Un vendredi soir, vers dix neuf heures alors que je m’apprête à passer à table, on sonne à la porte. C’est l’ouvrier, que Marcel m’avait envoyé pendant l’absence de mon mari pour réparer la fuite dans le sous sol . Il est avec un collègue pour contrôler que la réparation est conformes. Je trouve cela un peu curieux venant de la part d’un ouvrier, mais je les laisse descendre au sous sol pour voir qui n’y a plus de fuite, en remontant. Je leur propose naturellement de boire un verre.
-C’est Marcel qui ma dit de venir ce soir avec un copain pendant que ton mari n’est pas là .
Je comprends mieux leurs venu, je dois satisfaire ses hommes qui ont certainement payer Marcel .
Nous sommes dans le salon, eux sur le canapé et moi en face dans le fauteuil. Il fait assez chaud ce soir et je suis vêtu d’une robe d’été, bien décolleté, sans soutien gorge et d’un string . Ni vulgaire, ni provocante, juste adapté à ces chaleurs printanières .
Après le deuxième verre, j’ai plus de courage pour me donner a ces inconnus. Je me suis aperçue que le deuxième n’arrête pas de regarder avec insistance, soit mes cuisses, soit mon décolleté sans la moindre gêne et qu’il a l’air d’y prendre un certain plaisir. Cela provoque en moi un certain émoi. Lui a environ trente ans et je suis assez flatté de le voir mater mes attributs. Nabil, le plus vieux remarque aussi mon trouble. En la présence des deux hommes je suis troublée et c’est l’érection de la pointe de mes seins qui leur dévoile que je vais être leur chienne d’un soir. La bosse sur le pantalon de Malik me le confirme . Je dois reconnaître que je mouille malgré moi, je suis dans un état second a l’idée de me soumettre à des inconnus. Ils m’invitent à venir m’asseoir entre eux et c’est sans résistances que je m’exécute. Très délicatement Malik commence à me caresser les cuisses, Nabil m’embrasse dans le cou en caressant mes seins. Il ouvre le haut de ma robe, leur dévoilant ainsi ma poitrine avec les tétons dressés comme jamais
Deux bouches se mettent à les sucer, les lécher, les mordiller m’arrachant des petits gémissements. Mes cuisses s’écartent d’elles même au moment ou une main se glisse entre elle pour se diriger vers ma grotte déjà toute trempée. Deux doigts experts écartent mes grandes lèvres et s’enfoncent dans mon intimité.
– Ce n’est plus une chatte c’est une fontaine !
– Putain comme elle mouille la chienne !
Il s’agenouille entre mes cuisses, me fait relever ma robe sur mon ventre. Il plonge sa tête entre mes cuisses. Il plaque sa bouche contre ma vulve, passe sa langue en elle et remonte jusqu’à mon clitoris qu’il se met à sucer. Nabil d’une main me caresse un sein et me suce l’autre. Je suis aux anges et je ne résiste pas à ce traitement de choc. J’explose dans la bouche de Malik, d’un orgasme d’une puissance inouïe. Il m’a faut quelques minutes pour reprendre mon souffle. Et la je suis étonnée moi même. J’ai une énorme envie de voir leurs sexes, de les toucher, de les sucer.
Je les fais mettre debout sur le tapis du salon et je m’agenouille devant eux, sans perdre plus de temps je défais les deux boutons tour à tour et fais glisser les fermetures éclaires puis baisse les deux pantalons, Malik porte un slip d’où je vois la belle bosse de sa queue et Nabil a aussi un slip classique avec une proéminence qui se dessine. Je palpe ces deux bites à travers l’étoffe. Ils baissent d’eux même leurs slips et je suis enfin à quelques centimètres de ces sexes qui bandent. Malik a environ le même sexe que celui de mon Marcel, mais Nabil en a un bien plus gros et plus long. Je commence par prendre les bourses dans chacune de mes mains, les caressent, les malaxent, puis je saisis les bites en les effleurent d’abord, puis en les caressant doucement avant des les branler plus énergiquement.
Mes yeux ne quittent plus ces deux belles bites. Je suis comme hypnotisée devant ce magnifique spectacle, puis n’y tenant plus je commence à lécher les membres, les glands tour à tour. C’est vraiment bon et très très excitant. Je mouille toujours autant. Je me met enfin à les sucer tour à tour, sans jamais ne lâcher l’autre queue. Je dois faire des gros efforts pour sucer la verge de Nabil tant elle est grosse.
J’entends les encouragements des deux hommes .
– Oui, vas-y, suces nous bien , tu aimes ça, hein?
– Tu la veux notre queue dans ta grande bouche de chienne!
Cela ne fait que m’exciter d’avantage et je suce de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Malik cède le premier, j’entends un râle, je sens un jet puissant et chaud frapper mon palais. J’ouvre en grand la bouche pour qu’il puisse bien inonder ma bouche. il y a d’autres jets.
– Avale tout salope !!!
Je suis beaucoup trop excitée pour penser à quoi que ce soit et j’avale toute la quantité de sperme. Nabil me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé. Je m’exécute, il se positionne derrière moi, place sa queue à l’entrée de ma grotte et s’y enfonce avec lenteur. Je pousse un cri de plaisir, il me remplit complètement le minou.
A chaque coup de butoir, il m’arrache un cri de plaisir. Il me baise à présent avec vigueur , me tient fermement par les hanches. C’est divin. Quand Malik se positionne devant moi, j’avale directement sa belle queue. Je le pompe à nouveau comme une malade. Je me fais baiser par deux hommes. L’un me saute et je suce l’autre. Mon dieu que c’est bon. Nabil crache entre mes fesses et ses doigts commencent a dilater mon anus, je sais que je ne vais pas non plus échapper à la sodomie. Il se retire de ma chatte trempée, s’allonge sur le tapis du salon et me demande de venir m’empaler sur lui. Après m’être à nouveau exécutée sans rechigner, il demande à Malik de se placer derrière moi pour m’enculer. Quelques minutes après qu’il soit introduit lentement et en douceur au plus profond de mon ventre, je me fais pistonner avec vigueur par les deux trous
Quel plaisir, quel bonheur énorme. Je hurle de plaisir, impossible de me contenir, tant les vagues sont puissantes. J’ai trois ou quatre nouveaux orgasmes, je ne sais pas. Je sens ces deux belles queues aller et venir dans ma grotte et entre mes fesses. Malik de nouveau est pret à jouir le premier, il se retire et vient encore se placer devant mon visage. Pour la deuxième fois de la soirée il éjacule dans ma bouche, j’avale encore son sperme, cela me déclenche un nouvel orgasme.
Les insultes fusent de toute part à ma plus grande joie. Nabil qui lui a deux orgasmes de retard sur Malik et au moins six sur moi me demande de m’allonger sur la table basse du salon, il écarte mes cuisses, place mes pieds sur ses larges épaules, s’agenouille entre mes jambes et place sa belle queue à l’entrée de mon anus. Malgré la taille de son pénis et l’étroitesse de mon puits sans fond, je ne peux lui refuser mes fesses. Malgré le fait que son membre soit enduit de ma mouille et que
Malik a déjà élargi le passage, l’introduction est lente, longue et un peu douloureuse.
Une fois le membre entièrement dans mon cul et une fois la brûlure disparu, Nabil commence à me pistonner d’abord délicatement, puis plus vite et enfin vigoureusement. Jamais je n’ai joui aussi fort , l’orgasme est constant, permanent, je crie des mots insensés, que je serais incapable de prononcer.
– Oh oui, c’est bon, vas-y, encule moi bien ! Je suis votre chienne, défoncez moi, baisez moi , faites moi jouir, oui encore.
Après au moins dix minutes de ce traitement de rêve, Nabil se retire et vient inonder ma bouche. Pour la troisième fois de la soirée je suis entrain d’avaler du sperme et cette fois-ci quelle quantité. des jets puissants et longs, lui aussi a un sperme délicieux.
J’avale tout jusqu’à la dernière goutte, même celui que j’ai sur le menton. Quelques minutes après cette éjaculation dantesque, j’ai un gros coup de pompe, je suis épuisée, vidée, j’ai trop joui, mais je suis heureuse. Je ne me considère pas comme une pute, mais une femme soumise qui vit sa sexualité avec bonheur.
Nabil nous remplit un autre verre pendant que Malik téléphone depuis l’entrée. Je vois bien que Nabil a versé une poudre dans le verre qu’il me tend .
-Tient bois tout ça va faire disparaître ta fatigue !
Trop épuisée pour résister , je vide mon verre en entier .
– Tu a mis quoi dans mon verre ?
-De la poudre de cantharide, tu vas voir dans un quart d’heure tu auras envie de satisfaire tout nos fils que Malik a invité, il faudra pas le dire a Marcel sinon il sera fâché contre nous .
– Il le faut, tu comprends ? tu es une belle salope ! Nos fils serons contents .
Une demie heure plus tard après deux verres de plus , je ne sens plus la fatigue, mais j’ai les sens en ébullition, mon clitoris bande à mort, je sens mon sexe bailler d’envie, les pointes de mes seins sont dressés .
Je n’ai même pas entendue les jeunes hommes rentrer .Ils sont trois, deux jeunes d’une vingtaine d’années assez musclés et bronzés et un plus vieux, probablement la trentaine avec un ventre assez important, pas très beau.
-Elle est a vous, son mari est absent pour la nuit !
Ils ne leur en faut pas plus pour se débarrasser de leur pantalon et caleçons et c’est tous à poil qu’ils se jettent sur moi. Un des jeunes décide de me bouffer le minou pendant que les deux autres se disputent ma bouche. L’autre jeune a une queue très fine et de taille moyenne, mais l’autre, le gros, a un véritable pieu à la place de la bite. Très grosse et très longue, avec une énorme veine qui courre tout le long. C’est simple, j’éprouve les plus grandes difficultés à enfourner cet engin dans ma bouche !! Je n’imagine même pas qu’il puisse me pénétrer la chatte et encore moins le cul.
Le troisième me lèche avec application, mais c’est sa queue dont j’ai envie, aussi, je le stoppe dans son travail :
– C’est ta bite que je veux, met là moi maintenant .
Il ne se fit pas prier et me la rentre d’un coup. Je n’ai pas eu le temps de la contempler, mais à en juger par ce que je ressent , elle doit être de belle taille. Il va et vient en moi, ressortant presque complètement pour rentrer jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon cul. Je suis aux anges, et lui aussi, je commence déjà à venir quand je le vois se contracter. Il se retire et éjacule sur mes seins trempés de sueur. Ma grotte n’a pas un moment de répit puisque le deuxième jeune y prend place et c’est quand il est entré en moi que je joui encore une fois. Tout étonné de ma réaction, et sans doute stimulé par les contractions de mon vagin, il se laisse aller dans mon ventre. Il a visiblement très envie de moi, car je sens les jets de sperme s’écraser au fond de ma matrice. Il reste encore en moi quelques secondes et le troisième larron lui demande de lui laisser la place .
-Sors de là que je la défonce cette chienne.
– Tiens nettoie- le toi ! Me dit il .
Je dois dire que j’adore être soumise à un homme quand il me traite comme une chienne, aussi je m’exécute et lui nettoie la queue avec ma langue. Je trouve le troisième vraiment laid et gros, mais sa queue me fascine. J’ai envie de la sentir en moi et c’est en ondulant du bassin que mon sexe vient à la rencontre de sa queue. Je suis dégoulinante de sperme aussi il n’a aucune difficulté à entrer bien au fond. Il me lime pendant plusieurs minutes pendant que je suce alternativement les autres afin qu’ils reprennent vigueur. Quand ils ont à nouveau une bite bien raide, le gros me soulève sans sortir de ma grotte. Je sens qu’il maîtrise bien son sujet puisque toujours sans sortir de moi, il s’assoit sur le canapé, si bien que je me trouve sur lui, la croupe exposé aux deux hommes qui me matent la queue à la main. L’un d’eux commence à m’introduire un doigt puis deux dans l’anus, pénétration largement facilitée par Nabil et le sperme qui a coulé sur mon puits.
Sous l’effet de ses doigts, je jouis une deuxième fois avec eux et c’est juste après mon orgasme, alors que je me relâche complètement qu’il positionne son gland contre mon anus et pousse d’un coup. Je ressent une douleur très vive et très fugace. Il est entré en force, d’un coup, et ses couilles tapent déjà contre mes fesses. Il reste un moment dans cette position et les deux hommes commencent à me ramoner en rythme. Il ne me faut que très peu de temps avant de jouir une autre fois. Je n’en peux plus, mes jambes ne me portent plus, les deux hommes m’imposent un rythme de folie, jusqu’à ce que le jeune m’inonde l’intestin. Il ressort aussitôt et l’autre prend la place. Le gros ne bouge plus, mais la nouvelle queue dans mon anus fait tout, il me laboure littéralement le cul en m’insultant .
– Tu aime ça salope, te faire bourrer par trois mecs pendant que ton mari est absent.
Quelques secondes plus tard, il m’inonde lui aussi l’intestin et se retire aussitôt. Mes doigts vont à la rencontre de mon petit trou dilaté. Je sens le sperme couler le long de mes cuisses. Le bedonnant n’a encore pas joui. Il me fait mettre à quatre pattes et tente d’introduire sa queue dans mon cul. Je ne pense pas cela possible, mais il réussit non sans difficulté à m’enculer grâce au traitement de ses deux collègues. Bien calé au fond de mon cul, il me pistonne sans ménagement, ressort sa queue totalement et la rentre d’un coup sec. J’ai encore un orgasme avant de m’affaler définitivement sur le canapé taché de foutre. Il me lime encore quelques secondes et ressort pour présenter son gland à ma bouche. Il est un peu sale de mon cul, mais il ne me laisse pas le choix :
– Avale ma queue pétasse, c’est ta faute si elle sale comme ça !
Et je prend sa queue en bouche. Il jouit alors quasi instantanément un sperme très épais, en si grande quantité que je ne peux tout avaler !! Ses dernières giclées atterrissent sur mon menton et glissent sur mes seins et le canapé. Les trois hommes s’assissent alors et prennent un repos bien mérité. L’un d’eux attrape un miroir qu’il met face à mon anus afin que je voie dans quel état il est. Il est béant, et dégouline de sperme. A ce moment, je pense vraiment qu’ils m’ont abîmée tellement que mon trou est dilaté. Reprenant peu à peu mes esprits,ils me complimentent et me demandent de garder tout cela pour moi. Ils ont peur de Marcel comme si c’était mon souteneur . Je leurs dis que je suis d’accord à une condition qu’ils ne reviennent pas chez moi et qu’ils m’oublient pour toujours .Ils acceptent bien sûr en me disant que jamais plus je ne les reverrais plus tout les cinq.
La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture
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