Vendredi après midi après une semaine de travail, par cette chaleur je déambule dans la maison nue sous une blouse, tenue que j’affectionne .
Le carillon de l’entrée se fait entendre , je vais ouvrir la porte dans cette tenue, je sais que l’on ne peux voir que je suis nue sous ma blouse .
J’ouvre la porte sur Jeanne qui tient Rex en laisse, un frisson me parcourt le dos .
– Bonjour Jeanne ! Que puis je faire pour te faire plaisir .
– Bonjour chienne ! Je viens pour que tu le soulage, il ne peut plus se passer de toi !
Je m’efface pour les laisser entrée tout les deux .
– Donne moi une bière et viens ici ! Elle rentre dans le salon .
Je m’approche d’elle avec la bière a la main, qu’elle la prend pour la posé sur la table du salon .
Elle passe un bras autour de ma taille et m’attire sur elle. Jeanne pose ses lèvres délicatement sur les mienne qui s’ouvre pour accueillir sa langue qui vient se mêlée a la mienne .
L’autre main s’insinue dans l’ouverture de ma blouse, elle frotte ma vulve et mon clito qui commence a gonfler . J’écarte les jambes pour laisser passer la main de celle qui va devenir mon amante. Elle glisse ses doigts vers mon bouton. Je suis sur le point de jouir avant même qu’elle commence. Je lance mon pubis en avant dans une pose impudique, je savoure. Mon excitation monte encore d’un cran. Elle sent que de toute façon je suis très mouillée.
Enfin elle pose encore sa main sur mon sexe. J’attends la masturbation comme si c’était la première fois. Jeanne entre deux puis trois doigts. Elle me branle mieux qu’un homme ainsi. Mes reins accompagnent sa cadence. Je n’ai même plus le courage de lui résister depuis longtemps. J’attends comme une esclave qui va se faire mettre. Ce n’est qu’après ce premier orgasme que je me décide à chercher a la caresser .
-Je vois que tu es totalement mouillée, mais ce n’est pas pour moi que je suis venu ! Regarde il te désir déjà ! Il bande .
-Aller enlève ta blouse et met toi en position de chienne en chaleur .
J’obtempère a son ordre avec regret, bien que je garde un bon souvenir de ma première soirée avec ses amants canins, c’est avec elle que j’aurais voulu faire l’amour .
Je me met à quatre pattes devant Jeanne qui c’est assise dans un fauteuil avec sa bière à la main. Mon future amant glisse sa truffe entre mes cuisses et me lèche la vulve. Il met a peine deux ou trois coup de langue puis il me grimpe dessus. D’une main je guide le sexe turgescent vers mon puits d’amour et me laisse pénétrer. Au début, la boule est restée dehors et cela me rassure, mais tout à coup, du fait de ma mouille abondante et de la force des coups de rein de mon amant, je me sens pénétrée, écartée. La boule est entrée, je me sens possédée et remplie comme jamais.
La boule a fini de grossir dans mon puits d’amour distendu. Je sens l’extrémité pointue de sa bite me chatouiller le fond de ma cavité. Mon amant s’active dans mon ventre. Ses secousses sont vives, rapides. Elle s’accompagne d’une première éjaculation saccadée. Ma jouissance est déclenchée de petites contractions vaginales qui augmentent l’intensité de mes sensations. Mon amant stop, son membre gonflé et raide libère un flot continu de semence.
– Surprise je suis de retour ?! Les mots restent coincés dans La gorge de Jacques . Il reste là paralysé par la scène qu’il voit dans le salon. Moi sa femme, à quatre pattes, je me fais saillir par mon amant occasionnel pendant que Jeanne nous regarde assise dans un fauteuil une bière à la main !
– OOOH ! Oh non ! Jacques ! Oh mon dieu ! MMM….MMFF ! Oh la vache ! OUI ! Ça vient !
– … ?!
– Oh ! Jacques ! C’est bon !Pardon ! Je… JOUIIIII !
– C’est quoi ce bordel ? Jacques s’avance furieux vers moi .
– Non ! Jacques ! Attend ! Il peut pas encore sortir ! C’est trop gros ! Oui ! Oh mon dieu ! Je jouis encore !! Dans un orgasme foudroyant .
– Et toi Jeanne que fais tu là a les regarder sans rien faire . Je crois que j’ai besoin de sortir.
– Non ! Reste !tu vas comprendre . Lui répond Jeanne .
C’est le moment que choisi mon amant occasionnel pour se retirer dans un bruit de ventouse.
– Quand nous baisions ensemble, tu me disais toujours que ta Nicole ne fait pas si, ne fait pas ça et que c’est pour ça que tu me sodomisais, que tu te vidais dans ma bouche pour que je t ‘avale jusqu’à la dernière goutte .
Je vois Jacques faire une drôle de tronche en entendant les propos de Jeanne.
– Ne t’inquiète pas j’ai mise Nicole au courant de nos parties fines .
– Donc comme je te le disais, j’en avais plein les oreilles de ta sainte ni touche. Alors je me suis vengée . A l’anniversaire de mariage de Laure et Frédéric, j’ai fait boire ta femme avec du punch dans lequel je versais une drogue aphrodisiaque, quand elle c’est isolée parce qu’elle ne ce sentait mal alaise, j’ai envoyé Marcel pour la piégée, mais ce fut Gilles qui a profité de ses soudaines envies de sexe pendant que Jean te retenait au buffet. J’ai fais des photos de son inconduite .
– C’est avec ses photos que nous avons commencer a dévergonder ta femme coincée du cul, comme elle avait peur que tu les vois, elle c’est laissée descendre dans le stupre et le fornication .
– La seule chose que je n’avais pas prévu, c’est que la drogue a rallumée sa libido en berne .
– Je suis désolé Jacques, mais ça fait combien de temps que tu la pas baisée ? Je regarde Jacques que fait les gros yeux.
– Attends, Jacques ! Je t’aime ! Je te demande pardon pour tout ça !
– Pardon de quoi ? Je rentre tôt, il fait un temps splendide ! Tout va bien jusqu’à ce que je trouve ma femme à quatre pattes comme une chienne en pleine saillie avec un chien que je n’ai jamais vu !
– Écoute Chéri, je…
– Qu’est-ce que tu veux que j’écoute ? Tu veux me donner des explications, des détails ? Je crois que j’en ai assez entendu pour comprendre ! Ils t’ont fait bien jouir apparemment ! Peut-être même qu’ils te font jouir plus que moi, non ?
– Non, c’est pas ça…
– C’est pas ça ? C’est quoi alors ?!
– Ça n’a rien à voir avec toi.
– Non ? Ça a à voir avec qui alors ?
– C’est arrivé comme ça, par accident, comme a dit Jeanne elle m’a piégée avec son aphrodisiaque ses photos et ses films, comme je ne voulais pas te perdre, j’ai glissée dans leurs vices .
– Ça dure depuis combien de temps cette histoire de chantage ?
– Cinq mois environ.
– Depuis cinq mois, que tu baises avec tout le monde et même avec un chien ?! Je suis cocufié depuis cinq mois !
– T’es cocu ! Comme moi puisque tu couche avec Jeanne. C’est pareil,
– C’est pas pareil ma chérie, que tu te fasses prendre par des d’hommes, pour moi ça ne fais aucune différence. Mais que tu le fasses avec un chien, c’est… Je trouve ça répugnant !
– Tu n’es pas remplacé par qui ou quoi que ce soit ! Si tu veux que je te rafraîchisse la mémoire , ta bite ne me pas visité depuis six mois, toi tu baises avec d’ autres femmes et tu trouve ça normal.
– Comment ?
– Parfaitement ! Tu sais depuis combien de temps nous n’avions plus fait l’amour ensemble.
-Tu ne sais pas ? Je vais te le dire ? Ça faisait six mois que tu ne m’as plus touchée ; six mois que ma libido est à zéro !
– Attends, t’es en train de me dire que ta sexualité a connu un nouveau départ et une activité intense depuis cinq mois, c’est parce que j’ai baisé avec Jeanne ?
– Pas exactement ! C’est Jeanne qui a réveillé ma libido ! Elle m’a redonné envie. Grâce à ça drogue, maintenant, j’ai toujours envie de faire l’amour avec qui que ce soit . Je ne te remplace pas . C’est toi que j’ai épousé ; c’est avec toi que je fais ma vie depuis trente ans et avec qui j’ai des projets. C’est pas avec les amants qu’ils m’obligent a satisfaire !
– C’est Jeanne qui m’a imposé les chiens et tout le reste .
C’est le moment que Jeanne choisit pour s’éclipser de la maison en laissant Rex couché devant la cheminée .
– Et bien tu n’a qu’à te débarrasser de leurs chantage !
– Je ne peux pas !! Ils m’ont filmés pendant qu’ils me livraient a des hommes et aux chiens !
– C’est quand même incroyable cette histoire, parce que j’ai couché avec Jeanne, Jean et elle se venge en faisant de toi une esclave sexuelle . La pilule est un peu dure à avaler !
– Bien sur, je comprends, mais c’est toi qui a fauté le premier et plusieurs fois avec Jeanne. Si tu ne l’avais pas baisé elle ne m’aurait pas piéger ainsi.
– Je t’aime et je n’ai jamais voulu te faire de mal. Je t’en prie, Chéri, pardonne moi.
– Tu as des regrets sincères et tu compte continuer ?
– En fait, je ne regrette rien et je ne regrette pas que tu nous ai surpris, car je n’aurais jamais pu t’en parler. Je crois que, peut-être, est-ce mieux que tu le saches… Enfin, c’est sans doute plus sain comme ça…
– Arrête de faire cette tête ! Détend-toi mon Jacques.
– Ça c’est un peu facile ! Après trente ans de vie commune…
-Bon ! Pour commencer, tu vas te mettre à l’aise. Tu vas t’asseoir là, je vais te servir un petit remontant.
Jacques se laisse diriger. En quelques instants, il se retrouve assis dans le canapé avec un verre de whisky à la main. Je suis assise nue à côté de lui. Il regarde hébété ma grotte à demi-ouverte qui suinte de sperme. De toute évidence il ne comprend plus rien. Rex s’approche en remuant la queue.
– Toi ! Jeanne aurait pus t’emmener quand elle c’est débinée discrètement.Dit Jacques en levant la main au dessus du chien .
– Rex n’y est pour rien. C’est un chien ! La nature ne lui impose pas de retenir ses pulsions ! Il est libre et innocent ! Si tu veux blâmer quelqu’un, c’est moi. Cependant…
– Cependant ?
– Cependant je reconnaît que ta liaison que tu entretiens avec Jeanne a eu un effet bénéfique pour ma sexualité. Sans cette expérience, nous en serions toujours au même point. C’est à dire pratiquement six mois sans aucun rapport et avec un dialogue complètement fermé. Le désert affectif et l’autoroute pour le divorce si tu vois ce que je veux dire.
– C’est ce que tu penses ?
– Oui c’est ce que je pense ! Mets toi à ma place, tu t’imagines vivre avec une personne qui ne pense plus qu’à son boulot et ses vielles voitures, rentre tard, met les pieds sous la table et ne te regarde même plus ? C’est ce que je vis jusqu’à maintenant ! Alors tu vas réfléchir et faire la paix avec lui !
– T’es un bon chien, Rex. Je sais que tu n’y es pour rien. Bon Chien ! Voilà, t’es contente ?
– Oui, je pense que c’est mieux comme ça.
– Et… C’est arrivé comment avec ça ! Si je peux savoir ?
– Et bien, comme te l’a dit Jeanne , elle voulait faire de moi une chienne toujours en chaleur aidée du dénommé Marcel et de son mari Jean , qui entre parenthèse m’a dit que tu couchais avec sa femme depuis un bout de temps. Ils m’ont invitée un soir quand tu étais en déplacement pour plusieurs jours . Je te passe les détails, c’est Jeanne qui ma fait saillir la première fois par un chien appeler Brutus puis dans la nuit pendant que Brutus la montait Jean m’a fait prendre par Rex .
– Tu pouvais pas les en empêcher , non ?
– Tu parles ! J’ai essayé, mais ils me tenaient à chaque fois, impossible de me soustraire .
– Enfin tu as fait quoi ? Tu t’es mise à quatre pattes et hop ?
– C’est allé très vite ! Il est monté sur moi, Jeanne a guidé sa bite vers dans chatte et il ma possédé. Il me prenait très fort et tout à coup la boule est rentrée. J’ai cru que j’allais exploser. C’était terrible et merveilleusement bon. La pointe de son pénis touchait des zones qu’aucune bite n’avait encore excitées. La boule grossissait encore. J’ai joui une première fois. Je n’avais jamais rien eu d’aussi gros, rapidement, je l’ai senti jouir en moi. Il me remplissait de sperme et moi je jouissais encore et encore. Il a cherché à se dégager ; on s’est retrouvé cul-à-cul et j’ai continué à jouir pendant une demie-heure jusqu’à ce que le volume de son sexe se réduise et que nous puissions nous séparer. Après ça, je me sentais heureuse, comblée, pas du tout salie par cette acte hors normes.
Jacques reste silencieux quelques minutes puis il dit .
-Si je comprends bien, tu aimes baiser avec ça. En me montrant du doigt Rex .
– Oui !
– Que je parte ou que je reste, tu continueras de baiser avec ça et les autres hommes qu’ils te diront, je me trompe ?
– Non, c’est vrai, je joui comme une folle avec tous ceux qu’ils me font baiser. De plus ils me tiennent avec tout les filmes qu’ils sur moi.
– Par ailleurs, tu es en train de m’expliquer que si tu ne plus baisais pas avec eux nous ne ferions plus l’amour. C’est ça ?
– Oui, en gros c’est ça.
– Donc, pour continuer à vivre et faire l’amour ensemble, il faut que j’accepte de te partager avec eux ?
– Et bien… ? Je n’aurais peut être pas dit ça de cette manière, mais c’est ça. Aujourd’hui, c’est toi et eux. Je ne sais pas trop comment faire autrement, mais je comprends que ça te fasse mal… Tu es mon mari et je suis ta femme… Mais maintenant, j’ai aussi besoin d’être leur chienne . Je ne peux pas l’expliquer. Je sais que ça peut paraître dingue, mais j’aime être soumise pour faire l’amour . Je crois que j’en ai besoin. J’ai aussi besoin d’être saillie.
– En fait, tu ne me laisses pas le choix… Je n’ai pas envie de te quitter, je ne me vois pas vivre sans toi. Il faut donc que j’accepte que tu sois soumise a leurs perversités.
– Je t’aime aussi mon chéri et je serai aussi ta soumise, si tu veux !
– T’inquiète pas pour ça ma chérie, puisque tu aimes ça, je crois que je trouverai le moyen d’utiliser tes talents… Après tout, il faut bien que je trouve aussi mon intérêt.
– Je ferai tout ce que veux.
– Tu ferais ça avec lui maintenant devant moi ?
– Pardon ?
– Tu veux bien baiser avec lui devant moi ? Maintenant ? Pendant que je me ressers un whisky .
– Puisque Jeanne est partie en nous le laissant !
– Euh… maintenant ?
-Oui .Tout à l’heure, je n’ai pas vraiment su apprécier le spectacle ; n’y apprécier tes cris de chienne en chaleur , autant battre le fer tant qu’il est chaud et comme tu es déjà en tenue !!
Jacques vide son premier whisky cul sec et s’en ressert un illico. Puis il se déshabille et s’assit dans un fauteuil en face du canapé.
– Je suis prêt.
– Tu veux vraiment que je fasse ça ici , t’es sûr de toi ?
-Oui ! Je veux te voir en action maintenant.
– Rex ! Viens me voir mon chien.
Je tapote sur le canapé à côté de moi. C’est pour le chien un signal clair et il vient me rejoindre. Je le fait se coucher sur le dos et lui grattouille le ventre, allant jusqu’à caresser son sexe encore caché dans son fourreau. Mon amant n’est pas long à réagir et bientôt le gland pointu apparaît.
Jacques me regarde faire avec beaucoup d’intérêt et de curiosité. Maintenant le sexe de mon amant est bien visible, surmontant mon appréhension, je me penche sur lui et le gobe. Je le lèche et le couvre de salive. L’engin se met alors à grossir plus vite. Je suce et masturbe mon amant pendant que je me masturbe en même temps. Jacques n’en revient pas. J’arrête de le regarder sinon je ne pourrais pas me soumettre à cette saillie en prenant du plaisir .
– Oh putain, tu le suces ! Et il aime ça en plus ! Quelle bite !
– MMM……MMMH !
– Toi aussi t’aimes ça ! T’es excitée comme une chienne en chaleur ! J’y crois pas !
Je reste muette, je suis occupée par la fellation que je procure à mon amant. D’un coup d’œil je m’aperçois que la scène ne laisse pas indifférent mon Jacques . Son sexe est légèrement gonflé et en parti redressé. Je change de position en m’asseyant de travers sur le canapé , j’écarte largement mes cuisses. Mon amant bouge à son tour pour venir me donner quelques coups de langue sur et dans mon sexe humide. Je gémis et l’encourage, je lui caresse la tête, mais rapidement, mon amant s’agite. De toute évidence il veut me faire sienne. Jacques bande vraiment, il se caresse le sexe. Je me met à quatre pattes et mon amant me monte sur le dos . D’une main je le guide vers ma grotte d’amour dans la quelle il entre complètement et se met à me bourrer avec frénésie.
– Oh oui ! MMM…… ! Tu… Tu vois mon chéri … C’est pas plus compliquer que ça… Oh ! Ça y est ! Oh !!.. La boule est rentrée ! T’as !… T’as vu ? Oui !
– Oui ma chérie, je vois qu’il t’a tout mis ! C’est bon ?
– Oh oui ! … C’est trop bon !! Sa boule grossit encore… AARRGH…..!!
– Salope ! Tu jouis !
– Oh oui ! Je jouis !!!
– Chienne ! T’es vraiment qu’une grosse chienne !
– Oh oui ! Oh la vache ! Il vient ! Il me remplie ! Je jouis….. !
– Encore ?!
– Oui, mais… Mais la première… La deuxième ne va… Pas tard… Oh ! Il… Il me remplit encore ! – Ça y est ?
– No… Non, il bande encore et… ! Tant qu’il est gonflé… Il ne peut… Il ne peut pas sortir !
Et alors… Ah ! Moi je… ! Je jouiiiiiiiiiis !
– Espèce de chienne ! Suce moi ! Regarde comme tu m’as excité salope ! Oh… ! C’est ça, suce moi bien cochonne ! M..Ouai ! C’est bon ! Putain ! T’es qu’une pute ! Une chienne en chaleur ! T’aime ça d’être une chienne hein ?
– MMMFF.. ! Oh oui j’aime ça… MMMHH !
– Allez suce ma bite sale chienne ! Suce moi bien ! RRAAH! Oh ! Doucement ! Je veux te prendre comme lui, comme la chienne que tu es ! Oh …., J’aime comme tu me suces, Chérie ! Ah … !
– Alors… retiens toi… ! Profite du spectacle. Ça… Va prendre encore… Quelques minutes…
Je suce doucement mon mari en attendant patiemment que mon amant se dégage. Dans un bruit de siphon mon amant vient de se retirer de mon puits d’amour .
– Ah !Ah ! La place est libre ! Je vais te bourrer le minou !
– Oh putain ! Il t’a vraiment écarté le salaud ! Je baigne dans son jus ! Ça dégouline !
– Vas y mon chéri ! Baise-moi comme une chienne !
– Oh la vache ça m’excite ! Han ! Han!
– Oh oui ! Baise ta chienne de femme ! MMMM ! Traite-moi comme une chienne soumise a son mâle !
– Oh oui, cochonne ! T’es vraiment qu’une chienne ! Un sac à foutre ! Han ! Une chienne qui aime se faire écarter la chatte ! OH ! Dis moi que t’es qu’une chienne ! Avoue que t’aime ça !
– Oui Chéri ! Je ne suis qu’une chienne qui aime… Qui aime se faire remplir par n’importe qui !!
– T’es qu’une chienne dégueulasse ! Han ! Han ! Et puisque t’aime ça, je vais… Raahh !… Je vais te faire faire des trucs sales ! Tu vas de venir une vraie salope dégueulasse !
– Oh OUUII ! Tout ce que tu voudras ! Je serais ta pute ! Ta salope de chienne !
– Attends, tu vas voir comment on prend une salope dans ton genre ! Han !
Il sort sa bite de ma grotte pour l’enfoncer aussi sec dans l’entrée de mes entrailles.
– Oh, OOOOH !!
– Putain ! T’es tellement poisseuse que c’est rentré tout seul ! Je ne dois pas être le premier a passer par là ?
– Oh non ! Vas-y chéri ! AARF ! Encule-moi bien ! Bouge ! Aïe ! OOUUIIIIIIIII ! Encule ta chienne !
– T’aime quand je t’encule ?
– Oui j’ai…Oui j’aime ça !
– Putain ! Tu m’excites grosse chienne !
– Baise-moi ! Encule moi fort !
– HAN chérie ! Oh oui ! han !
– Oh !!mon chéri, je… Je jouis !
– Oh je vais… MMMH ! Attends, je veux t’éjaculer dans la bouche !
Mon homme se retire précipitamment de mon cul, se place devant moi pour que je le suce. Il enfonce sa queue poisseuse et souillée au fond de ma gorge .
– HAAAAOOOAAAHHH !
– Oh oui salope ! Avale tout ! J’avale tout tout son jus.
Il se laisse tomber sur le canapé. J’entreprends de lui nettoyer son amour de queue de toute trace .
– Ma parole ! Tu… !! Tu me nettoies la bite ! C’est bon ! Vas-y cochonne !
– Et bien mon chéri ! T’as vu tout ce que t’as balancé ? T’avais vraiment besoin de te vider les couilles ! Ça faisait longtemps que tu m’avais pas baiser comme ça .
– C’est de ta faute ! Tu m’as mis sous pression ! Mais je ne savais pas que tu aimais faire des choses aussi sales ! T’as sucé ma bite à la sortie de ton cul !
– C’est toi qui le voulais, je t’ai dis que je ferais ce que tu voudrais. Tu m’as demandé de baiser avec lui , je l’ai fait, tu m’as enculée, je t’ai laissé faire et tu as voulu éjaculer dans ma bouche et j’ai tout avalé. C’est ce que tu voulais, non ?
– Oui, c’est vrai…Mais ! tu m’a obéi sans discuter !
– Depuis que Jeanne m’a prise en main, elle a fait ressortir en moi ce besoin d’être dominée, elle ma entraînée dans un monde de perversion . Plusieurs fois je me suis sentie envahie par un plaisir inattendu et incroyablement fort, j’ai compris qu’elle révélait ma vrai nature de soumise, enfouie au plus profond de moi . Depuis je me suis habituée, a obéir aux ordres qu’on me donne .
– J’accepte tes relations adultère et bestiale avec la promesse d’une vie sexuelle riche en expériences nouvelles et sales… Dans une soumission la plus totale .
– Comment ça ?
– Tu ne crois quand même pas que je vais prendre ton ( je ferai tout ce que tu voudras ) comme une parole en l’air ; je t’ai vu à l’œuvre, tu m’as tellement excité , je te promets de faire preuve d’imagination.
– Ah oui ? Comme quoi par exemple ?
– Je ne sais pas encore, mais fait moi confiance. J’ai vu que tu avais besoin de baiser salement et tu vas baiser salement, en te trouvant un plus gros amant que lui .
– Et je pense que de te trouver en pleine saillie dans le salon quand je rentre, que c’est un coup monté par Jeanne, car seul mon patron et Jean savaient que je rentrerais plus tôt chez moi. Depuis le temps que Jeanne me demandait de participer a leur partouze avec toi et que j’ai toujours décliné son offre sachant que tu ne voudrais pas. Je me demande si tout ça n’a pas était fait pour que nous participons à leur partouze .
Tu vas téléphoner a Jeanne pour lui dire qu’elle vienne avec Jean, chercher ton amant occasionnel que dimanche soir à l’heure de l’apéritif .
– Je leur ferais par de notre participation volontaire a leur prochaine partouze .
La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture
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