Aujourd’hui en ce samedi après-midi mon mari est encore au travail ; j’arrive chez Laure qui m’a invitée à profiter de sa piscine chauffée. Après avoir bu un café ensemble, nous passons dans la salle de bain pour nous changer.
— Pas la peine de mettre le haut, personne ne verra nos seins, les grandes haies nous cachent des regards des voisins. Me dit Laure.
Nous voilà allongées au bord de la piscine après avoir fait quelques longueurs.
Une sonnerie de téléphone se fait entendre à l’intérieur de la maison, Laure s’engouffre dans le salon pour décrocher le combiné.
Elle revient déconfite.
— Je suis obligée de m’absenter une heure ou deux, reste ici je reviens vite.
Voilà un quart heure que Laure est partie que je vois Frédéric son mari apparaître au coin de la maison, en short et torse nu.
— Bonjour ! Tu es seule ! Laure m’avait dit que Jeanne devait venir aussi, mais manifestement elle a oublié l’invitation.
Je me lève à son approche pour lui faire la bise, je vois bien une grosse bosse dans son short quand il vient vers moi.
Il attrape ma tête et m’embrasse sur la bouche. Je suis surprise par cette soudaine attaque, mais je tombe dans ses bras, et quand sa langue se faufile dans ma bouche je la suce avidement et lui roule un patin comme une amante en manque de sexe.
Depuis l’incident dans la serre le jour du lunch, j’ai des envies de sexe, la mixture mise dans mon punch par Jeanne en est sûrement la cause. Je gémis dans sa bouche quand ma main passe dans son short pour attraper sa bite toute dure. Je peux à peine faire le tour de son sexe tellement il est gros et je le sens palpiter sous ses doigts. Ma grotte est en feu.
Une petite voix dans ma tête me dit que je vais tromper mon mari, qu’est ce qui pourrait être pire ?
Je sais que c’est mal de tromper mon mari, mais je désire tellement cet homme et surtout ce que mon mari n’a pas… Une si grosse et longue queue, je me dis que ce sera seulement juste cette fois.
Frédéric quitte ma bouche pour attraper mes seins, gonflés par l’excitation. Il ne perd pas une seconde, sa bouche, sa langue se lance à l’assaut de ma poitrine.
Sous les agressions orales de mes seins, je perds rapidement pied et des vagues de plaisir envahissent mon corps, elles me font gémir.
— HUUUUUMMMMM….
À tâtons, je réussis à retirer le short de Frédéric pour réaffirmer mon emprise sur son engin. Je le presse avec un mouvement de torsion puis le branle vivement.
Tout à coup je me sens soulevée de terre et poussée en avant contre le bord du bar extérieur il m’arrache mon slip de bain. Derrière moi les bras vigoureux de Frédéric m’enlacent et cherchent mes seins pour pincer mes tétons érigés et sensibles aux attouchements. Je crie de plaisir et repousse mon cul, pour sentir sa queue et me frotter dessus.
Frédéric glisse sa grande queue entre mes fesses, c’est sublime.
Il se penche en avant et terriblement excité m’embrasse le cou. Il glisse ses mains sur tout mon corps, il me touche partout.
Je n’en peux plus ! J’ai besoin de me faire baiser et j’en ai besoin maintenant ! Je ne veux pas l’admettre, mais j’ai déjà eu un mini-orgasme rien qu’avec les mains de Frédéric sur mes seins et sa bite dans la raie de mes fesses.
Je le repousse d’un coup de cul en arrière, pivote, mets mes bras autour de son cou et le regarde dans les yeux.
— Si tu ne mets pas ta grosse bite en moi, je crie au viol pour que tout le monde l’entende !
Frédéric n’a pas besoin de menace pour écarter les lèvres de ma chatte humide et guider d’une main, sa grosse bite rigide vers ma grotte affamée. Après une petite pause quand le gland a passé mes petites lèvres trempées, il s’enfonce lentement à l’intérieur de ma grotte. Ma chatte dégoulinante de jus est très serrée, mais il progresse cm par cm pour que je m’adapte à la grosseur de sa queue.
La tête en arrière, je couine de plaisir en sentant mon corps envahi par sa grosse bite qui pénètre en moi. Mon mari ne fera plus jamais le poids après ça, car plus Frédéric s’enfonce, plus je me sens remplie par cette chose énorme qui n’en finit pas de progresser dans mon vagin écartelé. Un orgasme approche au grand galop.
Lorsque ses couilles viennent frapper mes cuisses, il ne bouge plus, enfoncé profondément dans le fond de mon puits d’amour. Je me mets à bouger les hanches en grognant des gros mots.
— Putain ! Quelle queue mon salaud ! Tu me défonces le ventre ! Mais OOOOHHH… Que c’est BOOOONNN…
Puis je me mets à trembler et gueuler comme une possédée quand mon orgasme éclate dans tout mon corps. Frédéric vicieusement, m’attrape par mon cul avec ses grandes mains, et commence lentement à me baiser.
Je hurle de plus en plus fort quand son énorme mandrin de chair va-et-vient dans ma grotte et qui la remplie jusqu’à l’éclatement. Après seulement quelques va-et-vient longs et réguliers, mon orgasme repart de plus belle, mes muscles intimes se resserrent en spasmes successifs sur ce sexe merveilleux qui me rend complètement folle de plaisir.
— OOOHHHH… OUIIIIIIIIIIIII….ENCOOORE….
Je pleure de plaisir sous la puissance de cet orgasme qui n’en finit pas et qui passe en vagues successives de ma tête à mon ventre pour finir par exploser dans ma grotte avec une force terrifiante Frédéric maintient sa bite avec difficulté dans ma chatte affolée, je tremble de plaisir en criant des obscénités.
Il commence à retirer son membre encore palpitant.
— Qu’est-ce que…. Tu fais…. . Baise-moi encore… À fond… Fort… Remplis-moi de ton sperme.
Frédéric m’empale en frappant de ses couilles sur le bas de ma grotte à chaque coup.
Nous baisons comme des bêtes sauvages et ça ne durera sûrement pas très longtemps.
Ma chatte est complètement remplie par son sexe, mais je sens quand même des quantités incroyables de sperme épais frapper mon utérus et inonder le fond de mon vagin en feu. Il essaye de se maintenir au fond de mon ventre pendant qu’il éjacule, mais les muscles puissants de ma grotte commencent à l’expulser au-dehors. Il jouit encore quand son sexe sort de mon trou avec un bruit de ventouse pour finir de se vider sur mon pubis.
Je regarde émerveillée, ce boudin de chair sortir de mon ventre en giclant des jets de sperme blanc, son sexe est encore bien dressé pour me remplir à nouveau. Et c’est bien ce que j’ai envie de faire !
Frédéric de son côté me trouve radieuse, embellie par le plaisir, je regarde sa bite avec envie, les yeux brillant de désir et de perversité. J’aime le sexe.
Cinq minutes après, le corps calmé, je réalise vraiment ce que je viens de faire. Je viens de tromper mon mari avec le mari de mon amie d’enfance !! Il est devant moi, assis avec un sourire espiègle sur son visage.
Lui qui vient de remplir mon puits d’amour avec son sperme. Je me sens parfaitement bien et sans aucune culpabilité.
Je tente de me convaincre que cela n’arrivera plus, que je n’ai pu, tout simplement, résister à la superbe queue de Frédéric. Au fond de moi je me dis que je suis une belle salope et que je ne me connaissais pas ce côté secret de ma personnalité qui doit-être enfoui au plus profond de moi ou plutôt dans mon corps. Mais Bon Dieu qu’est-ce que j’ai joui !
Lorsque je vois Frédéric marcher sur l’herbe, sa bite molle qui se balance, et claque légèrement sur ses lourdes couilles, je me dis en détournant les yeux que je ne devrais plus me laisser tenter par cette queue magnifique et que je ne recommencerai pas.
Je tourne la tête, mais involontairement ce n’est pas son visage que je regarde, c’est ce gros sexe, encore à demi bandé même après cette baise incroyable, je ne peux ignorer cette chaleur qui revient dans mon ventre, dans ma grotte.
Oubliant complètement mes dernières intentions, je me dirige lentement vers lui.
Je presse mon corps contre celui de Frédéric, écrasant mes seins contre sa large poitrine, je me tiens sur la pointe des pieds pour me tirer vers lui pour un long et ardant baiser.
Les mains de Frédéric vont directement sur mon cul. Je pousse un petit gémissement quand il serre mes fesses dans ses grandes mains.
J’adore me faire peloter le cul et je sens encore ma grotte mouiller quand il presse mes fesses en passant ses doigts dans la raie de mes fesses. Je fonds dans ses bras et mes bonnes résolutions s’envolent à tire d’ailes.
Je sens surtout sa grosse queue durcir contre mon ventre et je suis étonnée de voir la vitesse à laquelle il reprend du tonus après une bonne baise.
Je tombe à genoux et regarde son sexe s’allonger, se gonfler avant de le prendre en main, l’eau à la bouche.
Mes hormones prennent une fois de plus le contrôle de mon corps et je ne lutte plus contre mes désirs et aspire entre mes lèvres le gland pourpre de la bite de Frédéric.
Je pousse un gémissement de plaisir et Frédéric trouve cette succion bonne quand je commence à faire tourner ma langue autour de sa bite.
Je suce avec délice cette bite incroyable et le branle de mes mains puisque je ne peux la mettre entièrement dans ma bouche. Du présperme ou le reste de sa précédente éjaculation commence à sortir du méat et j’en savoure le goût. Il a saisi ma tête dans ses mains et commence à baiser ma bouche.
Puis tout à coup il repousse ma tête. Je le regarde avec un regard de déception, mais avant de pouvoir dire quoi que ce soit, il me couche dans l’herbe, se couche tête-bêche sur moi et me présente son énorme érection pendant qu’il tire mon cul vers son visage.
Sur la pelouse j’entame un soixante-neuf, sa grande bite entre et sort de ma bouche, pendant qu’il suce et joue avec mon clitoris, il plonge sa langue à l’intérieur de ma chatte dégoulinante en aspirant avidement et avec volupté tout le jus qui s’en échappe.
Je me retiens de crier, car sa langue me propulse vers de nouveaux sommets de plaisir. Quand il glisse un doigt dans ma chatte brûlante et appui sur mon point G, je crois mourir et monter au ciel.
Je ne m’attendais pas à ce qui m’arrive. Il tire bien sa langue, il la fait courir le long de ma chatte vers le bas, pour ensuite la faire tourner sur la corolle plissée de mon anus !
Je bave sur l’énorme bite de Frédéric, je recule et hurle ma jouissance. Cette double sensation sur ma chatte et mon trou du cul, c’est trop fort, et mon corps tremble violemment sous un énorme orgasme. Je jouis en envoyant des giclées de cyprine sur son visage qui malgré son envie de jouir, se retourne, saisit sa queue d’une main, me lève les jambes et m’empale violemment.
Je pousse un autre hurlement quand sa monstrueuse bite pénètre au plus profond de mon corps. Il m’ouvre totalement et j’ai l’impression qu’il perce un chemin jusqu’à mon cœur.
Je suis possédée par le diable et je vais moi-même à la rencontre de ses coups puissants en serrant sa queue le plus que je peux, pour me gaver de cette chose merveilleuse qui me remplit.
Il me faut peu de temps pour sentir son sperme monter dans sa queue enflammée. Je bouge mon cul de plus en plus vite. Il s’apprête à éjaculer en saisissant étroitement mes hanches afin de bien me remplir, une nouvelle fois de son foutre.
Je sens le gonflement de sa bite et j’ai envie d’autre chose. Je me retire de son membre et rapidement Je l’introduis dans ma bouche le gros gland et pompe avec ma main cette belle queue pour recevoir au fond de ma gorge un flot de sperme sous ses gémissements.
Mais je n’ai pas l’habitude d’une telle quantité de sperme et manque de m’étrangler. Ils continuent de jouir et j’avale ce que je peux, le surplus coule sur les coins de ma bouche.
Je continue d’avaler chaque giclée jusqu’à ce que le flot se tarisse et que sa bite se ramollisse.
Je me couche près de lui, mon visage contre le sien en léchant mes lèvres maculées de sperme.
— La vache ! Tu en lâches une sacrée dose ! Comment peux-tu jouir autant.
— Je n’en reviens pas moi-même. Faut croire que tu m’excites !
— Et bien, tu peux me remplir par le bas ou par le haut quand tu veux et à n’importe quel moment !
Je n’ai pas pu m’empêcher de le dire alors que juste avant j’avais décidé que ça ne se reproduirait plus !
Avant que je dise quoi que ce soit, il me redresse et me jette dans la piscine.
— Ça va te rafraîchir les fesses avant que Laure ne revienne.
Je laisse mon corps se calmer dans l’eau. Je ne me suis jamais sentie aussi épuisée, mais jamais aussi satisfaite. Je me fous complètement d’être mariée et j’ai encore envie de sa magnifique bite qui m’a fait si bien jouir.
La suite après-demain Merci à Sam Botte pour l’écriture
Ajouter un commentaire