa chatte.
« Voilà !… Maintenant tu veux que je te raconte ma première fois avec un homme ? D’accord, mon chéri ? Mais tu es sûr que ça t’intéresse ? »
« Vachement, oui ! »
« Je croyais que tu avais voulu que je te raconte ça uniquement pour avoir une excuse pour qu’on soit amenés à baiser ? »
« Pas du tout ! Tu es une mauvaise langue ! Je prends beaucoup de plaisir à écouter tes souvenirs. Tu parles que ça m’excite ! Et j’aurai peut-être encore envie de toi Maman. Mais j’ai surtout envie de connaître la suite »
« Bon ! Puisque tu insistes ! »
À suivre….
MC
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