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Le piège de Jeanne transforme Nicole en chienne en chaleur Chapitre 1

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L’histoire comportera 15 chapitres. Ils seront publiés un soir sur deux à 20h précise. L’auteur a du talent et un une belle imagination. Vous allez vous régaler et nous aussi ! Bonne lecture.

Nous sommes tous réunis autour d’un lunch chez Laure et Frédéric pour leurs trente ans de mariage. Mon mari, Jacques, est là aussi. Pour une fois qu’il n’est pas en déplacement. Le printemps est bien là, le soleil chauffe les invités en ce dimanche d’avril, et le punch coule à flots dans les verres. Mon verre n’a pas le temps de se vider complètement que Jeanne, une connaissance de longue date, vient me le remplir avec un petit sourire. Je commence à avoir chaud moi aussi, mais, chose incompréhensible, c’est dans le bas de mon ventre que naît cette chaleur.

Les pointes de mes seins durcissent et deviennent sensibles, je me sens troublée, la tête me tourne un peu. Je m’éloigne des invités pour que mon mari ne me voie pas dans cet état, car il se moquerait de moi devant tout le monde en disant que je suis saoule. Je fais le tour de la maison et rentre dans une petite serre adossée au mur de clôture, dans le fond du jardin. Il règne là une douce chaleur climatisée. Je contemple les orchidées de toutes les couleurs.

Soudain je sens deux mains chaudes glisser sur mes cuisses, remontant ainsi ma robe. Je laisse faire, pensant que c’est Jacques qui vient enfin s’occuper de moi dans ce petit coin isolé de la fête. Il y a bien longtemps qu’il ne m’a plus fait l’amour. Quand il n’est pas en déplacement professionnel, il est dans le garage à restaurer une vieille voiture. Il approche de la soixantaine et moi j’ai quelques années de moins. Les mains vont directement sur mon fessier. Je pousse un petit gémissement quand elles serrent mes fesses.

J’aime me faire peloter le cul et je sens ma chatte mouiller quand elles pressent mes fesses en passant des doigts dans la raie de mon cul. Je sens surtout la queue durcir contre ma hanche. Je suis étonnée de voir la vitesse à laquelle il prend du tonus. Une main s’est glissée dans ma petite culotte pour descendre sur ma vulve, qu’elle a commencé a masser. Puis deux doigts ont écarté mes grandes lèvres pour s’introduire dans la moiteur de mon puits d’amour. J’écarte les cuisses pour lui faciliter le passage. – Tu mouilles bien, tu es en manque ?

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 Je sursaute, je me retourne en serrant les cuisses, c’est Gilles le beau-frère de Laure. Horrifiée d’avoir été touchée intimement, je lui ordonne de me laisser sinon j’en ferais écho à mon mari. – Il faudrait d’abord que tu libères ma main de ta chatte en chaleur. Et ne me dit pas que tu n’as pas envie de moi, j’ai remarqué que tu m’observais et ce n’est pas la première fois que je m’en aperçois. Même Jeanne me l’a déjà fait remarquer. J’ouvre mes cuisses qui s’étaient refermées par réflexe quand j’ai sursauté de surprise. Le pire c’est qu’il a raison, je l’ai maté à plusieurs réunions en me créant des infidélités imaginaires.

— Il faut pas prendre tes rêves pour de la réalité, lui réponds-je en poussant sa main hors de ma culotte. Gilles m’attrape par les cheveux. Je vois bien qu’il fait quelque chose avec son autre main.

— Arrête Gilles, tu me fais mal. Il me tire la tête vers le bas en tordant plus fort mes cheveux. J’ai le réflexe de mettre mes genoux à terre en espérant diminuer la douleur. Là je comprends ce qu’il faisait avec son autre main. À genoux devant lui, je me retrouve avec sa bite devant mon visage. Il l’a sortie de son pantalon.

— Tu vas me sucer Nicole. Jacques ne le saura pas, ce sera un petit secret entre nous. Je te lâcherais pas tant que tu ne m’auras pas fait cette fellation jusqu’au bout ! Vaincue, j’accède à sa demande. Les verres de punch ont endormi ma volonté et m’ont excitée depuis un bout de temps. Je trouve moi-même la tête de la bite de Gilles, qui entre dans ma bouche. Je suis surprise par la saveur et la douceur de ce morceau de chair, alors qu’avant cela me déplaisait fortement de sucer mon mari. À genoux devant lui, j’avale sa queue, il me tient par les cheveux et il fait coulisser sa bite rapidement entre mes lèvres.

 Cela fait au moins cinq minutes que je suis à genoux devant lui à sucer son membre. À force de le sucer, je mouille comme une chienne en chaleur. Totalement excitée, j’oublie tout maintenant, les invités, la fête, mon mari. Je prends goût à être à genoux devant Gilles.

— Je savais bien que tu étais une bonne suceuse. Continue, ça monte. Ses mots m’excitent encore plus, je m’acharne de plus belle sur la queue de Gilles. Sa bite gonfle de plus en plus dans ma bouche. Je sens le gland tressauter sur ma langue, je ne réalise pas tout de suite ce qui se passe, je manque de m’étouffer sous la première giclée qui fuse sur mon palais.

— Avale salope ! Avale tout… Gilles retient ma tête et ma bouche que je veux retirer de sa bite. Je n’ai pas d’autre choix que de laisser sa queue remplir ma bouche de son sperme. Quand je sens que ma bouche est tellement pleine, je ne peux par nécessité, qu’avaler cette crème que j’apprécie quand même. Je ne veux plus lâcher la bite de Gilles, je continue à la sucer pour ne pas perdre une goutte de son plaisir. Il a lâché mes cheveux en poussant ma tête en arrière. Puis il a remis sa bite dans son pantalon et est sorti de la serre sans un mot, me laissant là abasourdie, complètement perdue comme dans un rêve.

Mais je n’ai pas rêvé, mes genoux me font mal et j’ai encore le goût de son sperme dans la gorge. Je reste là, assise sur une chaise, une main sur ma culotte humide en me demandant quelle est la cause de cette soudaine excitation en pleine fête entre amis. Deux semaines sont passées depuis l’incident dans la serre de Laure, je suis toujours à m’interroger sur ma soudaine bouffée de chaleur dans mon bas ventre. Ce dimanche, Jacques et moi sommes invités au repas d’anniversaire de Jean. Je ne suis pas enchantée, car je sais qu’il y aura Gilles, qui a profité de ma faiblesse à tenir l’alcool pour user de ma bouche dans la serre chez Laure.

 Nous sommes nombreux et je me retrouve assise en face de Manuel, un collègue de travail âgé de cinquante ans. Je le soupçonne de fantasmer sur moi au travail. Pendant l’apéritif Manuel m’avait glissé à l’oreille qu’il voulait me rencontrer seule dans la petite dépendance à l’extérieur de la maison. Au milieu du repas il quitte la table. J’attends quelques instants, et me lève aussi. Je me dirige vers l’extérieur quand j’entends Gilles m’appeler.

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– Nicole ! Que t’arrive-t-il aujourd’hui ? Tu n’as pas l’air dans ton assiette ?

– Laisse-moi, il faut que j’aille prendre l’air, je suis fatiguée.

– Je peux t’accompagner ?

– Non je préfère rester seule.

Je sors, sentant le regard de Gilles dans mon dos. Je rentre dans le cabanon où je retrouve Manuel qui m’attend en train de regarder des photos.

– Que veux-tu Manuel ? Je n’ai pas beaucoup de temps.

 – Tu es très photogénique, regardes. Il me tend des photos où l’on me voit, dans la serre de Laure, à genoux devant Gilles en train de lui faire une fellation.

La situation est plus que compromettante pour moi. Qui a bien pu prendre ces photos ? Nous étions espionnés.                                                                                                                                                  – Dis-moi, ton mari est au courant de tes activités extra-conjugales ?

 – Tu es un personnage répugnant. Que veux-tu de moi ? De l’argent ?

– C’est une idée, mais en attendant j’ai d’autres projets pour toi. On va voir tout de suite si tu suces aussi bien que ce que je vois sur les photos. Il me prend par une oreille et m’abaisse jusqu’à son bas ventre.

— Me donneras-tu les photos, si je le fais ?

— Bien sûr, ma jolie collègue de travail, je ne suis pas fou non plus. Allez, suce-moi tout de suite. J’ouvre son pantalon et en sors son sexe flasque. Manuel me rapproche la tête et place son membre à l’entrée de ma bouche. J’aspire ce morceau de viande avec mes lèvres. Je le sens gonfler immédiatement.

Il me tient par les cheveux tout en faisant coulisser son sexe devenu énorme au fond de ma bouche. Une de ses mains s’attarde sur mes seins, les pelotant au travers de mon chemisier. Je sens son rythme s’accélérer, sort son membre, je lèche son gland avant qu’il me remette son sexe en bouche. La fin est proche.

— T’es vraiment une bonne suceuse ! T’es qu’une salope ! Je vais jouir ! Quand il m’insulte comme ça c’est qu’il n’est pas loin de jouir. Qu’est-ce que je disais ? Son sperme jaillit dans le fond de ma gorge par saccades, chaud et crémeux.

— AARRRRHH ! Avale putain ! De toute façon je ne peux pas faire autrement, c’est tout juste s’il ne jouit pas directement dans mon estomac. Il se retire, satisfait. Manuel se rajuste. Je me redresse pour prendre les photos.

— Non, je les garde ma belle. J’ai d’autres projets pour toi. Et ne t’inquiète pas, ton mari ne saura rien tant que tu m’obéiras.

— Salaud ! Tu m’avais promis de me les donner.

 — Tu rêves ! Je ne vais pas me priver d’une si bonne suceuse. Manuel sort, me laissant seule. Je viens de me faire avoir. Je reprends mon souffle, avant de rejoindre les autres. La porte s’ouvre à nouveau et je vois Jeanne apparaître.

J’ai tout vu Nicole !

 — Quoi ?! Que fais-tu ici ? Va-t’en, tu n’as rien vu du tout.

— J’ai tout filmé avec mon portable, regarde comme tu es belle. Tu devrais faire du cinéma. C’est mieux que les photos que j’ai prises dans la serre chez Laure.

— C’était toi les photos ? C’est toi qui les as données à Marcel ?

 — Oui c’est moi, et c’est moi aussi qui t’ai servi le punch. J’avais mis dedans de quoi t’exciter en te rendant docile.

— Que veux-tu ?

— Que tu deviennes une chienne en chaleur.

— Mais pourquoi ? Pourquoi tu fais ça ?

Elle sort en laissant la question sans réponse. J’ai toujours le goût de sperme plein la bouche. Je retourne au lunch près de Jacques pour me rincer la bouche en avalant un verre de vodka.

La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture

 

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